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Apocalypse 13.6

Et elle ouvrit la bouche pour blasphémer contre Dieu, pour blasphémer contre son nom et son tabernacle, et contre ceux qui habitent dans le ciel.
Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel.
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      Job 3

      1

      Job regrette d'être né. (Job 3:1-10)
      La complainte de Job. (Job 3:11-19)
      Il se plaint de la vie qu'il endure. (Job 3:20-26)

      Pendant sept jours, les amis de Job se sont assis près de lui, en silence, sans tenter de le consoler : pendant le même temps, Satan assaillait l'esprit du patriarche pour ébranler sa confiance, et pour qu'il se rebelle contre Dieu. La tolérance divine semble avoir permis toutes ces afflictions, et même celle de l'épreuve corporelle. Job était, en un certain sens, une image de Christ, dont les souffrances intérieures, à la fois au jardin de Gethsémané et sur la croix, étaient les pires qui soient ; cette affliction, en cette heure de ténèbres, était due à Satan. Toutes ces épreuves nous font comprendre la raison du changement intervenu dans la conduite de Job : de l'entière soumission initiale, à la volonté de Dieu, le patriarche montre ici et dans d'autres parties du livre, son impatience. Le croyant sait bien que les souffrances relatives à une coupe amère sont plus redoutables que les afflictions extérieures les plus acerbes ; bien qu'il sache que l'homme peut bénéficier de la douceur de l'amour et de la présence de Dieu, il ne sera pas étonné de constater que Job a prouvé qu'il était un homme comme les autres, sujet aux mêmes passions ; le chrétien se réjouira de voir Satan désappointé, devant le manque d'hypocrisie de Job ; bien que ce dernier ait maudit le jour de sa naissance, il n'a pas maudit son Dieu. Job avait, sans aucun doute, honte de ses pensées, mais nous pouvons supposer que quelle que soit son attitude, il est maintenant dans la félicité éternelle.

      Matthieu 12

      Matthieu 15

      Jean 1

      Romains 3

      Colossiens 1

      Colossiens 2

      Hébreux 9

      11 Toutes les bénédictions passées, présentes, et à venir, sont fondées sur la fonction sacerdotale de Christ ; elles nous sont octroyées par cette dernière. Notre « Souverain Sacrificateur » est entré dans le ciel une fois pour toutes, et nous a acquis le salut éternel.

      Le Saint-Esprit a d'abord signifié et révélé que les sacrifices de l'Ancien Testament ont seulement libéré l'homme de son impureté, en le rendant apte à recevoir quelques privilèges. Qu'est-ce qui a donné un tel pouvoir au sang de Christ ? Il s’agissait d’une « offrande volontaire », Celui qui, cependant, n’avait aucune culpabilité inhérente à Sa nature ou Sa vie.

      Par le sacrifice de Christ, la conscience la plus coupable est libérée des « œuvres mortes » ; celui qui est ainsi purifié peut servir le Dieu vivant ; on peut comprendre avec « les œuvres coupables », la pollution de l'âme ; ce qui peut signifier pour des Juifs, de toucher un cadavre ; la Grâce qui scelle le pardon divin fait « renaître » l'âme polluée.

      Rien ne détruit davantage la foi en l'Évangile, que tout ce qui tente d'amoindrir le véritable pouvoir du sang de Christ, versé pour nous. Nous sommes incapables de sonder la profondeur du mystère du sacrifice de Christ, ni de comprendre la « supériorité » d’un tel acte. Nous sommes incapables de nous-mêmes, d’estimer la grandeur, la sagesse, l'amour et la grâce qui résident en ce don merveilleux.

      Mais en considérant, avec piété, le sacrifice de Christ, la foi trouve la vie spirituelle, la nourriture, et le rafraîchissement !

      Hébreux 12

      Apocalypse 4

      1

      Une vision de Dieu, sur Son trône glorieux, entouré de vingt-quatre anciens et quatre êtres vivants. (Apocalypse 4:1-8)
      Les actions de grâce des saints anges, entendues par l’apôtre. (Apocalypse 4:9-11)

      Après que le Seigneur Jésus eut demandé à l'apôtre Jean d'écrire aux églises « les choses qui sont », ce dernier eut une autre vision : il vit un trône dressé dans le ciel, emblème de l'autorité universelle de l'Éternel. Il vit, assis sur ce trône, « quelqu'un » ne possédant pas des traits humains, comme si l’on voulait le décrire suivant une ressemblance ou une image, mais se caractérisant par une luminosité incomparable. Il semble que nous ayons ici, les emblèmes de l'Excellence de la nature de Dieu, et de Sa Justice redoutable.

      Autour du trône, l'arc-en-ciel est un symbole qui représente bien l’alliance de la promesse que Dieu a faite avec Christ, en tant que « Tête de l'église », avec tout Son peuple « en » Lui. La couleur dominante de cet arc était d’un agréable vert, représentant la nature rafraîchissante de la nouvelle alliance. Vingt-quatre sièges se trouvaient autour du trône, occupés par vingt-quatre anciens, représentant, probablement, toute l'église de Dieu.

      Leur position assise dénote l'honneur, le repos, et la satisfaction ; leur emplacement, proche du trône, signifie la proximité de Dieu, la vue et le plaisir qu'ils avaient d’être près de Sa Personne. Ils étaient vêtus de vêtements blancs : la justice imputée aux saints ; ils avaient sur leurs têtes des couronnes d'or, représentant la gloire qu'ils partagent avec Dieu.

      Des éclairs et des voix sortaient du trône : ils représentent les déclarations solennelles que Dieu fait à son église, selon Sa Volonté et Son bon Plaisir.

      Sept lampes ardentes brûlaient devant le trône : ce sont les dons, les grâces, et les opérations de l'Esprit de Dieu, dans les églises de Christ, dispensés selon la volonté et le plaisir de Celui qui est assis sur le trône.

      Ici-bas, au temps de l'évangile, le « bassin pour la purification » est le sang du Seigneur Jésus-Christ, qui purifie de tout péché. Dans ce bassin, tout doit être lavé, pour être admis dans la présence, pleine de Grâce, de Dieu sur terre, et dans Sa présence glorieuse dans les cieux.

      L'apôtre voyait quatre êtres vivants, entre le trône et le cercle que formaient les anciens : ils se tenaient entre Dieu et le peuple ; ces être semblent représenter les véritables « ministres » de l'évangile, par leur place, entre Dieu et le peuple. Cela se révèle également par leur description, dénotant la sagesse, le courage, l'assiduité, la discrétion, et les louanges qu’ils font monter vers le ciel.

      Apocalypse 5

      Apocalypse 7

      9 Les premiers chrétiens, véritables « fruits » de l’évangile proclamé par Christ, ayant déjà parcouru le chemin qui mène à la rédemption, furent suivis plus tard par les « Gentils », qui remercient pour leur salut, Dieu et le Rédempteur, par des louanges triomphales.

      Dans notre adoration religieuse, nous nous approchons de Dieu, et ce, par le biais de Christ ; les pécheurs ne peuvent pas s’approcher du trône de Dieu, sans la présence de ce Médiateur.

      Les personnes formant cette grande foule étaient vêtues de robes blanches, représentant la justification, la sainteté, et la victoire ; elles avaient des palmes en leurs mains, tels des conquérants triomphants.

      Une telle apparition glorieuse, des fidèles serviteurs de Dieu, se produit après qu'ils aient mené le bon combat de la foi, et terminé leur course. (2Tim 4:7)*

      Avec une voix puissante, ils offraient à Dieu et à l'Agneau, la louange inhérente à leur salut merveilleux. Ceux qui bénéficient du bonheur éternel, doivent bénir à la fois le Père et le Fils ; ils le feront publiquement, avec ferveur ! Nous voyons que ce sera notre « occupation » dans les cieux, et nous devons commencer dès maintenant à préparer nos cœurs à cet effet, et désirer habiter ce lieu, où nos louanges, comme notre félicité, seront parfaits !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte ;

      Apocalypse 11

      Apocalypse 12

      12 L'Église et tous ses fidèles pourraient bien être appelés à implorer Dieu pour qu’Il les délivre de la persécution païenne, et des épreuves qui peuvent les attendre.

      Le désert est un lieu de désolation, rempli de serpents et de scorpions, un endroit inhospitalier, dépourvu de vivres ; c’est cependant un lieu où l’on peut trouver une certaine sécurité, tant que l’on reste isolé. Mais la fuite de la femme, mentionnée dans ce texte, n'a pas pu la protéger. Le fleuve sortant de la bouche du serpent est interprété par beaucoup de lecteurs comme l’image des diverses invasions barbares, qui ont accablé l'Occident ; en effet, les païens encourageaient ces attaques, dans l'espoir de détruire le Christianisme... Mais en fait les impies, motivés par leurs divers intérêts ici-bas, protégeaient l'Église de ces différents tumultes, si bien que le renversement de ces empires n'a pas favorisé l’idolâtrie.

      Ce « fleuve » peut être aussi interprété comme une « inondation » d'erreurs, risquant de submerger et de chasser l'Église. Le diable, contrecarré dans ses mauvais desseins envers l'Église, manifesta sa rage contre ses « résidus » (verset dix-sept*).

      Restons fidèles à Dieu et à Christ, quant à la doctrine de la Parole, l'adoration et l’exercice de la piété : tout est exposé à la rage de Satan ; appliquons-nous dans cette tâche jusqu'à ce que le dernier ennemi soit détruit !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Apocalypse 13

      Apocalypse 18

      20 Les sujets de réjouissance des serviteurs de Dieu, ici-bas, sont les mêmes que ceux des anges, dans les cieux.

      Les apôtres, honorés et adorés quotidiennement de manière idolâtre, à Rome, se réjouiront de la chute de Babylone.

      L’anéantissement de cette ville n’était en réalité qu’une manifestation de la Justice divine, et du fait de cette ruine finale, « l’ennemi » n’allait plus pouvoir sévir ; cette chute était inexorable, confirmée par l’image d’un ange, jetant une meule dans la mer (versetApocalypse 18:21*).

      Sachons tirer un enseignement de tout ce qui a pu amener les autres à la destruction ; veillons à placer nos affections sur ce qui concerne les choses « d’en haut », alors que nous ne pouvons que constater la nature changeante de celles qu’on trouve ici-bas !

      * Verset ajouté par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Apocalypse 19

      1

      L'église, dans le ciel, comme sur la terre, triomphe et loue le Seigneur, pour la droiture de Ses Jugements. (Apocalypse 19:1-10)
      Une vision de Christ, partant détruire la bête et ses armées. (Apocalypse 19:11-21)

      Louer Dieu pour ce que nous avons, c'est prier pour ce qui sera encore fait pour nous !

      Dans le chant triomphant de ce texte, il y a une certaine harmonie entre les anges et les saints. Christ est « l'Époux » de son église, convoitée par ses ennemis. Cette seconde union, (par rapport à la première de la période apostolique) sera achevée dans le ciel ; mais le commencement du millénaire glorieux (par lequel est désigné le règne de Christ, ou un état de félicité, de mille ans sur terre) peut être considéré comme la célébration de son adoption sur terre : l'église de Christ, étant purifiée des erreurs, des divisions et des corruptions, en ce qui concerne la doctrine, la discipline, l'adoration, et ses différentes pratiques, sera préparée, pour être offerte au Seigneur publiquement, en tant qu’épouse, à la fois source de joie et bien-aimée !

      L'église est apparue, non pas vêtue de la robe éclatante et voyante de la « grande prostituée », mais parée de fin lin, propre et blanc : la robe de la Justice de Christ, celle de la justification, impartie pour sa sanctification.

      Les promesses de l'évangile, les véritables et saintes ordonnances de Dieu, appliquées et scellées par Son Esprit, contribuent à la célébration de ce mariage. Ceci semble se référer à la Grâce abondante et à la consolation que recevront les chrétiens lorsqu’ils connaîtront la félicité céleste à venir.

      L'apôtre Jean voulut honorer l'ange. Ce dernier refusa, afin de conduire l'apôtre vers le véritable et unique but de l'adoration religieuse : Dieu, et Lui seul. Ceci condamne clairement la pratique de ceux qui adorent les éléments de la cène (le pain et le vin), les saints, et les anges, et de ceux qui ne croient pas que Christ est vraiment et par nature, DIEU, bien qu’ils leur vouent un certain respect : toutes ces personnes sont déclarées coupables d'idolâtrie par le messager céleste du verset Apocalypse 19:10. Ce dernier annonce la véritable Parole de Dieu : « Adore Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie ».

      Apocalypse 21

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