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Romains 15.1

Or nous devons, nous qui sommes forts, supporter les infirmités des faibles, et non pas nous complaire à nous-mêmes.
Nous qui sommes forts dans la foi, nous devons porter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, sans chercher notre propre satisfaction.
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      Romains 4

      Romains 14

      1

      Les Juifs convertis sont mis en garde contre le jugement, et les païens croyants, (les gentils), contre le mépris mutuel. (Romains 14:1-13)
      Les païens sont exhortés à ne pas offenser leur prochain, avec des éléments sans importance. (Romains 14:14-23)

      Au temps où a été rédigé ce texte, différentes opinions ont prédominé, même parmi les partisans immédiats de Christ et de leurs disciples. Paul n’entreprit pas de mettre fin à ces divergences.

      Un assentiment par la contrainte, à une doctrine, ou une recherche de conformité à différentes tendances, sans réelle conviction, serait hypocrite et n’aurait guère de crédibilité. Toute tentative de recherche d’unité d'esprit absolue, parmi les chrétiens est assez illusoire. Que la fraternité chrétienne ne soit pas remise en question, par de simples querelles verbales.

      Il serait bon de nous demander, quand nous sommes tentés de dédaigner et de blâmer nos frères : « appartiennent-ils réellement au Seigneur ? Dans l’affirmative, puis-je oser les désavouer » ?

      Que le chrétien qui se sent entièrement libre, ne méprise pas son frère, pour sa faiblesse, le considérant comme ignorant ou superstitieux. Que le croyant scrupuleux ne trouve pas de faute chez son frère, car Dieu l'a accepté en tant que tel, sans considération spéciale, ni distinction, quant au choix de sa nourriture.

      Quand nous jugeons ainsi les pensées et les intentions de ceux qui n’ont pas les mêmes points de vue que les nôtres, nous usurpons pour ainsi dire, la place de Dieu. Il en est de même pour ceux qui préfèrent certains jours à d’autres. Ceux qui savaient que tous les rites inhérents à la loi étaient caduques, par la venue de Christ, ne tenaient même pas compte des fêtes des Juifs.

      Il n'est pas suffisant que notre conscience soit en accord avec nos actes ; il est essentiel qu’ils soient aussi conformes à ce que prescrit la Parole de Dieu. Veillons à ce que toute action ne s'oppose pas à ce que notre conscience nous dicte. Nous avons rapidement tendance à faire de nos propres opinions, le standard de la vérité, en jugeant négativement les actes de notre prochain. Souvent les chrétiens méprisent ou condamnent les autres sur des sujets douteux, sans réelle importance.

      Un regard reconnaissant vers Dieu, l'Auteur et le Donateur de toutes grâces, les sanctifie et nous pousse à reconnaître qu’elles sont merveilleuses !

      Romains 15

      1

      Directives pour bien se comporter envers le faible. (Romains 15:1-7)
      Tous doivent se recevoir comme des frères. (Romains 15:8-13)
      Les écrits et la prédication de l'apôtre. (Romains 15:14-21)
      Ses projets de voyage. (Romains 15:22-29)
      Il réclame les prières des frères. (Romains 15:30-33)

      La liberté chrétienne a été instaurée par le Seigneur, non pour notre plaisir, mais pour la Gloire de Dieu, et le bien de tous.

      Nous devons contenter notre prochain, pour le bien de son âme, en évitant de servir ses mauvais desseins éventuels, sans le suivre dans un chemin douteux ; si nous cherchons à plaire aux hommes, en suivant leurs mauvaises voies, nous ne sommes pas de bons serviteurs de Christ. La vie entière de ce Dernier était un reniement de soi, une vie consacrée aux autres. Le chrétien le plus mature est celui qui se conforme le plus à Christ. Étant données Sa pureté sans tache et Sa sainteté, rien n’était plus terrible pour Lui, que d'être « fait péché et malédiction » pour nous, de se voir abandonné par Dieu, à la croix ; Il a été le Juste pour les injustes. Jésus a porté la culpabilité et la malédiction du péché ; nous pouvons difficilement ressentir la portée d’une telle souffrance. À la croix, le Seigneur a porté l’orgueil et les péchés des méchants, alors que nous ne sommes appelés qu’à porter les défaillances des faibles.

      Pourquoi ne resterions-nous pas humbles, enclins au reniement de nous-mêmes, prêts à nous considérer l'un l'autre, nous qui partageons la même fraternité ? Les Écritures ont été rédigées pour notre enseignement et notre bien, autant que pour ceux qui ont d'abord besoin de connaître le salut.

      Les plus instruits sont ceux qui connaissent le mieux les Écritures. Le réconfort qui jaillit de la Parole de Dieu est des plus sûr, des plus doux, il représente le plus ferme appui de l'espérance spirituelle. L'Esprit, le Consolateur, est le gage de notre héritage. Notre état d'esprit doit être conforme aux préceptes de Christ, à Son modèle et Son exemple. Christ le don de Dieu : Il représente un don précieux, que nous devons rechercher avec ferveur !

      Notre Maître Divin invite Ses disciples à Le suivre, Il les encourage, témoignant de Son humilité et de Sa douceur d'esprit. Une même conduite doit animer Ses serviteurs, vis-à-vis du fort, comme du faible.

      Le but suprême de tous nos actes doit être la Gloire de Dieu ; rien ne peut mieux y concourir que l'amour fraternel et la bonté de ceux qui professent la piété. Ceux qui s'accordent en Christ doivent manifester leur fraternité mutuelle !

      1 Corinthiens 4

      1 Corinthiens 9

      1 Corinthiens 12

      2 Corinthiens 12

      Galates 6

      1

      Exhortations à la douceur, à la gentillesse, et à l'humilité. (Galates 6:1-5)
      La gentillesse envers tous les hommes, en particulier les croyants. (Galates 6:6-11)
      Les Galates mis en garde contre ceux qui professent du Judaïsme. (Galates 6:12-15)
      Bénédiction solennelle. (Galates 6:16-18)

      Nous devons porter nos fardeaux mutuellement. Nous accomplirons ainsi la loi de Christ ! Ce type de conduite oblige à une indulgence et une compassion mutuelles, selon l’exemple de notre Seigneur. Il nous appartient de porter nos fardeaux ensemble, tels des compagnons de voyage.

      Il est très facile de se considérer sage et meilleur que les autres, et de ce fait, de leur dicter leur conduite. Celui qui agit ainsi se trompe lui-même et cette fausse prétention, aura plus ou moins rapidement de tristes conséquences. Cette haute opinion de soi-même est toujours vaine, que ce soit dans nos rapports avec Dieu ou avec les autres. En fait, chacun est tenu de prouver la motivation de ses propres œuvres : pour le Seigneur ou au service de notre égoïsme...

      Plus nous connaissons notre propre cœur et les voies que nous empruntons, moins nous aurons tendance à mépriser les autres, et serons disposés à les aider, dans leurs difficultés et leur détresses.

      Qu’ils nous paraissent bien légers les péchés que nous commettons, alors qu'ils sont en fait bien plus pesants lorsque nous les confessons devant Dieu ! Nul ne peut payer de rançon pour les péchés de son frère ; l’iniquité est un fardeau spirituel pour l'âme ; plus un homme y reste insensible, plus il doit s’examiner attentivement.

      La plupart des hommes sont morts dans leurs péchés, sans avoir ressenti le sens de ce fardeau spirituel. Quand nous sommes conscients du poids réel de nos péchés, nous devons chercher à nous en alléger, par notre Sauveur, Jésus-Christ ; prions pour qu’Il nous sensibilise, à chaque fois que nous pratiquons l’iniquité !

      Ephésiens 6

      10 La force spirituelle et le courage sont nécessaires, lors de l’épreuve, comme dans notre combat avec « l’ennemi ».

      Ceux qui sont convaincus de posséder la Grâce véritable, doivent viser à en obtenir toute l’entité : revêtir l'armure de Dieu, celle qu'Il nous a préparée et mise à notre disposition. L'armure chrétienne est faite pour être portée ; nous ne devons pas ôter cette armure tant que notre combat n’a pas cessé, ni achever notre course spirituelle. Ce combat ne consiste pas à s’opposer à des ennemis humains, ni à notre propre nature corrompue : nous avons en fait, affaire à un ennemi qui possède mille manières pour déstabiliser les âmes vulnérables. Les démons nous attaquent dans le domaine qui appartient à notre âme, ils opèrent pour dépraver « l'image » céleste qui réside en notre cœur. Nous devons, par la grâce de Dieu, prendre la résolution de ne pas céder à Satan. Résistez-lui, et il s'enfuira. Si nous lui « ouvrons la voie », il gagnera immanquablement du terrain...

      Si nous doutons de notre état spirituel, de notre Chef, ou de la solidité de notre armure spirituelle, nous donnons l'avantage à Satan.

      Ce texte décrit les différentes parties de l'armure des soldats bien armés, capables de soutenir les assauts les plus violents. rien n’est prévu pour protéger le dos : il n’y a rien pour défendre ceux qui tournent le dos au combat chrétien.

      La vérité, (ou la sincérité), représente la ceinture. Celle-ci entoure tous les autres constituants de notre armure, elle est d’ailleurs mentionnée en premier lieu. Il ne peut pas y avoir de religion sans authenticité. La justice de Christ, dont nous pouvons disposer, est une véritable cuirasse, elle nous protège des flèches du courroux divin. La justice de Christ, implantée en nous, fortifie notre cœur, contre les attaques de Satan.

      Une ferme résolution de lutter, ressemble à des guêtres, destinées à protéger nos jambes ; elle sert à tenir ferme dans notre marche ; dans les sentiers accidentés, les pieds doivent être chaussés avec la « préparation de l'Évangile de paix ».

      L'obéissance, lors de l’épreuve, doit être accompagnée d'une solide connaissance de l'Évangile.

      La foi est un tout, à l'heure de la tentation. Elle est basée sur des éléments invisibles ; elle reçoit Christ et les bienfaits de Sa rédemption : elle est un véritable bouclier, une défense efficace.

      Le diable est le « méchant ». Les tentations virulentes, par lesquelles l'âme est confrontée au « feu de l'enfer », sont de véritables flèches que Satan décoche contre nous. Elles peuvent consister également dans de mauvaises pensées à l’égard de Dieu, voire défaitistes contre nous-mêmes. La foi, qui se base sur la Parole de Dieu et la Grâce de Christ, éteint les flèches enflammées de la tentation.

      Le salut doit représenter notre casque. Une solide espérance du salut et une attente scripturaire de la victoire spirituelle, purifieront l'âme et lui éviteront d'être souillée par Satan.

      Au chrétien revêtu d’une telle armure, pour sa protection dans le combat, l'apôtre recommande une seule arme offensive ; elle est toutefois suffisante : c'est l'épée de l'Esprit, la Parole de Dieu. Elle subjugue et mortifie les mauvais désirs et les pensées blasphématoires qui peuvent s'éveiller en nous ; elle répond à l'incrédulité et aux différentes déviations qui peuvent nous assaillir de l’extérieur. Un texte biblique, relativement simple, bien compris et appliqué en toute droiture, détruit immédiatement toute tentation ou une objection négative, il subjugue l'adversaire le plus redoutable.

      La prière doit fixer toutes les parties de notre armure chrétienne. Différents devoirs existent dans l’exercice de la piété ; dans notre situation ici-bas, nous devons réserver un temps de prière. Une prière « artificielle » n’est guère efficace, cependant celle qui est sobre et fervente apporte toujours un bienfait.

      Nous devons avoir de saintes pensées dans notre cheminement spirituel. Un cœur vain sera inefficace dans la prière. Nous devons intercéder par toutes sortes de prières, en public, comme en privé, dans le secret ; en société ou seul ; solennellement ou spontanément ; une prière doit comporter : - La confession du péché ; - L'appel à la Miséricorde ; - Des actions de grâces pour les bénédictions reçues.

      Nous devons prier par la Grâce de Dieu, avec le Saint-Esprit, dans Sa dépendance et d'après Son enseignement. Nous devons persévérer dans nos demandes spécifiques, sans nous décourager. Nous devons prier, non seulement pour nous-mêmes, mais pour tous les saints.

      Nos ennemis spirituels sont puissants, et nous disposons de peu de force, mais notre Rédempteur est tout-puissant, et grâce à Lui, nous sommes capables de vaincre ! Nous devons donc réagir ! N'avons-nous pas souvent négligé de répondre aux appels divins ?

      Méditons les paroles de ce texte et persévérons dans l’exercice de la prière !

      1 Thessaloniciens 5

      2 Timothée 2

      1

      L'apôtre exhorte Timothée à persévérer avec assiduité, tel un soldat, un combattant ou un laboureur. (2 Timothée 2:1-7)
      Il l'encourage en l'assurant d'une fin heureuse, en gage de sa fidélité. (2 Timothée 2:8-13)
      Avertissements : fuir les vains discours et les méprises dangereuses. (2 Timothée 2:14-21)
      Il lui demande de fuir les passions de la jeunesse, et de se dresser avec zèle contre l'erreur, avec toutefois une certaine douceur d'esprit. (2 Timothée 2:22-26)

      À mesure que nos épreuves augmentent, nous avons besoin de nous fortifier par ce qui est bien : avoir une foi plus ferme, un zèle déterminé, et un amour solide envers Dieu et Christ. Ceci s'oppose à ce que nous soyons forts par nos propres aptitudes.

      Tous les chrétiens, en particulier les serviteurs de Dieu, doivent être fidèles à leur « Capitaine » (Christ), déterminés à soutenir Sa cause. Tout chrétien doit se soucier de plaire à Christ. Nous devons lutter pour obtenir la maîtrise de nos convoitises et de nos corruptions ; nous ne pouvons pas toutefois espérer de récompenses spirituelles, si nous n'observons pas les règles que nous enseigne la Parole de Dieu.

      Nous devons prendre soin de pratiquer le bien, de manière convenable, pour qu'aucun mal ne puisse nous être reproché. Certaines personnes actives « dépensent » leur zèle en vaine recherche de parures extérieures et de diverses contestations. Celles, par contre qui œuvrent de manière honnête, conformément aux enseignements de la Parole, seront finalement couronnées.

      Si nous voulons avoir des bénéfices, il nous faut travailler ; si nous voulons « gagner le prix », nous devons courir la course. Nous devons accomplir la volonté divine, avant de recevoir Ses promesses, et de ce fait, user de patience. Par nos prières d’intercession, pour que le Seigneur accorde à notre prochain la Grâce de comprendre Sa Parole, nous devons l’exhorter et le solliciter jusqu'à ce qu'il considère positivement le message spirituel qui lui est adressé.

      1 Jean 2

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