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Jacques 2.9

Mais si vous vous laissez influencer par des considérations humaines et que vous agissez différemment suivant les personnes, vous commettez un péché et vous tombez sous le coup de la loi, parce que vous transgressez son commandement.
mais si vous faites acception de personnes, vous commettez le péché, et vous êtes convaincus par la loi comme transgresseurs.
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      Lévitique 19

      Jean 8

      Jean 16

      Romains 3

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir à la connaissance du péché, essentielle à la repentance, à la paix du cœur et au pardon divin, qu'en éprouvant notre cœur et en vivant selon les préceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.

      Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.

      Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !

      1 Corinthiens 14

      Galates 2

      Jacques 2

      1

      Toutes les professions de foi sont vaines si elles ne produisent ni l'amour, ni la justice envers notre prochain. (Jacques 2:1-13)
      D’ou la nécessité de pratiquer de bonnes œuvres pour prouver l’authenticité de la foi, qui sans cela, ne serait rien de plus que celle des démons. (Jacques 2:14-26)

      Ceux qui professent leur foi en Christ, annonçant qu’Il est le Seigneur de gloire, ne doivent pas considérer leur prochain, en fonction des seules circonstances, ni des apparences extérieures ; ils ne doivent pas l’estimer d'une manière qui ne serait pas en accord avec leur propre témoignage : être des disciples de Jésus, Celui qui S'est humilié.

      Dans ce texte, Jacques n'encourage pas l'impolitesse, ni le désordre : il exhorte à respecter les autorités civiles ; mais ce respect ne doit pas influencer négativement l’organisation des réunions au sein de l’église, ni censurer quoi que ce soit, dans l’exercice de la piété. Nous examiner nous-mêmes est vraiment indispensable, à tout moment, dans notre cheminement vers la sainteté. Faisons-le plus fréquemment, « dialoguons » avec notre notre âme !

      Comme les lieux de culte ne peuvent être construits ni maintenus en état sans dépense, ceux qui les fréquentent doivent participer financièrement, en fonction de leurs moyens, à leur entretien ; là où l’on rencontre des personnes vraiment pieuses, le pauvre doit être traité dans les assemblées de culte, avec plus d'attention et de discrétion. L'humilité est la plupart du temps favorable à la paix intérieure et à l'accroissement de la sainteté. Dieu donnerait à tous les croyants, les richesses et les honneurs de ce monde, s’ils pratiquaient véritablement le bien ; Ils pourraient vraiment constater qu'ils ont été choisis pour être riches dans la foi, étant donné que Dieu les a établis « héritiers de Son Royaume », qu'Il a promis de donner à tous ceux qui l'aiment !

      Considérez à quel point la richesse conduit souvent au vice et à la ruse ; que de reproches peuvent être adressés à Dieu et à la religion, par les grands de ce monde, épris de richesse, de pouvoir et de réussite ! Ces pensées manifestent vraiment la folie de leur péché et leur culpabilité.

      L'Écriture ordonne d'aimer notre prochain comme nous-même. Cette loi est une loi royale, elle émane du « Roi des rois » ; si les chrétiens agissent injustement, ils sont déclarés coupables par la loi, et sont de véritables transgresseurs. Le fait d’estimer que nos bonnes actions puissent expier nos iniquités, nous amène simplement à rechercher une autre expiation. Si nous ne nous basons que sur nos œuvres, la moindre infraction est un manquement aux commandements divins, amenant l’homme à être condamné ; nulle obéissance à sa propre volonté, passée, présente, ou future, ne peut le délivrer.

      Ceci nous révèle le bonheur de ceux qui sont en Christ ! Nous pouvons Le servir sans aucune crainte ! Les contraintes divines ne sont pas synonymes d’esclavage, alors que notre corruption et notre péché le sont véritablement...

      La ruine qui atteindra les pécheurs impénitents sera un jugement sans miséricorde. Dieu, dans Sa Gloire et Sa perfection, considère, devoir pardonner et bénir tous les pécheurs repentants, condamnés en toute justice par Son tribunal ; Sa Grâce enseigne à ceux qui sont participants de Sa Miséricorde, à croître spirituellement, sur le sentier de la sanctification.

      1 Jean 3

      Jude 1

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