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Galates 5.17

En effet, la nature humaine a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit a des désirs contraires à ceux de la nature humaine. Ils sont opposés entre eux, de sorte que vous ne pouvez pas faire ce que vous voudriez.

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      Psaumes 19

      Psaumes 51

      1

      Le psalmiste prie pour obtenir la miséricorde divine, confessant humblement ses péchés. (Psaumes 51:1-6)
      Il plaide pour le pardon afin de promouvoir la gloire de Dieu et la conversion des pécheurs. (Psaumes 51:7-15)
      Dieu est satisfait devant un cœur contrit, une prière pour la prospérité de Sion. (Psaumes 51:16-19)

      David, convaincu de son péché, épanche son âme à Dieu dans une prière qui implore la miséricorde et la grâce. Qui donc pourrait provoquer un tel sentiment de repentance auprès de ses enfants sinon le Seigneur Dieu qui seul peut les guérir ?

      Le psalmiste, de par son enseignement spirituel, fait un état de son cœur, vis-à-vis de Dieu. Ceux qui, en toute sincérité, implorent le pardon divin pour leurs péchés, n'éprouveront aucune honte de leur repentance. L'auteur nous offre un enseignement sur cette pratique et en particulier sur ce qu'il faut dire.

      David a non seulement commis un grave péché, il en souffre aussi énormément vis à vis de Dieu ; il sait également qu'il peut compter sur la grâce infinie de Dieu, et obtenir ainsi Son pardon et Sa paix. Il implore le pardon du péché.

      Le sang de Christ, épandu sur la conscience, efface la transgression, et nous réconcilie avec Dieu. Le croyant désire vivement être délivré de la dette de tous ses péchés, il veut être lavé de toute souillure ; il voudrait être soigneusement nettoyé de toute iniquité ; mais l'hypocrite a toujours quelques secrets cachés ou de vifs désirs insatisfaits.

      David éprouve une honte réelle vis à vis de son péché, à tel point qu'il y pense constamment, étant troublé et saisi de douleur. Son péché a été commis contre Dieu et ceci montre bien combien nous nous éloignons de Lui lorsque nous péchons volontairement ; dans cet état, nous ne pouvons que régresser. Et celui qui se repent sincèrement saisira vraiment l'envergure de sa faute et la corruption de son péché. Il confessera cette corruption. C'est cette folie qui est implantée dans le cœur d'un enfant, cette tendance à se tourner vers le mal et non vers le bien, ce fardeau qui charge celui qui veut être régénéré et qui ruine l'impie. Il est encourageant, lors de cette repentance, de voir que Dieu, dans sa grâce, accepte le psalmiste.

      Dieu désire la sincérité de cœur, il regarde au changement de cap du pécheur. Là où se trouve la vérité Dieu donne la sagesse. Ceux qui recherchent instamment et sincèrement cette voie seront encouragés ; ils ne pourront espérer se sanctifier que par la grâce divine qui seule peut laver leur nature corrompue.

      Psaumes 65

      Psaumes 119

      25 Tandis que les âmes des enfants de ce monde vivent les choses terrestres, les enfants de lumière, eux, supportent le lourd fardeau de leurs origines charnelles, dans leur cœur.

      C'est un réconfort indescriptible pour l'âme de savoir que toutes nos requêtes sont perçues par le Dieu de grâce. Nous pouvons témoigner des merveilles de Son amour rédempteur quand nous percevons les sentiers de Ses préceptes et que nous les empruntons. Celui qui se repent est transi de douleur par son péché : l'esprit, dans la souffrance, peut ressentir le même sentiment et il est de son intérêt d'épancher son âme à Dieu.

      Le chemin du mensonge révèle tous les moyens par lesquels les hommes trompent leurs semblables, ou sont trompés par Satan et ses artifices. Ceux qui connaissent et qui aiment la loi du Seigneur, désirent en connaître davantage et l'aimer de plus en plus. Le chemin de la piété est le chemin de la vérité, le seul qui mène au bonheur : nous devons toujours l'avoir réellement en ligne de mire. Ceux qui observent la Parole de Dieu peuvent, par la foi, avoir toute espérance en Dieu. Seigneur, ne me laisse jamais faire des choses honteuses et ne rejette jamais mes œuvres pour Ton service. Ceux qui se rendent aux cieux devraient presser le pas. Dieu, par son Esprit, affermit le cœur de ses enfants lorsqu’il leur donne la sagesse. Le croyant prie pour être libéré de l'emprise du péché.

      Psaumes 130

      Ecclésiaste 7

      Esaïe 6

      Matthieu 5

      Matthieu 12

      Matthieu 16

      Matthieu 26

      Luc 22

      54 La chute de Pierre consista à renier Christ, en démentant être Son disciple ; étant dans l’embarras et en danger il a désavoué son Seigneur.

      Celui qui a menti une fois, est fortement tenté de recommencer et céder à ce péché, même en cherchant à lutter contre, c'est comme permettre à un courant d'eau de s’infiltrer dans une faille.

      Lors de ce reniement, le Seigneur s'est retourné et a regardé Pierre. 1. Il s’agissait d’un regard triste. Jésus s'est retourné et a regardé Son disciple, comme pour lui dire : « vraiment, tu ne me connais pas, Pierre » ? 2. Ce regard était sans doute une réprimande. Songeons à ce type de regard du Seigneur, lorsque nous avons péché... 3. C'était un regard désapprobateur : « toi qui étais le premier à confesser que j'étais le Fils de Dieu, et qui avais solennellement promis que jamais tu ne me désavouerais » ! 4. C'était aussi un regard compatissant : « Pierre, comment vas-tu te relever de ta chute, si Je ne t'aide pas » ? 5. Jésus regarda Pierre avec une certaine autorité, pour qu'il quitte ces lieux et s’examine lui-même. 6. C'était enfin un regard significatif : il indiquait à Pierre que la Grâce pouvait toucher son cœur, pour lui permettre de se repentir.

      La Grâce divine œuvre DANS et PAR la Parole de Dieu ; elle permet à cette Dernière d’entrer dans le cœur, de toucher la conscience, amenant ainsi l'âme à se tourner vers Dieu, dans la joie !

      Christ regarda aussi les principaux sacrificateurs : Son regard n’a pas eu sur eux le même impact que sur Pierre : le disciple a bénéficié, en plus, de la Grâce divine qui accompagnait ce regard, ce qui l’a restauré !

      Jean 3

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir à la connaissance du péché, essentielle à la repentance, à la paix du cœur et au pardon divin, qu'en éprouvant notre cœur et en vivant selon les préceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.

      Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.

      Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !

      14 Comparé à la sainte règle de conduite de la loi, inhérente à la Parole de Dieu, l'apôtre constate son propre éloignement de la perfection spirituelle : il lui semblait être complètement charnel ; il pensait n’être qu’un homme, vendu contre son gré à un « maître détesté », duquel il ne pouvait obtenir la liberté.

      Un véritable chrétien sert involontairement ce maître honni ; il ne peut se débarrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de Grâce, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le délivrer. Le mal qui subsiste en son cœur est une réelle et humiliante entrave à son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte témoignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du péché.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de sainteté de l’apôtre, de sa connaissance de la spiritualité de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent résider en notre cœur. De nombreux croyants ont adopté ces principes de l'apôtre, montrant qu'ils conviennent à leur aversion profonde du péché, et à l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'étend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causé par la dépravation de son ancienne nature. Il était confronté fréquemment à de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa véritable identité spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le péché qui demeurait en lui, l'apôtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le côté négatif de leurs iniquités, même celles condamnées par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y règne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      18 Plus le cœur est pur et saint, plus il pourra rapidement se rendre compte du péché qui réside en lui. Le croyant est le mieux placé pour évaluer la beauté de la sainteté et l'excellence de la loi divine. Plus il grandit dans la connaissance de la Grâce, plus il désire obéir au Seigneur.

      Il ne parvient pas, hélas, à accomplir tout le bien auquel il aspire ; le péché ressurgit toujours en lui, compte tenu de son ancienne nature, ce qui le pousse à pratiquer le mal, malgré la détermination de sa volonté.

      Cette pratique attristait l'apôtre. Si par la lutte entre la chair et l'Esprit, Paul ne parvenait pas à réaliser ce que ce Dernier lui suggérait, il ne voulait pas non plus accomplir ce que son ancienne nature l’incitait à faire.

      Le cas de Paul était absolument différent de ceux qui s'abandonnent délibérément à leurs penchants iniques, qui continuent, hélas, malgré les avertissements de la Parole et de leur conscience, à pratiquer le mal, se dirigeant ainsi avec préméditation, vers le chemin de la perdition !

      Puisque le croyant est sous le régime de la grâce et désire croître dans la sainteté, il prend pleinement plaisir à obéir à la Parole de Dieu ; cette « nouvelle créature » homme est régénérée par Dieu dans la marche véritable vers la sainteté !

      23 Ce texte ne présente pas l'apôtre comme pratiquant les œuvres de la chair, mais comme quelqu'un aspirant puissamment à marcher selon l’Esprit.

      Si certaines personnes interprètent volontairement mal ce passage, (comme d’ailleurs d’autres textes de l’Écriture), courant ainsi à leur propre destruction, les chrétiens véritables, quant à eux, y trouvent le motif de bénir Dieu, qui leur a apporté le réconfort et la consolation spirituels.

      Nous ne devons pas, contrairement à ceux qui sont aveuglés par leurs propres convoitises, chercher des fautes éventuelles dans la Parole de Dieu ; recherchons uniquement l’interprétation correcte des textes. Celui qui n'est pas engagé dans le conflit spirituel entre la chair et l’Esprit, ne peut comprendre clairement la signification de ce texte, ne pouvant juger exactement le conflit douloureux qui rongeait le cœur de l'apôtre, le conduisant à pleurer, tel un misérable, contraint à pratiquer encore le péché.

      Paul constatait qu’il était incapable de se délivrer lui-même de cette situation, ce qui le poussait à remercier Dieu avec ferveur de lui avoir révélé le chemin du salut, par le biais de Jésus-Christ, avec la promesse de délivrance de « l’ennemi » qui le poussait sans cesse à commettre l‘iniquité. Alors, dit-il : « je suis moi-même, par mon esprit, ma conscience, mes affections et mes buts, un homme régénéré par la Grâce divine, qui sert la loi de Dieu et lui obéit ; mais avec la chair, ma nature charnelle et les restes de sa dépravation, je sers la loi du péché, qui fait la guerre à la loi de mon esprit ».

      L’apôtre ne « servait » pas son ancienne nature en vivant délibérément en elle, mais il était incapable, même avec la meilleure volonté, de se libérer de cette servitude, éprouvant néanmoins le besoin de chercher de l'aide et la délivrance du ciel. Il est évident qu'il remercie Dieu pour Christ, notre Libérateur, Celui qui a expié nos péchés, Celui qui est notre Justice. Paul, avant sa conversion, ne connaissait pas l’existence d’un tel salut et se sentait indigne d’y accéder. Il était disposé à agir en tous points selon la loi, avec une bonne conscience, mais il en était empêché par son péché : il ne pouvait donc atteindre la perfection que la loi exige.

      Peut-il y avoir une délivrance, pour un homme toujours coupable, si ce n'est par la Grâce de Dieu, offerte par Jésus-Christ ? Le pouvoir de la Grâce divine et du Saint-Esprit aurait pu autoritairement « déraciner » le péché de notre cœur, mais la sagesse divine avait prévu d’agir autrement. Dieu a estimé que les chrétiens doivent ressentir constamment l'état misérable dans lequel ils se trouvent, sachant que seule la Grâce divine est capable de les sauver ; les enfants de Dieu doivent se garder de leur confiance en eux-mêmes ; ils doivent toujours tirer leur consolation et leur espérance dans la Grâce merveilleuse et gratuite de Dieu, en Christ !

      Romains 8

      Galates 3

      Philippiens 3

      12 L’apôtre ne dit pas dans ce texte qu’il a déjà remporté « le prix » (parvenu à son but spirituel), ni qu’il ressemble parfaitement à son Sauveur. Il oublie tout ce qui est derrière lui, afin de ne pas se contenter des œuvres qu’il a déjà effectuées, ni des grâces dont il a pu bénéficier.

      Paul portait son regard en avant, « courant vers le but », montrant une grande vigilance à essayer de devenir de plus en plus semblable à Christ.

      Celui qui s’élance dans une course ne doit jamais s'arrêter avant la fin, il doit être aussi rapide que possible ; ceux qui placent leur espérance dans le « céleste », doivent concentrer leur énergie pour atteindre ce but, animés de saints désirs, et d’une grande constance dans leurs efforts.

      La vie éternelle est un don de Dieu, par l’intermédiaire de Jésus-Christ ; Le Seigneur nous tend Sa main pour nous aider à l’obtenir, car Il est le seul qui puisse nous la procurer. Le ciel ne pourra constituer notre demeure que si Christ est notre « Chemin ». Les véritables croyants, dans la poursuite de cette assurance spirituelle et de la Gloire de Christ, chercheront vraiment à essayer de ressembler à Ses souffrances et à Sa mort, en mourant au péché et en crucifiant la chair, avec ses vaines affections et ses convoitises.

      Dans cette « course » spirituelle, les chrétiens véritables disposent d’une force particulière, mais tous sont capables de discerner le « but », même partiellement. Pour les croyants, Christ est tout en tout, ils dirigent les désirs de leur cœur vers un autre monde, le spirituel. S'ils disposent tous d’aptitudes particulières, et ne sont pas toujours du même avis, quant à certains détails, ils ne doivent pas se juger mutuellement, puisqu'ils se réunissent ici-bas au Nom de Christ, espérant Le rencontrer bientôt face à face dans le ciel !

      Que les enfants de Dieu soient d’accord sur tous les grands sujets spirituels, mais qu'ils attendent davantage de lumière céleste pour les points secondaires sur lesquels ils pourraient éventuellement ne pas être en harmonie.

      Les ennemis de la croix de Christ n'ont à l'esprit que leurs appétits sensuels. L’iniquité est la honte du pécheur, surtout quand il s'en glorifie. Le chemin de ceux qui ne pensent qu’aux attraits de ce monde, peut paraître agréable, mais la mort et l'enfer en sont la fin ! Si nous choisissons d’emprunter leur chemin, nous partagerons leur fin... La vie d'un chrétien est dans le ciel, où se trouvent son Chef et sa « maison », où il espère se rendre bientôt ; il place ses affections dans ce qui est céleste, et l’état de son cœur guidera son comportement.

      Une certaine gloire est réservée pour les corps des saints, dans laquelle ils paraîtront, lors de la résurrection. Leur corps sera alors glorieux ; ils seront non seulement ramenés à la vie, mais ils disposeront d’un immense privilège céleste. De quel pouvoir le Seigneur dispose t-il pour opérer un tel changement !

      Puissions-nous être prêts, lors de la venue de notre Juge ! Notre corps périssable sera alors transformé, par Son pouvoir Tout-puissant ; appliquons-nous chaque jour à ressembler à Christ, dans Sa sainteté, afin qu’Il nous délivre de nos ennemis ; employons-nous, corps et âme, à être des instruments de justice, à Son service !

      Jacques 3

      Jacques 4

      1 Jean 1

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