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CHAIR

Hébr. bâsâr, grec sarx. Ce mot a, dans la Bible, une importance capitale. Pour en saisir le sens, il faut laisser de côté ce que nous enseigne la philosophie grecque sur l'anthropologie et suivre avec soin le développement de la notion de la chair sur le sol hébraïque dans l'A.T. et le N.T.

1.

La chair et le monde organique.

L'origine du mot bâsâr est obscure. Il dérive probablement d'un verbe qui parle du contact d'une surface, de l'impression produite par un frottement. D'où le substantif : apparence extérieure, forme, matière tangible, et peut-être (arabe) peau. Son premier sens dans l'A.T. est celui de substance d'un corps animal, qu'il s'agisse de l'homme ou de la bête (Ge 41:2 =sarx dans 1Co 15:39). Il s'agit de l'élément musculeux du corps (voir ce mot), des parties molles et charnues, par opposition au sang, élément noble, véhicule de la vie, et aux os, partie solide, résistante, qui demeure après la mort et la décomposition (No 19:6, Job 10:11 etc.). Déjà, dans ce sens premier, la chair apparaît comme l'élément du corps le plus limité dans ses ressources, le plus fragile et le plus périssable. Par une première extension, le mot chair est employé pour désigner le corps tout entier et, par là, la parenté par la naissance et le mariage (Ge 2:24 37:27, Ne 5:5). Parfois, dans cette acception, le mot « os » est joint au mot « chair » (Ge 2:23,2Sa 19:12).

2.

La chair et l'humanité.

Du corps humain individuel la pensée hébraïque passe au corps humain collectif, et le mot chair, par une nouvelle extension, prend le sens d'humanité. « Toute chair » veut dire « tous les hommes » (Ge 6:12, No 27:16, Job 12:10, Ps 65:3, Esa 40:6, etc.). A l'occasion, le mot chair désigne l'humanité représentée par un membre de l'espèce (Ps 5 a 5, Jer 17:5, Ge 6:3, etc.). On peut voir par ces passages, et d'autres, que lorsque le mot chair qualifie l'humanité, c'est pour faire ressortir sa faiblesse, sa caducité, sa facilité à céder aux tentations mauvaises (Ge 6:5-12 et suivant). Il y a déjà ici non pas une condamnation de la chair en elle-même, mais quelque chose qui ressemble à la « faiblesse de la chair » dont parle Paul dans Ro 6:19 et de son incapacité à s'élever aux intuitions spirituelles. L'expression « chair et sang », que l'on rencontre aussi dans les Apocryphes et souvent dans la littérature rabbinique, marque l'infirmité humaine et, dans le N.T., son incapacité à atteindre au monde de l'Esprit. « Ce n'est pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela » (Jésus dans Mt 16:17, cf. Jn 1:13, Ga 1:16,1Co 15:50, Jn 3:6). L'opposition entre la chair et l'Esprit, l'une toute faiblesse, l'autre tout-puissant, s'accuse dès l'origine de la pensée hébraïque et sous les formes les plus diverses (Esa 31:3, cf. Jer 17:5,2Ch 32:8). De ces textes ressort que la chair est avec l'homme dans le même rapport que l'Esprit avec Dieu.

3.

La chair et la personnalité.

Développant toujours sa pensée, l'Hébreu, après avoir désigné par bâsâr l'organisme vivant dans ses besoins, sa dépendance, sa corruptibilité, puis l'être humain dans sa caducité et ses limites, en arrive à donner au mot bâsâr la mission d'opposer la créature au Créateur dans ce qui constitue leur personnalité même. La chair est visible, Dieu est invisible ; la chair est limitée, Dieu est infini ; la chair est impuissante. Dieu est tout-puissant ; la chair ignore et s'égare, Dieu est toute sagesse ; la chair souffre, dépérit et meurt. Dieu est immuable, éternel. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant les conditions d'existence céleste du Créateur sont élevées au-dessus des conditions d'existence terrestre de la créature. L'homme-chair, c'est l'homme naturel ou psychique (1Co 2:14 3:1) avec son intelligence (Col 2:18), ses sentiments (Ro 8:6-7), ses passions (Ga 5:24), ses désirs poussant à l'action (Ga 5:16), sa volonté (Eph 2:3), son activité personnelle (Ga 5:19), son enveloppe matérielle = son corps (Col 2:11) ; c'est l'homme naturel envisagé dans son infériorité tragique, et son entière dépendance par rapport à Celui qui l'a créé et qui soutient sa vie (Job 34:15, Esa 40:6,8). « L'homme n'est que chair » (Ps 78:39) signifie : l'homme est une personnalité suspendue à la personnalité de Dieu qui fait vivre, qui fait mourir, qui ressuscite. Pour l'Hébreu, dire : « ma chair languit après toi » est l'équivalent de « je languis... » (Ps 63:2).

Dans le N.T., la caractéristique est la même et nous n'y relevons pas plus le dualisme platonicien que dans la Bible hébraïque. La chair, en tant qu'expression de la personnalité humaine, n'est l'objet d'aucun jugement moral défavorable. Elle est faible et bornée (Mt 26:41, Mr 14:38, Jn 8:15) et quand Paul parle de sa vie dans la chair, il ne lui reproche rien et jamais ne la condamne comme telle. C'est « dans la chair » qu'il servait Dieu comme pharisien (Ga 1:14) et que maintenant il vit pour Christ (Ga 2:20). Quand Jésus, parlant de sa chair, dit à ses disciples : « celui qui se nourrit de moi vivra par moi », Il déclare que quiconque s'assimilera sa personnalité partagera sa vie éternelle (Jn 6:57) ; et quand plus tard Pierre et l'auteur de l'épître aux Hébreux parleront des souffrances de Jésus et de son obéissance « dans la chair, aux jours de sa chair » (1Pi 4:1, Heb 5:7-9 10:20), ils donneront la preuve la plus haute que « la chair », envisagée comme l'ensemble des ressources de la personnalité humaine, est par elle-même, pourvu que l'Esprit la fortifie et l'éclairé, parfaitement propre au service intégral de Dieu. Jésus « venu en chair » (1Jn 4:2) a pu dire : « Qui m'a vu, a vu le Père » (Jn 14:9), alors qu'il avait été « semblable en toutes choses à ses frères » (Heb 2:17), « tenté comme nous en toutes choses, sans commettre aucun péché » (Heb 4:15).

4.

La chair et le péché.

Paul nous avertit que le péché s'est emparé de la chair et l'a dénaturée par le moyen d'une « transgression », d'une « violation » (Ro 5:14 et suivant) ; d'où il appert que le péché n'est pas chez lui dans là chair, et que les théologiens qui attribuent à un dualisme radical entre la chair et l'esprit (Sabatier) la croyance que la chair, organisme matériel, est le principe et le siège du péché, comparable à la hulê des Grecs (Oltramare), se trompent gravement. La façon dont l'apôtre parle des « oeuvres de la chair » (Ga 5:13,21) prouve que pour lui le péché n'est nullement relégué dans l'organisme par opposition à je ne sais quel être spirituel. La psychologie de Paul n'est pas dualiste, mais moniste. On a vu plus haut que l'homme-sarx est pour lui comme pour tous les auteurs bibliques l'homme tout entier. Les allusions qu'il a faites à la chute (Ro 5:12,21,2Co 11:3,1Ti 2:14) et l'ensemble de sa doctrine de l'Esprit (Ro 7 à Ro 8) montrent que pour lui l'homme-chair qui aurait pu se développer dans la filialité céleste et se nourrir de l'Esprit--substance divine et source d'énergie morale--s'il était resté obéissant, a perdu son orientation en se séparant de l'aliment spirituel, en sorte que, privé de l'Esprit et asservi à son infernal tentateur, il a livré son individualité tout entière aux suggestions du péché. Dès lors, pour Paul, le mot chair n'indique plus seulement la créature soumise aux conditions de l'existence terrestre (Col 2:1,5, Php 1:22,24, Ga 2:20 4:14,1Co 7:5,28, Col 1:24,2Cor 4:11), mais il désigne, dans cette dernière extension, l'homme à la fois borné dans sa nature et corrompu par sa faute, doublement isolé par sa propre faiblesse et par la réprobation divine ; l'homme perdu sans remède et envisagé dans cet état de perdition (Ro 6:19 8:3 7:6, Ga 6:8,2Co 10:3 7:1, Eph 2:1-5, Ro 6:23 8:13, 1Co 3:3,4) ; un homme négatif, si l'on peut ainsi dire, parce qu'au lieu de réaliser « dans la chair » sa destinée humaine et de couronner la création en la renouant au Créateur, il a, par sa vie « selon la chair » (Ro 8:12), déshonoré Dieu, rebroussé vers l'animalité et il est redescendu vers la poussière d'où il a été tiré. Le ch. 7 des Romains, où Paul, jugeant de son passé de pharisien avec ses lumières de chrétien, nous retrace l'infortune de l'homme-chair, incapable non seulement d'accomplir la loi spirituelle, mais d'y atteindre et même de la concevoir, est la page la plus pathétique qui ait été écrite sur l'impasse où aboutit l'évolution humaine conditionnée par la chute. « L'homme hors de Christ est en ce sens un être incomplet, manqué, qui n'achève rien et qui disparaît dans l'inconnu. » (Ch. Babut.) « Malheureux que je suis, qui me délivrera ? Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ ! En lui la loi de l'Esprit m'a affranchi... » (Ro 7:24 8:2).

5.

La chair et le salut.

Comment s'est opérée cette rentrée de l'Esprit, cette délivrance par le retour de Dieu en l'homme ? « La parole a été faite chair » (Jn 1:14). « Le Fils unique, qui est dans le sein du Père » (Jn 1:18), venu pour donner sa vie en rançon (Mt 20:28) et donné au monde par amour (Jn 3:16), s'est incarné, « afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle » (verset 16). Chair et salut : deux notions qui trouvent en Christ leur solidarité organique. Le Fils a été envoyé par le Père dans une chair semblable à notre chair de péché (Ro 8:3). C'est ici que s'accomplit et s'épuise le caractère limitatif, restrictif que la notion de la chair a toujours conservé au cours de son développement. Jésus a vécu et agi avec une nature humaine sujette à toutes les conséquences du péché de l'homme, bien qu'exempte de péché. A-t-on pesé tout ce qu'il dut trouver déjà, dans ce fait seul, de meurtrissures pour sa nature morale et de difficultés pour son action spirituelle ? Revêtir la chair a été pour le Fils de Dieu le suprême renoncement, triompher dans la chair a été pour lui la suprême victoire. La chair =personnalité humaine, réduite par le premier Adam à n'être plus qu'une « âme vivante » privée de l'Esprit, a été rendue à sa dignité primitive, à sa filialité céleste par le second Adam qui est « Esprit vivifiant » (1Co 15:45) et dont la vie dans la chair rompt la trame du mal moral qui liait au péché et à la mort l'humanité déchue (Eph 2:1,5). Toute la rédemption a donc pour fondement moral la « manifestation en chair » du Fils de Dieu (1Ti 3:16, cf. 1Jn 4:2) qui a « souffert dans la chair » (1Pi 4:1) ; ayant appris l'obéissance aux jours de sa chair dans la prière et dans les larmes (Heb 5:7 et suivant), il a « condamné le péché dans la chair » (cf. Ro 8:3 et Heb 2:14-18), inauguré une humanité nouvelle en devenant « l'auteur d'un salut éternel pour tous ceux qui lui obéissent » (Heb 5:9, cf. Heb 2:14-18) et établi une communion dans sa chair : « Je suis le pain de Vie, le pain que je donnerai pour la vie du monde, c'est ma chair... si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement » (Jn 6:51). « Parvenu à la perfection » (Heb 7:28), rien de sa chair ne devait être accessible à la corruption ; et c'est pourquoi au matin de Pâques le tombeau était vide. (cf. Ac 2:27 13:37, Ps 16:10) « Celui qui confesse Jésus-Christ venu en chair est de Dieu » (1Jn 4:2), « qui croit au Fils a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour » (Jn 6:40). « Je crois à la résurrection de la chair » (Symb. des Ap., cf. Jn 5 Jean 6).

Cet ensemble d'affirmations, qui montre l'unité de l'enseignement évangélique, met en pleine lumière l'importance de l'incarnation. Dans les théophanies de l'ancienne Alliance (voir Ange de l'Éternel), Israël n'avait fait qu'entrevoir Dieu à travers le mystère ; Jéhovah était une personnalité lointaine, redoutable, insaisissable... Par la chair du Christ, Dieu apparaît à l'humanité dans sa sainteté et dans son amour, c'est-à-dire dans ses qualités personnelles qui le rendent accessible. Ce n'est plus le Dieu caché de la métaphysique, dont les attributs nous dépassent, c'est le Dieu qui nous apparaît, se mêle à notre vie, revêt notre nature, s'offre à notre amour, d'un mot : se manifeste Père céleste en mettant sous les yeux de l'humanité déchue la filialité de Jésus. A le bien comprendre, Dieu ne pouvait se « montrer » autrement que par ce sublime détour. C'est là ce qu'à l'heure des suprêmes épanchements, le Seigneur présent en chair, dans le cénacle des apôtres, veut enseigner à Philippe lorsque, à sa question angoissée : « Montre-nous le Père et cela nous suffit », il répond : « Il y a si longtemps que je suis avec vous et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père » (Jn 14:9).

Le danger de l'Église naissante était, dans son élan d'adoration, de ne pas prendre l'humanité du Christ au sérieux ; et ce fut l'hérésie docète, la première qui mit gravement en péril la foi au Christ des Évangiles. Il est suggestif à cet égard de constater que le seul apôtre de Jésus qui ait vécu assez longtemps pour pouvoir saisir la première génération chrétienne dans son évolution théologique, ait dénoncé cette déviation redoutable et qu'il ait mis ses lecteurs en garde contre elle. L'incarnation, pour Jean, c'est tout le christianisme ; l'essence même de la religion : Qui ne confesse pas Jésus venu en chair, n'est pas de Dieu, mais il est inspiré par l'Antéchrist. (cf. 1Jn 4:2 et suivant)

Plus nous contemplons le Christ, les modalités de sa « venue en chair », et mieux s'expliquent à nous les termes : substitution, expiation, satisfaction, que la dogmatique rend parfois si rébarbatifs, si inassimilables à notre entendement et même à notre conscience. Comment ne pas les voir réalisés dans l'humanité sainte et immolée du Fils qui, pour sauver l'humanité pervertie, se lie à elle, souffre par elle, meurt pour elle, acceptant tout de l'ingratitude humaine et de la fureur satanique pour « ôter le péché du monde » ? (Jn 1:2-9) Rien ne peut non plus nous amener à comprendre la, grandeur de l'amour de Dieu comme les souffrances de Jésus dans sa chair. Le Père, dont un seul mot eût suffi pour anéantir les ennemis du Christ, accepte à cause de nous de contempler la fatigue, la déception, l'abandon, le martyre du Fils. « Dieu prouve son amour envers nous en ce que, lorsque nous n'étions que des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Ro 5:8). Enfin, les mots de conversion, de régénération, de sanctification, reçoivent, si j'ose dire, des conditions de l'humanité du Christ leur contenu moral et leur impératif catégorique. « Il n'y a pas eu de grande repentance, de repentance radicale, tragique, féconde, qui n'ait gravité autour de la croix comme autour de son axe. » (Ch. Secrétan). Puisque la chair sainte a existé, et qu'elle a existé à ce prix, pour un tel dessein, elle est l'appel à notre conscience, elle lui dicte les conditions de notre retour à la filialité divine. Le devoir du racheté du Christ est de reproduire dans sa vie les qualités du Fils de l'Homme. L'incarnation de Dieu en Christ doit se poursuivre en nous. Aucune orthodoxie théologique, aucune cérémonie cultuelle ne vaut, tant que « dans notre chair » nous ne sommes pas les imitateurs du Christ. (cf. Ro 12:1)

Si les grands conciles des premiers siècles, au lieu de se laisser enivrer par la métaphysique grecque et de discuter passionnément sur le mode de la divinité du Christ « hypostase incréée au sein de la substance éternelle », s'étaient appliqués à tirer de l'incarnation du Verbe les leçons qu'elle contient, l'histoire ecclésiastique n'aurait pas eu à enregistrer des procès parfois plus retentissants qu'édifiants, et les chrétiens, ramenés au devoir pratique par l'humanité du Christ, auraient maintenu l'Église sur le terrain moral du Royaume de Dieu. Alex. W.

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      24 עַל־כֵּן֙ יַֽעֲזָב־אִ֔ישׁ אֶת־אָבִ֖יו וְאֶת־אִמּ֑וֹ וְדָבַ֣ק בְּאִשְׁתּ֔וֹ וְהָי֖וּ לְבָשָׂ֥ר אֶחָֽד׃

      Genèse 6

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      5 וַיַּ֣רְא יְהוָ֔ה כִּ֥י רַבָּ֛ה רָעַ֥ת הָאָדָ֖ם בָּאָ֑רֶץ וְכָל־יֵ֙צֶר֙ מַחְשְׁבֹ֣ת לִבּ֔וֹ רַ֥ק רַ֖ע כָּל־הַיּֽוֹם׃
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      8 וְנֹ֕חַ מָ֥צָא חֵ֖ן בְּעֵינֵ֥י יְהוָֽה׃
      9 אֵ֚לֶּה תּוֹלְדֹ֣ת נֹ֔חַ נֹ֗חַ אִ֥ישׁ צַדִּ֛יק תָּמִ֥ים הָיָ֖ה בְּדֹֽרֹתָ֑יו אֶת־הָֽאֱלֹהִ֖ים הִֽתְהַלֶּךְ־נֹֽחַ׃
      10 וַיּ֥וֹלֶד נֹ֖חַ שְׁלֹשָׁ֣ה בָנִ֑ים אֶת־שֵׁ֖ם אֶת־חָ֥ם וְאֶת־יָֽפֶת׃
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      18 וְאִ֣ם הֵאָכֹ֣ל יֵ֠אָכֵל מִבְּשַׂר־זֶ֨בַח שְׁלָמָ֜יו בַּיּ֣וֹם הַשְּׁלִישִׁי֮ לֹ֣א יֵרָצֶה֒ הַמַּקְרִ֣יב אֹת֗וֹ לֹ֧א יֵחָשֵׁ֛ב ל֖וֹ פִּגּ֣וּל יִהְיֶ֑ה וְהַנֶּ֛פֶשׁ הָאֹכֶ֥לֶת מִמֶּ֖נּוּ עֲוֺנָ֥הּ תִּשָּֽׂא׃
      19 וְהַבָּשָׂ֞ר אֲשֶׁר־יִגַּ֤ע בְּכָל־טָמֵא֙ לֹ֣א יֵֽאָכֵ֔ל בָּאֵ֖שׁ יִשָּׂרֵ֑ף וְהַ֨בָּשָׂ֔ר כָּל־טָה֖וֹר יֹאכַ֥ל בָּשָֽׂר׃
      20 וְהַנֶּ֜פֶשׁ אֲשֶׁר־תֹּאכַ֣ל בָּשָׂ֗ר מִזֶּ֤בַח הַשְּׁלָמִים֙ אֲשֶׁ֣ר לַיהוָ֔ה וְטֻמְאָת֖וֹ עָלָ֑יו וְנִכְרְתָ֛ה הַנֶּ֥פֶשׁ הַהִ֖וא מֵעַמֶּֽיהָ׃
      21 וְנֶ֜פֶשׁ כִּֽי־תִגַּ֣ע בְּכָל־טָמֵ֗א בְּטֻמְאַ֤ת אָדָם֙ א֣וֹ ׀ בִּבְהֵמָ֣ה טְמֵאָ֗ה א֚וֹ בְּכָל־שֶׁ֣קֶץ טָמֵ֔א וְאָכַ֛ל מִבְּשַׂר־זֶ֥בַח הַשְּׁלָמִ֖ים אֲשֶׁ֣ר לַיהוָ֑ה וְנִכְרְתָ֛ה הַנֶּ֥פֶשׁ הַהִ֖וא מֵעַמֶּֽיהָ׃
      22 וַיְדַבֵּ֥ר יְהוָ֖ה אֶל־מֹשֶׁ֥ה לֵּאמֹֽר׃
      23 דַּבֵּ֛ר אֶל־בְּנֵ֥י יִשְׂרָאֵ֖ל לֵאמֹ֑ר כָּל־חֵ֜לֶב שׁ֥וֹר וְכֶ֛שֶׂב וָעֵ֖ז לֹ֥א תֹאכֵֽלוּ׃
      24 וְחֵ֤לֶב נְבֵלָה֙ וְחֵ֣לֶב טְרֵפָ֔ה יֵעָשֶׂ֖ה לְכָל־מְלָאכָ֑ה וְאָכֹ֖ל לֹ֥א תֹאכְלֻֽהוּ׃
      25 כִּ֚י כָּל־אֹכֵ֣ל חֵ֔לֶב מִן־הַ֨בְּהֵמָ֔ה אֲשֶׁ֨ר יַקְרִ֥יב מִמֶּ֛נָּה אִשֶּׁ֖ה לַיהוָ֑ה וְנִכְרְתָ֛ה הַנֶּ֥פֶשׁ הָאֹכֶ֖לֶת מֵֽעַמֶּֽיהָ׃
      26 וְכָל־דָּם֙ לֹ֣א תֹאכְל֔וּ בְּכֹ֖ל מוֹשְׁבֹתֵיכֶ֑ם לָע֖וֹף וְלַבְּהֵמָֽה׃
      27 כָּל־נֶ֖פֶשׁ אֲשֶׁר־תֹּאכַ֣ל כָּל־דָּ֑ם וְנִכְרְתָ֛ה הַנֶּ֥פֶשׁ הַהִ֖וא מֵֽעַמֶּֽיהָ׃
      28 וַיְדַבֵּ֥ר יְהוָ֖ה אֶל־מֹשֶׁ֥ה לֵּאמֹֽר׃
      29 דַּבֵּ֛ר אֶל־בְּנֵ֥י יִשְׂרָאֵ֖ל לֵאמֹ֑ר הַמַּקְרִ֞יב אֶת־זֶ֤בַח שְׁלָמָיו֙ לַיהוָ֔ה יָבִ֧יא אֶת־קָרְבָּנ֛וֹ לַיהוָ֖ה מִזֶּ֥בַח שְׁלָמָֽיו׃
      30 יָדָ֣יו תְּבִיאֶ֔ינָה אֵ֖ת אִשֵּׁ֣י יְהוָ֑ה אֶת־הַחֵ֤לֶב עַל־הֶֽחָזֶה֙ יְבִיאֶ֔נּוּ אֵ֣ת הֶחָזֶ֗ה לְהָנִ֥יף אֹת֛וֹ תְּנוּפָ֖ה לִפְנֵ֥י יְהוָֽה׃
      31 וְהִקְטִ֧יר הַכֹּהֵ֛ן אֶת־הַחֵ֖לֶב הַמִּזְבֵּ֑חָה וְהָיָה֙ הֶֽחָזֶ֔ה לְאַהֲרֹ֖ן וּלְבָנָֽיו׃
      32 וְאֵת֙ שׁ֣וֹק הַיָּמִ֔ין תִּתְּנ֥וּ תְרוּמָ֖ה לַכֹּהֵ֑ן מִזִּבְחֵ֖י שַׁלְמֵיכֶֽם׃
      33 הַמַּקְרִ֞יב אֶת־דַּ֧ם הַשְּׁלָמִ֛ים וְאֶת־הַחֵ֖לֶב מִבְּנֵ֣י אַהֲרֹ֑ן ל֧וֹ תִהְיֶ֛ה שׁ֥וֹק הַיָּמִ֖ין לְמָנָֽה׃
      34 כִּי֩ אֶת־חֲזֵ֨ה הַתְּנוּפָ֜ה וְאֵ֣ת ׀ שׁ֣וֹק הַתְּרוּמָ֗ה לָקַ֙חְתִּי֙ מֵאֵ֣ת בְּנֵֽי־יִשְׂרָאֵ֔ל מִזִּבְחֵ֖י שַׁלְמֵיהֶ֑ם וָאֶתֵּ֣ן אֹ֠תָם לְאַהֲרֹ֨ן הַכֹּהֵ֤ן וּלְבָנָיו֙ לְחָק־עוֹלָ֔ם מֵאֵ֖ת בְּנֵ֥י יִשְׂרָאֵֽל׃
      35 זֹ֣את מִשְׁחַ֤ת אַהֲרֹן֙ וּמִשְׁחַ֣ת בָּנָ֔יו מֵאִשֵּׁ֖י יְהוָ֑ה בְּיוֹם֙ הִקְרִ֣יב אֹתָ֔ם לְכַהֵ֖ן לַיהוָֽה׃
      36 אֲשֶׁר֩ צִוָּ֨ה יְהוָ֜ה לָתֵ֣ת לָהֶ֗ם בְּיוֹם֙ מָשְׁח֣וֹ אֹתָ֔ם מֵאֵ֖ת בְּנֵ֣י יִשְׂרָאֵ֑ל חֻקַּ֥ת עוֹלָ֖ם לְדֹרֹתָֽם׃
      37 זֹ֣את הַתּוֹרָ֗ה לָֽעֹלָה֙ לַמִּנְחָ֔ה וְלַֽחַטָּ֖את וְלָאָשָׁ֑ם וְלַ֨מִּלּוּאִ֔ים וּלְזֶ֖בַח הַשְּׁלָמִֽים׃
      38 אֲשֶׁ֨ר צִוָּ֧ה יְהוָ֛ה אֶת־מֹשֶׁ֖ה בְּהַ֣ר סִינָ֑י בְּי֨וֹם צַוֺּת֜וֹ אֶת־בְּנֵ֣י יִשְׂרָאֵ֗ל לְהַקְרִ֧יב אֶת־קָרְבְּנֵיהֶ֛ם לַיהוָ֖ה בְּמִדְבַּ֥ר סִינָֽי׃

      Nombres 19

      6 וְלָקַ֣ח הַכֹּהֵ֗ן עֵ֥ץ אֶ֛רֶז וְאֵז֖וֹב וּשְׁנִ֣י תוֹלָ֑עַת וְהִשְׁלִ֕יךְ אֶל־תּ֖וֹךְ שְׂרֵפַ֥ת הַפָּרָֽה׃

      Nombres 27

      16 יִפְקֹ֣ד יְהוָ֔ה אֱלֹהֵ֥י הָרוּחֹ֖ת לְכָל־בָּשָׂ֑ר אִ֖ישׁ עַל־הָעֵדָֽה׃

      2 Samuel 19

      12 וְהַמֶּ֣לֶךְ דָּוִ֗ד שָׁ֠לַח אֶל־צָד֨וֹק וְאֶל־אֶבְיָתָ֥ר הַכֹּהֲנִים֮ לֵאמֹר֒ דַּבְּר֞וּ אֶל־זִקְנֵ֤י יְהוּדָה֙ לֵאמֹ֔ר לָ֤מָּה תִֽהְיוּ֙ אַֽחֲרֹנִ֔ים לְהָשִׁ֥יב אֶת־הַמֶּ֖לֶךְ אֶל־בֵּית֑וֹ וּדְבַר֙ כָּל־יִשְׂרָאֵ֔ל בָּ֥א אֶל־הַמֶּ֖לֶךְ אֶל־בֵּיתֽוֹ׃

      2 Chroniques 32

      8 עִמּוֹ֙ זְר֣וֹעַ בָּשָׂ֔ר וְעִמָּ֜נוּ יְהוָ֤ה אֱלֹהֵ֙ינוּ֙ לְעָזְרֵ֔נוּ וּלְהִלָּחֵ֖ם מִלְחֲמֹתֵ֑נוּ וַיִּסָּמְכ֣וּ הָעָ֔ם עַל־דִּבְרֵ֖י יְחִזְקִיָּ֥הוּ מֶֽלֶךְ־יְהוּדָֽה׃

      Néhémie 5

      5 וְעַתָּ֗ה כִּבְשַׂ֤ר אַחֵ֙ינוּ֙ בְּשָׂרֵ֔נוּ כִּבְנֵיהֶ֖ם בָּנֵ֑ינוּ וְהִנֵּ֣ה אֲנַ֣חְנוּ כֹ֠בְשִׁים אֶת־בָּנֵ֨ינוּ וְאֶת־בְּנֹתֵ֜ינוּ לַעֲבָדִ֗ים וְיֵ֨שׁ מִבְּנֹתֵ֤ינוּ נִכְבָּשׁוֹת֙ וְאֵ֣ין לְאֵ֣ל יָדֵ֔נוּ וּשְׂדֹתֵ֥ינוּ וּכְרָמֵ֖ינוּ לַאֲחֵרִֽים׃

      Job 10

      11 ע֣וֹר וּ֭בָשָׂר תַּלְבִּישֵׁ֑נִי וּֽבַעֲצָמ֥וֹת וְ֝גִידִ֗ים תְּסֹכְכֵֽנִי׃

      Job 12

      10 אֲשֶׁ֣ר בְּ֭יָדוֹ נֶ֣פֶשׁ כָּל־חָ֑י וְ֝ר֗וּחַ כָּל־בְּשַׂר־אִֽישׁ׃

      Job 34

      15 יִגְוַ֣ע כָּל־בָּשָׂ֣ר יָ֑חַד וְ֝אָדָ֗ם עַל־עָפָ֥ר יָשֽׁוּב׃

      Psaumes 5

      1 לַמְנַצֵּ֥חַ אֶֽל־הַנְּחִיל֗וֹת מִזְמ֥וֹר לְדָוִֽד׃
      2 אֲמָרַ֖י הַאֲזִ֥ינָה ׀ יְהוָ֗ה בִּ֣ינָה הֲגִֽיגִי׃
      3 הַקְשִׁ֤יבָה ׀ לְק֬וֹל שַׁוְעִ֗י מַלְכִּ֥י וֵאלֹהָ֑י כִּֽי־אֵ֝לֶ֗יךָ אֶתְפַּלָּֽל׃
      4 יְֽהוָ֗ה בֹּ֭קֶר תִּשְׁמַ֣ע קוֹלִ֑י בֹּ֥קֶר אֶֽעֱרָךְ־לְ֝ךָ֗ וַאֲצַפֶּֽה׃
      5 כִּ֤י ׀ לֹ֤א אֵֽל־חָפֵ֘ץ רֶ֥שַׁע ׀ אָ֑תָּה לֹ֖א יְגֻרְךָ֣ רָֽע׃
      6 לֹֽא־יִתְיַצְּב֣וּ הֽ֭וֹלְלִים לְנֶ֣גֶד עֵינֶ֑יךָ שָׂ֝נֵ֗אתָ כָּל־פֹּ֥עֲלֵי אָֽוֶן׃
      7 תְּאַבֵּד֮ דֹּבְרֵ֪י כָ֫זָ֥ב אִישׁ־דָּמִ֥ים וּמִרְמָ֗ה יְתָ֘עֵ֥ב ׀ יְהוָֽה׃
      8 וַאֲנִ֗י בְּרֹ֣ב חַ֭סְדְּךָ אָב֣וֹא בֵיתֶ֑ךָ אֶשְׁתַּחֲוֶ֥ה אֶל־הֵֽיכַל־קָ֝דְשְׁךָ֗ בְּיִרְאָתֶֽךָ׃
      9 יְהוָ֤ה ׀ נְחֵ֬נִי בְצִדְקָתֶ֗ךָ לְמַ֥עַן שׁוֹרְרָ֑י *הושר **הַיְשַׁ֖ר לְפָנַ֣י דַּרְכֶּֽךָ׃
      10 כִּ֤י אֵ֪ין בְּפִ֡יהוּ נְכוֹנָה֮ קִרְבָּ֪ם הַ֫וּ֥וֹת קֶֽבֶר־פָּת֥וּחַ גְּרוֹנָ֑ם לְ֝שׁוֹנָ֗ם יַחֲלִֽיקוּן׃
      11 הַֽאֲשִׁימֵ֨ם ׀ אֱ‍ֽלֹהִ֗ים יִפְּלוּ֮ מִֽמֹּעֲצ֪וֹתֵ֫יהֶ֥ם בְּרֹ֣ב פִּ֭שְׁעֵיהֶם הַדִּיחֵ֑מוֹ כִּי־מָ֥רוּ בָֽךְ׃
      12 וְיִשְׂמְח֨וּ כָל־ח֪וֹסֵי בָ֡ךְ לְעוֹלָ֣ם יְ֭רַנֵּנוּ וְתָסֵ֣ךְ עָלֵ֑ימוֹ וְֽיַעְלְצ֥וּ בְ֝ךָ֗ אֹהֲבֵ֥י שְׁמֶֽךָ׃

      Psaumes 16

      10 כִּ֤י ׀ לֹא־תַעֲזֹ֣ב נַפְשִׁ֣י לִשְׁא֑וֹל לֹֽא־תִתֵּ֥ן חֲ֝סִידְךָ֗ לִרְא֥וֹת שָֽׁחַת׃

      Psaumes 63

      2 אֱלֹהִ֤ים ׀ אֵלִ֥י אַתָּ֗ה אֲ‍ֽשַׁחֲ֫רֶ֥ךָּ צָמְאָ֬ה לְךָ֨ ׀ נַפְשִׁ֗י כָּמַ֣הּ לְךָ֣ בְשָׂרִ֑י בְּאֶֽרֶץ־צִיָּ֖ה וְעָיֵ֣ף בְּלִי־מָֽיִם׃

      Psaumes 65

      3 שֹׁמֵ֥עַ תְּפִלָּ֑ה עָ֝דֶ֗יךָ כָּל־בָּשָׂ֥ר יָבֹֽאוּ׃

      Psaumes 78

      39 וַ֭יִּזְכֹּר כִּי־בָשָׂ֣ר הֵ֑מָּה ר֥וּחַ ה֝וֹלֵ֗ךְ וְלֹ֣א יָשֽׁוּב׃

      Esaïe 31

      3 וּמִצְרַ֤יִם אָדָם֙ וְֽלֹא־אֵ֔ל וְסוּסֵיהֶ֥ם בָּשָׂ֖ר וְלֹא־ר֑וּחַ וַֽיהוָ֞ה יַטֶּ֣ה יָד֗וֹ וְכָשַׁ֤ל עוֹזֵר֙ וְנָפַ֣ל עָזֻ֔ר וְיַחְדָּ֖ו כֻּלָּ֥ם יִכְלָיֽוּן׃

      Esaïe 40

      6 ק֚וֹל אֹמֵ֣ר קְרָ֔א וְאָמַ֖ר מָ֣ה אֶקְרָ֑א כָּל־הַבָּשָׂ֣ר חָצִ֔יר וְכָל־חַסְדּ֖וֹ כְּצִ֥יץ הַשָּׂדֶֽה׃
      8 יָבֵ֥שׁ חָצִ֖יר נָ֣בֵֽל צִ֑יץ וּדְבַר־אֱלֹהֵ֖ינוּ יָק֥וּם לְעוֹלָֽם׃

      Jérémie 17

      5 כֹּ֣ה ׀ אָמַ֣ר יְהוָ֗ה אָר֤וּר הַגֶּ֙בֶר֙ אֲשֶׁ֣ר יִבְטַ֣ח בָּֽאָדָ֔ם וְשָׂ֥ם בָּשָׂ֖ר זְרֹע֑וֹ וּמִן־יְהוָ֖ה יָס֥וּר לִבּֽוֹ׃

      Matthieu 16

      17 ἀποκριθεὶς δὲ ὁ Ἰησοῦς εἶπεν αὐτῷ· Μακάριος εἶ, Σίμων Βαριωνᾶ, ὅτι σὰρξ καὶ αἷμα οὐκ ἀπεκάλυψέν σοι ἀλλ’ ὁ πατήρ μου ὁ ἐν τοῖς οὐρανοῖς·

      Matthieu 20

      28 ὥσπερ ὁ υἱὸς τοῦ ἀνθρώπου οὐκ ἦλθεν διακονηθῆναι ἀλλὰ διακονῆσαι καὶ δοῦναι τὴν ψυχὴν αὐτοῦ λύτρον ἀντὶ πολλῶν.

      Matthieu 26

      41 γρηγορεῖτε καὶ προσεύχεσθε, ἵνα μὴ εἰσέλθητε εἰς πειρασμόν· τὸ μὲν πνεῦμα πρόθυμον ἡ δὲ σὰρξ ἀσθενής.

      Marc 14

      38 γρηγορεῖτε καὶ προσεύχεσθε, ἵνα μὴ ἔλθητε εἰς πειρασμόν· τὸ μὲν πνεῦμα πρόθυμον ἡ δὲ σὰρξ ἀσθενής.

      Jean 1

      2 οὗτος ἦν ἐν ἀρχῇ πρὸς τὸν θεόν.
      3 πάντα δι’ αὐτοῦ ἐγένετο, καὶ χωρὶς αὐτοῦ ἐγένετο οὐδὲ ἕν. ὃ γέγονεν
      4 ἐν αὐτῷ ζωὴ ἦν, καὶ ἡ ζωὴ ἦν τὸ φῶς τῶν ἀνθρώπων·
      5 καὶ τὸ φῶς ἐν τῇ σκοτίᾳ φαίνει, καὶ ἡ σκοτία αὐτὸ οὐ κατέλαβεν.
      6 Ἐγένετο ἄνθρωπος ἀπεσταλμένος παρὰ θεοῦ, ὄνομα αὐτῷ Ἰωάννης·
      7 οὗτος ἦλθεν εἰς μαρτυρίαν, ἵνα μαρτυρήσῃ περὶ τοῦ φωτός, ἵνα πάντες πιστεύσωσιν δι’ αὐτοῦ.
      8 οὐκ ἦν ἐκεῖνος τὸ φῶς, ἀλλ’ ἵνα μαρτυρήσῃ περὶ τοῦ φωτός.
      9 ἦν τὸ φῶς τὸ ἀληθινὸν ὃ φωτίζει πάντα ἄνθρωπον ἐρχόμενον εἰς τὸν κόσμον.
      13 οἳ οὐκ ἐξ αἱμάτων οὐδὲ ἐκ θελήματος σαρκὸς οὐδὲ ἐκ θελήματος ἀνδρὸς ἀλλ’ ἐκ θεοῦ ἐγεννήθησαν.
      14 Καὶ ὁ λόγος σὰρξ ἐγένετο καὶ ἐσκήνωσεν ἐν ἡμῖν, καὶ ἐθεασάμεθα τὴν δόξαν αὐτοῦ, δόξαν ὡς μονογενοῦς παρὰ πατρός, πλήρης χάριτος καὶ ἀληθείας·
      18 θεὸν οὐδεὶς ἑώρακεν πώποτε· μονογενὴς θεὸς ὁ ὢν εἰς τὸν κόλπον τοῦ πατρὸς ἐκεῖνος ἐξηγήσατο.

      Jean 3

      6 τὸ γεγεννημένον ἐκ τῆς σαρκὸς σάρξ ἐστιν, καὶ τὸ γεγεννημένον ἐκ τοῦ πνεύματος πνεῦμά ἐστιν.
      16 Οὕτως γὰρ ἠγάπησεν ὁ θεὸς τὸν κόσμον ὥστε τὸν υἱὸν τὸν μονογενῆ ἔδωκεν, ἵνα πᾶς ὁ πιστεύων εἰς αὐτὸν μὴ ἀπόληται ἀλλὰ ἔχῃ ζωὴν αἰώνιον.

      Jean 4

      2 καίτοιγε Ἰησοῦς αὐτὸς οὐκ ἐβάπτιζεν ἀλλ’ οἱ μαθηταὶ αὐτοῦ—

      Jean 5

      1 Μετὰ ταῦτα ἦν ἑορτὴ τῶν Ἰουδαίων, καὶ ἀνέβη Ἰησοῦς εἰς Ἱεροσόλυμα.
      2 ἔστιν δὲ ἐν τοῖς Ἱεροσολύμοις ἐπὶ τῇ προβατικῇ κολυμβήθρα ἡ ἐπιλεγομένη Ἑβραϊστὶ Βηθεσδά, πέντε στοὰς ἔχουσα·
      3 ἐν ταύταις κατέκειτο πλῆθος τῶν ἀσθενούντων, τυφλῶν, χωλῶν, ξηρῶν.
    • Genèse 2

      23 Alors l’homme dit : « Cette fois, voici quelqu’un comme moi ! Elle tient vraiment de moi par tout son corps. On l’appellera femme de l’homme, parce qu’elle vient de l’homme. »
      24 C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère pour vivre avec sa femme. Et les deux deviendront comme une seule personne.

      Genèse 6

      3 Alors le SEIGNEUR se dit : « Le souffle de vie que j’ai donné aux êtres humains ne restera pas toujours en eux. En effet, ils vont mourir un jour. À partir de maintenant, ils ne vivront pas plus de 120 ans. »
      5 Le SEIGNEUR voit que sur la terre, les êtres humains sont de plus en plus méchants. Et toute la journée, dans leur cœur, ils ne pensent qu’à faire le mal.
      6 Le SEIGNEUR regrette d’avoir fait les humains sur la terre, et son cœur est rempli de tristesse.
      7 Le SEIGNEUR se dit : « Je vais faire disparaître de la terre les humains que j’ai créés, les grands animaux, les petites bêtes, et même les oiseaux. Vraiment, je regrette de les avoir faits. »
      8 Mais le SEIGNEUR se montre bon pour Noé.
      9 Voici l’histoire de Noé. Noé est le père de trois fils : Sem, Cham et Japhet. Parmi les hommes de son époque, Noé est un homme juste, il fait ce qui plaît à Dieu. Il suit le chemin de Dieu.
      11 Mais aux yeux de Dieu, les habitants de la terre sont pourris : le monde est rempli de violence.
      12 Dieu regarde la terre. Il voit qu’elle est pourrie. En effet, tous les habitants se conduisent très mal.

      Genèse 37

      27 Il vaut mieux le vendre aux Ismaélites. Mais ne touchons pas à sa vie ! C’est notre frère. Il est de même sang que nous. » Les frères de Juda sont d’accord avec lui.

      Genèse 41

      2 Il voit sept belles vaches bien grosses qui sortent du Nil. Elles se mettent à manger l’herbe de cet endroit.

      Lévitique 7

      1 « Voici les règles pour le sacrifice de réparation : C’est une offrande uniquement réservée au SEIGNEUR.
      2 On doit égorger l’animal là où on égorge les animaux offerts en sacrifices complets. Puis le prêtre verse le sang sur tous les côtés de l’autel.
      3 Il présente au SEIGNEUR toutes les parties grasses : la queue, la graisse qui entoure les intestins et l’estomac,
      4 les deux reins avec la graisse qui les enveloppe et qui tient aux côtés de l’animal, enfin, la meilleure partie du foie. On l’enlève avec les reins.
      5 Ensuite, le prêtre brûle tout cela sur l’autel. C’est de la nourriture brûlée pour le SEIGNEUR. Voilà le sacrifice de réparation.
      6 Seuls les hommes appartenant aux familles de prêtres peuvent manger cette viande. Ils doivent la manger dans un endroit réservé à cela, parce qu’elle est uniquement réservée au SEIGNEUR.
      7 Les règles du sacrifice de réparation sont les mêmes que celles du sacrifice pour recevoir le pardon des péchés. La viande de l’animal offert est pour le prêtre qui a fait la cérémonie du pardon. »
      8 « Quand quelqu’un offre un sacrifice complet, la peau de l’animal est pour le prêtre qui a fait la cérémonie.
      9 Les offrandes des produits de la terre cuites au four, dans une poêle ou sur une plaque sont aussi pour le prêtre qui a fait la cérémonie.
      10 Mais les offrandes qui ne sont pas cuites, préparées avec de l’huile ou sans huile, sont pour tous les fils d’Aaron. Chacun reçoit la même part. »
      11 « Voici les règles pour le sacrifice de communion offert au SEIGNEUR :
      12 Si quelqu’un offre un sacrifice de communion pour accompagner un chant de louange, il apporte, en plus de l’animal, des gâteaux à l’huile cuits sans levain, des galettes sans levain arrosées d’huile, et des gâteaux faits de farine mélangée avec de l’huile.
      13 Il apporte aussi une offrande de pain préparé avec du levain, pour accompagner un sacrifice de louange.
      14 Il prend une part de chaque offrande et la présente au SEIGNEUR. Ces parts sont pour le prêtre qui a versé le sang de l’animal sur les côtés de l’autel.
      15 Mais la viande de l’animal offert en sacrifice de louange, on doit la manger le jour même. On ne doit rien garder pour le jour suivant.
      16 « Quelqu’un peut offrir un sacrifice de communion, de façon spontanée ou pour réaliser un vœu. Dans ce cas, on mange une partie de la viande le jour même du sacrifice, et la partie qui reste, on la mange le jour suivant.
      17 S’il reste encore de la viande le troisième jour, on doit la jeter au feu.
      18 Si quelqu’un mange quand même de la viande venant de son sacrifice le troisième jour, Dieu n’accepte pas son offrande. Son sacrifice ne compte pas. En effet, c’est de la viande qui ne convient plus. Et celui qui en mange devient coupable d’une faute.
      19 De plus, si la viande a touché quelque chose d’impur, on ne doit pas la manger, mais la jeter au feu. « Il faut être pur pour manger la viande du sacrifice.
      20 Supposons ceci : Quelqu’un n’est pas pur, et il mange de la viande d’un sacrifice de communion offert au SEIGNEUR. On chassera cette personne-là de la communauté d’Israël.
      21 Ou encore : Quelqu’un touche une personne impure, un animal impur ou n’importe quoi d’impur, et il mange de la viande d’un sacrifice de communion offert au SEIGNEUR. On chassera cette personne-là de la communauté d’Israël. »
      22 Le SEIGNEUR dit à Moïse
      23 de donner aux Israélites les règles suivantes : « Vous ne devez jamais manger aucun morceau gras d’un animal, bœuf, mouton ou chèvre.
      24 La graisse d’une bête morte naturellement, ou tuée par des animaux sauvages, vous ne devez pas en manger, mais vous pouvez l’utiliser pour autre chose.
      25 Supposons ceci : Quelqu’un mange un morceau gras d’un animal qui doit être brûlé en sacrifice pour le SEIGNEUR. On chassera cette personne-là de la communauté d’Israël.
      26 Vous ne devez jamais manger le sang d’un oiseau ou d’un autre animal, partout où vous habiterez.
      27 Si une personne mange du sang, on la chassera de la communauté d’Israël. »
      28 Le SEIGNEUR dit à Moïse
      29 de donner encore aux Israélites les règles suivantes : « Quand quelqu’un offre un sacrifice de communion, il apporte au SEIGNEUR la part qui est pour lui.
      30 Il apporte lui-même ce qui est réservé pour le SEIGNEUR, c’est-à-dire les morceaux gras et la poitrine de l’animal. Il doit offrir la poitrine au SEIGNEUR, avec le geste de présentation.
      31 Alors le prêtre brûle les morceaux gras sur l’autel. Mais la poitrine est pour Aaron et ses fils.
      32 Vous devez aussi prendre la cuisse droite de l’animal offert, et vous la donnerez au prêtre.
      33 La cuisse droite est la part du fils d’Aaron qui présente à l’autel le sang et les morceaux gras de l’animal.
      34 Voici en effet ce que le SEIGNEUR lui-même vous commande, à vous les Israélites : Vous devez mettre de côté la poitrine et la cuisse des animaux offerts en sacrifice de communion. Vous devez les donner au prêtre Aaron et aux fils de ses fils : ces morceaux-là leur sont réservés pour toujours. »
      35 Voilà les parts d’Aaron et de ses fils prises sur les sacrifices brûlés pour le SEIGNEUR. Elles sont pour eux à partir du jour où ils deviennent prêtres au service du SEIGNEUR.
      36 Le SEIGNEUR a commandé aux Israélites de leur donner ces parts le jour où il les a consacrés en versant de l’huile sur eux. C’est une règle pour toujours. Vous la respecterez de génération en génération.
      37 Voilà les règles pour les sacrifices complets, les offrandes des produits de la terre, les sacrifices pour recevoir le pardon, les sacrifices de réparation, les sacrifices offerts le jour où les prêtres commencent leur service et les sacrifices de communion.
      38 Le SEIGNEUR a donné ces règles à Moïse dans le désert, sur le mont Sinaï, le jour où il a commandé aux Israélites d’apporter leurs offrandes.

      Nombres 19

      6 Le prêtre prendra du bois de cèdre, une branche d’hysope et de la laine rouge foncé. Il jettera tout cela dans le feu où la vache est en train de brûler.

      Nombres 27

      16 « SEIGNEUR Dieu, toi qui donnes la vie à tous ceux que tu crées, donne un autre chef à la communauté.

      2 Samuel 19

      12 De son côté, le roi David envoie dire aux prêtres Sadoc et Abiatar : « Parlez aux anciens de Juda et dites-leur : “Le roi connaît les intentions des gens d’Israël. Ne soyez pas les derniers à faire revenir le roi chez lui.

      2 Chroniques 32

      8 Avec lui, il n’y a que des forces humaines, mais avec nous, il y a le SEIGNEUR notre Dieu. Il nous aidera et combattra avec nous. » Ces paroles d’Ézékias, roi de Juda, encouragent les habitants de Jérusalem.

      Néhémie 5

      5 Pourtant, nous sommes tous un même peuple, et nos enfants sont tous pareils. Mais nous devons livrer nos fils et nos filles à l’esclavage, et certaines de nos filles sont déjà des esclaves. Nous ne pouvons pas faire autrement. En effet, nous avons déjà vendu nos champs et nos vignes. »

      Job 10

      11 Tu m’as couvert de muscles et de peau, tu m’as tissé d’os et de nerfs.

      Job 12

      10 C’est lui qui tient en son pouvoir la vie de tous les êtres vivants, le souffle de tous les humains.

      Job 34

      15 les êtres vivants mourraient tous en même temps, et les humains redeviendraient de la poussière.

      Psaumes 5

      1 Psaume de David, pris dans le livre du chef de chorale. Avec des flûtes.
      2 SEIGNEUR, écoute ce que je dis, comprends ma plainte.
      3 Mon Dieu et mon Roi, sois attentif quand je fais appel à toi. SEIGNEUR, c’est toi que je prie.
      4 Le matin, tu entends ma voix, le matin, je me prépare pour toi et j’attends.
      5 Toi, tu n’es pas un dieu qui aime le mal, l’homme méchant n’est pas reçu chez toi.
      6 Non, les orgueilleux ne peuvent pas se présenter devant toi. Tu as horreur de tous ceux qui font du mal,
      7 tu fais mourir les menteurs. SEIGNEUR, tu détestes l’assassin et le voleur.
      8 Mais moi, grâce à ton amour, je peux entrer dans ta maison. Avec grand respect, je me mets à genoux en direction de ton temple saint.
      9 SEIGNEUR, tu es juste, guide-moi, à cause de ceux qui me surveillent en cachette. Enlève les obstacles sur le chemin que tu m’indiques.
      10 Non, on ne peut pas faire confiance à ces gens-là : leur cœur est plein de crimes, leurs paroles détruisent les gens, avec leur langue, ils trompent les autres.
      11 Ô Dieu, montre qu’ils sont coupables ! Que leurs projets les fassent tomber ! Ils ont fait beaucoup de mal, chasse-les, car ils se sont révoltés contre toi.
      12 Mais tous ceux qui se réfugient en toi seront dans la joie. Leur joie ne finira pas, car tu les protégeras. Ils danseront de joie, ceux qui aiment ton nom.

      Psaumes 16

      10 Non, tu ne m’abandonnes pas dans le monde des morts, tu ne laisses pas ton ami fidèle pourrir dans la tombe.

      Psaumes 63

      2 Ô Dieu, c’est toi mon Dieu, je te cherche. Mon cœur a soif de toi, mon corps a besoin de toi comme une terre sèche, assoiffée, sans eau.

      Psaumes 65

      3 Toi, tu écoutes les prières, tous peuvent s’approcher de toi.

      Psaumes 78

      39 Dieu se souvenait que nos ancêtres étaient seulement des êtres humains : un souffle qui s’en va et qui ne revient plus.

      Esaïe 31

      3 Les Égyptiens ne sont que des hommes, ils ne sont pas des dieux. Leurs chevaux ne sont que des animaux, ils ne sont rien de plus. Quand le SEIGNEUR étend sa main, celui qui devait aider tombe, celui qui a demandé de l’aide s’écroule, et c’est la mort pour tous les deux.

      Esaïe 40

      6 Quelqu’un me dit : « Crie ! » Je demande : « Qu’est-ce que je dois crier ? » Il répond : « Ceci : les êtres humains sont comme l’herbe, ils ne sont pas plus solides que les fleurs des champs.
      8 L’herbe sèche et la fleur tombe, mais la parole de notre Dieu tient toujours. »

      Jérémie 17

      5 Voici ce que le SEIGNEUR dit : « Celui qui éloigne son cœur de moi, qui met sa confiance dans les hommes et cherche sa force dans les moyens humains, qu’il soit maudit !

      Matthieu 16

      17 Alors Jésus lui dit : « Simon, fils de Jean, tu es heureux. En effet, ce n’est pas une personne humaine qui t’a fait connaître cela, mais c’est mon Père qui est dans les cieux.

      Matthieu 20

      28 De la même façon, le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi. Mais il est venu pour servir et donner sa vie pour libérer un grand nombre de gens. »

      Matthieu 26

      41 Restez éveillés et priez pour pouvoir résister quand l’esprit du mal vous tentera. Vous désirez faire le bien, mais vous n’avez pas la force de résister au mal. »

      Marc 14

      38 Restez éveillés et priez pour pouvoir résister quand l’esprit du mal vous tentera. Vous désirez faire le bien, mais vous n’avez pas la force de résister au mal. »

      Jean 1

      2 Au commencement, la Parole était avec Dieu.
      3 Par elle, Dieu a fait toutes choses et il n’a rien fait sans elle.
      4 En elle, il y a la vie, et la vie est la lumière des êtres humains.
      5 La lumière brille dans la nuit, mais la nuit ne l’a pas reçue.
      6 Dieu a envoyé un homme qui s’appelait Jean.
      7 Il est venu comme témoin pour être le témoin de la lumière, afin que tous croient par lui.
      8 Il n’était pas la lumière, mais il était le témoin de la lumière.
      9 La Parole est la vraie lumière. En venant dans le monde, elle éclaire tous les êtres humains.
      13 Et ils sont devenus enfants de Dieu en naissant non par la volonté d’un homme et d’une femme, mais de Dieu.
      14 La Parole est devenue un homme, et il a habité parmi nous. Nous avons vu sa gloire. Cette gloire, il la reçoit du Père. C’est la gloire du Fils unique, plein d’amour et de vérité.
      18 Personne n’a jamais vu Dieu. Mais le Fils unique, qui est Dieu et qui vit auprès du Père, nous l’a fait connaître.

      Jean 3

      6 Ceux qui sont nés d’un père et d’une mère appartiennent à la famille des humains. Et ceux qui sont nés de l’Esprit Saint appartiennent à l’Esprit Saint.
      16 « Oui, Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique. Ainsi, tous ceux qui croient en lui ne se perdront pas loin de Dieu, mais ils vivront avec lui pour toujours.

      Jean 4

      Jean 5

      1 Ensuite il y a une fête juive, et Jésus va à Jérusalem.
      2 À Jérusalem, près de la porte des Moutons, se trouve une piscine avec cinq rangées de colonnes. En hébreu, on l’appelle Bethzata.
      3 Sous ces colonnes, beaucoup de malades sont couchés : des aveugles, des boiteux, des paralysés.
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