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Jacques 2.14

Mes frères, à quoi servirait-il qu’un homme prétende : « J’ai la foi » s’il ne peut présenter aucun acte qui le prouve ? Une telle foi peut-elle le sauver ?
Mes frères, que servira-t-il à quelqu'un s'il dit qu'il a la foi, et qu'il n'ait point les oeuvres ? la foi le pourra-t-elle sauver ?
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      Jérémie 7

      Matthieu 5

      Matthieu 7

      21 Christ indique dans ce texte, qu'il ne sera pas suffisant de Le considérer en tant que Maître, uniquement, en parole ou par notre témoignage. En fait, il est essentiel, pour notre joie spirituelle, que nous croyons en Lui, que nous nous repentions du péché, que nous vivions une vie sainte et que nous nous aimions les uns les autres.

      C’est là, la volonté du Seigneur, Il désire notre sanctification. Prenons bien soin de ne pas nous contenter des privilèges spirituels que l’on peut rencontrer ici-bas et des œuvres que nous pourrions accomplir pour Lui, de peur de nous tromper ou de nous mentir à nous-mêmes, et de périr pour l'éternité, là où va le monde...

      Que tous ceux qui invoquent le Nom de Christ, s’écartent de tout péché. Pour les autres, leur « piété » ne repose que sur ce qu’ils ont vainement entendu, ils ne vont pas plus loin ; ils n’ont acquis que de vagues notions stériles.

      Ces deux catégories d'auditeurs du message de l’évangile, sont représentées, sous forme imagée, par deux constructeurs de maisons. Cette parabole nous enseigne à entendre et à mettre en pratique les paroles du Seigneur Jésus : certaines peuvent paraître dures, pour ce qui concerne notre vie ici-bas, mais elles doivent être écoutées et mises en pratique. Christ représente « Le » fondement, et tout élément hors de Sa Personne, n’est que du « sable ».

      Certains bâtissent leurs espoirs sur la prospérité du monde ; d'autres sur une manifestation extérieure de leur religion. Ils « s'aventurent » dans ce type de manifestations ; en fait, tout cela n’est que du « sable », trop fragile pour supporter une solide structure, telle que notre espérance d’aller au ciel.

      Une « tempête » viendra inexorablement éprouver les œuvres de chacun. Quand Dieu sépare l'âme du corps, où demeure l'espoir de l'hypocrite ? Sa maison est tombée sous la tempête, alors que ce bâtisseur avait le plus besoin d'elle, espérant qu'elle serait pour lui un refuge. Elle est tombée et il était trop tard pour en construire une autre...

      Puisse le Seigneur faire de nous de sages « bâtisseurs » pour l'éternité. Rien ne nous séparera alors de l'Amour de Jésus-Christ !

      Les multitudes étaient étonnées par la Sagesse et par la Puissance de l’enseignement du Seigneur. Aussi souvent que nous lirons Ses Paroles, elles resteront pour nous, toujours nouvelles. Chacune révèle que son Auteur est Divin !

      Soyons de plus en plus décidés et appliqués à faire de chacun de ces enseignements bénis et ces grâces spirituelles, le sujet principal de nos pensées, pendant des semaines entières. N’errons pas dans de vains désirs confus, par lesquels nous touchons à tout, mais qui ne nous apportent rien !

      Luc 6

      Actes 8

      Actes 15

      Romains 2

      25 Aucune conduite, ni ordonnance, ni enseignement spirituel, ne peuvent être profitables, sans la Grâce régénératrice ; Celle-ci conduira à toujours rechercher un intérêt dans la justice divine, par la foi.

      Le chrétien n’a aucune supériorité sur le Juif de naissance, même si ce dernier porte les « marques extérieures » de sa race (la circoncision) ; le véritable chrétien est celui qui est un authentique croyant, possédant une foi obéissante. Le véritable baptême est celui du cœur, celui-ci étant lavé par la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit ; une telle âme vit dans un cadre spirituel et dans une disposition à suivre la Vérité, dans les voies de la sainteté.

      Prions pour que nous puissions être de véritables chrétiens, non seulement par notre témoignage extérieur, mais aussi intérieurement : des enfants de Dieu de « cœur et d'esprit », pas en apparence ; soyons baptisés non seulement avec de l'eau, mais avec le Saint-Esprit ; que notre louange ne provienne pas des traditions de ce monde, mais que notre cœur soit conduit spirituellement par Dieu !

      1 Corinthiens 13

      1 Corinthiens 15

      1 Corinthiens 16

      Galates 5

      13 L'Évangile est une « doctrine » conforme à la piété, 1Ti 6:3 ; Il est si opposé à la tolérance du moindre péché, qu'Il nous exhorte expressément à éviter toute dérive en ce domaine et à en rester maître.

      L'apôtre insiste sur le fait que toute la loi est accomplie par l’obéissance à cette seule directive : « tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Si des chrétiens, qui normalement, doivent s'entre-aider et se réjouir mutuellement dans le Seigneur, se querellent, ils ne peuvent s’attendre qu’à voir le Dieu d'amour et le Saint-Esprit quitter leur cœur, et être remplacés par de vaines pensées, qui ne les mèneront qu’à leur destruction.

      Quel bonheur, si les chrétiens, au lieu de se quereller mutuellement, sous des prétextes d'opinions différentes, pouvaient « s'associer » contre le péché qui réside en eux-mêmes et dans les communautés qu’ils représentent !

      Ephésiens 2

      1 Thessaloniciens 1

      1 Timothée 1

      5 Tout ce qui peut minimiser notre amour envers Dieu ou pour nos frères, tend à rendre vaine Ses ordonnances. Le but de l'Évangile est atteint quand les pécheurs, par leur repentance envers Dieu et leur foi en Jésus-Christ, commencent à pratiquer l'amour envers leurs frères et sœurs. Comme les croyants de l’époque suivaient les voies préconisées par les ordonnance divines, la loi n'était pas contre eux.

      À moins que nous ne soyons rendus vertueux par la foi en Christ, par une repentance réelle et l'abandon du péché, nous restons sous la malédiction de la loi, même au temps de l'Évangile, et nous sommes incapables de participer à toute félicité céleste.

      1 Timothée 4

      Tite 1

      Tite 3

      8 Quand la Grâce de Dieu, à l'égard de l'homme, a été manifestée, il lui est devenu nécessaire à ce dernier de pratiquer des bonnes œuvres. Ceux qui croient en Dieu doivent prendre soin de veiller à cette pratique, être à l'affût des opportunités qui se présentent, étant motivés par l'amour pour les autres, par gratitude envers le Seigneur.

      La futilité et les vaines discussions doivent être évitées ; les enfants de Dieu ne doivent pas rechercher systématiquement les dernières nouveautés de ce monde, mais aimer la saine doctrine, qui conduit à l'édification.

      Bien que nous puissions parfois considérer certains péchés avec légèreté, si le Seigneur sensibilise notre conscience, nous ressentirons les dégâts que peut occasionner la moindre faute en notre âme !

      Hébreux 11

      8 Nous sommes souvent appelés à détacher nos liens qui nous lient au monde, à perdre nos intérêts et nos commodités d’ici-bas. Si nous sommes les « héritiers de la foi d'Abraham », nous obéirons et irons de l'avant, bien que nous ne sachions pas ce qui nous attend ; nous emprunterons alors le chemin du devoir, espérant fermement l'accomplissement des promesses de Dieu.

      L'épreuve de la foi d'Abraham consistait simplement à obéir totalement à l'appel de Dieu. Sara reçut la « promesse » comme étant celle de Dieu ; étant ainsi convaincue, elle estima avec assurance que non seulement, ce Dernier pouvait, exécuter cette promesse, mais qu’Il le ferait.

      Beaucoup de personnes, auxquelles Dieu a fait des promesses, ne reçoivent pas immédiatement ce qui leur a été promis. La foi peut faire patienter, en vue de bénédictions lointaines, comme les voir s’accomplir très rapidement ; elle peut se réjouir en ces bénédictions, bien que nous soyons « qu'étrangers » ici-bas : la demeure des saints (ou des pèlerins) se trouve en effet dans le ciel ! Par la foi, ces derniers sont vainqueurs sur l’anxiété que peut provoquer la mort, ils sont prêts à dire « au revoir » à ce monde, à toutes ses plaisir comme à toutes ses souffrances.

      Les coupables qui ont été jadis véritablement sauvés et appelés vers le Royaume céleste, n'ont aucunement l'envie de revenir en ce monde. Tous les croyants authentiques aspirent à l'héritage céleste ; plus leur foi est déterminée, plus ils sont fervents de cœur ! Malgré les dégâts qu’ont pu occasionner leurs péchés, et la pauvreté de leur condition spirituelle, Dieu n'a pas honte d'être appelé LEUR Dieu ; telle est Sa Miséricorde et Son Amour envers eux. Que les rachetés n'aient jamais honte d'être appelés Son peuple, ni de faire partie de ceux qui sont tant méprisés ici-bas ! Par dessus tout, qu'ils veillent à ce qu'ils ne soient l’objet d’aucune honte ni d’aucun reproche envers leur Dieu.

      L'épreuve et l'acte de foi les plus grands, cités dans la Parole, se retrouvent dans l'offrande qu'a faite Abraham, avec son fils Isaac, Ge 22:2. Dans ce texte, chaque terme retrace une épreuve.

      Notre devoir consiste à distinguer et à dissiper nos doutes éventuels et nos craintes, en regardant, comme l’a fait Abraham, à la Toute-puissance divine. La meilleure façon d’apprécier tout ce que nous possédons est de tout remettre à Dieu ; Il continuera alors à nous octroyer ce qu’il y a de meilleur.

      Considérons quelle a été notre obéissance à Dieu, lorsque qu’Il nous a appelés à des actes de bien moindre envergure que ceux qui sont cités dans ce texte. Avons-nous abandonné tout ce que nous avions, totalement persuadés que le Seigneur compenserait toutes nos pertes, et nous bénirait par Ses dispensations, même celles qui pourraient nous paraître les plus affligeantes ?

      Hébreux 13

      Jacques 1

      22 Même si nous entendions une prédication chaque jour, fut-elle apportée par un ange, le fait d’uniquement l’écouter ne nous amènerait jamais au ciel. Ceux qui ne mettent pas en pratique la Parole, après l’avoir écoutée, se trompent eux-mêmes ; ils finiront par être victimes de la pire des supercheries...

      Si nous nous flattons nous-mêmes, c'est une faute ; la Vérité, telle que nous La trouvons en Jésus, ne flatte pas l'homme. Que la Parole de vérité soit étudiée avec soin, elle révèlera la corruption de notre nature, les désordres de notre cœur et de notre vie ; elle dévoilera pleinement ce que nous sommes réellement.

      Nos péchés sont « les taches » que la loi dénonce : le sang de Christ est « la purification » qu'expose l'Évangile. Si nous oublions quel est notre devoir spirituel à l’égard de la Parole, c’est dire La mettre en pratique au lieu de simplement L’écouter, c'est en vain que nous entendrons Son message, en examinant « le miroir » de l'Évangile ; en de tels cas, nous oublions « le remède spirituel », au lieu de l'appliquer. Tel est le cas de ceux qui n'écoutent pas la Parole comme ils le devraient. En accordant toute notre attention à la Parole, nous L'examinons pour saisir Ses conseils et directives, nous « alimentons » notre vie spirituelle.

      Ceux qui se confient dans la loi et la Parole de Dieu seront bénis dans toutes leurs voies. Leur récompense spirituelle suivra la paix et la consolation déjà présentes en leur cœur.

      Chaque révélation divine contenue dans la Parole, a son application : elle amène le pécheur à Christ, pour son salut, elle le dirige et l'encourage à marcher dans la liberté, par « l'Esprit d'adoption », d'après les saints commandements d Dieu.

      Nous devons avoir cette pensée : un homme n’est pas béni pour SES actions, mais DANS son action. Ce n'est pas en parlant, mais en marchant (spirituellement) que nous irons vers le ciel. Christ deviendra alors plus précieux pour l'âme du croyant, ce dernier devenant, par Sa Grâce, plus apte à bénir l'héritage des saints, dans la Lumière !

      Jacques 2

      14 Ceux qui, comme beaucoup, en guise de piété, n’ont qu’une simple croyance spéculative de l'Évangile, se méprennent vraiment. Seule la foi véritable, par laquelle les hommes ont part à la justice, à l'expiation et la grâce de Christ, sauve une âme ; cette foi produit des fruits spirituels et saints, elle se révèle par les œuvres ; par contre, un simple assentiment à toute forme de doctrine ou de croyance, est totalement différent de cette foi qui sauve.

      Une profession de foi, non fondée véritablement sur la Parole, peut éventuellement gagner l’estime de ceux qui exercent la piété ; elle peut même procurer, dans certains cas, des bienfaits ici-bas ; mais quel profit y a-t-il, à gagner le monde entier, en perdant son âme ? Cette foi peut-elle sauver ?

      Tous les évènements marquants que nous traversons doivent être examinés : sont-ils ou non, avantageux pour l’avancement spirituel du salut de notre âme ?

      Ce passage de l'Écriture nous enseigne clairement qu'un simple assentiment de l'Évangile, sans les œuvres, n'est pas une foi véritable. Il n'y a aucun moyen de montrer que nous croyons vraiment en Christ, sans être vraiment appliqué à la pratique des bonnes œuvres, sans être motivés par le service de l'Évangile.

      Les hommes peuvent facilement se vanter devant les autres, et prétendre posséder ce qu’ils n’ont pas vraiment. Il ne suffit pas uniquement d'approuver la foi, mais il faut également y adhérer et la vivre ; le fait d’être simplement d'accord avec la vérité de la Parole, n’est pas suffisant, il faut en plus à accepter Christ en son cœur.

      La véritable piété n'est pas un simple acte de compréhension, mais c'est un « travail » qui anime le cœur tout entier. La Parole nous donne deux exemples d’une foi qui justifie, celle qui est accompagnée des œuvres : Abraham et Rahab. Abraham crut Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Sa foi, qui produit de telles œuvres, lui a fait obtenir des faveurs divines particulières.

      Nous voyons ainsi, au verset Jacques 2:24, comment un homme peut être justifié par ses œuvres, et non par une opinion ou une confession stérile, une croyance non suivie d’obéissance ; une âme n’est vraiment justifiée que par une foi produisant de bonnes œuvres. Le fait d'avoir à renier sa propre raison, ses affections, et ses intérêts, permet d'éprouver le véritable croyant.

      Observons dans ce texte, le pouvoir merveilleux de la foi, celle qui transforme les pécheurs : la conduite de Rahab prouvait que sa foi était vivante, productive ; cette femme nous a montré qu'elle croyait vraiment « avec son cœur », et non simplement de manière superficielle.

      Prenons alors bien garde : les meilleures œuvres sans la foi sont des œuvres mortes ; ces œuvres nécessitent racines et principes. Tout ce que nous accomplissons par la foi est véritablement bon, car exécuté en obéissance à Dieu, dans la soumission et Son acceptation : la « racine » de la foi peut être considérée comme morte, quand il n'y a aucun fruit...

      La foi est la racine, les bonnes œuvres en sont les fruits ; par la foi, nous pouvons voir si nous possédons les deux. Telle est la manifestation de la Grâce de Dieu, en laquelle nous nous tenons, et devons rester.

      Il n'y a pas d'état intermédiaire : chacun doit vivre comme un ami ou en ennemi de Dieu. Vivre « en Dieu » est la conséquence de la foi qui justifie et qui sauve ; cela nous oblige à ne rien faire contre Lui, mais à tout faire pour Lui et en Lui !

      2 Pierre 1

      1 Jean 5

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