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Hébreux 6.19

Espérance que nous gardons comme une ancre de l'âme, sûre et ferme, et qui pénètre au-dedans du voile,
[Et] laquelle nous tenons comme une ancre sûre et ferme de l'âme, et qui pénètre jusqu'au-dedans du voile,
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      Lévitique 16

      15 Nous voyons dans ce texte, les deux grands privilèges de l'évangile : la rémission des péchés et le libre accès à Dieu, tous deux obtenus grâce à notre Seigneur Jésus !

      Considérez bien l'expiation qui était faite pour nos fautes : Christ a été à la fois l'Auteur et l'Objet de cette expiation ; Il est le Sacrificateur, le grand Sacrificateur, le Seul qui puisse obtenir la réconciliation avec Dieu pour les péchés des hommes. Comme Christ a été le « grand Sacrificateur », ainsi en est-il de Son Sacrifice, par lequel nous sommes sauvés. En effet, Il a tout accompli en ce qui concerne notre réconciliation avec Dieu. Les deux boucs utilisés pour la rémission des péchés étaient une image de l'œuvre rédemptrice de Jésus. Le bouc sacrifié était « Christ mourant pour nos péchés » ; celui qui était libéré, était une image de notre justification apportée par le Sauveur. Le texte mentionne que l'expiation n'était achevée que lorsque l'on « mettait » les péchés d'Israël sur la tête du bouc qui était relâché dans le désert, dans un site inhabité ; cet animal chassé représentait alors la complète rémission des péchés du peuple. Il portait sur lui toutes les iniquités. Ainsi en est-il de Christ, l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde, prenant les iniquités sur Lui-même, Jean 1:29. L'entrée du souverain sacrificateur dans le lieu très saint, était une image de notre « possibilité » d'accéder directement aux cieux, Heb 9:7. Ensuite, le souverain sacrificateur devait sortir du lieu très saint. Mais notre Seigneur Jésus, Lui, vit éternellement dans les cieux, intercédant pour nous continuellement auprès de Dieu. Nous sommes ici en présence des deux grandes vérités de l'évangile : la foi et la repentance.

      Par la foi, nous posons nos mains sur la « tête du sacrifice », nous appuyant sur Christ, le Seigneur de droiture, le Seul qui puisse faire l'expiation de nos péchés et nous procurer le pardon. Lors de la repentance, nos âmes sont attristées : non seulement par les déviations que peuvent amener certains plaisirs ici-bas, mais aussi, par la douleur engendrée par le péché et une vie constituée de luttes constantes. Nous sommes par contre assurés que si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous pardonner nos iniquités et nous purifier de toute impiété. Par l'expiation, nous pouvons obtenir le repos de notre âme et toutes les merveilleuses libertés dont peuvent jouir les enfants de Dieu. Pécheur, prend le Sang de Christ pour sauver ton âme, ou alors tu ne pourras jamais voir Dieu en face, l'esprit dégagé de toute culpabilité. Prends ce sang, et par la foi, constate à quel point Il te réconcilie avec Dieu !

      Psaumes 42

      Psaumes 43

      Psaumes 62

      Psaumes 146

      5 Le psalmiste nous encourage à placer notre confiance en Dieu. Nous devons espérer dans la providence et la grâce divine, c'est là tout notre besoin pour notre vie durant, et celle à venir. Le Dieu des cieux s'est fait homme, pour notre salut. Bien qu'Il mourut sur la croix pour nos péchés et qu'Il soit allé au tombeau, ses sentiments d'amour pour nous n'ont pas cessé ; Il est ressuscité pour les prouver.

      Quand Jésus était ici-bas, Ses miracles n'étaient qu'un exemple de ce qu'Il a accompli chaque jour. Il accorde la délivrance aux captifs liés dans les chaînes du péché et de Satan. Il ouvre nos yeux pour que nous constations le triste état dans lequel nous sommes. Il nourrit, par le pain de vie, ceux qui sont sauvés ; Il est l'ami fidèle des pauvres en esprit, leur Aide : en Lui, les pauvres pécheurs, sans père à qui se confier, peuvent trouver la miséricorde ; Son royaume est éternel.

      Pécheurs, venez à Lui, croyants, réjouissez-vous en Lui ! Le Seigneur règnera éternellement ; pressons les nôtres pour qu'ils louent Son saint Nom !

      Esaïe 12

      Esaïe 25

      Esaïe 28

      16 Ce texte nous présente une promesse : Christ, le seul « fondement » sur lequel nous pouvons compter, pour échapper à la colère divine à venir. Ce fondement a été créé en Sion, conformément à la Volonté de Dieu. Christ est une véritable « pierre », capable de soutenir solidement son église. Il est une pierre sûre, une pierre sélectionnée, approuvée de Dieu, et qui n'a jamais déçu ceux qui l'ont éprouvée. Une pierre angulaire, solidifiant tout l'édifice spirituel, en en soutenant tout le poids.

      La « vue » spirituelle du Seigneur est une perspective vraiment précieuse pour chaque croyant ; elle représente un fondement inébranlable sur lequel ce dernier peut s'appuyer. Et celui qui, de tout temps et en tous lieux, se base sur ce témoignage, en plaçant toutes ses espérances du salut éternel de son âme, ne sera jamais confondu. Le résultat merveilleux de la foi en Christ consiste en la paix sereine de l'âme, permettant à cette dernière de pouvoir patienter, jusqu'à l'accomplissement des différents événements annoncés par Celui qui dispose en Sa Main de toute Puissance.

      En vue d'être justifiés, les hommes ne peuvent compter sur aucun autre moyen que la Droiture de Christ ; ils ne doivent surtout pas faire confiance à leur propre sagesse, leur force, et leur sainteté, mais se baser sur la Puissance du Saint-Esprit ; ils ne peuvent escompter jouir du bonheur parfait, sinon qu'en celui que peut offrir Dieu ; toute protection terrestre sous laquelle ils pensent pouvoir s'abriter, s'avérera vaine.

      Ceux qui se reposent sur leur propre droiture, ne connaîtront que déceptions : le verset Esaïe 28:20 nous le rappelle bien, « le lit est trop court pour qu'on s'y allonge, la couverture trop étroite, quand on s'en enveloppe ».

      Dieu sera toujours glorifié dans l'accomplissement de Ses desseins. Ceux qui professent être des membres de Son église, tout en se conduisant à la manière des Philistins et des Cananéens, doivent s'attendre à être traités en tant que tels.

      Ne méprisez pas les avertissements de la Parole de Dieu, ni Ses prophéties relatives à l'imminence de Ses jugements !

      Jérémie 17

      Matthieu 27

      51 Le voile du temple déchiré signifiait que Christ, par Sa mort, a ouvert un chemin qui mène directement à Dieu. Nous avons maintenant un chemin direct, qui, de manière imagée, nous fait passer du propitiatoire, vers le trône de la gloire : par le biais de Christ, nous avons un accès au trône de la Grâce.

      Lorsque nous considérons véritablement la mort de Christ, cela doit alors déchirer notre cœur, même s’il est dur comme le roc. Ce cœur est vraiment endurci s'il ne cède pas, s'il ne « fond » pas, face à Jésus-Christ, Celui qui a été crucifié devant tous. Lors de la crucifixion, des tombes se sont ouvertes, et beaucoup de saints « endormis » se sont levés. À qui sont-ils apparus, et de quelle manière, comment disparurent-ils ensuite, cela ne nous est pas dit ; ne soyons pas plus curieux, au sujet de ce qui n’est pas écrit dans la parole de Dieu !

      Les manifestations terrifiantes de Dieu déstabilisent quelquefois étrangement les pécheurs, quant à leurs convictions obstinées, elles contribuent en fait à leur réveil. C’est ce qui provoqua la terreur du centenier et des soldats romains qui gardaient Jésus.

      Nous pouvons méditer en toute sérénité sur les nombreux témoignages qui concernent le caractère de Jésus ; si nous ne Lui donnons aucun motif qui puisse L’offenser, nous pouvons Lui laisser le soin de purifier notre âme, si du moins nous désirons vivre pour Lui ! Puissions-nous, avec l'œil de la foi, voir Christ crucifié, et être animés par ce grand amour avec lequel Il nous a aimés.

      Les amis de Jésus ne pouvaient pas faire plus que de Le regarder de loin ; ils Le voyaient, sans toutefois pouvoir L'aider. Jamais l’horrible nature du péché ni ses conséquences n'ont été plus affreusement affichés, qu’en ce jour, où le Fils bien-aimé du Père a été pendu sur la croix, souffrant pour l’iniquité des autres, Lui le Juste pour les injustes, afin de pouvoir les présenter devant Dieu. Soyons donc disposés à Le servir !

      Actes 27

      Romains 4

      Romains 5

      6 Christ est mort pour les pécheurs ; Il n’est pas mort inutilement, mais pour tous ceux qui sont ignoblement coupables, de façon à ce que leur salut soit à la gloire de la Justice divine.

      Christ est mort pour nous sauver, non pas DANS nos péchés, mais DE nos péchés ; nous étions encore des pécheurs quand Il est mort pour nous.

      L'esprit charnel est non seulement l’ennemi de Dieu, mais il est envers ce Dernier une véritable inimitié, 8:7;Colossiens 1:21. Mais Dieu a résolu de délivrer l’homme du péché, opérant ainsi un énorme changement. Tant qu’un état de culpabilité persiste, Dieu rejette le pécheur, et vice-versa, Zacharie 11:8. La mort de Christ, pour sauver une telle personne condamnée est un mystère ; il n'y a aucun autre exemple connu, d'un tel Amour ; l'éternité sera bien employée pour adorer ce Sauveur, et continuer à s’émerveiller de Sa Gloire !

      Quel était le fond de la pensée de l'apôtre Paul, quand il citait le cas de quelqu'un mourant pour un homme de bien ? Il employait le ton d’une supposition. Ne voulait-il pas dire que par cette souffrance, le bénéficiaire pourrait être libéré ?

      En quoi ceux qui placent leur confiance en Christ peuvent-ils être libérés par Sa mort ? Il ne s’agit pas, bien sûr, de la mort corporelle, tout homme devant la subir. Cette délivrance ne peut s’effectuer que de manière surnaturelle, elle sauve l’homme d’une fin beaucoup plus épouvantable que la mort naturelle.

      Aucun autre mal spécifique ne peut faire l’objet du sujet développé par l’apôtre, excepté celui qu’il désigne clairement : le péché et la colère ; la punition du péché est résolue par la Justice infaillible de Dieu. Si, par la Grâce divine, les pécheurs ont été amenés à se repentir, à croire en Christ et à être ainsi justifiés par le prix de Son sang versé, par la foi dans cette expiation, à travers Celui qui est mort pour eux et qui est ressuscité, ils sont gardés de tomber sous le pouvoir du péché et de Satan.

      Le Seigneur, ayant tout accompli par Sa mort, par amour, sauve ainsi les véritables croyants. Ayant un tel gage du salut, dans l'Amour de Dieu, à travers Christ, l'apôtre déclare que les croyants doivent se réjouir, non seulement dans l'espérance céleste et dans leurs tribulations pour la cause de Christ, mais ils doivent aussi rendre gloire à Dieu, leur « Ami » immuable et leur Père Tout Puissant, à travers Christ !

      Romains 8

      28 De nombreux bienfaits encouragent les âmes des saints. Toute la providence divine tend au bien spirituel de ceux qui aiment Dieu ; en les séparant du péché, elle les amène plus près du Père, les « sevrant » du monde, et les rendant aptes à se rendre au ciel. Quand les saints agissent hors de ce principe, des « corrections célestes » sont alors employées pour les y ramener.

      Nous trouvons dans ce texte ce qui a motivé la recherche de notre salut ; c’est un séquentiel immuable : 1. « Ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils ». Tous ceux que Dieu a désignés pour Sa Gloire et la félicité éternelle, Il les a destinés à croître dans la Grâce et la sainteté. L'humanité entière, par son péché, mérite la mort ; mais pour des raisons qui nous échappent, Dieu a résolu de sauver les âmes par la régénération et le pouvoir de Sa Grâce. Il a prédestiné, ou décrété par avance, qu'elles doivent être conformes à l'image de Son Fils. Elles sont en partie renouvelées spirituellement ici-bas, marchant dans Ses pas. 2. « Ceux qu'Il a prédestinés, Il les a aussi appelés ». C'est un appel pertinent, destiné à conduire chaque âme à Dieu, par l’intermédiaire de Christ, le ciel étant l’issue finale ; ce cheminement débute par le péché et la vanité, pour se terminer dans la connaissance de la Grâce et de la sainteté. Tel est l'appel de l'Évangile. L'amour de Dieu, régnant dans le cœur de ceux qui jadis étaient Ses ennemis, prouve qu'ils ont été appelés selon Son dessein. 3. « Ceux qu'Il a appelés, Il les a aussi justifiés ». Personne ne peut être justifié s'il n'a été effectivement appelé. Ceux qui résistent à l'appel de l'Évangile sont coupables et demeurent soumis aux sentences de la colère divine. 4. « Ceux qu'Il a justifiés, Il les a aussi glorifiés ». Le pouvoir de corruption du péché étant brisé par la justification divine et la culpabilité de l’homme, effacée, rien ne peut désormais s'interposer entre son âme et la Gloire céleste. C'est un encouragement pour notre foi et notre espérance ; les voies et l’œuvre de Dieu sont parfaites !

      L'apôtre Paul montre son émerveillement, étant confondu d'admiration, devant la hauteur, la profondeur, la longueur et la largeur, de l'Amour de Christ, éléments qui surpassent toute connaissance. Plus nous découvrons les caractéristiques de Son amour, plus nous sommes étonnés ; plus nous sommes conduits dans les mystères de l'Évangile, plus nous en sommes émerveillés.

      Tant que Dieu est « pour nous » et nous garde dans Son amour, nous pouvons, dans une sainte hardiesse, défier tous les pouvoirs des ténèbres !

      32 Toutes choses, quelles qu'elles soient, dans le ciel, comme ici-bas, ne peuvent exposer la grandeur de l'Amour gratuit de Dieu, manifesté par le don de Son Fils, Celui qui a expié le péché de l'homme sur la croix ; en fait, tout dépend de notre relation spirituelle avec Lui, et de l'intérêt que nous Lui portons.« Toutes choses », concourent au bien réel du chrétien fidèle. Christ, Celui qui nous a préparé une couronne et un royaume, nous donnera ce dont nous avons besoin, dans le chemin qui y conduit.

      Les hommes se justifient vainement de toutes les accusations du ciel, relatives à leurs péchés ; mais si c'est Dieu qui justifie, cela répond à tout. Par Christ, nous sommes « en sécurité ». Par le mérite de Sa mort il a payé notre dette. Il est ensuite ressuscité. Ceci satisfait, de manière claire et évidente la Justice divine ! Nous avons un tel Ami qui est assis à la droite de Dieu ! Tout pouvoir Lui est donné et Il intercède pour nous.

      Croyant, que ton âme puisse s’exprimer ainsi : « Christ est mon Sauveur, et je Lui appartiens ! Je dois Lui plaire et vivre pour lui » ! Quand vous êtes convaincus de votre impiété, il ne faut pas vous torturer l’esprit et vous embarrasser de vaines pensées, ni de doutes infructueux, sans fin : croyez en Celui qui justifie l'impie ! Vous êtes condamnés, mais cependant, Christ est mort et ressuscité pour votre délivrance. Allez vers Lui tel que vous êtes. Dieu, ayant manifesté Son Amour, en donnant Son propre Fils pour nous, pouvons-nous penser que quelque chose puisse nous détourner ou nous éloigner de ce Dernier ? Ni trouble, ni cause quelconque ne peuvent démontrer une faiblesse de cet Amour. Quelles que soient les épreuves des croyants, ceux-ci ne peuvent être séparés de cet Amour. Personne ne peut éloigner Christ du croyant : c’est impossible ! Toutes les épreuves que ce dernier pourrait subir sont incapables de le séparer de cet Amour !

      Hélas, pauvres pécheurs, même si vous vivez dans les richesses en ce monde, combien sont-elles vaines ! Pouvez-vous leur dire : « qui pourra nous séparer » ? Vous pouvez perdre à tout instant vos somptueuses demeures, vos amis et vos propriétés. Un jour vous devrez partir, car vous devez mourir. Il faudra alors dire adieu à tout ce monde ici-bas, avec ce qu'il compte de plus précieux. Que laisseras-tu, pauvre âme qui ne possède pas Christ ? Tu renoncerais avec plaisir à la culpabilité de tes péchés, mais tu en es incapable ! Par contre, l'âme qui est en Christ, à la veille de la mort, alors qu’il faut tout quitter, s'attache à son Sauveur : la séparation d’avec les biens terrestres ne l’affecte guère !

      Oui, quand la mort survient, elle brise tous les liens ici-bas, ceux de l'âme et du corps ; elle transporte l'âme du croyant dans l'union la plus étroite avec son bien-aimé Seigneur Jésus, dans la plénitude de la joie en Lui, pour toujours !

      1 Corinthiens 15

      Ephésiens 2

      Colossiens 3

      1

      Les Colossiens sont exhortés : - à tourner leurs pensées vers le ciel ; (Colossiens 3:1-4)
      - à mortifier toutes leurs affections corrompues ; (Colossiens 3:5-11)
      - à vivre dans l'amour fraternel, l'abstention du mal et le pardon mutuel ; (Colossiens 3:12-17)
      - à pratiquer les devoirs des épouses et des maris, des enfants, des parents, et des serviteurs. (Colossiens 3:18-25)

      Puisque les chrétiens sont libérés de la loi de cérémonie (mosaïque), ils doivent marcher le plus attentivement possible avec Dieu, en toute obéissance à l'Évangile. Comme le ciel et la terre sont opposés l'un à l'autre, on ne peut pas les suivre simultanément : l'affection en faveur de l'un diminuera immanquablement celle envers l'autre.

      Ceux qui sont nés de nouveau sont « morts au péché » : en fait, la domination de ce dernier est brisée, son pouvoir est graduellement « subjugué » par la Grâce, pour être en fin de compte étouffé par la perfection de la Gloire de Dieu. Dans ce texte, « être mort » signifie ceci : ceux qui bénéficient du Saint-Esprit, Celui qui mortifie en eux la convoitise de la chair, sont capables de mépriser les attraits de ce monde, pour tendre vers ceux du ciel.

      Jusqu’à présent, nous n’avons pas encore vu Christ ; nous savons, par contre, qu’en Sa présence, nous ne courons aucun danger ! « L’eau vive » coule dans notre âme par l’influence du Saint-Esprit, par la foi. Christ, par Son Esprit, habite dans le cœur du croyant et ce dernier vit pour Lui, dans tout ce qu'il accomplit.

      Lors de la deuxième venue de Christ, il y aura un « rassemblement général » de tous les rachetés ; ceux dont la vie est maintenant « cachée » en Christ, paraîtront alors avec Lui, dans Sa gloire.

      Sommes-nous réellement à la recherche d’un tel honneur, ou conservons-nous encore notre attachement envers le monde, avec son mode de vie ?

      2 Timothée 2

      Hébreux 4

      Hébreux 6

      Hébreux 9

      Hébreux 10

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