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Exode 38.21

אֵ֣לֶּה פְקוּדֵ֤י הַמִּשְׁכָּן֙ מִשְׁכַּ֣ן הָעֵדֻ֔ת אֲשֶׁ֥ר פֻּקַּ֖ד עַל־פִּ֣י מֹשֶׁ֑ה עֲבֹדַת֙ הַלְוִיִּ֔ם בְּיַד֙ אִֽיתָמָ֔ר בֶּֽן־אַהֲרֹ֖ן הַכֹּהֵֽן׃
Voici quelles furent les quantités de métaux utilisés pour la demeure sacrée qui devait abriter le document de l’alliance. Selon l’ordre de Moïse, le compte en fut établi par les lévites sous la direction d’Itamar, fils du prêtre Aaron.
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      Exode 6

      Exode 25

      Exode 26

      Exode 38

      21 Les pièces en argent massif fondu sont une image de la solidité et de la pureté de la Vérité, sur laquelle l’église est fondée.

      À chaque fois que nous détaillons les ustensiles du tabernacle, portons nos regards sur notre Seigneur Jésus-Christ : quand nous songeons à l’autel des sacrifices, nous pouvons « voir » Jésus ! En Lui nous distinguons la droiture et le salut, deux « offrandes » parfaites pour la rémission des péchés. Dans la cuve de la régénération, par le Saint-Esprit, nos âmes sont lavées et deviennent alors vraiment propres ; de même que les Hébreux, qui faisaient leurs offrandes avec libéralité, offrons de la même manière notre âme à Dieu !

      Soyons prêts à partager toutes choses ici-bas, quitte à tout perdre pour gagner Jésus-Christ !

      Exode 40

      Nombres 1

      Nombres 4

      Nombres 9

      15 Cette nuée était là, en tant que signe visible et symbole de la présence divine au milieu d'Israël. Nous pouvons en conclure qu'il nous faut voir Dieu, continuellement à nos côtés, nuit et jour. Tant que la nuée restait au dessus du tabernacle, le peuple demeurait à cet endroit. Tant que nous attendons le moment dicté par Dieu, il n'y a pas de temps perdu. Quand la nuée s'élevait, le peuple se mettait en marche, quittant ainsi le confort de son campement. Nous devons être continuellement prêts à quitter notre maison terrestre, notre « tabernacle », au commandement du Seigneur. Il est très sécurisant et plaisant de se déplacer quand nous voyons Dieu nous guider, et de nous reposer quand Il nous commande de le faire. Le guidage de cette nuée est une image significative de la conduite, pleine de bénédictions, que nous apporte le Saint-Esprit.

      Quand nous lisons ce texte, relatif à la nuée, il ne faut pas nous attendre à voir de telles manifestations divines de nos jours, pour nous guider ; mais la promesse pour « l'Israël spirituel » que nous sommes, est formelle : Dieu guide les siens par Son conseil, Psaume 73:24, et ce, jusqu'à la mort, Psaume 48:14. Tous les enfants de Dieu sont guidés par Son Esprit, Romains 8:14. Il aplanira les sentiers de tous ceux qui Le reconnaissent, Proverbes 3:6. Au commandement envoyé par l'Éternel, nos cœurs devraient toujours être prêts à partir ou à se reposer, en disant : « Père, que Ta volonté soit faite ; dispose de ma personne selon Ton bon plaisir. J'accomplirai ce que Tu veux, où Tu veux. Je t'appartiens, fais-moi connaître la voie de mon devoir » ! Rien ne sera alors meilleur pour nous, que de suivre les principes enseignés par la Parole, tout en priant avec ferveur.

      Quand un projet est manifestement mauvais, ou douteux, alors que l'on a l'impression de voir un signe de Dieu, cette « nuée qui nous commande de lever le camp », il ne s'agit en fait rien d'autre que de la tentation, envoyée par Satan ; les hommes s'adonnent alors à leurs lubies, étant pleinement convaincus qu'ils servent le Seigneur. Si, en toute humilité, nous recherchons la volonté de Dieu, ce Dernier, dans Sa grâce, nous conduira, par Sa Vérité infaillible, en Jésus-Christ, vers une paix éternelle.

      Suivons la colonne de nuée et de feu ! Que la Bible soit gravée dans notre cœur, recevons Sa Parole avec humilité, La seule qui puisse conduire notre âme vers le Salut !

      Nombres 10

      11 Après que les Israélites aient séjourné pratiquement un an sur le mont Sinaï, et que tous soient convaincus que leur destinée était guidée par la main divine, ils commencèrent leur marche vers Canaan. La véritable religion, commence par la connaissance de la sainte Parole de Dieu et par l'humiliation devant notre péché : nous pouvons ainsi nous diriger vers la perfection, par la connaissance de Christ et de Son évangile, étant encouragés, motivés et assistés dans la sainteté par Ses commandements.

      Les enfants d'Israël partirent sur l'ordre de l'Éternel, \\#De 1:6-8\\, quand ils virent la nuée s'élever au dessus d'eux. Ceux qui se soumettent aux directives de la Parole et au Saint-Esprit, parcourent leur chemin en sécurité, malgré le côté parfois déconcertant de ce dernier. Ils sont sûrs de ne jamais perdre Dieu, leur Guide et de ce fait, ne craignent aucunement d'errer en chemin.

      Les enfants d'Israël quittèrent le désert du Sinaï pour se diriger vers celui de Paran. Tous nos déplacements ici-bas consistent à quitter un « désert » pour nous rendre vers un autre : nous changeons parfois d'endroit, dans l'espoir que tout ira mieux, mais à l'arrivée, que de déceptions ! Nous ne serons jamais en repos dans nos demeures, tant que nous ne serons pas aux cieux, où là, tout sera parfait !

      Nombres 17

      8 Alors que les autres verges restèrent telles quelles, celle d'Aaron devint une branche vivante : elle avait en effet des boutons, des fleurs et des fruits, tout cela en même temps.

      C'était vraiment miraculeux ! Il était clair qu'Aaron était sous l'effet d'une bénédiction céleste particulière. La manifestation de fruits est la meilleure évidence de l'action divine ; il en est de même pour la verge d'Aaron qui était la seule parmi les autres à avoir fleuri. Cette verge fut préservée afin de couper court aux murmures des Israélites et qu'ils ne meurent point, suite à leur conduite. Le but final de Dieu, dans toute Sa Providence et dans tous les mémoriaux institués, est de repousser le péché. Christ a été manifesté pour ôter le péché. Christ est appelé « la verge » qui descend de la famille de Jessé : si a vue humaine, cette « verge » pouvait paraître sans éclat apparent, en réalité, il est dit qu'Elle fleurira éternellement.

      La verge d'Aaron, qui était auparavant en bois sec, se mit à revivre et fleurir, pour confondre ses adversaires. Les enfants d'Israël pleurèrent et dirent : « nous périssons, nous périssons tous » ! C'était vraiment l'expression d'un peuple accusé, rebelle contre les jugements divins, qui par son orgueil et son obstination courait à sa ruine.

      Il est très grave de se rebeller contre Dieu, quand nous sommes dans l'affliction : notre détresse peut alors nous mener à la mort : dans une telle situation, au moment de notre mort, le blâme initial qui nous accusait demeurera sur nos têtes. Quand Dieu juge, Il donne toujours au fautif le plus obstiné, la possibilité de confesser sa folie.

      Quelle bénédiction nous avons de nos jours, d'être sous une dispensation plus simple et meilleure ! Christ nous a en effet donné de merveilleuses promesses !

      Nombres 18

      Nombres 24

      1 Chroniques 6

      2 Chroniques 24

      Esdras 8

      Job 11

      Job 22

      Job 26

      1

      Job réprimande Bildad. (Job 26:1-4)
      Job reconnaît la puissance divine. (Job 26:5-14)

      Job tourne la réponse de Bildad en dérision ; les paroles de ce dernier ne pouvaient qu'irriter le patriarche par leur contenu basé sur l'auto satisfaction. Bildad aurait dû essayer de consolation à Job au lieu de le terroriser par l'idée des effets de la Puissance divine. Christ sait comment nous parler, en fonction de nos craintes, Isa 50:4 ; il ne faut pas faire de peine à ceux que Dieu veut rendre heureux. Nous sommes souvent désappointés par les réactions des amis qui veulent nous encourager. Mais le Consolateur, l'Esprit Saint, ne commet jamais de fautes, Il ne manque pas à son devoir.

      Psaumes 15

      1

      Le chemin du ciel. Si nous voulons être joyeux, nous devons être saints. Nous sommes invités à emprunter cette voie.

      - Voici vraiment la véritable question inhérente aux caractéristiques d'un citoyen de Sion. Il s'agit de la joie des saints glorifiés qui demeurent sur la colline sainte. Là se trouve leur demeure, ils y resteront à jamais.

      En ce qui nous concerne, nous devons vraiment savoir si nous avons une place parmi eux. Une réponse véritable et claire nous est donnée ici. Ceux qui désirent connaître leur devoir, trouveront dans l'Écriture un fidèle Directeur, la conscience trouvera un fidèle Moniteur. Un citoyen de Sion est sincère dans sa religion. Il est vraiment ce qu'il professe et s'efforce toujours de se trouver dans le plan de la volonté divine. Il est juste à la fois devant Dieu et devant l'homme ; lorsque qu'il s'adresse à l'un ou à l'autre, la vérité est présente en son cœur. Il méprise et a en horreur la fausseté et la fraude ; il ne peut se vanter d'avoir fait une bonne affaire si celle-ci a été menée sous le mensonge ; il sait que s'il trompe son voisin, tout se saura un jour et qu'il ne pourra en tirer que des injures. Il est très vigilant en ne voulant faire aucun mal à qui que ce soit. Il ne calomnie personne ni ne souligne pas les fautes des autres dans la conversation courante. Il mentionne le meilleur côté des autres mais jamais le pire. Si on lui conte une mauvaise histoire, il la désapprouve dans la mesure du possible ; en cas d'impossibilité, il ne cherche pas à en savoir davantage. Il mesure la valeur des hommes par leur vertu et leur piété.

      Les méchants sont vils, sans intérêt et bons à rien ; c'est ce que déclare la Parole. Le justifié, quant à lui, est sensible au manque de dévotion d'un homme, à sa condition misérable éventuelle. Il reconnaît qu'une piété véritable honore un homme plus que la richesse ou un grand nom. Il honore de telles personnes, désire tenir conversation avec elles, mentionne un intérêt pour eux dans ses prières, est heureux de leur témoigner son respect ou de leur adresser toute faveur fraternelle.

      En cela nous pouvons nous juger nous-mêmes dans une certaine mesure. Même les hommes bons et sages peuvent prêter serment, pour leur perte : regardez combien l'obligation est sévère lorsqu'ils doivent alors souffrir à perte pour eux même ou pour leur famille, ceci pour respecter leur engagement vis à vis du voisinage. Il n'accroîtra pas la valeur de ses biens par extorsion ou par corruption. En vue d'acquérir quoi que ce soit, il ne fait rien qui puisse nuire à une cause juste.

      Chaque véritable membre vivant de l'assemblée, comme l'église elle-même d’ailleurs, est bâtit sur le Roc. Celui qui est ainsi, ne chancellera jamais. La grâce de Dieu lui sera toujours suffisante.

      L'union à de tels membres, animés par de tels principes ne peut conduire qu'à la repentance, à la foi dans le Sauveur et à Son amour. Dans tout cela, attachons-nous à rechercher cette conduite !

      Matthieu 17

      Actes 7

      2 Corinthiens 5

      1

      L'espérance et le désir de l'apôtre de jouir de la gloire céleste. (2 Corinthiens 5:1-8)
      Cette espérance l'incitait à être assidu, dans son zèle pour soutenir les Corinthiens. (2 Corinthiens 5:9-15)
      La nécessité de la régénération et de la réconciliation avec Dieu, par le biais de Christ. (2 Corinthiens 5:16-21)

      Le croyant, par la foi, ne dispose pas seulement de l’assurance d'une vie ultérieure, céleste, quand celle d’ici-bas sera terminée, mais il s’appuie sur la solide espérance, par la Grâce, de voir le ciel ; cette vision spirituelle dévoile une « demeure », un endroit de repos, un « lieu caché » pour l’instant.

      Dans la maison de notre Père se trouvent beaucoup de demeures, dont l'Architecte et le Bâtisseur sont Dieu lui-même. Une félicité future est préparée par Dieu à l’intention de ceux qui l’aiment : ces derniers demeureront dans des habitations éternelles, n’ayant aucune ressemblance avec celles d’ici bas, qui ne sont que de pauvres « maisons d'argile », dans lesquelles notre âme demeure ; toutes les habitations de ce monde ne sont bâties que sur des fondations de poussière...

      Le corps de chair est un lourd fardeau, les calamités de la vie représentent une lourde charge. Les croyants gémissent, leur existence étant accablée par le péché et par les nombreuses corruptions qui se manifestent encore en eux.

      La mort nous « dévêtira » de notre « vêtement de chair » : de tous les plaisirs de la vie, comme de nos problèmes ici bas. Les âmes croyantes seront revêtues de « vêtements d'éloge », parées de « robes de droiture et de gloire ». Les grâces présentes et les réconforts de l'Esprit ne sont que les prémices de la Grâce éternelle et de la félicité. La présence de Dieu, ici bas, avec nous, par l’Esprit et Ses ordonnances, n’est comparable en aucune mesure avec ce que nous connaîtrons dans les lieux célestes !

      La foi nous anime ici-bas, dans les lieux célestes, ce sera la vue ! Il est de notre devoir, et de notre intérêt, de marcher par la foi, jusqu'à ce que nous vivions par la vue. Cette vérité montre clairement le bonheur qu’il y a, de se savoir aimés par les âmes des croyants qui se trouvent déjà en compagnie de la glorieuse présence du Seigneur.

      Nous sommes rattachés, intégrés au « corps » du Seigneur. Avec quelle puissance le Seigneur cherche à avoir l'âme des croyants intimement unie à Lui-même : « tu es une des âmes que J'ai aimées et choisies ; une de celles qui me sont données » !

      La mort n’est-elle pas un véritable sujet de crainte, pour celui dont l’existence sera loin de toute présence du Seigneur ?

      Hébreux 8

      Hébreux 9

      11 Toutes les bénédictions passées, présentes, et à venir, sont fondées sur la fonction sacerdotale de Christ ; elles nous sont octroyées par cette dernière. Notre « Souverain Sacrificateur » est entré dans le ciel une fois pour toutes, et nous a acquis le salut éternel.

      Le Saint-Esprit a d'abord signifié et révélé que les sacrifices de l'Ancien Testament ont seulement libéré l'homme de son impureté, en le rendant apte à recevoir quelques privilèges. Qu'est-ce qui a donné un tel pouvoir au sang de Christ ? Il s’agissait d’une « offrande volontaire », Celui qui, cependant, n’avait aucune culpabilité inhérente à Sa nature ou Sa vie.

      Par le sacrifice de Christ, la conscience la plus coupable est libérée des « œuvres mortes » ; celui qui est ainsi purifié peut servir le Dieu vivant ; on peut comprendre avec « les œuvres coupables », la pollution de l'âme ; ce qui peut signifier pour des Juifs, de toucher un cadavre ; la Grâce qui scelle le pardon divin fait « renaître » l'âme polluée.

      Rien ne détruit davantage la foi en l'Évangile, que tout ce qui tente d'amoindrir le véritable pouvoir du sang de Christ, versé pour nous. Nous sommes incapables de sonder la profondeur du mystère du sacrifice de Christ, ni de comprendre la « supériorité » d’un tel acte. Nous sommes incapables de nous-mêmes, d’estimer la grandeur, la sagesse, l'amour et la grâce qui résident en ce don merveilleux.

      Mais en considérant, avec piété, le sacrifice de Christ, la foi trouve la vie spirituelle, la nourriture, et le rafraîchissement !

      2 Pierre 1

      Apocalypse 11

      Apocalypse 21

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