Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Ecclésiaste 9.14

Il y avait une petite ville, avec peu d'hommes dans son sein ; un roi puissant marcha sur elle, l'investit, et éleva contre elle de grands forts.
Il y avait une petite ville avec peu d’habitants. Un roi puissant est venu l’attaquer. Il a creusé contre elle des fossés.
  • versets sélectionnés
  • Vidéos et messages relatifs
  • Commentaires bibliques
  • Hébreu / Grec
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Favoris
  • Partager

    • 2 Samuel 20

      15 Ils vinrent assiéger Chéba dans Abel-Beth-Maaka, et ils élevèrent contre la ville un retranchement qui atteignait le rempart. Tout le peuple qui était avec Joab sapait la muraille pour la faire tomber.
      16 Alors une femme habile se mit à crier de la ville : Écoutez, écoutez ! Dites, je vous prie, à Joab : Approche jusqu’ici, je veux te parler !
      17 Il s’approcha d’elle, et la femme dit : Es-tu Joab ? Il répondit : C’est moi ! Elle lui dit : Écoute les paroles de ta servante ; il répondit : J’écoute.
      18 Alors elle dit : Autrefois on avait coutume de dire : Que l’on consulte Abel ! Et tout se terminait ainsi.
      19 Moi je suis en paix avec les fidèles d’Israël, mais toi tu cherches à faire périr une ville qui est une mère en Israël ! Pourquoi détruirais-tu l’héritage de l’Éternel ?
      20 Joab répondit : Loin, loin de moi la pensée de détruire et de ruiner !
      21 Il ne s’agit pas de cela. Mais un homme de la montagne d’Éphraïm, nommé Chéba, fils de Bikri, a levé la main contre le roi, contre David. Livrez-le, lui seul, et je m’éloignerai de la ville. La femme dit à Joab : Eh bien ! sa tête te sera jetée par la muraille.
      22 La femme alla vers tout le peuple avec son habileté ; et ils coupèrent la tête de Chéba, fils de Bikri et la jetèrent à Joab. Joab sonna du cor ; on se dispersa loin de la ville, chacun dans ses tentes. Alors Joab retourna à Jérusalem, vers le roi.

      2 Rois 6

      24 Après cela, Ben-Hadad, roi de Syrie, rassembla toute son armée et monta pour assiéger Samarie.
      25 Il y eut une grande famine dans Samarie ; et le siège se prolongea au point qu’une tête d’âne valait quatre-vingts (pièces) d’argent, et le quart d’un qab de fiente de pigeon cinq (pièces) d’argent.
      26 Le roi d’Israël vint à passer sur la muraille, et une femme lui cria : Sauve- (moi), mon seigneur le roi !
      27 Il répondit : Si l’Éternel ne te sauve pas, avec quoi te sauverais-je ? Avec (le produit de) l’aire ou du pressoir ?
      28 Le roi lui dit encore : Qu’as-tu ? Elle répondit : Cette femme-là m’a dit : Donne ton fils ! nous le mangerons aujourd’hui, et demain nous mangerons mon fils.
      29 Nous avons fait cuire mon fils, et nous l’avons mangé. Le jour suivant, je lui ai dit : Donne ton fils, et nous le mangerons. Mais elle a caché son fils.
      30 Lorsque le roi entendit les paroles de cette femme, il déchira ses vêtement. Or, il passait sur la muraille, et le peuple le vit : voici qu’il avait par-dessous un sac sur le corps.
      31 Le roi disait : Que Dieu me fasse ceci et qu’il ajoute encore cela, si la tête d’Élisée, fils de Chaphath, reste aujourd’hui sur lui !
      32 Or Élisée était assis dans sa maison, et les anciens étaient assis auprès de lui. Le roi envoya un homme de son entourage. Mais avant que le messager soit arrivé, Élisée avait dit aux anciens : Voyez-vous, ce fils de meurtrier envoie (quelqu’un) pour m’ôter la tête ? Faites attention : quand le messager viendra, fermez la porte et repoussez-le avec la porte. Le bruit des pas de son maître n’est-il pas derrière lui ?
      33 Il leur parlait encore que déjà le messager était descendu vers lui et disait : Si ce malheur vient de l’Éternel, comment pourrai-je encore m’attendre à l’Éternel ?

      2 Rois 7

      1 Élisée dit : Écoutez la parole de l’Éternel ! Ainsi parle l’Éternel : Demain, à cette heure, on aura un séa de fleur de farine pour un sicle, et deux séas d’orge pour un sicle, à la porte de Samarie.
      2 L’écuyer du roi sur la main duquel il s’appuyait répondit à l’homme de Dieu : Même si l’Éternel faisait des fenêtres au ciel, cette chose arriverait-elle ? Élisée répliqua : Tu le verras de tes yeux ; mais tu n’en mangeras pas.
      3 Il y avait à l’entrée de la porte quatre lépreux qui se dirent l’un à l’autre : Quoi ! resterons-nous ici jusqu’à ce que nous mourions ?
      4 Si nous disons : entrons dans la ville, comme la famine est dans la ville, nous y mourrons ; et si nous restons ici, nous mourrons également. Maintenant donc allons nous livrer au camp des Syriens ; s’ils nous laissent vivre, nous vivrons, et s’ils nous font mourir, nous mourrons.
      5 Ils se levèrent donc au crépuscule, pour se rendre au camp des Syriens ; et lorsqu’ils furent arrivés à la limite du camp des Syriens, voici qu’il n’y avait plus personne.
      6 Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d’une grande armée, et ils s’étaient dit l’un à l’autre : Voici que le roi d’Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Hittites et les rois des Égyptiens pour venir contre nous.
      7 Ils se levèrent et s’enfuirent au crépuscule, abandonnant leurs tentes, leur chevaux et leurs ânes, le camp tel qu’il était, ils s’enfuirent pour (sauver) leur vie.
      8 Les lépreux, arrivés à la limite du camp, pénétrèrent dans une tente, mangèrent et burent. Ils en emportèrent de l’argent, de l’or et des vêtements qu’ils allèrent cacher. Ils revinrent, pénétrèrent dans une autre tente et en emportèrent (des objets) qu’ils allèrent cacher.
      9 Puis ils se dirent l’un à l’autre : Nous n’agissons pas bien ! Cette journée est une journée de bonne nouvelle ; si nous gardons le silence et si nous attendons jusqu’à la lumière du matin, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, allons faire rapport à la maison du roi.
      10 Ils allèrent appeler un garde de la porte de la ville, auquel ils firent ce rapport : Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voici qu’il n’y a plus personne, (on n’y entend) aucune voix d’homme ; il n’y a que des chevaux attachés et des ânes attachés, et les tentes telles quelles.
      11 On appela les gardes de la porte qui firent ce rapport à l’intérieur de la maison du roi.
      12 Le roi se leva de nuit et dit à ses serviteurs : Je vais vous dire ce que nous font les Syriens. Comme ils savent que nous sommes affamés, ils ont quitté le camp pour se cacher dans la campagne, se disant : Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants et nous entrerons dans la ville.
      13 L’un de ses serviteurs répondit : Que l’on prenne cinq des chevaux qui restent encore dans la ville, – ils sont comme toute la multitude d’Israël qui est restée, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui est à bout, – Envoyons-les et nous verrons.
      14 On prit deux chars avec les chevaux, et le roi envoya des messagers à la poursuite de l’armée des Syriens, en disant : Allez voir !
      15 Ils allèrent à leur poursuite jusqu’au Jourdain ; et voici que tout le chemin était plein de vêtements et d’objets que les Syriens avaient jetés dans leur précipitation. Les messagers revinrent le rapporter au roi.
      16 Le peuple sortit et pilla le camp des Syriens. C’est alors que l’on eut un séa de fleur de farine pour un sicle et deux séas d’orge pour un sicle, selon la parole de l’Éternel.
      17 Le roi avait remis la garde de la porte à l’écuyer sur la main duquel il s’appuyait ; mais le peuple piétina celui-ci à la porte, et il mourut selon la parole qu’avait prononcée l’homme de Dieu quand le roi était descendu vers lui.
      18 L’homme de Dieu avait dit alors au roi : On aura deux séas d’orge pour un sicle et un séa de fleur de farine pour un sicle, demain, à cette heure, à la porte de Samarie.
      19 Or l’écuyer avait répondu à l’homme de Dieu : Même si l’Éternel faisait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle ? Alors Élisée avait répliqué : Tu le verras de tes yeux, mais tu n’en mangeras pas.
      20 C’est en effet ce qui lui arriva : le peuple le piétina à la porte, et il mourut.

      Ecclésiaste 9

      14 (Il y avait) une petite ville, avec peu d’hommes ; un roi puissant marcha sur elle, l’investit et construisit contre elle de vastes retranchements.

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Générer un verset illustré
Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.