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2 Rois 2.9

It happened, when they had gone over, that Elijah said to Elisha, "Ask what I shall do for you, before I am taken from you." Elisha said, "Please let a double portion of your spirit be on me."
It happened, when they had gone over, that Elijah said to Elisha, "Ask what I shall do for you, before I am taken from you." Elisha said, "Please let a double portion of your spirit be on me."
Cette plénitude, que les prophètes et les apôtres ont possédée, a existé de tous temps, et la Parole nous recommande de ne pas hésiter à la demander au Seigneur, dans une large mesure !

L'assistance divine dont Élie bénéficiait, en particulier en ses dernières heures ici-bas, était pour Élisée une faveur enviable, surtout en ce qui concernait l'onction de l'Esprit. La plénitude spirituelle des saints quittant ce monde, ainsi que leurs expériences, ne peuvent que nous encourager à renforcer notre zèle pour le Seigneur.

Élie fut enlevé au ciel dans un char de feu. On pourrait se poser beaucoup de questions à ce sujet, auxquelles d'ailleurs aucune réponse valable ne saurait être donnée. Contentons-nous de ce que nous décrit la Parole ! Que le Seigneur, lors de Sa venue, puisse être satisfait de notre travail ici-bas. Élie avait la charge de témoigner de la grandeur de l'Éternel ; il encouragea et enseigna Élisée à témoigner ici-bas, de la puissance du royaume de Dieu, parmi les hommes. Nous nous méprenons, si nous estimons que la préparation pour la patrie céleste réside uniquement dans la contemplation du Seigneur et dans la pratique de la piété.

Le char et les chevaux sont apparus, entourés de feu ; cela ne signifiait nullement l'idée d'un jugement, mais plutôt une notion de l'éclat de la Gloire de l'Éternel. Par la manière dont Élie et Énoch furent enlevés de ce monde, Dieu donna une vision fugitive de la vie éternelle, révélée par l'évangile, de la gloire qui est réservée aux corps des saints, et de l'ouverture du royaume des cieux à tous les croyants. C'était également une image de l'ascension de Christ. Élie monta au ciel de manière triomphale et le monde ne put le retenir. Les cœurs de certains sont vraiment endurcis lorsqu'ils restent totalement passifs et insensibles, face au rappel vers la patrie céleste, des fidèles serviteurs de Dieu.

Élie fut pour le peuple d'Israël, par ses conseils, ses réprimandes, et ses prières, plus efficace que la démonstration de puissance du char et du cheval de feu, et de plus, il a retenu les jugements divins, sur le point d'être exécutés. De la même manière qu'Élie laissa son manteau à son serviteur, Christ a légué à ses disciples, Son précieux évangile ; la manifestation de la puissance divine a toujours renversé les desseins funestes sataniques, pour établir le royaume de Dieu en ce monde. Le même évangile demeure toujours parmi nous ; bien que de nos jours, les manifestations miraculeuses ne soient plus aussi fréquentes, la puissance divine nécessaire à la conversion et au salut des pécheurs, est toujours aussi active et efficace !

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      Nombres 11

      Nombres 27

      Deutéronome 21

      Deutéronome 34

      9 Moïse amena les enfants d'Israël aux frontières de Canaan, puis il mourut, délaissant ainsi le peuple. Ce fait nous indique que la loi n'accomplit rien de parfait, Heb 7:19. Elle conduit les hommes dans un « désert de convictions », mais pas dans le « Canaan du repos et de la paix ».

      L'honneur d'entrer en terre promise fut réservé à Josué, « notre Seigneur Jésus », dont il était l'image (le nom est d'ailleurs presque identique), pour accomplir envers nous ce que la loi ne pouvait faire, Romains 8:3. Grâce à notre Sauveur, nous entrons dans le repos spirituel de notre âme, avec la paix céleste éternelle. Moïse était le plus grand de tous les prophètes de l'ancien Testament. Mais notre Seigneur Jésus était encore supérieur, bien plus grand que tous les autres patriarches. Remarquez la forte ressemblance qu'il y a, entre celui qui a racheté les enfants d'Israël et le Rédempteur de l'humanité : Moïse était envoyé par Dieu, pour délivrer les Israélites d'un cruel esclavage ; il les fit sortir d'Égypte, et les conduisit à la conquête de leurs ennemis. Il devint non seulement leur libérateur, mais celui qui leur donna la Loi ; il fut aussi leur juge ; pour finir il les conduisit aux frontières de la terre promise.

      Notre Seigneur vint nous sauver de l'esclavage du mal, pour nous établir dans la liberté et le bonheur. Il vint pour confirmer tous les préceptes moraux donnés au préalable par la loi ; Il les a gravés, non pas sur des tables de pierre, mais dans notre cœur de chair. Il vint pour être notre Juge, dans la mesure où Il a prévu un jour pour juger tous les secrets des hommes, en les punissant ou les récompensant, selon leurs actes.

      Cette grandeur de Christ, face à celle de Moïse, est la raison pour laquelle les chrétiens doivent être obéissants et fidèles à la piété qu'ils sont censés observer, conformément à ce qu'ils ont promis dans leurs vœux : suivre le Seigneur. Que Dieu, dans Sa Grâce, nous donne un tel esprit !

      1 Rois 3

      2 Rois 2

      9 Cette plénitude, que les prophètes et les apôtres ont possédée, a existé de tous temps, et la Parole nous recommande de ne pas hésiter à la demander au Seigneur, dans une large mesure !

      L'assistance divine dont Élie bénéficiait, en particulier en ses dernières heures ici-bas, était pour Élisée une faveur enviable, surtout en ce qui concernait l'onction de l'Esprit. La plénitude spirituelle des saints quittant ce monde, ainsi que leurs expériences, ne peuvent que nous encourager à renforcer notre zèle pour le Seigneur.

      Élie fut enlevé au ciel dans un char de feu. On pourrait se poser beaucoup de questions à ce sujet, auxquelles d'ailleurs aucune réponse valable ne saurait être donnée. Contentons-nous de ce que nous décrit la Parole ! Que le Seigneur, lors de Sa venue, puisse être satisfait de notre travail ici-bas. Élie avait la charge de témoigner de la grandeur de l'Éternel ; il encouragea et enseigna Élisée à témoigner ici-bas, de la puissance du royaume de Dieu, parmi les hommes. Nous nous méprenons, si nous estimons que la préparation pour la patrie céleste réside uniquement dans la contemplation du Seigneur et dans la pratique de la piété.

      Le char et les chevaux sont apparus, entourés de feu ; cela ne signifiait nullement l'idée d'un jugement, mais plutôt une notion de l'éclat de la Gloire de l'Éternel. Par la manière dont Élie et Énoch furent enlevés de ce monde, Dieu donna une vision fugitive de la vie éternelle, révélée par l'évangile, de la gloire qui est réservée aux corps des saints, et de l'ouverture du royaume des cieux à tous les croyants. C'était également une image de l'ascension de Christ. Élie monta au ciel de manière triomphale et le monde ne put le retenir. Les cœurs de certains sont vraiment endurcis lorsqu'ils restent totalement passifs et insensibles, face au rappel vers la patrie céleste, des fidèles serviteurs de Dieu.

      Élie fut pour le peuple d'Israël, par ses conseils, ses réprimandes, et ses prières, plus efficace que la démonstration de puissance du char et du cheval de feu, et de plus, il a retenu les jugements divins, sur le point d'être exécutés. De la même manière qu'Élie laissa son manteau à son serviteur, Christ a légué à ses disciples, Son précieux évangile ; la manifestation de la puissance divine a toujours renversé les desseins funestes sataniques, pour établir le royaume de Dieu en ce monde. Le même évangile demeure toujours parmi nous ; bien que de nos jours, les manifestations miraculeuses ne soient plus aussi fréquentes, la puissance divine nécessaire à la conversion et au salut des pécheurs, est toujours aussi active et efficace !

      2 Rois 13

      1 Chroniques 29

      2 Chroniques 1

      Psaumes 72

      1

      David commence par prier en faveur de Salomon. (Psaumes 72:1)
      Il dresse une prophétie relative à son règne glorieux Puis, ensuite au sujet du royaume Messianique. (Psaumes 72:2-17)
      Louange à Dieu. (Psaumes 72:18-20)

      Le sujet de ce psaume, axé au début sur Salomon, s'adresse surtout clairement à Christ. Salomon était à la fois le roi et le fils du roi ; son père, proche de Dieu, désirait que la sagesse divine repose sur son fils, à l'image du futur royaume de Christ. C'est là, la prière d'un père pour son fils ; la bénédiction désirée par un mourant ; la meilleure chose que nous puissions demander pour nos enfants est que Dieu leur donne toute sagesse et toute grâce dans la connaissance et la pratique de leur devoir.

      Zacharie 9

      Zacharie 12

      Luc 24

      50 \\ #50-53\\ Christ se rendit à Béthanie, à proximité de la Montagne des Oliviers, près du jardin de Gethsémané, là où Ses souffrances avaient commencé : Il était alors à l’agonie.

      Ceux qui désirent aller au ciel, doivent y monter à partir de la « maison des souffrances et des peines de la repentance ». Les disciples n’ont pas vu sortir Jésus du tombeau ; Sa résurrection pouvait leur être prouvée par le fait qu'ils Le virent vivant, plus tard ; ils l'ont par contre vu monter au ciel ! Ils ne pouvaient avoir de meilleure preuve de Sa résurrection !

      Jésus leva les mains et bénit Ses disciples. Il n'est pas parti avec un sentiment de tristesse, mais avec amour : Il a laissé derrière Lui Sa bénédiction. Il est monté au ciel de la même façon qu'Il est ressuscité, c’est à dire par Sa propre Puissance. Les disciples Lui rendirent hommage. Cette belle manifestation de la Gloire de Christ poussa ces derniers à vraiment Le remercier et à Le louer.

      Les disciples, dans une grande joie, revinrent ensuite à Jérusalem. En fait, la Gloire de Christ est à l’origine de la joie de tous les véritables croyants.

      Alors que nous nous attendons à l’accomplissement des promesses divines, nous devons le faire en adressant à Dieu nos louanges. Rien ne peut mieux préparer notre âme à recevoir le Saint-Esprit. Les craintes sont alors réduites au silence, les peines sont adoucies, apaisées et les espoirs sont maintenus. Toute la ferveur d’un chrétien repose sur l’accès au trône de la Grâce ; le trône du Père est en effet celui de la Grâce, pour nous, car il est aussi le trône de notre Médiateur, Jésus-Christ ! Nous pouvons compter sur Ses promesses.

      Appuyons-nous sur Ses ordonnances, louons et bénissons Dieu pour Ses miséricordes, plaçons nos désirs sur les choses « d'en haut », et attendons le retour du Rédempteur, pour parfaire notre bonheur. Amen.

      Qu'il en soit ainsi, Seigneur Jésus, reviens bientôt !

      Jean 14

      12 Christ nous accordera tout ce que nous pouvons Lui demander en Son Nom, pour notre bien. Lorsqu’on fait une requête au Nom de Christ, nous sommes en pleine dépendance de Son mérite et de Son intercession auprès du Père.

      Le don de l'Esprit est le fruit de la médiation de Christ, obtenu par Son mérite, et reçu par Son intercession. Le terme original grec, « paraclet », traduit ici par « consolateur », signifie avocat, conseiller, conducteur. L’Esprit doit demeurer avec les enfants de Dieu jusqu'à la fin des temps ; Ses dons et Ses grâces doivent encourager le cœur de chacun.

      Les expressions concernant l’Esprit, utilisées dans ce texte comme ailleurs, dénotent clairement qu’il s’agit d’une Personne, qui porte les attributs des perfections divines. Le don du Saint-Esprit n’est accordé qu’aux disciples de Christ, mais pas au monde. C'est une faveur que Dieu accorde à Ses élus. En tant que source de sainteté et de bonheur spirituel, le Saint-Esprit demeurera avec chaque croyant, pour toujours !

      Jean 16

      7 Le départ de Christ était nécessaire pour permettre la venue du Saint-Esprit, le « Consolateur ». L’arrivée de l'Esprit devait faire suite à la mort de Christ.

      La nature humaine contraignait le Seigneur à n’être qu'en un lieu à la fois, alors que Son Esprit est partout, en tous lieux, en tous temps, là où deux ou trois sont assemblés en Son nom. Il faut remarquer dans ce texte la fonction de l'Esprit, qui est premièrement de réprouver, ou de convaincre. L'œuvre de conviction est en effet le rôle du Saint-Esprit : il accomplit cette tâche avec efficacité, et Lui seul peut le faire.

      La méthode adoptée par le Saint-Esprit consiste d'abord à convaincre, puis, à consoler. L'Esprit allait convaincre le monde du péché ; Il n’allait pas se contenter de lui en parler simplement. L'Esprit convainc du péché commis, de la faute, de la folie et de la laideur morale qui en résulte : par lui nous sommes rendus odieux aux yeux de Dieu ; le Saint-Esprit nous révèle aussi la source du péché : notre nature corrompue ; Il nous montre enfin la résultante de nos fautes : la mort.

      Le Saint-Esprit prouve que tout le monde est coupable devant Dieu. Il convainc le monde de son besoin de justice et que Jésus de Nazareth est le Christ, Celui qui est plein de vertus. L’Esprit nous révèle aussi la Justice de Christ, qui nous est accordée pour notre justification et notre salut. Il montre à chacun comment l’obtenir et comment il est possible d'être rendu justes aux yeux de Dieu.

      L'ascension de Christ prouve que la « rançon », Sa mort à la croix, a été acceptée ; la Justice divine a été satisfaite, pour le bénéfice des croyants ! L'Esprit convainc aussi de jugement ; le prince de ce monde est déjà jugé. Tout sera parfait quand le pouvoir de Satan sera brisé : c’est lui qui est à l’origine de tout mal. Le fait que cet ennemi soit subjugué par Christ, doit nous mettre en confiance : aucune autre puissance ne peut tenir devant Lui !

      L'Esprit nous convainc aussi de l’imminence du jour du jugement. La venue de l'Esprit allait être un soutien ineffable pour les disciples. Le Saint-Esprit est notre Guide, non seulement pour nous montrer le chemin, mais pour « marcher » avec nous : Il nous aide continuellement et nous influence. Le fait de savoir que nous sommes conduits dans la Vérité a beaucoup de portée bienfaisante : cela ne consiste pas simplement d'en avoir la notion intellectuelle, mais d'en ressentir le « goût spirituel » et la saveur, avec toute la puissance qui en résulte dans notre cœur.

      L'Esprit nous enseignera toute la vérité, et ne cachera rien qui puisse nous être avantageux : Il nous révèlera le futur. Tous les dons et les grâces de l'Esprit, toute la prédication, et les écrits des apôtres, sont sous Son influence ; les miracles des diverses langues mentionnées dans les Actes ont été opérés pour la gloire de Christ.

      Il incombe à chacun de se demander si le Saint-Esprit a commencé une « bonne œuvre » dans son cœur. Sans une claire constatation de notre culpabilité, avec le danger qui en résulte, nous ne pourrons jamais comprendre la valeur du salut de Christ ; quand nous serons amenés à connaître réellement le fond de notre cœur, nous commencerons alors à découvrir la valeur de l’œuvre de notre Rédempteur. Si nous priions davantage, en dépendant entièrement du Saint-Esprit, nous devrions avoir une vue plus complète de notre Sauveur, et aurions plus d’affection pour Lui !

      Jean 17

      11 Christ ne prie pas pour les Siens afin qu'ils puissent être riches et grands en ce monde, mais pour qu'ils soient gardés du péché, fortifiés dans leur ministère, et conduits vers la vie éternelle.

      Il n’y a rien de meilleur pour l’âme que la prospérité spirituelle. Christ a plaidé avec son Père, le Dieu saint, afin qu'Il garde les Siens par Sa Puissance et pour sa Gloire, et qu'ils puissent être unis dans l'affection fraternelle et les bonnes œuvres : une union similaire à celle du Père et du Fils.

      Jésus n'a pas prié pour que Ses disciples soient retranchés du monde, mais pour qu'ils puissent échapper à la vindicte publique : ils avaient en effet une grande tâche à accomplir pour la Gloire de Dieu et le bienfait de l'humanité. Jésus pria pour que le Père les garde du mal et de la corruption du monde, pour qu'ils soient purifiés de l’ancienne nature de leur cœur et libérés du pouvoir et de la ruse de Satan.

      Jésus pria pour que Ses disciples puissent traverser le monde, un véritable pays ennemi pour eux, comme Lui-même l'avait fait, car ils n’ont pas été laissés ici-bas pour atteindre les mêmes objectifs que ceux du monde qui les entoure, mais pour glorifier Dieu, et servir leur prochain.

      Pour un véritable chrétien, l'Esprit de Dieu est opposé à l'esprit du monde...

      Actes 1

      Actes 8

      Actes 20

      28 Si le Saint-Esprit a établi des serviteurs de Dieu, en tant que surveillants et bergers du troupeau (l’assemblée), ils doivent servir le Seigneur en toute confiance. De leur côté, ces ministres de l’Évangile doivent bien considérer à quel point leur Maître s’est soucié de bien constituer ce troupeau, qui est maintenant à leur charge. Christ a construit l'église avec Son propre sang. Bien qu’ayant revêtu l’apparence humaine, Il a, par ce sang, scellé de manière intime, l'union entre les deux natures : la corruptible et la divine ; c’était en fait véritablement le sang de Dieu car il provenait de Celui qui est Dieu Lui-même ! Cet état de fait a revêtu Christ d’une dignité et d’une valeur permettant de payer la rançon pour les iniquités des croyants, tout en les conduisant sur le chemin de la sanctification.

      Paul rappelle aux anciens d’Éphèse, toute l’affection et toute l’inquiétude qu’il ressentait pour eux. En fait, ils étaient soucieux pour leur avenir spirituel. L’apôtre les invite ensuite à lever les yeux vers Dieu, avec foi, il les recommande à la Parole de Sa Grâce, qui allait être, non seulement le fondement de leur espérance et la source de leur joie, mais aussi leur règle de conduite.

      Les chrétiens les plus avancés spirituellement sont vraiment capables de progresser, en se basant sur la Parole et la Grâce. Ceux qui ne se sont pas repentis de leurs fautes et ne sont donc pas sanctifiés par le Seigneur, ne peuvent être les bienvenus devant le Dieu trois fois Saint, et ne peuvent pas bénéficier des avantages célestes, à l’inverse de tous ceux qui sont nés de nouveau, et sur qui l'Image de Dieu est renouvelée, par Son pouvoir tout-puissant et par la Vérité éternelle.

      Paul recommande aux frères qu’il allait quitter, de ne pas rechercher à tout prix les attraits de ce monde ; ils devaient savoir compter sur l'aide du Seigneur pour les conduire ici-bas. En annonçant qu’il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir, l’apôtre voulait montrer que même sous une apparente difficulté de mise en pratique, cette vérité, annoncée par le Maître, était vraiment actuelle : ces paroles allaient souvent être appliquées par les disciples.

      L'opinion des « enfants de ce monde » est contraire à l’enseignement de ce dernier texte : ils ne cherchent pas à donner, sauf s'ils comptent obtenir du profit en retour ; seul l’appât du gain les motive. Christ nous annonce le bonheur qui résulte du don de soi, un bonheur excellent ! Cette attitude nous rapproche de l’image divine : Dieu donne à tous et n’a besoin de personne ; le Seigneur Jésus, est venu ici-bas pour faire le bien. Puisse cet état d’esprit, qui était en Lui, demeurer en nous également !

      Lorsque des amis se séparent, il est bon qu’ils prient ensemble. Ceux qui s'exhortent de la sorte et qui prient les uns pour les autres, peuvent connaître des moments de tristesse, mais ils doivent se réconforter par l’assurance qu’ils se rencontreront un jour devant le trône divin, pour ne plus jamais se quitter ! Quelle consolation pour ces disciples, de savoir que Christ allait d’une part accompagner Paul, tout en restant avec eux !

      1 Corinthiens 12

      1 Timothée 5

      17 On doit veiller particulièrement à la rémunération des serviteurs de Dieu. Ceux qui se donnent de tout cœur dans ce ministère sont dignes d'un double honneur et d'une haute estime. C'est leur juste rétribution, le salaire de leur travail.

      L'apôtre Paul recommande à Timothée de veiller solennellement contre toute partialité dans l’exercice de son ministère. Nous avons grand besoin de veiller, en tout temps, afin de ne pas nous mêler à ceux qui pratiquent ouvertement le péché. On pourrait ainsi paraphraser les propos de l’apôtre : « garde toi dans la pureté, garde toi non seulement d’imiter le monde, mais aussi d’approuver ceux qui pratiquent ses vanités, ou qui incitent les autres à s'y engager ».

      L'apôtre recommande aussi à Timothée de prendre soin de sa santé. Notre corps ne doit pas être notre maître, ni notre esclave, mais nous devons l’utiliser en vue de le rendre utile au service de Dieu.

      Il y a des péchés secrets, alors que d'autres s'affichent au grand jour : certains sont manifestes et n'attendent pas le Jour du Jugement, alors que d’autres ne seront découverts que plus tard. Dieu amènera à la lumière tout ce qui est caché dans les ténèbres, et fera connaître les pensées de tous.

      Attendons avec impatience le Jour du Jugement, occupons nous à pratiquer correctement nos tâches, qu’il s’agisse des plus importantes comme des moindres, faisons tout pour que le Nom et la doctrine de Dieu ne puissent jamais être ternis par notre conduite !

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