Les rêves à la lumière de la Bible
Introduction Définir ce qu’est le rêve, le songe, la vision Rêve : imaginaire Songe : réflexion suscitée par un rêve …
Les rêves à la lumière de la Bible
Introduction Définir ce qu’est le rêve, le songe, la vision Rêve : imaginaire Songe : réflexion suscitée par un rêve …
Bad religion
Donner sa dîme en ligne
Créer un lien sur PayPal pour obtenir des dons en ligne Si votre église ne l’a pas encore fait, créer …
Top 5 web leaders #5
1 – Inspiration : Connaissez-vous l’application du Top Chrétien ? Elle vous permettra d’avoir accès aux divers services quotidiens (la …
Dis moi … « Dieu existe-t-Il ? »
« A-t-il vraiment créé tout ce qui existe ? » ° Veux-tu seulement entendre ma réponse ? : ‘ Oui …
Les Livres Poétiques De La Bible | Un Bref Aperçu - EP5
Cette vidéo explique l'enseignement global qu'on peut trouver dans les livres poétiques de la Bible. On y retrouve les 5 …
Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter
-
-
Versions de la Bible
- Segond 21
- Segond 1910
- Segond 1978 (Colombe)
- Parole de Vie
- Français Courant
- Semeur
- Parole Vivante
- Darby
- Martin
- Ostervald
- Hébreu / Grec - Strong
- Hébreu / Grec - Texte original
- World English Bible
Autres colonnes
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
12 à 21 Au surplus, une vision a fait comprendre à Eliphaz que tout homme est pécheur et, par conséquent, sujet à la souffrance, en sorte que c'est une folie que de murmurer. Ce n'est pas par Moïse et les prophètes qu'Eliphaz a été instruit de cette vérité, mais par une révélation directe qui rappelle telle vision du temps des patriarches (Genèse 15.12) et qu'il décrit de manière à impressionner vivement Job.
Éliphaz relate une vision. Quand notre cœur est en communion intime avec Dieu Psaume 4:4, vient alors le moment où le Saint Esprit s'adresse à nous. Cette vision a mis le personnage de ce texte dans un état de grande crainte.
Depuis que l'homme a péché, recevoir des communications célestes le remplit d'épouvante, car il est conscient qu'il ne peut attendre aucune bonne nouvelle du ciel. Homme pécheur ! Peut-il prétendre être plus juste, plus pur, que Dieu, son créateur, son Seigneur et Celui à qui il appartient ? Qu’elles sont dangereuses cette fierté et cette arrogance humaines ! Par contre, quelle grandeur dans la patience de Dieu ! Considérez l'homme dans sa vie ! Les fondations de la piètre maison d'argile où il demeure, ne sont que poussière, et tout s'affaissera de son propre poids. Nous ne faisons que séjourner sur de la poussière. Certains se tiennent sur un « monceau de poussière » plus haut que d'autres, mais en final, c'est la terre qui supporte le tout, et c'est elle qui nous engloutira sous peu. L'homme est bien vite anéanti ; quand il est victime d'une longue maladie, qui le ronge telle une mite, il ne peut pas résister, son corps est détruit inexorablement. Une telle créature peut-elle prétendre blâmer les ordonnances divines ?
Observez le constat de l'homme, à l'heure de sa mort : sa vie est courte et en peu de temps, il est éliminé. La beauté, la force, les études, non seulement ne peuvent pas nous faire éviter la mort, mais de plus, toutes ces « avantages » disparaissent en même temps ; aucune splendeur, aucune richesse ni puissance, ne persiste après la mort. Est-ce qu'une faible créature pécheresse peut prétendre être plus juste que Dieu, être plus pure que son Créateur ? Non : au lieu de maudire ses afflictions, l'homme doit se demander s'il peut échapper à l'enfer. Peut-il être lavé de son péché, sans l'aide de son Créateur ? Est-ce que Dieu peut innocenter les pécheurs mortels et ignorer leur culpabilité ? Peut-Il pardonner ainsi, sans glorifier le Rédempteur promis, alors que les anges, accomplissant leur ministère spirituel devant Son trône, reçoivent quant à eux, la juste rétribution de leurs péchés ?
Malgré l'impunité apparente des hommes pendant leur court séjour ici-bas, alors qu'ils vivent sans Dieu, leur triste sort est aussi inéluctable que celui des anges déchus, et il les poursuit sans cesse. Bien que les pécheurs négligents se soucient bien peu de ces choses et ne s'attendent à aucune rétribution de leurs actes, le sage, quant à lui, considère la fin qui les attend.