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Exode 19.24

Et l'Éternel lui dit : Va, descends ; puis tu monteras, toi, et Aaron avec toi ; mais que les sacrificateurs et le peuple ne rompent point les barrières pour monter vers l'Éternel, de peur qu'il ne se jette sur eux.

Yahweh said to him, "Go down and you shall bring Aaron up with you, but don't let the priests and the people break through to come up to Yahweh, lest he break forth on them."
Et l'Éternel lui dit : Va, descends ; puis tu monteras, toi, et Aaron avec toi ; mais que les sacrificateurs et le peuple ne rompent point les barrières pour monter vers l'Éternel, de peur qu'il ne se jette sur eux.
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      Exode 19

      Exode 24

      1

      Moïse est appelé sur la montagne, Le peuple promet d'être obéissant. (Exode 24:1-8)
      La gloire de l'Éternel apparaît. (Exode 24:9-11)
      Moïse gravit la montagne. (Exode 24:12-18)

      Une alliance solennelle a été établie entre Dieu et Israël. Cette alliance est une image type de celle offerte par Dieu à tous les croyants, par la Grâce, au travers de Christ.

      Dès que Dieu eut séparé Son peuple des autres nations, Il lui donna des directives par Sa Parole écrite, comme Il l'avait déjà fait préalablement. Les ordonnances divines sont si parfaites et tellement destinées à notre bien, que plus nous y songeons et plus elles doivent être notre règle de vie, plus nous éprouvons le besoin de nous y conformer. Le texte précise que le sang du sacrifice était répandu sur l'autel, sur le livre de l'alliance et sur le peuple. Personne ne pouvait obéir à Dieu ni accomplir des services religieux, sans avoir au préalable été aspergé de ce sang. Toutes les bénédictions promises à Israël dépendaient de la Grâce divine ; l'Éternel, dans Sa bienveillance, voulait conduire Son peuple.

      De même, le pécheur, en toute obéissance et par la foi dans le sang de Christ, peut s'approcher du trône divin !

      9 Les anciens virent le Dieu d'Israël ; ils entrevirent Sa gloire, mais quel que pût être l'objet de cette vision, ce ne fut qu'une représentation de ce qui ne pouvait se voir directement : en fait, Dieu se manifestait en vérité, parmi les Siens.

      Nous n'avons aucune description de cette représentation, à l'exception de ce qui se trouvait sous Ses pieds : c'était un ouvrage de saphir transparent. Sachons placer toutes les richesses de ce monde « sous nos pieds » et non dans nos cœurs !

      De même le croyant, de par son état, peut discerner clairement, au travers du visage de Jésus, toute la gloire de la Justice et de la Sainteté divine, beaucoup mieux qu'il ne pourrait le faire, s'il était sous le régime terrifiant du jugement ; par le Sauveur, nous avons la communion avec le Dieu saint.

      Matthieu 11

      Luc 13

      Luc 16

      Jean 1

      Romains 4

      2 Corinthiens 3

      Galates 3

      19 Si la promesse de la foi, mentionnée dans ce texte, est suffisante pour obtenir le salut, à quoi alors servait la loi ? Les Israélites, bien que peuple « élu » de Dieu, étaient pécheurs aussi bien que les autres hommes. La loi n'avait pas la prétention de faire découvrir un chemin de justification différent de celui qui était dévoilé par la promesse divine, mais de conduire les hommes à considérer quel était leur besoin, face à leur culpabilité du péché, en dirigeant leur regard vers Christ, le Seul grâce auquel ils peuvent être pardonnés et justifiés.

      La promesse du salut a été donnée par Dieu lui-même ; la loi a été donnée par le ministère des anges, et par un médiateur, Moïse. De ce fait, la loi ne peut pas être destinée à mettre de côté la promesse divine. Un médiateur, comme le signifie l’étymologie, est un ami qui intervient entre deux parties ; il ne doit pas favoriser l'une aux dépens de l’autre.

      Le but final de la loi résidait dans le fait que la promesse de la foi en Jésus-Christ puisse être accordée à ceux qui croient ; étant ainsi convaincus de leur culpabilité, et de l'insuffisance de la loi pour les justifier, ils sont ainsi persuadés de la nécessité de croire en Christ, dans le but d’obtenir les avantages de Sa promesse.

      Il n'est pas possible que la loi de Dieu, sainte et juste, le « standard du devoir pour tous », soit contraire à l'Évangile de Christ. Elle tend, de toutes les manières, à promouvoir ce dernier !

      Hébreux 4

      Hébreux 10

      19 L'auteur de l'épître ayant conclu la première partie de son exposé, continue maintenant, en soulignant l’application pratique de la doctrine.

      Comme les croyants ont obtenu un libre accès à la présence de Dieu, il leur appartient d'utiliser ce privilège. Grâce au sang de Jésus, offert en tant que sacrifice expiatoire, les chrétiens disposent de réels privilèges. Cette Nouvelle Alliance, qui révèle la sainteté et la Miséricorde infinies de Dieu, Celui qui pardonne, ne fut pas clairement comprise tant que la nature humaine de Christ, le Fils de Dieu, ne fut blessée et meurtrie pour nos péchés.

      Notre « chemin » vers le ciel passe par celui du Sauveur crucifié ; Sa mort est pour nous et pour tous ceux qui croient, le précieux chemin vers la vie. Ils doivent s'approcher de Dieu ; rester encore loin de Christ serait Le dédaigner. La phrase : « Le corps lavé d'une eau pure », est une allusion aux purifications exigées sous la loi : de même, l'emploi de l'eau qui purifie, dans le baptême, doit rappeler aux chrétiens que leur conduite doit rester sainte et pure.

      Puisque ces derniers ont obtenu toute consolation et Grâce de leur Père céleste, ils sont réconciliés et doivent observer en tous points la doctrine de Dieu, leur Sauveur. Les croyants doivent chercher comment être au service de leur prochain, en s'entraînant mutuellement à pratiquer avec ferveur, l’amour et les bonnes œuvres.

      La communion des saints est une grande aide, un privilège, et le moyen qui leur permet de rester fermes et de persévérer. Nous devons rester vigilants, au temps de l'épreuve, afin d’être armés pour persévérer dans notre fidélité au Seigneur. Un jour d’épreuve attend tous les hommes : le jour de leur mort.

      Hébreux 12

      18 La montagne du Sinaï, sur laquelle les tables de la loi furent élaborées, était un lieu que l'on aurait pu toucher ; il était pourtant interdit de le faire. La dispensation mosaïque, par rapport à la Nouvelle Alliance, se trouvait davantage axée sur des éléments physiques, extérieurs et terrestres.

      L'Évangile est synonyme de douceur et de condescendance, il convient parfaitement à notre faible nature. Sous l'Évangile, tous peuvent s’approcher de Dieu avec hardiesse et bénéficier de Sa présence. Mais l’homme le plus parfait serait désespéré s'il était jugé selon la sainte loi donnée sur le mont Sinaï, sans un réel Sauveur, Christ !

      Au temps de l'Évangile, l'église est appelée « la montagne de Sion » ; de cet endroit, les croyants discernent plus clairement le ciel, et la paix règne en leur âme. Tous les enfants de Dieu sont des « héritiers » ; chacun dispose des privilèges d’un fils « premier-né ». Supposons qu'une âme rejoigne l’assemblée, cette église si glorieuse, en restant cependant étrangère à Dieu, possédant encore un esprit charnel, aimant prioritairement ce présent monde, dans ce qu’il représente, avec toute sa vanité, ses mensonges et ses convoitises ; une telle âme semblerait s'être trompée de chemin, de lieu, d'état, et de compagnie. En réalité, elle devrait se sentir mal à l’aise dans une telle compagnie spirituelle...

      Christ est le Médiateur de la Nouvelle Alliance : Il est placé entre Dieu et les hommes, pour amener ces derniers à bénéficier de cette Alliance ; Christ plaide en notre faveur, auprès de Dieu, pour que, finalement, tout Son peuple soit réuni dans le ciel. Cette Nouvelle Alliance est fermement établie par le sang de Christ, répandu pour nous ; le sang de ce sacrifice a été répandu sur « l’autel », à la croix ; Christ a été la victime, au bénéfice des pécheurs ; Il ne plaide pas pour la vengeance, mais pour la Miséricorde !

      Veillons donc à ne pas refuser Son appel, plein de Grâce, avec le salut qui est offert. Veillons à ne pas repousser Celui qui parle du haut des cieux, avec une tendresse et un amour infinis ; comment pourront s'échapper ceux qui se détournent de Dieu, en toute incrédulité ou apostasie, alors qu'Il les conjure, dans Sa Grâce, afin qu’ils soient réconciliés, en recevant Son éternelle faveur ?

      La relation entre de Dieu et les hommes, aujourd’hui, en cette période de Grâce, nous assure qu'Il jugera sévèrement ceux qui méprisent l'Évangile. Nous ne pouvons pas adorer Dieu d'une manière acceptable sans l'adorer avec vénération, dans une pieuse crainte. Seule la Grâce de Dieu nous permet de L'adorer d'une manière correcte. Dieu reste immuable, un Dieu juste et trois fois saint, sous la Loi comme sous l'Évangile. Un héritage spirituel est assuré à tous les croyants ; tout ce qui concerne le salut est donné gratuitement, en réponse à la prière.

      Recherchons la Grâce, pour que nous puissions servir Dieu avec crainte et vénération !

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