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JÉRUSALEM

1.

Topographie.

Ville de montagne (Esa 2:2), bâtie à l'altitude moyenne de 770 m. au-dessus du niveau de la Méditerranée, Jérusalem dressa ses premiers remparts sur une colline réputée imprenable (2Sa 5:6), quoique moins haute que les élévations voisines (Ps 125:2). Le site est sévère ; partout le calcaire affleure et la végétation est trop pauvre pour dissimuler l'âpreté de la roche. Mais, du haut des monts d'alentour, les horizons lointains sont lumineux, avec leurs perspectives ouvertes du côté du soleil levant, vers lequel penche toute la région peu à peu conquise par la ville, comme pour se mettre à l'abri des vents d'ouest qui, tout près, atteignent le faîte de la Palestine.

Par 31° 47 de latitude et 35°15 de longitude, Jérusalem est, en effet, un peu à l'est de la ligne de partage des eaux entre la Méditerranée et la mer Morte, et de la chaîne des montagnes qui constituent l'épine dorsale du pays. Elle est à 52 km. de la côte méditerranéenne et à 22 seulement des rives du Jourdain.

L'aire finalement occupée par la ville est, en gros, délimitée par deux vallées qui, prenant naissance à peu de distance l'une de l'autre, se rejoignent après quelques kilomètres de parcours : à l'Est, celle qu'ont illustrée les noms de Josaphat et du Cédron ; à l'Ouest, la vallée non moins fameuse de Hinnom qui donna son nom à la Géhenne. La première, sous le nom actuel de ouâdi el-Djôz, commence au Nord-O, de la ville ; de la direction ouest-est elle s'infléchit lentement au midi, prend le nom de ouâdi Sitti Maryam et, passant entre les contreforts orientaux de la cité et le mont des Oliviers, descend à la rencontre de la vallée de Hinnom, pour former avec elle, au Sud de Siloé, le ouâdi en-Nâr, dont l'embouchure lointaine est sur les rives de la mer Morte. L'autre vallée, qui porte aujourd'hui, dans sa partie inférieure tout au moins, le nom de ouâdi er-Rabâbi, s'amorce à l'Ouest de la ville, vers laquelle elle se dirige dans la direction de l'Est ; mais, se heurtant à la roche qui sert de base à la partie occidentale de la cité, elle tourne au Sud et la longe jusqu'à l'endroit où le Djebel Abou Tôr l'oblige à reprendre brusquement la direction du levant et à se joindre bientôt au torrent du Cédron. Entre ces deux grandes dépressions, plus près cependant de la vallée du Cédron que de celle de Hinnom, se trouve un troisième vallon qui prenant naissance au Nord de la porte de Damas se dirige du N. au Sud-S. -E. et finit par aboutir lui aussi au Cédron, immédiatement avant sa jonction avec le ouâdi er-Rabâbi ; comblé en grande partie par des décombres, il porte aujourd'hui le nom d'el-Ouddi (vallée par excellence), mais s'appelait autrefois le Tyropoeon (vallée des fromagers). Il est possible que ce vallon ait été la Géhenne primitive, transportée ensuite dans la vallée d'er-Rabâbi. Voir Hinnom.

Il résulte de cette disposition des fossés hiéro-solymitains que la ville, dans son plus grand développement historique, est bâtie sur deux longues collines, du reste assez différentes l'une de l'autre. La colline orientale, située donc entre la vallée du Cédron et celle du Tyropoeon, porte le nom d'Ophel dans sa partie S. dont les pentes escarpées ont servi de base à la plus ancienne ville ; plus au Nord, en Moriah, la colline s'élargit pour former l'esplanade du Temple d'autrefois et de la mosquée d'Omar d'aujourd'hui ; la partie la plus septentrionale, Bézétha, d'un relief moins accentué, rejoint, en dehors des murailles actuelles, le système des montagnes centrales de Judée. La colline occidentale, plus haute que sa voisine et d'une surface plus grande aussi, est coupée, à peu près au milieu de la cité et sur le flanc oriental, par un vallon latéral ; elle se termine au Sud par une plate-forme presque quadrangulaire qui domine le dernier parcours de l'er-Rabâbi et se dilate au Nord-E., formant un ensemble d'une ampleur remarquable.

Parmi les montagnes qui entourent le plateau, autrefois plus strié et plus bosselé encore, de Jérusalem, bornons-nous à mentionner : le mont des Oliviers (818 m.) en face de l'esplanade du Temple, à l'Est du Cédron ; le Scopus (râs el-Mêchârif, 817 m..), au Nord-E, de la ville, du haut duquel on aperçoit pour la première fois Jérusalem en venant du N. ; le Djebel Abôu Tôr (777 m., le Goath [VS. : Goa], de Jer 31:39), au Sud-E., appelé mont du Mauvais Conseil parce que c'est là qu'auraient eu lieu les pourparlers relatés par Jn 11:47-52, tradition sans fondement du reste.

2.

Géologie, hydrographie, climat.

Le sol de Jérusalem appartient aux étages supérieurs du système Crétacé : le danien n'est pas attesté ; en revanche, le sénonien, le turonien et le cénomanien sont représentés par des roches que les indigènes savent très bien distinguer les unes des autres par des noms caractéristiques et utiliser suivant leur constitution et leur grain.

L'inclinaison du plateau de Jérusalem étant très accentuée, les eaux pluviales sont rapidement entraînées vers la mer Morte. En effet, sur une distance de 2-3 km., la différence de niveau est de 150-180 m., la ligne de partage des eaux se trouvant à 817 m. et la jonction des vallées du Cédron et de Hinnom à 630 m. Aussi bien celles-ci sont-elles à sec le plus souvent, d'avril à décembre en tout cas, et cela d'autant plus qu'une partie des eaux s'écoule par des passages souterrains ; l'expression de « torrent du Cédron » ne doit pas induire en erreur. Le problème de l'eau a été, dès lors, très difficile à résoudre de tout temps à Jérusalem. En ville même ne jaillit aucune source ; en revanche, celle du Guihon (voir ce mot) est à proximité immédiate, au pied oriental de la colline de l'Ophel ; sans elle Jérusalem ne serait probablement pas née. Un peu plus au Sud, à En-Roguel (voir ce mot), un puits permet d'atteindre l'eau souterraine, meilleure que celle du Guihon. Quant à la troisième source hiérosolymitaine mentionnée dans la Bible, celle du Dragon (Ne 2:13), ou bien elle est tarie aujourd'hui, ou bien entendait-on désigner par là tel suintement momentané parmi ceux qui se produisent dans la même région que le Guihon et En-Roguel, après de fortes pluies, et qui sont d'un volume proportionné à la quantité d'eau déversée à la surface.

Étant données ces conditions hydrologiques, on comprend que les indigènes, de tout temps, aient cherché à les améliorer par divers travaux hydrauliques. Parmi les étangs ou réservoirs destinés, avec les nombreuses citernes, à retenir plus ou moins longtemps une eau relativement abondante pendant une partie de l'année, l'A. T, et le N.T. en mentionnent quelques-uns, qu'il est souvent très difficile aujourd'hui d'identifier. L'Étang Supérieur de Esa 7:3 36:2 est peut-être, mais ce n'est pas certain du tout, le réservoir actuel de Mamillah qui recueille pendant l'hiver, au haut de la vallée de Hinnom, dans une cuvette de grasse argile rouge, un volume assez considérable d'une eau dont les derniers restes disparaîtront avec le mois de mai. Un aqueduc conduit cette eau à l'intérieur de la ville jusqu'à l'Étang du Patriarche, qui est peut-être l'Étang Inférieur de Esa 22:9, identifié aussi, mais sans raison certaine, avec l'Étang du Sultan, au Sud de la porte de Jaffa. La piscine de Béthesda (Jn 5:2) subsiste encore, près de l'église de Sainte-Anne, au Nord-E, de l'ancienne ville (fig. 125) ; le réservoir « entre les deux murs » et 1' « ancien étang » de Esa 22:11 se trouvaient dans la vallée du Tyropoeon. Quant à la piscine de Siloé (Esa 8:6, Jn 9:7), elle était à l'issue du canal de Siloé qui amenait au Sud-O, de la ville les eaux de la fontaine de Guihon ; elle subsiste en partie aujourd'hui encore. C'est probablement aussi l'étang mentionné Ne 3:16, qu'il ne faut pas confondre avec celui de Ne 3:15 (=Ne 2:14) qui se trouvait dans la même région mais en dehors des murailles (Jer 39:4).

Les eaux de Jérusalem même étant insuffisantes pour alimenter la ville, on chercha à recueillir de l'eau à distance : à plus de 12 km. au Sud, près d'Artâs, furent aménagées les immenses vasques dites de Salomon servant de réservoirs aux sources voisines et à d'autres que des canaux vont chercher au loin. Une importante canalisation conduisait le contenu de ces étangs artificiels jusque sous l'esplanade du Temple. Des inscriptions latines permettent de dire que cet aqueduc est d'époque romaine. Un autre canal, au tracé beaucoup plus sinueux, l'aurait précédé et remonterait avant l'exil, au dire de certains savants.

Grâce à de nombreuses observations scientifiques, faites depuis de longues années, il est possible aujourd'hui de donner des indications assez précises sur le régime des pluies qui alimentent ces sources et sur le climat de Jérusalem en général. L'année se divise, à ce point de vue, en deux périodes : l'une sèche, 15 mai à 15 octobre, l'autre pluvieuse, pendant les autres mois. Les premières pluies d'octobre sont un véritable renouveau après la chaleur de l'été. Elles tardent parfois à venir, et c'est alors une calamité. La pluie a son maximum d'intensité en janvier, sans qu'il y ait du reste plus de cinq ou six jours pluvieux consécutifs, tandis qu'en juillet la moindre pluie paraîtrait fabuleuse. Il pleut en moyenne pendant cinquante-deux à cinquante-sept jours. La neige qui tombe parfois ne reste plusieurs jours sur le sol que très rarement. Les vents d'O. et de N. -O, prédominent ; viennent ensuite ceux de l'Est ; juillet et août connaissent des vents du N. fort agréables ; de ce fait la chaleur est moins supportable en mai et octobre qu'au gros de l'été. Les souffles torrides et déprimants du S. -E, sont plus rares ; le pire est le sirocco, accourant de l'extrémité méridionale de la vallée du Jourdain : il dessèche tout sur son passage et accable les habitants du pays, qu'il énerve. Les jours calmes sont du reste peu nombreux sur le haut pays de Jérusalem, entre la Méditerranée et le désert syro-arabe.

La température peut atteindre 40° en juillet et août ; d'autre part, il arrive qu'exceptionnellement le thermomètre descende en hiver à 5° ou 7°. Le mois le plus froid est celui de janvier avec 6° 9 ; le plus chaud, août, avec 22° 8. La température moyenne de l'année étant de 17° environ, le climat est plutôt tempéré que chaud ; sans être malsain, il n'est pas très salubre non plus ; les contrastes y sont trop brusques dans la température d'une même journée et la division entre la saison humide et la saison sèche est trop absolue. Ces variations expliquent certaines maladies répandues à Jérusalem et influant sur le caractère des habitants, dont l'activité est toute par à-coups et qui passent facilement de l'enthousiasme aux découragements morbides.

3.

Histoire.

Jérusalem n'est pas une ville d'origine israélite. Diverses traditions parlent de sa fondation. La seule indication sûre est celle des tablettes de Tell el-Amarna (XIV° siècle), qui mentionnent un roi Abdi-Khiba d'Urusalim (=Jérusalem, nom de signification inconnue), dont elles donnent quelques lettres et qui était tributaire de l'Egypte.

La future capitale des Israélites n'aura pas été définitivement conquise (Jug 1:8) au temps de Josué ; jusqu'à l'époque de David, elle est aux mains des Jébusiens et porte alors le nom de Jébus au dire de Jug 19:10 et suivant et 1Ch 11:4 et suivant. Nommé roi de tout Israël, le successeur de Saül s'empare, par ruse et par surprise, de la citadelle de la ville qui était appelée forteresse de Sion (=lieu bien exposé, ou lieu aride, ou encore lieu fortifié...) ; il en fait sa résidence.

On a beaucoup discuté l'emplacement de cette « cité de David ». Longtemps, et tout naturellement, les palestinologues ont pensé qu'elle se trouvait sur la colline occidentale, la plus élevée de Jérusalem. Mais les fouilles ont définitivement démontré que l'ancienne ville doit être cherchée à l'extrémité S. de la colline orientale. Cet îlot rocheux, naturellement fortifié, avait l'avantage d'être à proximité immédiate de la source du Guihon. Dominant le Cédron et le Tyropoeon, et limitée au nord par une dépression sans doute taillée en fossé, l'aire de la cité primitive était fort modeste, mais de l'ordre de grandeur des autres acropoles cananéennes (fig. 116 à 119).

David améliore les remparts de la ville et bâtit, avec l'aide d'ouvriers phéniciens, un palais qu'il faut situer sur la même colline et en relations étroites avec la forteresse. Mais Salomon, dont les visées sont plus grandes, transporte sa résidence au Nord de la cité davidique, sur la partie la plus élevée de la colline orientale, au sommet de laquelle, en Moriah, il dresse, à proximité immédiate de son palais, le fameux Temple qui doit vraisemblablement contribuer à sa gloire tout autant qu'à celle de Jéhovah. Il relie la nouvelle cité à l'ancienne en comblant, par de grands travaux, la faille qui les séparait et en élevant l'important terre-plein du Millo. Entourée d'une ligne unique de remparts, la ville de Salomon englobait donc toute la colline orientale, sur la partie S. de laquelle subsistait la vieille acropole primitive.

Grâce aux initiatives intelligentes de David et aux qualités remarquables de son successeur, Jérusalem devint rapidement la cité la plus importante de Palestine. Le schisme, la dévastation du Pharaon Shéshonq (=Sisak, 1Ro 14:25), ou la politique de certains de ses rois--celle d'Amatsia en particulier (2Ro 14:8,14) --lui portèrent préjudice, sans lui ravir cependant sa vitalité. Toujours elle se releva de ses épreuves, et le maintien, sur le trône de Juda, de la dynastie de David contribua à son prestige. Tandis que le royaume du N. succombait en 722, Jérusalem restait debout ; assiégée en 701 par Sanchérib et à deux doigts de la ruine, contre toute espérance elle est délivrée, et sous Josias épargnée encore, lors de l'invasion des Scythes. Comment ses habitants ne l'auraient-ils pas considérée comme intangible en quelque sorte ? Et pourtant les circonstances politiques et la malheureuse attitude de ses chefs finirent par provoquer les catastrophes de 597 et de 586, l'effondrement du royaume et la destruction de sa capitale.

Il est bien difficile de préciser le périmètre de Jérusalem au temps des rois de Juda. Si, du côté de l'Est, la muraille qui dominait le fossé du Cédron et en couronnait la crête ne fut jamais déplacée, mais simplement consolidée et restaurée par certains monarques, du côté de l'Ouest, la ville jeta ses faubourgs par delà le Tyropoeon, en face du Temple d'abord, pour accaparer ensuite le S. de la colline occidentale. On incline à penser aujourd'hui que cette dilatation ne se fit qu'à l'époque des Macchabées, alors qu'on affirmait volontiers, avec Josèphe, que du temps de Salomon déjà l'enceinte hiérosolymitaine englobait, en partie du moins, la colline occidentale.

Au retour de l'exil (538), Jérusalem parvint progressivement à se relever de son profond abaissement, à reconstruire son Temple et ses murs et à redevenir le centre politique et religieux du peuple (voir Néhémie). La ville dut ouvrir plus tard ses portes à Alexandre le Grand, mais jouit d'une tranquillité relative, jusqu'au moment où la tactique inintelligente d'Antiochus Épiphane (175-164) provoqua finalement le soulèvement des Macchabées. Ceux-ci firent de la colline du Temple une véritable forteresse, près de laquelle se trouvait la citadelle appelée Acra (1Ma 1:33-35 6:18 12:36 14:36) ; ils bâtirent aussi, au Nord-O, du sanctuaire, la tour de Baris dont Hérode le Grand fera un jour la forteresse Antonia. Cet Iduméen, détesté des Juifs--qui avait réussi à s'emparer de la ville, en l'an 37, grâce à l'appui des Romains dont l'intervention sanglante avait été facilitée par les dissensions intestines des Macchabées--embellit Jérusalem d'une façon remarquable, en rebâtissant en particulier le Temple, et la fortifia à nouveau. A l'époque du Christ, la ville occupait sur les deux collines une aire très vaste, dont les palais d'Hérode couronnaient les hauteurs occidentales. Ses murs, ses édifices, son magnifique sanctuaire surtout devaient faire la plus grande impression. 100.000 Juifs résidaient sans doute, en ces temps-là, à Jérusalem où des foules de pèlerins montaient lors des fêtes pascales en particulier.

Tout l'effort des murailles (voir art. suiv.) avait été porté au Nord, puisque partout ailleurs les vallées de Hinnom et du Cédron enserraient la capitale de leurs dépressions difficilement franchissables. Lorsque Titus prit la ville, en l'an 70, il eut à emporter successivement les trois enceintes septentrionales qui avec le temps avaient été élevées contre les envahisseurs. La plus ancienne, qu'il était de tradition, récemment encore, de faire remonter à l'époque de Salomon, partait du milieu de l'esplanade du Temple pour atteindre, à l'Ouest, la porte de Jaffa actuelle ; la seconde, qu'on datait de l'époque d'Ézéchias, s'amorçait au Nord-O, de la terrasse du Temple et venait rejoindre la première à peu près au milieu de son parcours, après avoir fait un angle droit à la hauteur du Saint-Sépulcre. La ville ayant débordé cette seconde enceinte à l'époque d'Hérode le Grand, une troisième muraille fut dressée, sous Hérode Agrippa, passablement plus au nord. Formidable et garnie de nombreuses tours, elle suivait, en gros, le tracé de la muraille septentrionale actuelle. Les murs découverts il y a quelques années, plus au nord encore, et qu'on a voulu attribuer à Hérode Agrippa--ce qui eût entraîné l'inauthenticité du Saint-Sépulcre--, datent peut-être de l'époque de Barcochébas.

Le fanatisme des habitants de Jérusalem les mit finalement aux prises avec les Romains ; on sait à quel drame épouvantable la lutte aboutit : en automne 70, Jérusalem et son Temple qui venait d'être achevé n'étaient plus qu'un monceau de ruines fumantes. Son histoire postérieure n'est pas à faire ici. Rebâtie en 130 ap. J. -C, par l'empereur Adrien, Jérusalem, plus que toute autre ville, fut prise et saccagée à travers les siècles. Topographiquement, elle se retira dans la direction du N., si bien que, pour le plus grand profit de l'archéologie, toute la partie S. de l'ancienne ville se trouve aujourd'hui hors des murailles de l'enceinte actuelle (fig. 120 à 129), construites par Soliman (1537-41) ; la ville moderne les déborde au Nord-O, et au Nord, où elle prend une extension qui l'éloigné toujours plus de son berceau jébusien.

Élue par David, adoptée par tout Israël, pleurée par les Juifs en exil, chère aux disciples de Celui qui y mourut sur la croix, et aux musulmans qui y vénèrent le sanctuaire le plus sacré après celui de La Mecque, Jérusalem occupe une place de premier ordre dans l'histoire religieuse et morale de l'humanité, dont elle est la « capitale de coeur ». Son nom est entré dans le langage symbolique pour désigner le ciel : « la Jérusalem céleste, la nouvelle Jérusalem » (Heb 12:22, Ap 3:12). Qui resterait indifférent à l'extraordinaire destinée de cette ville isolée dans la montagne, en un pays ingrat, en dehors des lignes de communication, et vers laquelle une attraction irrésistible pourtant a fait confluer les peuples ? A sa vue, aujourd'hui encore, le pèlerin, à qui le privilège à été accordé de monter vers elle, ne peut pas ne pas être saisi d'une indicible émotion et ne pas ressentir « cet attendrissement, mélange indéfinissable d'admiration et de compassion qu'inspire la vue de ce que l'on aime » (F. Bovet).

Cwt.

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Versets relatifs

    • Josué 10

      1 Adoni-Tsédek, le roi de Jérusalem, apprit que Josué s'était emparé d'Aï et l'avait vouée à la destruction, qu'il avait traité Aï et son roi comme il avait traité Jéricho et son roi et que les habitants de Gabaon avaient fait la paix avec Israël et vivaient au milieu d'eux.
      3 Adoni-Tsédek, roi de Jérusalem, fit dire à Hoham, roi d'Hébron, à Piream, roi de Jarmuth, à Japhia, roi de Lakis, et à Debir, roi d'Eglon :
      5 Cinq rois amoréens – les rois de Jérusalem, d'Hébron, de Jarmuth, de Lakis et d'Eglon – s’allièrent ainsi et montèrent avec toutes leurs troupes. Ils vinrent installer leur camp près de Gabaon et l'attaquèrent.
      23 C’est ce qu’on fit, et on lui amena les cinq rois qu'on avait fait sortir de la grotte ; c’étaient les rois de Jérusalem, d'Hébron, de Jarmuth, de Lakis et d'Eglon.

      Josué 12

      10 le roi de Jérusalem, le roi d'Hébron,

      Josué 15

      8 Elle montait de là par la vallée de Ben-Hinnom au côté sud de Jébus, c’est-à-dire Jérusalem, puis s'élevait jusqu'au sommet de la montagne qui est à l’ouest de la vallée de Hinnom et à l'extrémité nord de la vallée des Rephaïm.
      63 Les Judéens ne parvinrent pas à chasser les Jébusiens qui habitaient à Jérusalem, et les Jébusiens ont habité avec eux à Jérusalem jusqu'à aujourd’hui.

      Josué 18

      28 Tséla, Eleph, Jébus, c’est-à-dire Jérusalem, Guibeath et Kirjath, soit 14 villes avec leurs villages. Tel fut l'héritage des clans des Benjaminites.

      Juges 1

      7 Adoni-Bézek dit : « Il y avait 70 rois, aux pouces des mains et des pieds coupés, qui ramassaient les miettes sous ma table. Dieu me rend ce que j'ai fait. » On l'emmena à Jérusalem et il y mourut.
      8 Les Judéens attaquèrent Jérusalem et s’en emparèrent : ils la frappèrent du tranchant de l'épée et mirent le feu à la ville.
      21 Les Benjaminites ne chassèrent pas les Jébusiens qui habitaient à Jérusalem, et ceux-ci ont habité jusqu'à aujourd’hui dans Jérusalem avec les Benjaminites.

      Juges 19

      10 Le mari ne voulut pas passer la nuit là. Il se leva donc et partit. Il arriva jusque devant Jébus, c’est-à-dire Jérusalem, avec les deux ânes munis de leur selle et avec sa concubine.

      1 Samuel 17

      54 David prit la tête du Philistin et l’amena à Jérusalem, et il déposa dans sa tente les armes du Philistin.

      2 Samuel 5

      5 Il régna 7 ans et 6 mois sur Juda à Hébron, et 33 ans sur tout Israël et Juda à Jérusalem.
      6 Le roi marcha avec ses hommes sur Jérusalem contre les Jébusiens, qui habitaient le pays. Ils dirent à David : « Tu n'entreras pas ici, car même les aveugles et les boiteux te repousseront en disant : ‘David n’entrera pas ici.’ »
      13 David prit encore des concubines et des femmes de Jérusalem, après son arrivée d'Hébron, et il eut encore des fils et des filles.
      14 Voici le nom des enfants qu’il eut à Jérusalem : Shammua, Shobab, Nathan, Salomon,

      2 Samuel 8

      7 David prit les boucliers en or que portaient les serviteurs d'Hadadézer et les amena à Jérusalem.

      2 Samuel 9

      13 Mephibosheth habitait à Jérusalem, car il mangeait constamment à la table du roi. Il était estropié des deux pieds.

      2 Samuel 10

      14 Quand les Ammonites virent que les Syriens s’étaient enfuis, ils prirent eux aussi la fuite devant Abishaï et rentrèrent dans la ville. Joab s'éloigna des Ammonites et revint à Jérusalem.

      2 Samuel 11

      1 L'année suivante, à l’époque où les rois partent en campagne, David envoya Joab, avec ses serviteurs et tout Israël, semer la dévastation chez les Ammonites et faire le siège de Rabba. Quant à lui, il resta à Jérusalem.
      12 David dit à Urie : « Reste ici aujourd'hui encore et demain je te laisserai repartir. » Urie resta à Jérusalem ce jour-là et le lendemain.

      2 Samuel 12

      31 Il déporta ses habitants et les affecta au maniement des scies, des pics de fer et des haches de fer, ou encore les fit travailler au moule à briques. Il traita de la même manière toutes les villes des Ammonites. Puis David retourna à Jérusalem avec tout le peuple.

      2 Samuel 14

      23 Joab se leva et partit pour Gueshur, et il ramena Absalom à Jérusalem.
      28 Absalom habita 2 ans à Jérusalem sans être admis dans la présence du roi.

      2 Samuel 15

      8 En effet, moi ton serviteur, j’ai fait un vœu pendant que j’habitais à Gueshur en Syrie. J'ai dit : ‘Si l'Eternel me fait revenir à Jérusalem, je le servirai.’ »
      11 et 200 hommes de Jérusalem qui avaient été invités accompagnèrent Absalom. Ils le firent en toute innocence, sans rien savoir.
      14 David dit alors à tous ses serviteurs, qui se trouvaient avec lui à Jérusalem : « Levez-vous, prenons la fuite, car il n'y aura aucun moyen pour nous d’échapper à Absalom. Dépêchez-vous de partir ! Autrement, il ne va pas tarder à nous rattraper, et il nous précipitera dans le malheur et frappera la ville du tranchant de l'épée. »
      29 Ainsi, Tsadok et Abiathar rapportèrent l'arche de Dieu à Jérusalem et ils y restèrent.
      37 Hushaï, l’ami de David, retourna donc dans la ville de Jérusalem alors qu’Absalom y entrait.

      2 Samuel 16

      3 Le roi demanda : « Où est le fils de ton maître ? » Tsiba répondit au roi : « Il est resté à Jérusalem, car il s’est dit : ‘Aujourd'hui la communauté d'Israël me rendra le royaume de mon père.’ »
      15 Absalom et tout le peuple, tous les Israélites, étaient entrés dans Jérusalem. Achitophel était avec lui.

      2 Samuel 17

      20 Les serviteurs d'Absalom arrivèrent vers cette femme dans la maison et dirent : « Où sont Achimaats et Jonathan ? » La femme leur répondit : « Ils ont traversé le fleuve. » Ils cherchèrent, mais ne les trouvant pas ils retournèrent à Jérusalem.

      2 Samuel 19

      19 Le bateau destiné au transport de la famille du roi et à ce qui lui paraissait bon faisait la traversée. Au moment où le roi traversait le Jourdain, Shimeï, le fils de Guéra, se prosterna devant lui
      25 Mephibosheth, le petit-fils de Saül, descendit aussi à la rencontre du roi. Il n'avait pas soigné ses pieds, fait sa barbe ni lavé ses habits depuis le jour où le roi était parti jusqu'à celui où il revenait en paix.
      33 Barzillaï était très vieux : il avait 80 ans. C’était lui qui avait pourvu à l’entretien du roi pendant son séjour à Mahanaïm. En effet, c'était un homme très riche.
      34 Le roi lui dit : « Viens avec moi, je pourvoirai à ton entretien chez moi à Jérusalem. »

      2 Samuel 20

      2 Et tous les Israélites s'éloignèrent de David pour suivre Shéba, fils de Bicri. Quant aux Judéens, ils restèrent fidèles à leur roi et l'accompagnèrent depuis le Jourdain jusqu'à Jérusalem.
      3 David rentra chez lui à Jérusalem. Le roi prit les dix concubines qu'il avait laissées pour garder le palais et les installa dans une maison bien surveillée. Il pourvut à leur entretien, mais il n’eut plus de relations avec elles. Elles restèrent enfermées jusqu'au jour de leur mort, vivant dans un état de veuvage.
      7 Abishaï partit en campagne, suivi des hommes de Joab, des Kéréthiens et des Péléthiens ainsi que de tous les vaillants hommes. Ils sortirent de Jérusalem afin d’aller à la poursuite de Shéba, fils de Bicri.
      22 Cette femme alla parler à tout son peuple avec sa sagesse, et ils coupèrent la tête de Shéba, fils de Bicri, et la jetèrent à Joab. Joab sonna alors de la trompette. On se dispersa loin de la ville et chacun repartit dans sa tente. Quant à Joab, il retourna à Jérusalem vers le roi.

      2 Samuel 24

      8 Ils parcoururent ainsi tout le pays et ils revinrent à Jérusalem au bout de 9 mois et 20 jours.
      16 L'ange tendait la main contre Jérusalem pour y semer la dévastation lorsque l'Eternel éprouva des regrets face à ce malheur. Il dit à l'ange chargé de détruire le peuple : « Cela suffit ! Retire maintenant ta main ! » L'ange de l'Eternel se trouvait alors près de l'aire de battage d'Aravna le Jébusien.

      1 Chroniques 3

      4 Il eut ces six fils à Hébron. Il y régna 7 ans et 6 mois, et il régna 33 ans à Jérusalem.
      5 Voici les fils qu’il eut à Jérusalem : Shimea, Shobab, Nathan et Salomon, tous les quatre de Bath-Shéba, fille d'Ammiel,

      1 Chroniques 6

      10 Fils d'Elkana : Amasaï, Achimoth
      15 père de Shimea, père de Hagguija, père d’Asaja.
      32 Machli, Mushi et Merari, lui-même fils de Lévi.

      1 Chroniques 8

      28 Tous ceux-là étaient des chefs de famille dans leur lignée, c’étaient des chefs. Ils habitaient à Jérusalem.
      32 Mikloth eut pour fils Shimea. Contrairement à leurs frères, ils habitaient à Jérusalem avec leurs frères.

      1 Chroniques 9

      3 A Jérusalem s’installèrent des Judéens, des Benjaminites, des Ephraïmites et des Manassites.
      34 Tels étaient les chefs de famille des Lévites en fonction de leur lignée. Ils habitaient à Jérusalem.
      38 Mikloth eut pour fils Shimeam. Contrairement à leurs frères, ils habitaient à Jérusalem avec leurs frères.

      1 Chroniques 11

      4 David marcha avec tout Israël sur Jérusalem, c’est-à-dire Jébus. Là se trouvaient les Jébusiens, qui habitaient le pays.

      1 Chroniques 14

      3 David prit encore des femmes à Jérusalem et il eut encore des fils et des filles.
      4 Voici le nom des enfants qu’il eut à Jérusalem : Shammua, Shobab, Nathan, Salomon,

      1 Chroniques 15

      3 Puis David rassembla tout Israël à Jérusalem pour faire monter l'arche de l'Eternel à la place qu'il lui avait préparée.

      1 Chroniques 18

      7 David prit les boucliers en or que portaient les serviteurs d'Hadarézer et les amena à Jérusalem.

      1 Chroniques 19

      15 Quand les Ammonites virent que les Syriens s’étaient enfuis, ils prirent eux aussi la fuite devant Abishaï, le frère de Joab, et rentrèrent dans la ville. Et Joab revint à Jérusalem.

      1 Chroniques 20

      1 L'année suivante, à l’époque où les rois partent en campagne, Joab alla, à la tête d'une forte armée, semer la dévastation dans le pays des Ammonites et faire le siège de Rabba. Quant à David, il resta à Jérusalem. Joab battit Rabba et la détruisit.
      3 Il déporta ses habitants et les affecta au maniement des scies, des pics de fer et des haches de fer. Il traita de la même manière toutes les villes des Ammonites. Puis David retourna à Jérusalem avec tout le peuple.

      1 Chroniques 21

      4 Le roi persista dans l'ordre qu'il donnait à Joab. Celui-ci partit alors et parcourut tout Israël, puis il revint à Jérusalem.
      15 Dieu envoya un ange à Jérusalem pour y semer la dévastation ; il était en train de le faire lorsque l'Eternel regarda, et il éprouva des regrets face à ce malheur. Il dit à l'ange destructeur : « Cela suffit ! Retire maintenant ta main ! » L'ange de l'Eternel se tenait alors près de l'aire de battage d'Ornan le Jébusien.
      16 David leva les yeux et vit l'ange de l'Eternel : il se tenait entre la terre et le ciel avec, à la main, son épée dégainée tournée contre Jérusalem. Alors David et les anciens, couverts de sacs, tombèrent le visage contre terre.

      1 Chroniques 23

      25 car David avait dit : « L'Eternel, le Dieu d'Israël, a donné du repos à son peuple, et il habitera pour toujours à Jérusalem.

      1 Chroniques 28

      1 David convoqua à Jérusalem tous les chefs d'Israël : les chefs des tribus, les chefs des divisions militaires au service du roi, les chefs de milliers et de centaines, ceux qui étaient intendants de tous les biens et troupeaux du roi et de ses fils, ainsi que les eunuques, les guerriers et tous les hommes vaillants.

      1 Chroniques 29

      27 Son règne sur Israël dura 40 ans : il régna 7 ans à Hébron et 33 ans à Jérusalem.

      2 Chroniques 1

      4 Quant à l'arche de Dieu, elle avait été transportée par David de Kirjath-Jearim à l’emplacement qu'il lui avait préparé. Il avait en effet dressé une tente pour elle à Jérusalem.
      13 Salomon revint à Jérusalem après avoir quitté le haut lieu qui se trouvait à Gabaon et la tente de la rencontre, et il régna sur Israël.
      14 Salomon réunit des chars et de la cavalerie. Il avait 1400 chars et 12'000 cavaliers, qu'il plaça dans les villes où il gardait ses chars et à Jérusalem, près de lui.
      15 Le roi rendit l'argent et l'or aussi communs à Jérusalem que les pierres, et les cèdres aussi communs que les sycomores qui poussent dans la plaine.

      2 Chroniques 2

      7 Envoie-moi aussi du Liban du cèdre, du cyprès et du santal. Je sais en effet que tes serviteurs savent bien couper les arbres du Liban. Quant à mes serviteurs, ils seront avec les tiens
      16 Salomon compta tous les hommes étrangers qui habitaient dans le pays d'Israël et dont son père David avait fait le dénombrement. On en trouva 153'600.

      2 Chroniques 3

      1 Salomon commença à construire la maison de l'Eternel à Jérusalem, sur le mont Morija, où il était apparu à David, son père. David y avait préparé un emplacement sur l'aire de battage d'Ornan, le Jébusien.

      2 Chroniques 5

      2 Alors Salomon rassembla à Jérusalem les anciens d'Israël et tous les chefs des tribus, les chefs de famille des Israélites, pour déplacer l’arche de l’alliance de l’Eternel depuis la ville de David, c’est-à-dire Sion.

      2 Chroniques 6

      6 mais j'ai choisi Jérusalem pour que mon nom y réside et j'ai choisi David pour qu'il règne sur mon peuple, Israël.’

      2 Chroniques 8

      6 Baalath et toutes les villes qui lui servaient d'entrepôts, toutes les villes destinées à accueillir les chars, celles réservées à la cavalerie, ainsi que tout ce qu'il lui plut de construire à Jérusalem, au Liban et sur tout le territoire dont il était le souverain.

      2 Chroniques 9

      1 La reine de Séba apprit quelle était la réputation de Salomon et elle vint à Jérusalem pour le mettre à l'épreuve par des énigmes. Elle avait une suite très nombreuse, avec des chameaux chargés d’aromates, d'or en grande quantité et de pierres précieuses. Elle se rendit auprès de Salomon et lui exposa toutes ses réflexions.
      25 Salomon avait 4000 stalles pour les chevaux destinés à ses chars et 12'000 cavaliers qu'il plaça dans les villes où il gardait ses chars et à Jérusalem, près de lui.
      27 Le roi rendit l'argent aussi commun à Jérusalem que les pierres, et les cèdres aussi nombreux que les sycomores qui poussent dans la plaine.
      30 Salomon régna 40 ans à Jérusalem sur l’ensemble d’Israël.

      2 Chroniques 10

      18 Alors le roi Roboam envoya Hadoram, qui était préposé aux corvées, vers les Israélites, mais ils le lapidèrent et il mourut. Le roi Roboam s’empressa de monter sur un char pour se réfugier à Jérusalem.

      2 Chroniques 11

      1 A son arrivée à Jérusalem, Roboam rassembla la communauté de Juda et de Benjamin, soit 180'000 hommes d'élite aptes à la guerre, pour qu'ils combattent contre Israël afin de le ramener sous sa domination.
      5 Roboam siégea à Jérusalem et construisit des villes fortifiées en Juda.
      14 Les Lévites abandonnèrent en effet leurs territoires et leurs propriétés et vinrent en Juda et à Jérusalem, parce que Jéroboam et ses fils les empêchèrent de remplir leur service comme prêtres de l'Eternel.
      16 Les membres de toutes les tribus d'Israël qui avaient à cœur de rechercher l'Eternel, le Dieu d'Israël, suivirent les Lévites à Jérusalem pour offrir des sacrifices à l'Eternel, le Dieu de leurs ancêtres.

      2 Chroniques 12

      2 La cinquième année du règne de Roboam, Shishak, le roi d'Egypte, monta contre Jérusalem, parce qu'ils avaient fait preuve d’infidélité envers l'Eternel.
      4 Il s’empara des villes fortifiées qui appartenaient à Juda et arriva jusqu'à Jérusalem.
      5 Alors le prophète Shemaeja alla trouver Roboam et les chefs de Juda, qui s'étaient tous retirés dans Jérusalem à l'approche de Shishak, et il leur annonça : « Voici ce que dit l’Eternel : Vous m'avez abandonné. Je vous abandonne moi aussi et je vous livre entre les mains de Shishak. »
      7 Quand l'Eternel vit qu'ils s'humiliaient, il adressa la parole à Shemaeja : « Puisqu’ils se sont humiliés, je ne les détruirai pas. Je ne tarderai pas à les secourir et ma colère ne se déversera pas contre Jérusalem par l’intermédiaire de Shishak.
      9 Shishak, roi d'Egypte, monta contre Jérusalem. Il prit les trésors de la maison de l'Eternel et ceux du palais royal, il prit tout. Il prit les boucliers en or que Salomon avait faits.
      13 Le roi Roboam s'affermit dans Jérusalem et y régna. Il avait 41 ans lorsqu'il devint roi et il régna 17 ans à Jérusalem, la ville que l'Eternel avait choisie parmi toutes les tribus d'Israël pour y établir son nom. Sa mère s'appelait Naama et c’était une Ammonite.

      2 Chroniques 13

      2 Il régna 3 ans à Jérusalem. Sa mère s'appelait Micaja et c’était la fille d'Uriel, de Guibea. Il y eut guerre entre Abija et Jéroboam.

      2 Chroniques 14

      2 Chroniques 15

      10 Ils se rassemblèrent à Jérusalem le troisième mois de la quinzième année du règne d'Asa.

      2 Chroniques 17

      13 Il fit accomplir beaucoup de travaux dans les villes de Juda, et il avait de vaillants hommes comme soldats à Jérusalem.

      2 Chroniques 19

      1 Quant à Josaphat, le roi de Juda, il revint en paix chez lui à Jérusalem.
      4 Josaphat se réinstalla à Jérusalem, puis il se remit à visiter le peuple, depuis Beer-Shéba jusqu'à la région montagneuse d'Ephraïm, et il le fit revenir à l'Eternel, le Dieu de ses ancêtres.
      8 A Jérusalem aussi, Josaphat avait établi des Lévites, des prêtres et des chefs de famille pour Israël, pour l’application du droit de l'Eternel et les contestations. Ils revinrent alors à Jérusalem,

      2 Chroniques 20

      5 Josaphat se tint debout au milieu de l'assemblée de Juda et de Jérusalem, dans la maison de l'Eternel, devant le nouveau parvis,
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