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2 Corinthiens 8.10

Ainsi, je vous donne mon opinion dans cette affaire : il est bon pour vous de persévérer, vous qui, l’année dernière, avez été les premiers non seulement à agir, mais encore à décider d’agir.
Et en cela je vous donne cet avis, parce qu'il vous est convenable, qu'ayant non seulement déjà commencé d'agir [pour cette Collecte], mais en ayant même eu la volonté dès l'année passée ;
C’est donc un simple conseil que je vous donne ici, dans votre intérêt, et vous n’avez pas besoin d’autre chose. En effet, n’est-ce pas vous qui avez pris l’initiative de cette collecte ? Depuis un an déjà, vous avez pris une décision à ce sujet ; vous avez donc lancé ce projet et commencé à le réaliser.
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    • Proverbes 19

      Matthieu 10

      Jean 11

      Jean 16

      7 Le départ de Christ était nécessaire pour permettre la venue du Saint-Esprit, le « Consolateur ». L’arrivée de l'Esprit devait faire suite à la mort de Christ.

      La nature humaine contraignait le Seigneur à n’être qu'en un lieu à la fois, alors que Son Esprit est partout, en tous lieux, en tous temps, là où deux ou trois sont assemblés en Son nom. Il faut remarquer dans ce texte la fonction de l'Esprit, qui est premièrement de réprouver, ou de convaincre. L'œuvre de conviction est en effet le rôle du Saint-Esprit : il accomplit cette tâche avec efficacité, et Lui seul peut le faire.

      La méthode adoptée par le Saint-Esprit consiste d'abord à convaincre, puis, à consoler. L'Esprit allait convaincre le monde du péché ; Il n’allait pas se contenter de lui en parler simplement. L'Esprit convainc du péché commis, de la faute, de la folie et de la laideur morale qui en résulte : par lui nous sommes rendus odieux aux yeux de Dieu ; le Saint-Esprit nous révèle aussi la source du péché : notre nature corrompue ; Il nous montre enfin la résultante de nos fautes : la mort.

      Le Saint-Esprit prouve que tout le monde est coupable devant Dieu. Il convainc le monde de son besoin de justice et que Jésus de Nazareth est le Christ, Celui qui est plein de vertus. L’Esprit nous révèle aussi la Justice de Christ, qui nous est accordée pour notre justification et notre salut. Il montre à chacun comment l’obtenir et comment il est possible d'être rendu justes aux yeux de Dieu.

      L'ascension de Christ prouve que la « rançon », Sa mort à la croix, a été acceptée ; la Justice divine a été satisfaite, pour le bénéfice des croyants ! L'Esprit convainc aussi de jugement ; le prince de ce monde est déjà jugé. Tout sera parfait quand le pouvoir de Satan sera brisé : c’est lui qui est à l’origine de tout mal. Le fait que cet ennemi soit subjugué par Christ, doit nous mettre en confiance : aucune autre puissance ne peut tenir devant Lui !

      L'Esprit nous convainc aussi de l’imminence du jour du jugement. La venue de l'Esprit allait être un soutien ineffable pour les disciples. Le Saint-Esprit est notre Guide, non seulement pour nous montrer le chemin, mais pour « marcher » avec nous : Il nous aide continuellement et nous influence. Le fait de savoir que nous sommes conduits dans la Vérité a beaucoup de portée bienfaisante : cela ne consiste pas simplement d'en avoir la notion intellectuelle, mais d'en ressentir le « goût spirituel » et la saveur, avec toute la puissance qui en résulte dans notre cœur.

      L'Esprit nous enseignera toute la vérité, et ne cachera rien qui puisse nous être avantageux : Il nous révèlera le futur. Tous les dons et les grâces de l'Esprit, toute la prédication, et les écrits des apôtres, sont sous Son influence ; les miracles des diverses langues mentionnées dans les Actes ont été opérés pour la gloire de Christ.

      Il incombe à chacun de se demander si le Saint-Esprit a commencé une « bonne œuvre » dans son cœur. Sans une claire constatation de notre culpabilité, avec le danger qui en résulte, nous ne pourrons jamais comprendre la valeur du salut de Christ ; quand nous serons amenés à connaître réellement le fond de notre cœur, nous commencerons alors à découvrir la valeur de l’œuvre de notre Rédempteur. Si nous priions davantage, en dépendant entièrement du Saint-Esprit, nous devrions avoir une vue plus complète de notre Sauveur, et aurions plus d’affection pour Lui !

      Jean 18

      1 Corinthiens 6

      12 Certains, parmi les Corinthiens, semblaient prêts à raisonner ainsi : « tout m'est permis ».

      Paul s'oppose à cette vanité dangereuse. Il y a une certaine « liberté », (l’esclavage du péché), de laquelle Christ nous a libérés : nous devons tenir fermes ainsi. Cependant, il est certain qu'un chrétien ne peut se livrer à la servitude d'un quelconque appétit corporel : son corps appartient au Seigneur ; il doit être un « instrument de justice », tendant à la sainteté : il ne doit jamais être en conséquence, une occasion de chute.

      Quand Jésus-Christ a été ressuscité des morts, Son corps fut glorifié ; il en sera de même pour le nôtre, quand nous serons, à notre tour, élevés vers le ciel.

      L'espérance de cette gloire, lors de la résurrection, doit empêcher les chrétiens de déshonorer leurs corps, par de vaines convoitises charnelles. Si notre âme est unie à Christ, par la foi, tout notre être est devenu membre de Son corps spirituel.

      Certains vices peuvent être combattus par la volonté ; celui qui est mentionné dans ce texte, la fornication, ne peut être vaincu que par la fuite. De nombreuses personnes subissent les conséquences de ce dérèglement, sous ses diverses formes. Ses effets n’atteignent pas seulement le corps, mais bien souvent l'esprit...

      Nos corps ont été rachetés d'une condamnation méritée et de l’esclavage du péché, par le sacrifice expiatoire de Christ. Nous devons rester purs, tels des « vases » convenant parfaitement à l'usage de notre Maître. Étant unis à Christ d'un même esprit, et rachetés à un prix inestimable, les croyants doivent considérer qu’ils appartiennent totalement au Seigneur.

      Puissions-nous consacrer toute notre vie à glorifier Dieu avec notre corps et notre esprit : tous deux lui appartiennent !

      1 Corinthiens 7

      25 Étant donné les difficultés relatives au mariage et au divorce, qui régnaient à l'époque où fut rédigée cette épître, le fait de rester célibataire représentait la meilleure solution ! Néanmoins, l'apôtre ne condamne pas le mariage.

      Quel contraste entre ces recommandations de Paul et celles de ceux qui interdisaient à tous de se marier...

      L’apôtre exhorte tous les chrétiens à manifester une « sainte indifférence » envers les pensées philosophiques de ce monde. - En ce qui concerne la famille : ils ne doivent pas chercher à « construire leur bonheur » sur des bases d’origine païennes. - Pour ce qui est des afflictions : ils ne doivent pas céder à la peine engendrée par les souffrances qu’endure cette terre : même dans la peine, le cœur peut rester dans la joie spirituelle. - En ce qui concerne les plaisirs ici-bas : ils ne trouveront aucune paix, ni repos durable. - Au sujet de leur profession ici-bas : ceux qui prospèrent et accroissent leurs richesses, doivent estimer que tout ce qu’ils possèdent leur est accordé par le Seigneur : tout Lui appartient. - Quant à toutes les inquiétudes du monde : ils ne doivent pas s’en soucier outre mesure, afin de ne pas être soumis à toutes sortes d’afflictions.

      Toutes les valeurs de ce monde sont éphémères : aucune n’est vraiment garantie. Tout finira par disparaître ici-bas. Il est sage de prendre conscience des différents intérêts qui dirigent le monde ; s’ils prennent par contre la première place en notre cœur, nous laissant soucieux, anxieux et perplexe, c’est un péché.

      Par ces quelques recommandations, l'apôtre répond à la question de savoir s'il était bon de se marier. La meilleure condition de vie pour tout homme, est celle qui préserve au mieux son âme, qui le garde des soucis et des pièges de ce monde. Examinons les bénédictions dont nous jouissons, les pièges dans lesquels nous tombons : puissions-nous jouir et améliorer les premières, et nous écarter le plus possible de toute blessure causée par ces derniers. Quels que soient nos soucis, gardons encore du temps pour honorer le Seigneur !

      1 Corinthiens 10

      23 Dans certains cas, les chrétiens pouvaient manger ce qui avait été offert à des idoles, sans commettre de péché. Par exemple, lorsque la viande, à l’origine, dédiée à un sacrificateur, était vendue au marché, en tant que nourriture ordinaire. Aujourd’hui, le chrétien, dans le choix de sa nourriture, ne doit pas considérer ce qui est autorisé ou non par certaines religions, mais respecter toute opportunité, en vue d’édifier les autres : le christianisme n'interdit en aucune manière, les marques d’amitié ou de courtoisie envers quelqu'un, même si ce dernier est différent de nous, quant à ses pratiques religieuses. Par contre, le même chrétien ne doit pas, sous le même motif, participer activement aux différentes fêtes religieuses idolâtres.

      Selon l'apôtre Paul, les chrétiens doivent veiller à ne pas user de ce genre de liberté pour blesser certaines personnes, ou aller à l’encontre de leurs intérêts.

      En ce qui concerne notre nourriture, notre boisson, et même tous nos actes, recherchons premièrement la Gloire de Dieu, en accomplissant ce qui Lui plaît et en L'honorant. C’est le but de notre piété : cela doit nous conduire à respecter toutes les ordonnances divines.

      Un esprit saint, paisible, et bienveillant, désarmera les plus grands ennemis !

      1 Corinthiens 16

      2 Corinthiens 8

      10 Les bonnes intentions ressemblent par certains côtés, à des bourgeons ou des fleurs : nous avons plaisir à les regarder, dans l'espoir d’en récolter de bons fruits ; elles sont toutefois vaines et ne signifient rien, quand aucune bonne œuvre ne s’ensuit...

      Les bonnes initiatives sont déjà une chose appréciable, mais nous en perdons tout le bénéfice, si aucune persévérance ne les accompagne. Quand les hommes, suivant leurs capacités, ne cherchent qu’à accomplir leur devoir et qu’à exercer la bonté, Dieu ne les repousse pas.

      L'Écriture sainte ne justifiera jamais ceux qui pensent que les œuvres charitables ou que les bonnes intentions, associées à un esprit bien disposé, permettent d’acquérir le salut. La Providence offre à certains des agréments ici-bas, alors qu’à d'autres, Elle leur fait subir l’épreuve, de sorte que les premiers peuvent aider ceux qui sont dans le besoin.

      La volonté divine, nous dicte de nous aider mutuellement, afin qu’il y ait en quelque sorte, une certaine compensation des inégalités ; il ne s'agit pas d'un nivellement qui détruirait toute différence de situation, car en de tels cas, la charité ne pourrait plus être exercée.

      Nous devrions tous nous sentir concernés par ce sujet, pour soulager ceux qui sont dans le besoin. L'exemple est montré lors de la distribution de la manne dans le désert Exode 16:18. Ceux qui disposent de nombreux biens en ce monde, n'ont finalement guère plus que la nourriture et le vêtement, alors que ceux qui ne parviennent à vivre qu’avec le strict nécessaire, mais dans le contentement, ne manquent finalement de rien...

      2 Corinthiens 9

      2 Corinthiens 12

      1

      Les révélations de l'apôtre Paul. (2 Corinthiens 12:1-6)
      Ce qui a contribué à son avantage spirituel. (2 Corinthiens 12:7-10)
      Les qualités d'un apôtre existaient vraiment en lui. Son but : faire une visite aux Corinthiens ; il exprime toutefois sa crainte de devoir être sévère avec quelques-uns. (2 Corinthiens 12:11-21)

      Il ne peut pas y avoir de doute : l'apôtre parle bien de lui-même dans ce texte. Soit les éléments célestes lui ont été présentés ici bas, alors qu’il était en extase, comme au temps des prophètes autrefois, soit son âme a été séparée du corps, pour un temps, pour être élevée dans le ciel ; il se peut même qu'il soit monté, corps et âme, dans le paradis : en fait, il ne savait pas lui-même ce qui s’était passé vraiment.

      Nous ne sommes pas capables, (ou il ne nous est peut-être pas permis de le savoir), de connaître les détails de cet endroit, rempli de la gloire divine. Paul n'a pas tenté de nous décrire ce qu'il a entendu, mais il a placé en avant la doctrine de Christ. C'est sur ce Dernier, ce Fondement, que l'Église est construite, et c'est sur Lui que nous devons bâtir notre foi et notre espérance.

      Tandis que ce texte nous invite à affermir notre attente de la gloire céleste qui nous sera révélée, nous devons nous satisfaire des méthodes habituelles d'érudition de la Vérité divine.

      Philippiens 4

      1 Timothée 6

      Hébreux 13

      16 Nous devons, en fonction de nos possibilités, pourvoir aux besoins de notre prochain, en particulier de son âme : Dieu acceptera de notre part, cette « offrande spirituelle », avec plaisir, Il acceptera et bénira ceux qui les lui offrent, par le biais de Christ.

      L'auteur de l’épitre aux Hébreux rappelle ensuite quel est notre devoir envers nos conducteurs spirituels : leur obéir et leur être soumis, car cela est agréable à l'Esprit et à la Volonté de Dieu, Celui qui nous a révélé cela dans Sa Parole.

      Les chrétiens ne doivent pas avoir un trop haute opinion d'eux-mêmes : ils doivent apprendre à pratiquer la sagesse, la bonté, et la grandeur d’âme. Nous devons tous, sonder les Écritures, recevoir l’enseignement spirituel des serviteurs de Dieu, accepter leurs directives, comme venant directement de la Parole de Dieu, qui agit dans le cœur des croyants. Nous devons recevoir cet enseignement avec joie !

      Les fidèles serviteurs de Dieu s’enrichissent d’abord eux-mêmes spirituellement, mais ils auront aussi à rendre compte de toute chute éventuelle de ceux qu’ils enseignent. Plus l’on prie avec ferveur, en faveur de ces serviteurs, plus l’on peut attendre de bienfaits de leurs ministères. Une conscience en paix éprouve du respect pour tout ce qui concerne le service de Dieu. Ceux qui possèdent un tel esprit ont cependant besoin des prières des autres.

      Quand des serviteurs de Dieu s’approchent d’une communauté qui prie pour eux, ils sont encouragés, et cela se traduit par divers bienfaits en faveur de ces chrétiens.

      Nous devons rechercher les miséricordes divines par la prière. Dieu est le Dieu de Paix, réconcilié entièrement avec les croyants ; Il a tracé un chemin pour cette Paix et cette Réconciliation, entre Lui-même et les pécheurs ; Il apprécie un tel état paisible ici-bas, en particulier au sein de l’église. Il est l'Auteur de la paix spirituelle qui règne dans le cœur et la conscience des siens. Quelle solidité peut-on constater dans une telle « alliance », qui a son fondement dans le sang du Fils de Dieu !

      Le perfectionnement des saints en toute bonne œuvre est le mieux qu’ils puissent désirer et qui puisse convenir parfaitement à leur ministère spirituel ici-bas, comme dans leur félicité céleste. Rien n’est bon en nous-même, sinon l'œuvre que Dieu a opérée en notre cœur. Rien de bon ne peut être apporté en nous, par Dieu et Son Esprit, si ce n'est à travers Christ !

      Jacques 2

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