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Romains 13.13

Menons une vie honnête, comme en plein jour : évitons de trop manger ou de trop boire. N’ayons pas une vie immorale, ne nous conduisons pas n’importe comment, évitons les disputes et les jalousies.
Marchons honnêtement, comme en plein jour, sans excès de table ni de boisson, sans luxure ni dérèglement, sans discorde ni jalousie.
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      Proverbes 23

      Esaïe 22

      Esaïe 28

      Amos 6

      Matthieu 24

      Luc 1

      Luc 16

      19 Nous pouvons voir dans ce texte le domaine spirituel représenté par une description des différences que l’on rencontre entre le « bon » et le « mauvais », en ce monde comme dans l'au-delà.

      Il ne nous est pas dit ici que l'homme riche obtint ses biens en fraudant, ou par l'oppression ; Christ montre cependant qu'une personne peut avoir de grandes richesses et beaucoup de plaisirs ici-bas, et périr sous la malédiction divine.

      Cet homme riche a péché : il ne s'occupait que de lui. Il y avait aussi un brave homme, Lazare, qui lui, devait connaître la félicité éternelle, après avoir traversé sur terre le plus profond de l'adversité et de la détresse.

      Il arrive souvent que certains serviteurs de Dieu, même les plus chers à Son cœur, soient grandement affligés ici-bas. Il ne nous est pas dit que l'homme riche ait fait le moindre mal, mais, malgré tout, nous ne lisons pas qu'il se soit préoccupé du sort de Lazare... Nous voyons ensuite la différence de condition dans laquelle se trouvaient ces deux hommes, au séjour des morts. L'homme riche, en enfer, levait ses yeux, étant en plein tourment. Il est impensable qu'il puisse y avoir des dialogues entre les « saints glorifiés » et les « pécheurs damnés », mais cette scène révèle la misère désespérée et les vains désirs qui peuvent animer les esprits condamnés.

      Le jour vient, où ceux qui, aujourd’hui, détestent et méprisent les enfants de Dieu, recevront néanmoins de leur part une certaine marque de prévenance. Le damné, en enfer, n'aura pas le moindre soulagement de ses tourments : les pécheurs sont maintenant prévenus : souvenez-vous-en ! S’ils ne se repentent pas, ils n’auront aucun moyen pour éviter ce tourment. De même que les méchants n’ont de délices qu’ici-bas, et qu'ils seront, à l’heure de la mort, séparés à jamais de tout ce qui leur est cher, les hommes pieux et bons, n’ont à supporter, quant à eux, de pénibles instants que dans cette vie ; à leur mort, ils en seront délivrés, à jamais !

      Béni soit Dieu, qu’il n’y ait pas, en ce monde, le moindre abîme qui sépare l’homme, inique par nature, de la Grâce : nous pouvons passer de notre état de pécheur, à celui de pardonnés par Dieu ; si par contre, nous mourons dans nos péchés, il n'y a plus d’échappatoire à la colère divine.

      Nous voyons dans ce texte que cet homme riche avait cinq frères et qu’il aurait voulu les arrêter dans leur conduite coupable ; leur venue dans ce lieu de tourments allait accentuer davantage la misère de ce triste personnage, et il voulait leur montrer la possibilité de ne pas en prendre le chemin !

      Combien désireraient faire « marche arrière », pour annuler les fautes qu'ils ont pu commettre ! Ceux qui tenteraient de faire ce type de prière, que l'homme riche fit à Abraham pour essayer de justifier les siens, devront chercher bien loin des preuves pour tenter de les disculper : un pécheur damné n’a rien pour être défendu : il n’a que ses fautes à présenter ! Il n'y a certainement aucun encouragement à suivre l’exemple de cet homme riche : toutes ses prières ont été vaines.

      Un « messager » revenant de la mort, ne pourrait pas en dire plus que ce qui est dit dans les Écritures. La même force de dissuasion, capable de briser toute conviction positive de la Parole de Dieu, serait également capable de triompher du témoignage d’un individu revenant du séjour des morts...

      Cherchons « à la loi et au témoignage », comme il nous est dit dans Isa 8:19,20 : c'est en effet la véritable parole de prophétie, sur laquelle nous pouvons nous reposer, 2Pierre 1:19.

      Les circonstances de chaque époque nous montrent qu'aucune frayeur, aucun argument, ne peuvent conduire à la véritable repentance ; cette dernière ne peut se produire sans la Grâce particulière que Dieu nous accorde et qui renouvelle le cœur du pécheur !

      Luc 17

      Luc 21

      Actes 2

      Romains 13

      1 Corinthiens 6

      9 Dans ce texte, les Corinthiens sont mis en garde contre les nombreux péchés, dont ils étaient autrefois coupables. Le réquisitoire de Paul, sur ce sujet, est très virulent, si nous considérons qu’il était adressé à des personnes fières de leur sagesse et de leurs connaissances.

      Toute perversité est un péché ; tout péché qui demeure, étant commis délibérément et sans repentir, ferme la porte du Royaume des cieux. Ne vous y trompez pas : beaucoup de personnes sont très enclines à se vanter de pouvoir vivre dans le péché, tout en étant « mortes en Christ », annonçant avec arrogance, pouvoir cependant aller au ciel. Nous ne pouvons pas espérer vivre « selon la chair », et jouir plus tard, de la vie éternelle.

      Paul rappelle aux Corinthiens, quels ont été les changements que l'Évangile et la Grâce de Dieu ont opéré sur eux. Le sang de Christ, et la purification de la régénération, peuvent effacer toute culpabilité. Notre justification est due à la souffrance et au mérite de Christ ; notre sanctification provient de l'œuvre du Saint-Esprit ; toutes deux vont de pair. Tous les sanctifiés, aux yeux du Seigneur, le sont par Sa Grâce !

      Galates 5

      16 Si nous prenons bien soin d'agir sous l’égide et la puissance de l'Esprit, bien que nous ne puissions pas être complètement libérés des diverses tentations et risques de corruption dus à notre nature corrompue, ces derniers ne pourront pas prévaloir sur nous.

      Les croyants sont engagés dans un véritable « conflit » : ils désirent vraiment que la Grâce puisse les conduire vers une victoire totale et rapide. Ceux qui désirent être véritablement conduits par le Saint-Esprit, ne sont plus sous le régime de la loi, avec les ordonnances qu’elle réclame, ni exposés à sa terrible malédiction. Leur haine du péché, et leurs désirs de sainteté, montrent qu'ils ont une part dans le salut offert par l'Évangile.

      Les œuvres de la chair sont nombreuses et manifestes. Les péchés qu’elles comportent ferment les « portes du ciel » aux hommes. Cependant, combien voit-on de personnes qui professent être chrétiennes, annonçant leur espérance pour le ciel, tout en vivant dans le péché !

      Le « fruit de l'Esprit », ou de la nature renouvelée que nous revêtons, est nommé dans ce texte. Comme l'apôtre avait nommé préalablement les œuvres de la chair, non seulement nuisibles à ceux qui les pratiquent, mais aussi pour leur entourage, de la même façon, dans ce texte, il remarque principalement le fruit de l'Esprit, qui tend à rendre les chrétiens heureux, à titre personnel, mais aussi sur le plan fraternel.

      Le fruit de l'Esprit montre clairement que de tels chrétiens sont menés par le Saint-Esprit. En décrivant les œuvres de la chair et le fruit de l'Esprit, il nous est enseigné ce que nous devons éviter, ce à quoi nous devons nous opposer, et ce que nous devons chérir et « cultiver » ; ce type de conduite doit être effectué avec un cœur sincère, conformément aux principes de la véritable vie chrétienne : le péché ne règne plus désormais dans notre corps mortel, nous ne devons plus lui céder quoi que ce soit, Romains 6:12, mais chercher à l’endiguer.

      Christ ne « possédera » jamais ceux qui veulent rester des « serviteurs » du péché. Il n'est pas suffisant que nous cessions de pratiquer le mal, nous devons aussi apprendre à faire le bien. La nature de nos conversations témoignera toujours des principes spirituels qui nous animent et nous gouvernent, Romains 8:5. Nous devons chercher sérieusement à mortifier les vaines actions de notre corps mortel, pour marcher en nouveauté de vie. Non pas en étant désireux des honneurs et de la gloire de ce monde, mais en n’excitant aucune provocation ni jalousie, et en cherchant à donner abondamment les bons fruits qui proviennent de la vie « en » Jésus-Christ, à la louange et à la gloire de Dieu !

      Ephésiens 4

      1

      Exhortations à l’humilité, à l’amabilité, à la patience et à l’unité de l’Esprit. (Ephésiens 4:1-6)
      À un usage correct des dons spirituels et des grâces. (Ephésiens 4:7-16)
      À la pureté et la sainteté. (Ephésiens 4:17-24)
      À prendre garde aux péchés pratiqués parmi les païens. (Ephésiens 4:25-32)

      Rien n'est plus recommandé dans l'Écriture, que de marcher d’une manière digne de ceux qui sont appelés au Royaume de Christ, pour connaître Sa gloire. En toute sagesse, nous pouvons comprendre qu’il s’agit d’une marche opposée à tout orgueil, excellente pour la disposition de l'âme et qui ne prédispose pas les individus à la provocation.

      Dans notre chemin de la sanctification, nous constatons beaucoup de chutes personnelles, auxquelles nous pouvons difficilement échapper. Ne soyons pas surpris de constater chez notre prochain, une conduite qu’il nous serait difficile de tolérer dans notre cas.

      Il existe un Sauveur, Christ, en Lequel tous les croyants se confient, et un ciel où ils placent toute leur espérance ; tous ces rachetés doivent posséder un même cœur.

      Les Éphésiens reconnaissaient avoir une harmonie dans la foi : cette dernière avait le même objet, le même Auteur, la même nature, et la même puissance. Tous ont cru aux grandes vérités de la piété ; ces chrétiens ont tous été admis dans l'église par le baptême, avec de l'eau, au Nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit ; c’était le témoignage de leur régénération.

      Dieu le Père demeure en chaque croyant : ce dernier en est Son saint temple, par Son Esprit et Sa Grâce merveilleuse.

      17 L'apôtre exhorte les chrétiens d’Éphèse, au Nom et par l'autorité du Seigneur, à ne pas continuer à vivre comme les impies, qui marchent dans de vaines convoitises et diverses affections charnelles.

      Les Païens, de tous côtés, ne marchent-ils pas dans la vanité de leur esprit ? Ne devons-nous pas faire la distinction entre les véritables chrétiens et ceux qui ne le sont « que de nom » ?

      Ceux qui se livrent au péché ne possèdent aucune connaissance du salut ; ils sont assis dans les ténèbres, les préférant à la lumière. Ils ont une aversion et de la haine pour la sainteté : elle ne représente par pour eux le chemin de vie que Dieu exige et approuve, et par lequel nous vivons pour Lui ; cette sainteté est aussi la ressemblance à Dieu Lui-même, dans Sa pureté, Sa justice, Sa vérité et Sa bonté.

      La Vérité de Jésus-Christ se manifeste dans Sa magnificence et Sa puissance.

      L’homme, par nature, est corrompu ; sa nature est composée de divers éléments, se soutenant et s’activant tous ensemble : les désirs coupables ne sont que des convoitises trompeuses ; ils promettent le bonheur, mais en fait, rendent plus misérable ; ils conduisent à la destruction, s'ils ne sont pas combattus ni mortifiés. Ces mauvais penchants doivent être abandonnés, tels de vieux vêtements souillés ; ils doivent être éradiqués.

      Il n'est pas suffisant d’abandonner la corruption ; nous devons également posséder les principes de la Grâce. Par « l'homme nouveau » il faut comprendre la « nouvelle nature », la « nouvelle créature », dirigée par un nouveau principe : la Grâce qui régénère, incitant le racheté à mener une nouvelle vie, de justice et de sainteté. Toute cette « marche spirituelle » est générée par le pouvoir tout-puissant de Dieu !

      Ephésiens 5

      3 Tous les types d’immoralité doivent être éradiqués. Ces péchés doivent être redoutés et bannis.

      Ce texte ne comporte pas que des avertissements relatifs aux transgressions gravissimes, mais aussi à tout ce qui peut les révéler. Ces pratiques dégradantes sont si nuisibles à l’âme, qu'elles polluent et souillent littéralement l’entourage de ceux qui les pratiquent.

      Lorsque nous devenons chrétiens, notre bonne humeur doit être manifeste, elle doit mettre en valeur la Gloire de Dieu. Un homme cupide fait de son argent son dieu ; il place son espérance, sa confiance et sa raison de vivre, dans les biens de ce monde, au lieu de se consacrer au Seigneur.

      Ceux qui se complaisent dans la convoitise et dans l'amour du monde, n'appartiennent pas au Royaume de la Grâce, ils ne parviendront jamais à connaître la Gloire divine. Quand les plus vils transgresseurs se repentent et croient en l'Évangile, ils deviennent des « enfants d'obéissance », et de ce fait n’ont plus à craindre le courroux divin.

      Oserons-nous vraiment chercher ce qui pourrait nous amener à subir la colère de Dieu ? Les pécheurs, semblables à des hommes errants dans les ténèbres, ne savent où ils vont, ni ce qu'ils font. Mais la Grâce de Dieu est tout à fait capable d’opérer de puissants changements dans l’âme du pécheur.

      Marchons comme des « enfants de lumière », dans la connaissance de la Parole et dans la sainteté. Les œuvres des ténèbres sont toutes stériles, quels que soient les profits qu’elles peuvent engendrer ; toutes se terminent par la destruction du pécheur impénitent.

      De nombreux chemins favorisent la complicité avec les iniques ; il est très facile de prendre part aux péchés des autres, suite à de mauvais conseils, des faiblesses ou certaines dissimulations... Si nous partageons avec d'autres leurs péchés, nous devrons aussi craindre de partager leurs fléaux. Si nous ne blâmons pas les péchés des autres, nous en sommes alors les complices...

      Un homme pieux aura honte de parler du péché, alors que de nombreux iniques n’éprouvent aucun scrupule à le pratiquer. Nous ne devons pas reconnaître simplement l’existence et l’horreur du péché, mais nous devons le considérer en tant qu’infraction à la sainte loi de Dieu.

      Après les différents appels à la repentance, des prophètes et des apôtres, nous devons inciter ceux qui sont « endormis et morts » dans le péché, à se « réveiller et à se lever », pour que Christ puisse leur donner la Lumière !

      15 Nous trouvons dans ce texte un autre remède contre le péché : la vigilance, (ou la prudence) ; sans elle, il est impossible de garder une pureté de cœur et de vie.

      Le temps est une bénédiction que Dieu nous accorde : il est mal exploité, voire perdu, lorsqu’il n'est pas employé selon Son dessein. Si jusqu'ici, nous avons perdu notre temps, nous devons redoubler de vigilance pour que cela cesse. Ce temps, que des milliers d'hommes sur leur lit de mort, rachèteraient à n’importe quel prix, combien peu y pensent, et à quelles bagatelles, ils le gaspillent quotidiennement !

      Beaucoup ont rapidement tendance à se plaindre des temps mauvais ; il serait bon qu'ils soient plus empressés à racheter ce temps ! Ne soyons pas imprudents : le mépris de notre devoir, et la négligence de notre âme, révèlent la plus grande folie qui soit.

      L'ivresse est un péché qui ne reste jamais seul, mais qui conduit les hommes vers d'autres maux ; c'est une faute qui provoque Dieu au plus haut point. L'ivrogne offre à sa famille et au monde, le triste spectacle d'un pécheur endurci, au-delà de tout entendement. Cet homme court à sa perte.

      Quand nous sommes las ou affligés, ne cherchons pas à « oublier » nos soucis dans une boisson forte, ce qui est odieux et nuisible ; cet agissement ne peut que nous affliger davantage... Mais, par le biais d’une prière fervente, cherchons plutôt à être remplis de l'Esprit ; évitons tout ce qui peut chagriner notre Consolateur, rempli de la Grâce divine.

      Tous les enfants de Dieu ont maintes raisons de chanter pour exprimer leur joie. Bien que nous ne puissions pas le faire en permanence, nous devons sans cesse rendre grâces et remercier le Seigneur ; nous ne devons jamais manquer de dispositions dans cet élan, car nous ne manquons jamais d’opportunités de le faire, tout au long de notre parcours ici-bas. Remercions le Seigneur, même lors de l’épreuve et de l’affliction, rendons Lui grâce pour tout, et soyons satisfaits de notre condition présente.

      Dieu aime Ses enfants, en les gardant de pécher contre Lui, en les engageant à se soumettre mutuellement, selon Sa Parole, pour promouvoir Sa gloire et pour accomplir leurs devoirs mutuels.

      Philippiens 1

      27 Ceux qui professent appartenir à Christ, doivent se conduire d’une manière digne des vérités de l'Évangile, se soumettre à Ses préceptes pour dépendre de Ses promesses.

      Le terme original « politeuomai », traduit dans ce texte par « conduite », définit en fait l’attitude de citoyens à la recherchent de la bonne renommée, de la sécurité, de la paix et de la prospérité de leur ville.

      La foi envers l'Évangile mérite que l'on lutte pour elle ; elle rencontre en fait beaucoup d'opposition, ce qui devrait nous motiver à lutter pour elle.

      Un homme peut très bien rester indifférent au péché et aller en enfer ; mais celui qui veut se rendre au ciel, doit réagir contre son iniquité et s’appliquer à acquérir le salut.

      On peut rencontrer l’unité de cœur et l’affection parmi les chrétiens, même s’il y a diversité d’opinions sur de nombreux sujets. La foi est un don de Dieu, par le biais de Christ ; la disposition de cœur pour croire provient de Dieu. Nous pouvons estimer que nos souffrances pour Christ, sont un véritable don : sachons leur donner toute leur valeur.

      Le salut ne provient pas des épreuves matérielles, ni d’un sentiment de détresse : il vient uniquement de Dieu. La foi et la patience sont de véritables dons du ciel !

      Philippiens 2

      Philippiens 3

      Philippiens 4

      Colossiens 1

      Colossiens 3

      5 Notre devoir consiste à « mortifier les membres » qui nous incitent à céder aux convoitises du monde : nous devons les empêcher de nuire, les tuer, les supprimer, telles de mauvaises herbes ou de la vermine qui se répand et détruit tout sur son passage.

      Nous devons nous opposer continuellement à toutes les œuvres corrompues, aucune place ne doit être accordée aux indulgences charnelles. Toute occasion de pécher doit être évitée : la convoitise de la chair, l'amour du monde, la cupidité, (qui est de l’idolâtrie), l'amour des biens de ce monde et des vains plaisirs.

      Il est essentiel de mortifier nos péchés, car si nous ne les éradiquons pas, eux nous « tueront » littéralement. L'Évangile est capable de transformer les mauvais penchants de l'âme, quelle qu’en soit la gravité, Il révèle les règles d’une pieuse conduite à la conscience, Il la prévient des vains désirs et des mauvaises passions.

      Il n'y a désormais pour les enfants de Dieu, aucune différence d’origine, ni de conditions de vie : il est du devoir de chacun d'être saint, parce que Christ est tout ; Il est pour chaque chrétien, son seul Seigneur et Sauveur, Il représente toute son espérance et son bonheur spirituel !

      1 Thessaloniciens 2

      1 Thessaloniciens 4

      1 Thessaloniciens 5

      Jacques 3

      Jacques 4

      1 Pierre 2

      1

      Recommandation au chrétien, né de nouveau : avoir une conduite conforme à sa vocation. (1 Pierre 2:1-10)
      Nécessité d’une bonne conduite parmi les Païens. (1 Pierre 2:11,12)
      Exhortations à l’obéissance envers les autorités civiles. (1 Pierre 2:13-17)
      Les serviteurs doivent obéir à leurs maîtres ; tous doivent être patients, selon l'exemple du Sauveur, Celui qui a souffert pour tous. (1 Pierre 2:18-25)

      La médisance révèle la méchanceté et l’hypocrisie qui règnent dans le cœur ; elle nous empêche de tirer un réel profit de la Parole de Dieu.

      Un enfant de Dieu a besoin d'une nourriture spirituelle qui lui soit adaptée. Les enfants désirent du lait, et font tous les efforts possibles pour en obtenir ; il doit en être de même pour les désirs d'un chrétien : être nourri par la Parole de Dieu.

      Notre Seigneur Jésus-Christ est très miséricordieux envers nous, pécheurs misérables ; Il offre toute plénitude en Sa Grâce. Même le meilleur des serviteurs de Dieu, ici-bas, n'a qu'un avant-goût des consolations de Dieu. Dans ce texte, Christ est appelé « la Pierre maîtresse », pour enseigner à Ses serviteurs qu'Il est leur protection et leur sécurité, le fondement sur lequel ils reposent.

      Christ est précieux, par l'excellence de Sa nature, la dignité de Sa fonction, et la gloire de Ses œuvres. Tous les véritables croyants sont de « saints sacerdoces », consacrés à Dieu, devant secourir leur prochain, et dotés de dons provenant du ciel et de la Grâce.

      Les sacrifices les plus spirituels, les meilleures prières et louanges, ne peuvent être acceptés par Dieu qu’au travers de Jésus-Christ. Ce Dernier est la « Pierre angulaire », qui unit la totalité des croyants dans un « temple éternel » ; cette Pierre porte le poids de la structure entière de l’édifice spirituel. Elle a été choisie, pour devenir un fondement éternel. Elle est plus précieuse que toute autre valeur. Être bâti « en Christ » signifie croire en lui ; mais hélas, beaucoup se trompent eux-mêmes, en ne réalisant pas la grandeur de Ses qualités divines, ni la nécessité qu'il y a de bénéficier du salut qu’Il nous offre.

      Même si la structure du monde se désagrégeait, l'homme qui repose sur ce « fondement spirituel » peut rester sans crainte, il ne sera jamais confus. Une âme pieuse se dirige invariablement vers Christ ; elle ne trouvera jamais de raison pour quitter le Seigneur.

      Tous les véritables chrétiens sont une « génération choisie ; » ils forment une famille spirituelle, un peuple distinct, séparé du monde : ils sont unis par le même esprit, les mêmes principes, et tiennent une conduite différente des impies ; jamais ils n'auraient pu être ainsi s'ils n'avaient pas été « choisis en Christ », sanctifiés par Son Esprit. Ils étaient auparavant dans un terrible état de ténèbres spirituelles, mais ils sont désormais appelés hors de cet abîme, dans la joie et l’abondance, afin qu'ils puissent clamer les louanges du Seigneur, en témoignant de la Vérité, par leur bonne conduite.

      Les enfants de Dieu ont de grandes obligations envers Celui qui a fait d'eux Son peuple, en leur prouvant Sa Miséricorde ! Ne pas bénéficier de cette Dernière est un véritable malheur, même si l’on disposait de tous les plaisirs du monde.

      Rien n'amène autant à la repentance qu’une reconnaissance sincère de la Miséricorde et de l'Amour de Dieu. Ne cherchons pas à abuser, ni affronter la Grâce de Dieu, si nous n’avons pas l'espoir d'être sauvés par Christ ; que tous ceux qui veulent être trouvés parmi ceux qui obtiennent Sa Miséricorde, marchent d’une manière digne de Son peuple !

      11 Même les meilleurs des hommes pieux, « la génération choisie », « le peuple de Dieu », ont besoin d'être exhortés pour se garder des pires iniquités. Les convoitises charnelles sont les plus destructrices de l'âme. Un Jugement fâcheux les attend...

      Dieu s’approche des âmes, pour les appeler à la repentance, par Sa Parole et par Sa Grâce ; beaucoup Le glorifieront, et Son peuple, dans la voie de la sainteté, connaîtra un heureux changement !

      1 Pierre 4

      2 Pierre 2

      1 Jean 2

      2 Jean 1

      4 Il est bon d'être formé de bonne heure à la piété ; les enfants sont des bien-aimés au sein d’une famille, quand leurs parents veillent sur eux avec soin.

      Ce fut une grande joie pour l'apôtre de pouvoir constater que ces enfants marchaient dans les pas de leurs parents, prêts à diffuser l'Évangile, à leur tour. Puisse Dieu vraiment bénir de telles familles et faire que beaucoup puissent imiter leur exemple. Qu’il est agréable de constater un tel contraste avec le grand nombre de parents qui, hélas, ont répandu le mépris de la piété, l'infidélité et le vice parmi leurs enfants !

      Notre « marche spirituelle » est droite et notre conversation authentique, lorsque nous nous conduisons conformément à l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Le commandement d'amour fraternel, parmi les chrétiens, peut être considéré comme « moderne », par rapport à ce qui était déclaré à l’origine, par Christ, notre Seigneur ; en fait, dans son fondement, c'est un principe biblique ancien. Cet amour est également bénéfique pour notre âme, lorsque nous obéissons aux commandements divins. La prévoyance de régression spirituelle, aussi bien que d'autres apostasies, ont poussé l'apôtre à exalter toujours et vivement l’amour.

      Jude 1

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