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Exode 24.5

Il envoya des jeunes hommes, enfants d'IsraĂ«l, pour offrir Ă  l'Éternel des holocaustes, et immoler des taureaux en sacrifices d'actions de grĂąces.
He sent young men of the children of Israel, who offered burnt offerings and sacrificed peace offerings of cattle to Yahweh.

Il envoya de jeunes Israélites offrir à l'Eternel des holocaustes ainsi que des taureaux en sacrifices de communion.
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      Exode 18

      Exode 19

      Exode 24

      Lévitique 1

      1

      Dieu a institué diverses sortes d'offrandes et de sacrifices, afin d'assurer au peuple le pardon des offenses, à condition que le tout soit offert avec obéissance et avec une foi réelle.

      L'Éternel a aussi instituĂ© les sacrificateurs et les LĂ©vites, en ayant dĂ©fini leurs vĂȘtements propres Ă  leurs diffĂ©rents offices ; Il a dictĂ© leur conduite Ă  tenir et a indiquĂ© par qui elle devait leur ĂȘtre octroyĂ©e. Les diffĂ©rentes fĂȘtes, avec leur date respective, leur furent Ă©galement prescrites. Tout cela a Ă©tĂ© indiquĂ© Ă  IsraĂ«l pour bien montrer que le salaire du pĂ©chĂ© c'est la mort et que sans le sang de Christ, l'Agneau de Dieu innocent, il ne pouvait y avoir de pardon des fautes.

      * Les offrandes. (Lévitique 1:1,2) Préceptes à observer pour le bétail, (Lévitique 1:3-9) Pour le menu bétail et les oiseaux. (Lévitique 1:10-17)

      LĂ©vitique 1:1,2 Les offrandes pour les sacrifices ont Ă©tĂ© une ordonnance propre Ă  la vĂ©ritable religion, depuis la chute de l'homme jusqu'Ă  la venue de Christ. Mais jusqu'Ă  ce que les IsraĂ©lites n'arrivent dans le dĂ©sert, rien de bien particulier n'avait Ă©tĂ© dĂ©fini Ă  ce sujet par l'Éternel. Le principe gĂ©nĂ©ral de toutes ces ordonnances est clair : les sacrifices sont une image de Christ ; ils mettent au jour le devoir des croyants ainsi que le type et la nature de la communion Ă  entretenir avec Dieu. Il n'y a guĂšre de choses se rapportant au Seigneur JĂ©sus, qui ne soient mentionnĂ©es par les Écritures, en particulier dans ces instructions donnĂ©es au peuple.

      Le livre du LĂ©vitique dĂ©bute par les lois relatives aux Sacrifices ; les plus anciens Ă©taient les sacrifices d'offrandes brĂ»lĂ©es : Dieu donna en effet Ă  MoĂŻse toutes les instructions Ă  leur sujet. Il Ă©tait clair que le peuple dĂ©sirait apporter des offrandes Ă  l'Éternel.

      La lumiÚre naturelle qui illumine le monde, pousse l'homme à se tourner vers son Créateur, vers Dieu. Immédiatement aprÚs la chute, dans le livre de la GenÚse, les sacrifices furent en effet décrétés.

      3 Dans les ordonnances données par le livre du Lévitique, les mystÚres du monde spirituel sont représentés par des éléments de la nature : les pratiques qui vont suivre, relatives aux sacrifices et aux offrandes, en sont une représentation. Sans cette idée sous-jacente, ces cérémonies sembleraient n'avoir aucun sens. Dans ces éléments, nous trouvons une représentation des souffrances du Fils de Dieu, sacrifié pour les péchés du monde entier. Le corps brûlé de l'animal, n'était qu'une piÚtre représentation du chùtiment éternel que nous méritions tous ; en fait, c'est notre Seigneur Jésus qui a supporté corps et ùme cette malédiction, lorsqu'Il est mort sous le poids de nos iniquités.

      Remarquons bien les Ă©lĂ©ments suivants : - La bĂȘte Ă  sacrifier devait ĂȘtre sans dĂ©faut. Cela signifie que Christ Ă©tait pur et parfait, capable de rendre sain Son peuple rachetĂ©. - La personne offrant le sacrifice devait le faire sans contrainte. Tout acte de piĂ©tĂ©, destinĂ© Ă  plaire Ă  Dieu, doit ĂȘtre accompli avec amour. Christ s'est Lui-mĂȘme volontairement offert, par amour pour nous. - La bĂȘte devait ĂȘtre offerte Ă  la porte du tabernacle, sur l'autel de bronze des sacrifices. Cette offrande Ă©tait ainsi sanctifiĂ©e : c'est une image du pĂ©cheur, incapable d'entrer en communion avec Dieu, sans ĂȘtre sanctifiĂ© par un sacrifice. - Celui qui offrait le sacrifice devait apposer sa main sur la tĂȘte de la victime : cela signifiait qu'il souhaitait que son offrande soit bien acceptĂ©e. - Le sacrifice devait ĂȘtre exĂ©cutĂ© devant l'Éternel, selon un rite et une maniĂšre bien prĂ©cis, en vue d'honorer Dieu. Cela signifie aussi pour les chrĂ©tiens, qu'ils doivent sacrifier tout ce qui vient de la chair : les affections corrompues comme les convoitises. - Les sacrificateurs devaient Ă©pandre le sang sur l'autel ; le sang Ă©tant la vie, c'est par lui que le pĂ©chĂ© pouvait ĂȘtre expiĂ©. C'est une image de la purification et de l'apaisement de nos consciences par l'aspersion du sang de JĂ©sus-Christ, et ce par le biais de la foi. - La bĂȘte sacrifiĂ©e devait ĂȘtre divisĂ©e en plusieurs morceaux, pour ĂȘtre ensuite brĂ»lĂ©e sur l'autel. Ce sacrifice consumĂ© est aussi une image des horribles souffrances de Christ ; c'est Ă©galement un modĂšle pour les chrĂ©tiens, qui doivent offrir leur ĂȘtre, dans le « feu de la sainteté », donnant ainsi leur esprit, leur Ăąme et leur corps Ă  Dieu. - Il est mentionnĂ© que le sacrifice Ă©tait d'odeur agrĂ©able Ă  l'Éternel : il en a Ă©tĂ© de mĂȘme pour Christ qui est mort, en toute obĂ©issance Ă  Dieu, en vue de Lui offrir un sacrifice parfait ; les sacrifices spirituels des chrĂ©tiens ne peuvent ĂȘtre acceptĂ©s par Dieu qu'au travers de Christ, 1Pierre 2:5.

      10 Ceux qui ne pouvaient offrir un taureau, pouvaient apporter un mouton ou une chĂšvre ; quant Ă  ceux qui ne pouvaient offrir aucun de ces animaux, ils avaient l'agrĂ©ment divin s'ils amenaient une tourterelle ou un pigeon. Ces crĂ©atures n'Ă©taient sĂ©lectionnĂ©es pour ĂȘtre sacrifiĂ©es, que si leur caractĂšre Ă©tait doux, calme et inoffensif ; cela nous rappelle l'innocence et l'humilitĂ© que l'on rencontrait dans la personne de Christ, ici-bas et qui devrait se trouver Ă©galement chez les chrĂ©tiens.

      L'offrande du pauvre Ă©tait Ă©galement une image de l'expiation faite par JĂ©sus-Christ, elle avait autant de valeur que la plus coĂ»teuse : elle exprimait une rĂ©elle repentance, la foi et le dĂ©vouement Ă  Dieu. Nous n'avons aucune excuse si nous nĂ©gligeons notre devoir dans le service divin. De mĂȘme qu'un IsraĂ©lite pouvait offrir un taureau ou une chĂšvre, nous pouvons offrir Ă  Dieu, qui Le premier, nous a dĂ©jĂ  donnĂ©, le sacrifice de notre cƓur brisĂ©, ou celui de notre louange et de nos remerciements. Plus nous nous consacrons au service divin, plus nous nous engageons pour Lui, cherchant toute occasion pour accomplir de notre mieux, Sa volontĂ©. En toutes choses Dieu pourvoit aux Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires pour Son service, que ce soit le temps ou les moyens ; lĂ  oĂč la providence divine a donnĂ© Ă  l'homme une opulence de richesse, Dieu n'acceptera pas d'offrande qui ne soit faite avec un cƓur contrit.

      Consacrons-nous, corps et ùme, à Son service, quelle qu'en soit la difficulté requise ; entreprenons, accomplissons et souffrons pour notre Seigneur !

      Lévitique 3

      1

      Les sacrifices d'actions de grùce, pour le gros bétail. (Lévitique 3:1-5)
      Les sacrifices d'actions de grùce, pour le menu bétail. (Lévitique 3:6-17)

      Les sacrifices d'actions de grĂące font rĂ©fĂ©rence Ă  Dieu, Celui qui donne toutes choses. Ces sacrifices, faits sur l'autel, engageaient Ă  la fois les sacrificateurs et celui qui apportait l'offrande. On les appelait « sacrifices d'actions de grĂące » car en eux, Dieu et Son peuple se rĂ©jouissaient ensemble, en tĂ©moignage de leur communion mutuelle. Ces sacrifices Ă©taient offerts dans un esprit de supplication. Si un homme Ă©tait en instance d'une demande de grĂące, il devait ajouter Ă  sa priĂšre le type de sacrifice mentionnĂ© dans ce texte. Christ est notre « Paix », notre « Offrande de Paix » ; nous ne pouvons ĂȘtre exaucĂ©s dans nos priĂšres, avec en plus la paix dans le cƓur, que par Son intermĂ©diaire. Ces sacrifices d'actions de grĂące Ă©taient aussi offerts Ă  titre de reconnaissance pour les bienfaits accordĂ©s par l'Éternel. Nous devons continuellement offrir Ă  Dieu des sacrifices de louange, par l'intermĂ©diaire de Christ, notre « Paix » ; et cela sera plus agrĂ©able Ă  l'Éternel que l'offrande d'un taureau ou d'un bƓuf !
      6 Nous sommes ici en prĂ©sence d'un texte interdisant toute consommation de graisse ou de sang par les IsraĂ©lites. Tout comme la graisse, les rognons ne devaient pas non plus ĂȘtre mangĂ©s. Il Ă©tait interdit de consommer du sang, car c'Ă©tait la part rĂ©servĂ©e Ă  Dieu, Ă  chaque sacrifice. Ce Dernier ne voulait pas que le sang qui avait servi Ă  l'expiation des pĂ©chĂ©s, soit utilisĂ© Ă  titre de mets commun, Heb 10:29 ; ceci s'applique Ă©galement Ă  nous, malgrĂ© le fait que notre pĂ©chĂ© ait Ă©tĂ© expiĂ© parfaitement par notre Sauveur. Cela permettait aux Juifs de bien faire la distinction entre les choses communes et celles qui Ă©taient sacrĂ©es ; cela permettait aussi de les prĂ©server de toute dĂ©viation idolĂątre.

      Le peuple Ă©tait ainsi bien imprĂ©gnĂ© par la solennitĂ© que reprĂ©sentaient le sang versĂ© et la graisse brĂ»lĂ©e des sacrifices. Christ, le Prince de Paix, nous donne cette paix par le sang de la croix. En Lui, le croyant est rĂ©conciliĂ© avec Dieu ; et ayant cette paix de Dieu en son cƓur, le rachetĂ© est tout disposĂ© Ă  la partager avec les hommes. Que le Seigneur fasse abonder Sa grĂące, Sa MisĂ©ricorde et Sa paix Ă  quiconque dĂ©sire porter le nom de chrĂ©tien !

      Lévitique 7

      11 Comme dans le sacrifice d'actions de grĂące, dans un esprit de misĂ©ricorde, Dieu laissa plutĂŽt au peuple une certaine libertĂ© dans la pratique des sacrifices, au vu de la conviction de son pĂ©ché ; en effet, Dieu acceptait davantage ces offrandes faites librement, en toute sincĂ©ritĂ©, plutĂŽt que d'autres, devant rĂ©pondre, par obligation au rituel de l'expiation : l'Éternel montrait ainsi le fait d'une rĂ©elle Propitiation. La principale raison d'interdiction de consommer du sang, dĂšs les temps les plus reculĂ©s, venait du fait qu'il fallait respecter celui qui allait ĂȘtre versĂ© plus tard par notre Seigneur, pour notre expiation. Ce prĂ©cepte figuratif a pris fin lors de la mort de Christ, date Ă  laquelle les sacrifices ont cessĂ©. Cette ordonnance relative au sang, n'a donc plus raison d'ĂȘtre aujourd'hui pour les croyants.
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