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Hébreux 7.7

But without any dispute the lesser is blessed by the greater.

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      Genèse 27

      30 Quand Ésaü comprit que Jacob a ravi sa bénédiction, il a pleuré amèrement, à grands cris. Le jour approche où ceux qui ont méprisé les bénédictions de la promesse divine, et qui ont préféré aux avantages spirituels, ce qui est vain et sans valeur, tenteront rapidement de rebrousser chemin. Dès qu'Isaac se rendit compte de la duperie dont il a été l'objet, il a violemment tremblé.

      Ceux qui suivent la voie de leurs propres affections, plutôt que celle de la volonté divine, doivent s'attendre à tomber dans l'embarras. Isaac se ressaisit rapidement, et a confirmé qu'il avait donné la bénédiction à Jacob, en disant : « je l'ai béni, aussi il sera béni ». Ceux qui s'éloignent de la sagesse, de la grâce, de la foi et d'une bonne conscience, au profit des honneurs, de la richesse, ou des plaisirs de ce monde, avec les attraits que tout cela procure, seront jugés indignes, et leur triste sort en sera la conséquence.

      Une bénédiction banale a été accordée à Ésaü. C'est ce qu'il désirait. Se laisser aller vers les désirs plus ou moins saints et pratiquer des activités douteuses, sans discernement des conséquences tragiques qui peuvent en découler, ne peut donner que tromperie et conduit à la ruine.

      Des multitudes de pécheurs s'en vont en enfer, tout en ayant des idées et des propos optimistes. Le gros problème d'Ésaü réside dans le fait que rien dans sa bénédiction ne peut conduire à Christ ; à cause de cela, le gras de la terre, et la richesse des champs, seront bien rares devant lui. Ainsi Isaac, par la foi, a béni ses deux fils, selon le sort qui leur était réservé.

      Genèse 28

      1

      Isaac envoie Jacob à Paddan-Aram. (Genèse 28:1-5)
      Ésaü se marie avec la file d'Ismaël. (Genèse 28:6-9)
      La vision de Jacob. (Genèse 28:10-15)
      Le rocher Béthel. (Genèse 28:16-19)
      Le vœux de Jacob. (Genèse 28:20-22)

      Jacob a reçu les bénédictions promises, à la fois pour le monde présent et aussi pour celui qui doit venir ; il quitte son pays pour se rendre dans un autre, où l'attend un dur service. C'est, dans un sens, une juste rétribution à la duperie qu'il a faite à son père. La bénédiction lui sera accordée, malgré sa ruse utilisée pour l'obtenir. Jacob est mis à l'écart par son père, avec la charge d'une mission solennelle : il ne devait pas prendre pour épouse une des filles de Canaan.

      Ceux qui professent une réelle piété ne devraient pas se marier avec ceux pour qui la religion n'entre pas en ligne de compte. Isaac au tout début était déjà béni, sans qu'il en ait réellement conscience ; maintenant il l'est ouvertement. Cette dernière bénédiction est plus complète que l'ancienne ; c'est une bénédiction qui annonce et préfigure l'évangile. Cette promesse vise les choses célestes, dont Canaan, en quelque sorte, était le type. Ce fut le meilleur pays que Dieu ait destiné à Jacob et aux patriarches.

      Genèse 47

      7 Jacob, avec la solennité que confère son âge, la piété d'un vrai croyant, et l'autorité d'un patriarche en même temps que prophète, a sollicité le Seigneur de bien vouloir accorder Sa bénédiction sur Pharaon. Il a agi sans avoir honte de sa religion ; de plus, il voulait exprimer sa gratitude au bienfaiteur de sa famille. Nous sommes ici en présence d'une réponse très particulière donnée à une question tout à fait commune. Jacob estime que sa vie a été un véritable pèlerinage ; il a séjourné, en tant qu'étranger, dans de nombreux endroits, même dans son pays d'origine. Sa véritable maison n'était pas ici-bas ; sa demeure, son héritage, ses trésors se trouvaient en réalité dans les cieux ! Il comptait avec attention tous les jours de sa vie ; tous les jours de notre vie sont comptés, et nous ne sommes pas sûrs du lendemain... Sachons donc bien en saisir toute la valeur.

      Les jours du patriarche furent peu nombreux. Bien qu'il ait vécu cent trente an, ils ne représentèrent que peu de temps, en comparaison avec l'éternité. Ces années furent mauvaises ; il en est de même pour tout homme. Il n'est que peu de jours sur terre et de plus il est souvent soumis à l'épreuve ; la vie de Jacob n'a pas été facile. La vieillesse l'a surpris plus tôt que la majorité de ses pères. De même que le jeune homme ne devrait pas être fier de sa force ou de sa beauté, le vieillard ne devrait pas l'être davantage, de son âge et de ses cheveux blancs, malgré le respect qu'il est en droit de demander ; de nos jours, les vieillards n'atteignent pas forcément l'âge des patriarches des temps bibliques. Les cheveux blancs ne sont qu'une couronne de gloire, lorsqu'ils sont toutefois portés par une personne cheminant dans la droiture.

      Dans notre texte, le propos de Jacob ne pouvait que faire réfléchir Pharaon, en lui rappelant que la prospérité et le bonheur dans ce monde ne peuvent durer bien longtemps ni satisfaire le cœur des hommes indéfiniment.

      Après une vie de vanité et de vexations, l'homme finit dans la tombe, qu'il descende d'un trône ou d'une modeste maison. Rien ne peut nous rendre plus heureux que de discerner la perspective d'une maison éternelle dans le ciel, après notre court et souvent pénible pèlerinage sur terre.

      Genèse 48

      Genèse 49

      28 Jacob a béni chacun des siens, selon les bénédictions prévues par Dieu. Il a donné ses instructions quant à l'endroit où il voulait être enseveli ; il a parlé par la foi, selon la promesse de Dieu : Canaan devrait être l'héritage pour sa descendance, au temps marqué. Quand sa bénédiction, ses directives et son testament furent donnés, il sentit que la mort approchait. Il retira ses pieds dans le lit, non pas avec un sentiment de crainte, mais dans la paix, en prévision du repos qui l'attendait. Il a librement remis son esprit dans la main de Dieu, son Père spirituel.

      Si nous faisons partie du peuple de Dieu, la mort finira par nous rassembler, tous ensemble, là où nous serons recueillis. Sous la protection du Berger d'Israël, nous ne manquerons de rien, que ce soit pour le corps ou l'âme. Nous resterons ici-bas jusqu'à ce que notre tâche soit accomplie ; puis, remettant notre âme entre Ses mains, par le biais du salut qui était notre espérance, nous partirons en paix, et laissant une bénédiction pour nos enfants, après nous !

      Nombres 6

      Deutéronome 32

      1

      Le cantique de Moïse. (Deutéronome 32:1,2)
      Le caractère divin et celui d'Israël. (Deutéronome 32:3-6)
      Les grands miracles que Dieu à accomplis pour Israël. (Deutéronome 32:7-14)
      La méchanceté d'Israël. (Deutéronome 32:19-25)
      Les jugements qui surprendront le peuple, à cause de ses péchés. (Deutéronome 32:15-18)
      La vengeance méritée, est reportée. (Deutéronome 32:26-38)
      La délivrance divine, du peuple. (Deutéronome 32:39-43)
      L'exhortation apportée par le cantique de Moïse. (Deutéronome 32:44-47)
      Moïse monte sur le mont Nébo, pour mourir. (Deutéronome 32:48-52)

      Moïse commence par un appel solennel adressé aux cieux et à la terre, relatif à la véracité et à l'importance des propos qui allaient suivre. Sa doctrine est celle de l'évangile, du langage de Dieu, des paroles de Christ ; doctrine de Grâce, de miséricorde, de vie et de salut, en Lui !

      2 Samuel 6

      20 David retourna chez lui, pour bénir sa famille, pour prier avec elle, et pour elle, afin qu'elle soit reconnaissante pour la miséricorde que l'Éternel lui avait octroyée.

      Le rôle des anges consiste, (vraisemblablement) entre autres, à adorer Dieu ; ils ne peuvent pas s'abaisser toutefois, à un niveau inférieur au plus grand dignitaire ici-bas. Même les palais des princes ne sont pas exempts d'ennuis de famille ! L'exercice de la piété semble bien inutile aux yeux de ceux qui n'ont peu, voire aucune considération pour Dieu. Si Dieu approuve le zèle de notre louange et de notre consécration, le tout, dépourvu de toute hypocrisie devant le Seigneur, ce Dernier ne nous adressera aucun reproche. Toute piété aura son éloge : n'ayons aucune honte ni crainte de la manifester !

      David s'est contenté simplement de justifier sa joie d'avoir loué l'Éternel, il n'a pas réprimandé ni blâmé l'insolence de Mical ; mais Dieu l'a punie. Ceux qui rendent gloire à Dieu, recevront de Sa part tout honneur ; quant à ceux qui Le dédaignent, Lui, Ses serviteurs et Ses Ordonnances, ils ne recevront de Sa part que bien peu d'estime !

      1 Rois 8

      2 Chroniques 30

      Luc 24

      50 \\ #50-53\\ Christ se rendit à Béthanie, à proximité de la Montagne des Oliviers, près du jardin de Gethsémané, là où Ses souffrances avaient commencé : Il était alors à l’agonie.

      Ceux qui désirent aller au ciel, doivent y monter à partir de la « maison des souffrances et des peines de la repentance ». Les disciples n’ont pas vu sortir Jésus du tombeau ; Sa résurrection pouvait leur être prouvée par le fait qu'ils Le virent vivant, plus tard ; ils l'ont par contre vu monter au ciel ! Ils ne pouvaient avoir de meilleure preuve de Sa résurrection !

      Jésus leva les mains et bénit Ses disciples. Il n'est pas parti avec un sentiment de tristesse, mais avec amour : Il a laissé derrière Lui Sa bénédiction. Il est monté au ciel de la même façon qu'Il est ressuscité, c’est à dire par Sa propre Puissance. Les disciples Lui rendirent hommage. Cette belle manifestation de la Gloire de Christ poussa ces derniers à vraiment Le remercier et à Le louer.

      Les disciples, dans une grande joie, revinrent ensuite à Jérusalem. En fait, la Gloire de Christ est à l’origine de la joie de tous les véritables croyants.

      Alors que nous nous attendons à l’accomplissement des promesses divines, nous devons le faire en adressant à Dieu nos louanges. Rien ne peut mieux préparer notre âme à recevoir le Saint-Esprit. Les craintes sont alors réduites au silence, les peines sont adoucies, apaisées et les espoirs sont maintenus. Toute la ferveur d’un chrétien repose sur l’accès au trône de la Grâce ; le trône du Père est en effet celui de la Grâce, pour nous, car il est aussi le trône de notre Médiateur, Jésus-Christ ! Nous pouvons compter sur Ses promesses.

      Appuyons-nous sur Ses ordonnances, louons et bénissons Dieu pour Ses miséricordes, plaçons nos désirs sur les choses « d'en haut », et attendons le retour du Rédempteur, pour parfaire notre bonheur. Amen.

      Qu'il en soit ainsi, Seigneur Jésus, reviens bientôt !

      2 Corinthiens 13

      1 Timothée 3

      Hébreux 7

      Hébreux 11

      20 Isaac bénit Jacob et Ésaü.

      Les avantages du temps présent ne sont pas forcément ce qu’il y a de mieux : nul n’a pu connaître l'amour (ou la haine), en voulant rechercher obstinément ce que le temps présent ne pouvait lui offrir dans l’immédiat.

      Jacob vivait par la foi ; il est mort dans la foi. Les bénéfices de la foi sont toujours présents, durant notre vie entière, et particulièrement à l’heure de la mort. En résumé, la foi est d’une grande importance, en aidant les croyants à « mourir dans le Seigneur », de façon à L'honorer, par notre patience, notre espérance et notre joie spirituelles.

      Joseph a été soumis à la tentation ; il a été persécuté à cause de son intégrité ; il a été tenté par les honneurs et le pouvoir, à la cour de Pharaon, mais cependant, sa foi l'a protégé. C'est une grande miséricorde que de pouvoir se soustraire aux mauvaises lois et aux vains décrets ; quand nous ne sommes pas astreints à les subir, nous devons utiliser tous les moyens légaux pour pallier à notre sécurité.

      La foi des parents de Moïse était mêlée d’une certaine incrédulité, mais Dieu a bien voulu ne pas en tenir compte. La foi donne une force capable de combattre toute crainte coupable et servile ; elle place l’âme devant Dieu et montre la vanité de la créature ; elle « montre » que tout doit ouvrir la route à la Volonté et au Pouvoir de Dieu.

      Les plaisirs du péché sont, et seront toujours éphémères ; ils doivent rapidement se terminer dans le repentir, voire, dans le pire des cas, dans une ruine brutale. Les plaisirs de ce monde sont pour la plupart, axés sur ceux du péché ; il en est toujours ainsi et nous ne pouvons pas les apprécier sans abandonner Dieu et Son peuple. La souffrance doit être préférée au péché ; il se trouve plus de mal dans le moindre péché que dans la plus grande souffrance.

      Le peuple de Dieu est, et a toujours été maltraité. Christ a souffert Lui-même de l'opprobre ; les personnes citées dans ce texte ont toutes obtenu, par leur foi, une plus grande richesse que les trésors de l'empire le plus riche du monde. Moïse a fait son choix lorsqu'il fut capable de vraiment discerner les conséquences d’un jugement divin, opposé aux plaisirs de ce monde.

      Il est nécessaire pour chacun de pratiquer la piété avec beaucoup de sérieux, de savoir mépriser le monde, alors qu'il nous attire par ses convoitises. Les croyants doivent songer sagement à leur récompense future. Par la foi, nous pouvons être totalement assurés de pouvoir bénéficier de la Providence de Dieu, et associés à Sa présence pleine de Grace et à Sa Puissance. Une telle perception de Dieu permettra aux croyants de se garder spirituellement jusqu'à la fin, quels que soient les aléas rencontrés sur leur chemin.

      Ce n'est pas par notre propre justice, ou par de meilleures performances, que nous sommes sauvés du courroux de Dieu, mais par le sang de Christ, et la justification qui lui est imputée. Une foi authentique rend le péché amer pour l'âme, même si cette dernière reçoit l'expiation et le pardon. Tous nos privilèges spirituels ici-bas doivent nous laisser un chemin ouvert en direction du ciel.

      Le Seigneur a même fait tomber Babylone, face à la foi de Son peuple ; quand Dieu a quelque grand projet à exécuter, en faveur des Siens, Il leur donne une foi fervente. Un véritable croyant désire demeurer, non seulement avec Dieu, mais aussi en communion avec Son peuple.

      Par son geste, Rahab déclarait elle-même être juste. Il apparaît cependant pleinement qu'elle n'a pas été justifiée par ses œuvres, car ce qu'elle a opéré était entaché d’une certaine culpabilité ; elle ne pouvait donc pas prétendre, sans la foi, à la parfaite Justice ou à la Droiture de Dieu...

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