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Job 33.27

Il chante devant les hommes et dit : J’ai péché, j’ai perverti ce qui est droit, Et je n’ai pas été traité comme je le méritais.

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      Genèse 16

      Nombres 12

      2 Samuel 12

      2 Chroniques 16

      Job 7

      Job 33

      Job 34

      Psaumes 11

      Psaumes 14

      Psaumes 19

      7 Les Saintes Écritures nous apportent plus que le jour ou la nuit, que l'air que nous respirons ou que la lumière du soleil. Pour que l'homme puisse sortir de sa déchéance, il a besoin de la Parole de Dieu. Le mot original traduit par « loi » peut être assimilé à « doctrine », il peut être compris dans le sens de « tout ce qui nous enseigne au travers de la religion ».

      Cette entité est parfaite ; elle tend à convertir ou à détourner l'âme du péché et du monde, vers Dieu et sa Sainteté. Elle nous montre notre état pécheur et misérable, loin de Dieu, et la nécessité de retourner à Lui. Cette recommandation est sûre : celui qui est dans une certaine recherche et qui croit en ce que Dieu dit, devient sage, et est en vue d'acquérir son salut. C'est une bonne démarche vers le chemin du devoir. C'est une fontaine de réconforts vivifiants et un fondement certain pour nos espérances.

      Les commandements divins sont droits, comme d'ailleurs ils doivent l'être et en tant que tels ils réjouissent le cœur. Les commandements du Seigneur sont purs, saints, justes et bons. Avec eux nous découvrons notre besoin d'avoir un Sauveur et aussi comment découvrir le merveilleux évangile. C'est par eux que le Saint-Esprit émerveille les yeux ; ils nous conduisent à la perception de notre péché et de notre misère, ils nous conduisent sur le chemin du devoir. La crainte du Seigneur est la vraie religion, elle purifie notre chemin, à jamais. Les lois cérémonielles de ce monde passent mais la loi relative à la crainte de Dieu est toujours la même. Les jugements du Seigneur, ses préceptes, tous cela est vérité ; ils sont la droiture même et ils ne se contredisent pas ; on ne peut les mettre en défaut.

      L'or est dédié uniquement au corps et au temps présent ; mais la grâce est dédiée à l'âme et concerne l'éternité. La Parole de Dieu, reçue par la foi, est plus précieuse que l'or ; Elle est agréable à l'âme, aussi douce que du miel. Les plaisirs des sens sont rapidement ternis, et jamais satisfaits ; mais ceux de la religion sont substantiels et donnent toujours satisfaction ; il n'y a en eux aucun risque d'excès.

      Psaumes 119

      Psaumes 139

      1

      Dieu connaît toutes choses. (Psaumes 139:1-6)
      Il est omniprésent. (Psaumes 139:7-16)
      La haine du psalmiste vis à vis du péché, et son désir d'être conduit dans la droiture. (Psaumes 139:17-24)

      Dieu nous connaît parfaitement, toutes nos pensées et nos actions sont dévoilées à Ses yeux. Il vaut mieux méditer les vérités divines, les mettre en pratique et les garder dans notre cœur que de les étudier d'une manière purement intellectuelle.

      Car Dieu connaît toutes choses, Il est omniscient, Il est partout, omniprésent ; somme-nous d'accord avec ces vérités ? Le monde ne les reconnaît guère. Dieu accorde une attention particulière à chaque pas que nous faisons, les bons comme les faux. Il connaît les principes que nous suivons ici-bas, les buts que nous nous sommes fixés et le genre de compagnie que nous fréquentons. Quand je suis dans la solitude, Tu connais, Seigneur, ce qui anime mon cœur. Il n'y a aucune parole dont Tu ignores la pensée par laquelle elle a été émise. Où que nous soyons, nous sommes sous le regard et la main de Dieu. Nous ne pouvons discerner les voies de Dieu, ni comment Il nous connaît. De telles pensées devraient nous éloigner du péché !

      Proverbes 5

      Proverbes 15

      Proverbes 28

      Ecclésiaste 5

      Jérémie 2

      Jérémie 3

      Jérémie 23

      Jérémie 31

      18 Éphraïm (la dixième tribu), pleure sur ses péchés. Elle se sait fautive, reconnaissant son iniquité, sa folie et ses manquements. Elle se rend compte qu'elle est absolument incapable, par ses propres forces, de rester en communion avec Dieu, et qu'elle est victime de Sa rébellion contre ce Dernier.

      En conséquence, cette tribu s'adresse à l'Éternel : « Fais-moi revenir, et je reviendrai » ; elle s'est soumise à la volonté divine. Quand l'enseignement de l'Esprit divin se joint à l'action de la Providence, tout devient vraiment très efficace !

      Qu'il est réconfortant de savoir que le Seigneur ne nous quitte pas du regard, même au temps de l'affliction ! Dieu dispose d'une Grâce inépuisable, riche, sûre qui agit avec pertinence, en faveur de ceux qui La recherchent en toute sincérité !

      Matthieu 16

      Luc 15

      Luc 18

      Romains 6

      21 Le plaisir et le profit du péché ne sont absolument pas ses « fruits ». Les pécheurs ne sont que des « semeurs d'iniquité et de vanité », ne moissonnant que les mauvais fruits qui en résultent. La honte est arrivée dans le monde avec le péché, et elle en est encore une manifestation certaine. Le fruit du péché, c'est la mort. Bien que le chemin de l’iniquité puisse paraître agréable et attirant, il ne finira cependant qu'en amertume.

      Devant une telle constatation, le croyant est libre, il est affranchi de l’esclavage du péché. Si le fruit de son existence est la sainteté, s'il connaît une croissance spirituelle active, sous le régime de la Grâce véritable, il connaîtra la vie éternelle, en fait, une fin très heureuse ! Bien que ce chemin de la sainteté, étroit et épineux, culmine au « sommet d'une colline », difficile à gravir, il mène cependant à la vie éternelle.

      Le don de Dieu est la vie éternelle. Ce don s’acquiert par le biais de notre Seigneur Jésus-Christ. Christ l'a « acheté », l'a préparé, nous y prépare et nous préserve ; Il représente tout notre salut !

      Romains 7

      14 Comparé à la sainte règle de conduite de la loi, inhérente à la Parole de Dieu, l'apôtre constate son propre éloignement de la perfection spirituelle : il lui semblait être complètement charnel ; il pensait n’être qu’un homme, vendu contre son gré à un « maître détesté », duquel il ne pouvait obtenir la liberté.

      Un véritable chrétien sert involontairement ce maître honni ; il ne peut se débarrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de Grâce, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le délivrer. Le mal qui subsiste en son cœur est une réelle et humiliante entrave à son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte témoignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du péché.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de sainteté de l’apôtre, de sa connaissance de la spiritualité de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent résider en notre cœur. De nombreux croyants ont adopté ces principes de l'apôtre, montrant qu'ils conviennent à leur aversion profonde du péché, et à l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'étend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causé par la dépravation de son ancienne nature. Il était confronté fréquemment à de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa véritable identité spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le péché qui demeurait en lui, l'apôtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le côté négatif de leurs iniquités, même celles condamnées par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y règne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      1 Jean 1

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