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Jacques 2.21

Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les oeuvres, lorsqu'il offrit son fils Isaac sur l'autel ?
Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les oeuvres, lorsqu'il offrit son fils Isaac sur l'autel ?

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      Genèse 22

      11 Il n'était pas dans l'intention divine qu'Isaac soit réellement sacrifié : un sang plus noble, aux temps marqués, devait être répandu pour le péché, le sang même du seul Fils de Dieu. En aucun cas dans la Parole, Dieu n'a exigé de sacrifices humains. Une autre victime expiatoire a été fournie par Dieu.

      C'est un parallèle avec le Sacrifice de Référence, le Messie, la Semence promise. Christ a été sacrifié à notre place, tout comme ce bélier l'a été à la place d'Isaac ; la mort du Messie nous a disculpés. Il faut noter que le temple, l'endroit solennel des sacrifices, a été plus tard construit, sur le mont Morija ; le mont du Calvaire, où Christ fut crucifié, se trouve à proximité. Un nouveau nom a été donné à cet endroit, dans le but d'encourager les croyants des derniers temps à se confier fermement en Dieu, et à Lui obéir. Jéhovah-Jiré, le Seigneur pourvoira ; Dieu a effectivement pourvu au sacrifice d'Abraham, en lui donnant ce bélier. Le Seigneur a continuellement les yeux sur Son peuple, et lors de la détresse, Il sait alors envoyer le secours nécessaire.

      Josué 24

      Psaumes 143

      Esaïe 51

      Matthieu 3

      Matthieu 12

      Matthieu 25

      31 Nous trouvons dans ce texte une description du Jugement dernier : c'est en fait la suite des explications relatives aux paraboles précédentes.

      Plus tard, aura lieu le Jugement dernier, où chacun recevra la juste rétribution de sa vie ici-bas : la félicité éternelle, ou les tourments. Christ viendra, non seulement dans la Gloire de Son Père, mais aussi dans Sa propre Gloire, en tant que Médiateur. Le méchant, comme l’homme pieux cohabitent sur cette terre, dans les mêmes villes, les mêmes églises, les mêmes familles, sans se connaître vraiment l’un l’autre ; tel est le résultat de la faiblesse du témoignage des saints, face aux hypocrisies des pécheurs : la mort surprendra les uns comme les autres... En ce jour du Jugement, ils seront alors séparés pour toujours.

      Jésus-Christ est le grand Berger ; Il sait distinguer immédiatement les âmes qui Lui appartiennent, de celles qui Lui sont étrangères. Il n’y a aucune autre distinction possible, seule sera visible la différence entre le racheté et le pécheur, entre le sanctifié et l'impie et cela, de manière irréversible. Dans le ciel, la félicité éternelle des saints sera merveilleuse. Ce sera le Royaume du Seigneur ; la plus grande des possessions ici-bas ne sera que bien modeste, face à cette bénédiction des saints dans les cieux.

      Ce Royaume est préparé : le Père l'a conçu pour les Siens, dans la grandeur de Sa Sagesse et de Sa Puissance ; le Fils l'a « acquis » pour eux ; et l'Esprit béni, en préparant les âmes des rachetés pour ce Royaume, prépare en fait le ciel pour elles : il est en tous points adapté à la nouvelle nature de ceux qui sont sanctifiés. Ce Royaume est préparé depuis la fondation du monde. La félicité en ce lieu a été prévue pour les saints, de toute éternité. Ils viendront, et en hériteront.

      Nous n’avons pas acquis notre héritage spirituel : c'est Dieu qui nous fait héritiers du ciel. Nous ne devons pas supposer que les actes de générosité que nous pourrions accomplir ici-bas, puissent donner droit au bonheur éternel. Les bonnes œuvres opérées pour Dieu, par le biais de Jésus-Christ, sont mentionnées dans ce texte, comme étant le « fruit spirituel » des croyants, rendus saints par l'Esprit de Christ ; ce fruit est le résultat de la Grâce, conférée à ceux qui accomplissent ces œuvres.

      Les méchants de ce monde ont souvent été appelés à venir à Christ, pour bénéficier de la vie et du repos éternels, mais ils se sont détournés de ces appels : de ce fait, il est juste qu’ils soient séparés de Christ. Les pécheurs condamnés, lors du Jugement, présenteront en vain des excuses. Le châtiment des méchants sera éternel ; leur culpabilité ne peut pas être révoquée.

      Ainsi la vie et la mort, le bien et le mal, la bénédiction et la malédiction, sont placés devant nous, pour que nous puissions choisir notre chemin : tel il sera, telle sera notre destin !

      Luc 1

      Luc 16

      Jean 8

      Actes 7

      Romains 3

      Romains 4

      1

      La doctrine de la justification par la foi est démontrée dans le cas d'Abraham. (Romains 4:1-12)
      Il a reçu la promesse par la justice de la foi. (Romains 4:13-22)
      Nous sommes justifiés de la même façon par notre foi. (Romains 4:23-25)

      Pour aller à l’encontre des pensées des Juifs, l'apôtre voulut d'abord se référer à l'exemple d'Abraham, qui était pour ces derniers leur aïeul le plus révéré. Bien qu'exalté sous plusieurs aspects, Abraham n'avait aucun motif pour se glorifier d’être dans la présence de Dieu, étant sauvé par la Grâce, par le moyen de la foi, comme tous ceux qui suivent la même voie. Sans tenir compte des années précédant son appel, et des fautes commises dans son obédience, voire même dans sa foi, il a été expressément affirmé dans l'Écriture : « Il a eu confiance en l'Éternel, qui le lui imputa à justice », Ge 15:6.

      À partir de cet exemple, on remarque que si un homme peut agir selon la pleine mesure exigée par la loi, il n’y a pas de raison de le récompenser, ce qui n'était évidemment pas le cas d'Abraham, sa foi lui ayant été imputée à justice.

      Quand les croyants sont justifiés par la foi, « cette dernière leur étant imputée à justice », ils ne sont pas justifiés partiellement ; Ils sont en fait rattachés à Celui qui est appelé « le Seigneur notre Justice ». Seul ceux qui sont ainsi pardonnés peuvent se considérer comme des êtres bénis.

      Il apparaît clairement dans l'Écriture, qu’Abraham a été justifié plusieurs années avant sa circoncision. Il est donc clair que ce rite n'était pas essentiel pour la justification. C’était en fait un signe de la corruption originale de la nature humaine. C’était également un « sceau extérieur », destiné à confirmer, non seulement les promesses de Dieu envers Abraham et sa postérité, avec l’obligation d'appartenir au Seigneur, mais aussi l'assurance d'être déjà un véritable « participant de la Justice, par la foi ».

      Abraham était ainsi l'aïeul spirituel de tous les croyants, de ceux qui ont marché d'après l'exemple de sa foi obéissante. Dans notre sanctification, le sceau du Saint-Esprit, faisant de nous de « nouvelles créatures », est l'évidence intime de la justice de la foi !

      Jacques 2

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