A la découverte d'une vocation cachée
1 Pierre 2.20-25 : 20 En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des …
L'apôtre définit sa fonction, et les qualifications requises
pour l’accomplir ;
il mentionne l’« appel » qu’il a reçu, à cet effet. (Ephésiens 3:1-7)
Les nobles buts de ce ministère. (Ephésiens 3:8-12)
Il prie pour les Éphésiens. (Ephésiens 3:13-19)
Et ajoute une action de grâces. (Ephésiens 3:20,21)
Toutes les offres merveilleuses de l'Évangile, « la bonne nouvelle », proviennent de l’abondance de la Grâce de Dieu ; par l’Évangile, l'Esprit opère dans les âmes ici-bas, par la Grâce. Il s’agit en fait d’un mystère qui nous échappe, caché dans le salut offert par Christ.
Le salut par la Grâce n'était pas aussi clairement révélé aux prophètes de l’Ancien Testament, que pour ceux du N.T. Telle était la grande vérité révélée à l'apôtre ; Dieu désormais, appelait les Païens à bénéficier du salut, par la foi en Christ.
Le Seigneur assiste Ses serviteurs dans le cadre de leur ministère, en leur attribuant différents dons, par Sa Grâce. Puisque qu’Il a désigné Paul pour accomplir sa fonction d’apôtre, Il lui a attribué toute la qualification nécessaire.
Avec quelle force, Paul parle-t-il de l’insondable richesse de Jésus-Christ ! Cependant, beaucoup de personnes n’en bénéficient pas, malgré la grande faveur qui leur est accordée, par la libre prédication de l’Évangile !
C’est par notre faute si nous ne sommes pas régénérés spirituellement par les richesses de notre Seigneur. Toute création a été opérée par Dieu, en Jésus-Christ : celle de l’origine du monde, lorsque qu’Il a généré toutes choses à partir du néant, comme celle par laquelle les pécheurs deviennent de « nouvelles créatures », par la Grâce qui opère en eux.
Ces richesses divines sont insondables et demeurent éternellement. Alors que les anges vénèrent la Sagesse de Dieu, quant à la rédemption de l’Église, les impies, dans leur ignorance, continuent à considérer tout cela comme des fables...
Si la loi de Christ est « inscrite » dans notre cœur, et que Son Amour y est répandu, alors Il demeure réellement en nous ! Où son Esprit demeure, Lui demeure !
Nous devrions désirer avoir de bons sentiments envers notre prochain, bien enracinés en nous. Qu’il est enviable, pour notre âme, de bien comprendre la nature de l'Amour de Dieu, par le biais de Christ !
Avec quelle puissance l'apôtre parle de l'Amour de Christ ! - La largeur montre son extension à toutes les nations, à tous les niveaux sociaux. - La longueur révèle qu'il demeure d'éternité en éternité. - La profondeur manifeste Son salut, à l’égard de ceux qui ont sombré dans les abimes du péché et de la misère. - La hauteur nous indique qu'Il relève les pécheurs repentis jusqu'à la félicité et à la gloire célestes.
Ceux qui reçoivent grâce pour grâce de la plénitude de Christ, (Jean 1:16)*, peuvent dire qu’ils sont remplis de la plénitude de Dieu.
Cette plénitude ne devrait-elle pas satisfaire le cœur de l'homme ? A-t-il vraiment besoin de se « gaver » de vaines futilités, essayant ainsi de se procurer le bonheur ?
*Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.
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Le sens de nos versions ordinaires : je vous prie de ne point vous décourager, est possible. (Luther, Calvin, la Bible anglaise et la plupart des commentateurs traduisent ainsi.)
Il nous paraît plus probable, toutefois, que la pensée de l'apôtre est celle-ci : "Je demande (à Dieu) de ne pas permettre que je me décourage, etc."
De même qu'à Ephésiens 3.8, 1'apôtre est saisi de la grandeur de sa vocation, des souffrances qui l'accompagnent, du sentiment de sa faiblesse, et il termine par une humble supplication à Dieu pour lui demander sa force.
La dernière pensée du verset : ce qui est votre gloire, s'accorde très bien avec ce sens : l'apôtre considère ses souffrances comme contribuant à la gloire des Eglises (comparez 1Corinthiens 4.9 et Suiv. ; 2Corinthiens 1.6), et il faut entendre ce mot dans son sens le plus élevé, c'est-à-dire comme signifiant la consommation finale de toute la vie chrétienne, la glorification.
Le serviteur de Dieu n'a pas d'autre but en se soumettant avec joie et avec constance à toutes les tribulations qu'il endure pour l'amour des âmes.
"La gloire et le salut de l'Eglise est d'avoir un pasteur qui mette son honneur et sa confiance, non dans le crédit des hommes, mais dans la croix de Jésus-Christ." Quesnel.
- Quelques interprètes pensent que la gloire des Ephésiens, ne consiste pas dans les souffrances de l'apôtre, mais dans le fait de ne pas perdre courage. On peut, d'après le texte, la rapporter à l'une et à l'autre de ces deux causes.
Si la loi de Christ est « inscrite » dans notre cœur, et que Son Amour y est répandu, alors Il demeure réellement en nous ! Où son Esprit demeure, Lui demeure !
Nous devrions désirer avoir de bons sentiments envers notre prochain, bien enracinés en nous. Qu’il est enviable, pour notre âme, de bien comprendre la nature de l'Amour de Dieu, par le biais de Christ !
Avec quelle puissance l'apôtre parle de l'Amour de Christ ! - La largeur montre son extension à toutes les nations, à tous les niveaux sociaux. - La longueur révèle qu'il demeure d'éternité en éternité. - La profondeur manifeste Son salut, à l’égard de ceux qui ont sombré dans les abimes du péché et de la misère. - La hauteur nous indique qu'Il relève les pécheurs repentis jusqu'à la félicité et à la gloire célestes.
Ceux qui reçoivent grâce pour grâce de la plénitude de Christ, (Jean 1:16)*, peuvent dire qu’ils sont remplis de la plénitude de Dieu.
Cette plénitude ne devrait-elle pas satisfaire le cœur de l'homme ? A-t-il vraiment besoin de se « gaver » de vaines futilités, essayant ainsi de se procurer le bonheur ?
*Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.