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Ils avaient fixé au-dessus de la tête de Jésus un écriteau sur lequel était inscrit, comme motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs ».
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L’écriteau sur lequel était inscrit le motif de sa condamnation portait ces mots : « Le roi des Juifs ».
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Au-dessus de sa tête, il y avait un écriteau portant ces mots : « Celui-ci est le roi des Juifs ».
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Philippe, à son tour, alla voir Nathanaël et lui dit :
—Nous avons trouvé celui dont *Moïse a parlé dans la Loi et que les prophètes ont annoncé : c’est Jésus, le fils de Joseph, de la ville de *Nazareth.
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—De Nazareth ? répondit Nathanaël. Que peut-il venir de bon de Nazareth ?
—Viens et vois toi-même ! répondit Philippe.
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—Maître, s’écria Nathanaël, tu es le Fils de Dieu, tu es le Roi d’*Israël !
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Pilate rentra donc dans le palais de justice et fit comparaître Jésus :
—Es-tu le roi des Juifs ? lui demanda-t-il.
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et, s’avançant au-devant de lui, ils s’écriaient :
—Salut, roi des *Juifs !
Et ils lui donnaient des gifles.
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A partir de ce moment, Pilate cherchait à le relâcher. Mais les chefs des Juifs redoublèrent leurs cris :
—Si tu relâches cet homme, tu n’es pas l’ami de César. Si quelqu’un se fait roi, il s’oppose à César.
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C’était la veille de la semaine pascale, vers midi. Pilate dit aux Juifs :
—Voici votre roi !
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*Pilate fit placer un écriteau que l’on fixa au-dessus de la croix. Il portait cette inscription : « Jésus de *Nazareth, le roi des Juifs ».
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Les chefs des prêtres protestèrent auprès de Pilate :
—Il ne fallait pas mettre « le roi des Juifs », mais « Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs ».
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Mais Pierre lui dit :
—Je n’ai ni argent ni or, mais ce que j’ai je te le donne : au nom de Jésus-Christ de *Nazareth, lève-toi et marche !
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Pour moi donc, j’ai d’abord pensé que je devais m’opposer par tous les moyens au nom de Jésus de *Nazareth.
C'était l'usage, chez les Romains, de suspendre sur le poteau de la croix, au-dessus du criminel, un écriteau indiquant la cause de sa condamnation.
Ce fut là encore une dernière moquerie et une dernière vengeance de Pilate, irrité contre les chefs du peuple juif. Il déverse sur eux son mépris, en leur donnant pour roi ce crucifié et, en même temps, tourne en ridicule l'accusation qu'ils avaient portés contre lui. Mais sans le vouloir, il donna ainsi à Jésus son vrai titre, car sur cette croix même Jésus fonda son éternelle royauté dans le cœur de ses rachetés.
Pilate n'a pas voulu céder au désir des principaux sacrificateurs, en permettant que l’inscription au dessus de Jésus soit modifiée ; cela manifestait indubitablement le pouvoir secret de Dieu sur son cœur, de façon à ce que cette formulation du caractère de notre Seigneur et de Son autorité, puisse être perpétrée.
De nombreux actes exécutés par les soldats romains furent en fait l’accomplissement de prophéties de l'Ancien Testament. Tout ce qui a été écrit s’est accompli !
Avant Sa mort, Christ eut une pensée d’affection pour sa mère. Quand Dieu nous prive parfois d’un certain réconfort, Il nous en accorde un autre, auquel nous ne nous attendions pas. Cette parole de Jésus, au sujet de Sa mère, nous convie à honorer nos parents, durant leur vivant et même à respecter leur mémoire quand ils sont dans l’au delà ; Il nous enseigne aussi de pourvoir à leurs besoins, et à assurer leur bien-être par tous les moyens possibles.
Observons spécialement la dernière parole de Jésus, juste avant qu’Il n'expire : « Tout est accompli » ; cela signifie que les décisions de Dieu relatives aux souffrances de Son Fils, sont désormais réalisées. En cette simple phrase, toutes les prophéties de l'Ancien Testament, concernant la souffrance du Messie ont été accomplies : - La loi, avec toutes ses cérémonies, est abolie ; - La Lumière est venue ici-bas, toutes les « ombres » du péché ont été chassées. - Le châtiment que nous méritions par nos transgressions, fait place à la Justice éternelle. - Les souffrances de Jésus sont désormais terminées : celles de Son âme, comme celles de Son corps. - L'œuvre de la rédemption de l'homme et de son salut est désormais achevée.
La vie de Christ ne lui a pas été prise de force : Il l'a offerte librement !