Le courage d'être différent (1/2) - Joyce Meyer - Avoir des relations saines
Ce programme est financé par les amis et partenaires du ministère de Joyce Meyer. Je ne vais pas être une …
Tite 3:1-7 Nos privilèges spirituels, en tant qu’enfants de Dieu, ne nous dispensent aucunement d’accomplir nos devoirs civiques ; ils ne les discréditent pas, mais les confirment. De bonnes paroles et des intentions louables ne sont pas suffisantes, sans une réelle pratique des bonnes œuvres.
Les chrétiens ne doivent pas être querelleurs, mais témoigner de la douceur en toutes occasions, non seulement à l'égard des autres chrétiens, mais devant tous les hommes, en toute sagesse, Jacques 3:13. Puisse ce texte nous enseigner à quel point il est grave pour un chrétien d'être grossier, ou d'être faible.
Les serviteurs du péché ont plusieurs maîtres, leurs convoitises les précipitent dans diverses voies ; ils sont menés par l'orgueil et leurs caprices. Ils sont ainsi méprisables et haïssables, à cause de leurs péchés ; les saints, au contraire, ont le devoir et la joie de s'aimer mutuellement.
Nous sommes arrachés à notre misérable condition, due au péché, uniquement par la Miséricorde et la Grâce de Dieu, par le mérite et les souffrances de Christ et l'œuvre de l’Esprit. Dieu le Père est Dieu, notre Sauveur. Il est la source d’où provient le Saint-Esprit, pour enseigner, régénérer et sauver Ses créatures perdues ; de telles bénédictions ne parviennent à l'humanité que par Christ ! Leur source provient de la bonté et de l'Amour de Dieu envers l'homme. L'Amour et la Grâce, par l’intermédiaire de l'Esprit Saint, sont vraiment puissants pour changer et orienter le cœur de l’homme, vers Dieu.
Les « fruits spirituels » doivent se remarquer chez celui qui est sauvé, ils ne sont pas à l’origine de son salut, mais la Grâce et la sainteté qui se sont opérées dans le cœur du racheté, changent ce dernier, le gouvernent, et font de lui une « nouvelle créature ». La plupart des personnes prétendent aller au Ciel, sans cependant, s'inquiéter de leur sainteté ici-bas ; elles voudraient bénéficier directement de la félicité céleste, sans exercer la piété.
Voici le signe extérieur et le sceau qui caractérisent le baptême, associé à la purification de la régénération de l’âme : une opération intérieure et spirituelle, qui se manifeste toutefois extérieurement par son ordonnance. Ne soyez pas étonnés quant à l’aspect extérieur du baptême, mais considérez plutôt sa signification : l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu, sans lequel cet acte n'aurait aucune valeur.
L'Esprit de Dieu œuvre en notre âme : c'est ce que l’on nomme, le « renouvellement du Saint-Esprit ». Par ce Dernier, nous mortifions le péché, nous accomplissons notre devoir et marchons dans les voies de Dieu ; toute notre vie spirituelle, avec les fruits qu’elle comporte, est bénie par le Saint-Esprit. Ce Dernier, ainsi que la Grâce et les dons qui nous sont accordés, proviennent de Christ, notre Sauveur ; tout concourt à Sa Gloire.
La justification, dans l'esprit de l'Évangile, fait suite au pardon du pécheur : ce dernier est acquitté de ses fautes par la Justice de Christ, par la foi. Dieu, en justifiant le pécheur qui suit la voie de l'Évangile, lui fait grâce, tout en satisfaisant Lui-même Sa Justice, à l'égard de la loi. Comme ce pardon divin est le résultat d’une parfaite justice, satisfaite par le sacrifice de Christ, il ne peut être attribué au pécheur !
La vie éternelle nous est proposée selon la promesse divine du
salut ; l'Esprit « exalte » notre foi, et l'espérance de la vie
éternelle ; ces deux éléments vont de pair, et nous remplissent
de joie, dans l'attente de la félicité céleste !
En cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies », vous acceptez que TopChrétien utilise des traceurs (comme des cookies ou l'identifiant unique de votre compte utilisateur) et traite vos données à caractère personnel (comme vos données de navigation et les informations renseignées dans votre compte utilisateur) dans les buts suivants :
1 à 7 Conduite à tenir envers les autorités et la société humaine en général.
Tite 3:1-7 Nos privilèges spirituels, en tant qu’enfants de Dieu, ne nous dispensent aucunement d’accomplir nos devoirs civiques ; ils ne les discréditent pas, mais les confirment. De bonnes paroles et des intentions louables ne sont pas suffisantes, sans une réelle pratique des bonnes œuvres.
Les chrétiens ne doivent pas être querelleurs, mais témoigner de la douceur en toutes occasions, non seulement à l'égard des autres chrétiens, mais devant tous les hommes, en toute sagesse, Jacques 3:13. Puisse ce texte nous enseigner à quel point il est grave pour un chrétien d'être grossier, ou d'être faible.
Les serviteurs du péché ont plusieurs maîtres, leurs convoitises les précipitent dans diverses voies ; ils sont menés par l'orgueil et leurs caprices. Ils sont ainsi méprisables et haïssables, à cause de leurs péchés ; les saints, au contraire, ont le devoir et la joie de s'aimer mutuellement.
Nous sommes arrachés à notre misérable condition, due au péché, uniquement par la Miséricorde et la Grâce de Dieu, par le mérite et les souffrances de Christ et l'œuvre de l’Esprit. Dieu le Père est Dieu, notre Sauveur. Il est la source d’où provient le Saint-Esprit, pour enseigner, régénérer et sauver Ses créatures perdues ; de telles bénédictions ne parviennent à l'humanité que par Christ ! Leur source provient de la bonté et de l'Amour de Dieu envers l'homme. L'Amour et la Grâce, par l’intermédiaire de l'Esprit Saint, sont vraiment puissants pour changer et orienter le cœur de l’homme, vers Dieu.
Les « fruits spirituels » doivent se remarquer chez celui qui est sauvé, ils ne sont pas à l’origine de son salut, mais la Grâce et la sainteté qui se sont opérées dans le cœur du racheté, changent ce dernier, le gouvernent, et font de lui une « nouvelle créature ». La plupart des personnes prétendent aller au Ciel, sans cependant, s'inquiéter de leur sainteté ici-bas ; elles voudraient bénéficier directement de la félicité céleste, sans exercer la piété.
Voici le signe extérieur et le sceau qui caractérisent le baptême, associé à la purification de la régénération de l’âme : une opération intérieure et spirituelle, qui se manifeste toutefois extérieurement par son ordonnance. Ne soyez pas étonnés quant à l’aspect extérieur du baptême, mais considérez plutôt sa signification : l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu, sans lequel cet acte n'aurait aucune valeur.
L'Esprit de Dieu œuvre en notre âme : c'est ce que l’on nomme, le « renouvellement du Saint-Esprit ». Par ce Dernier, nous mortifions le péché, nous accomplissons notre devoir et marchons dans les voies de Dieu ; toute notre vie spirituelle, avec les fruits qu’elle comporte, est bénie par le Saint-Esprit. Ce Dernier, ainsi que la Grâce et les dons qui nous sont accordés, proviennent de Christ, notre Sauveur ; tout concourt à Sa Gloire.
La justification, dans l'esprit de l'Évangile, fait suite au pardon du pécheur : ce dernier est acquitté de ses fautes par la Justice de Christ, par la foi. Dieu, en justifiant le pécheur qui suit la voie de l'Évangile, lui fait grâce, tout en satisfaisant Lui-même Sa Justice, à l'égard de la loi. Comme ce pardon divin est le résultat d’une parfaite justice, satisfaite par le sacrifice de Christ, il ne peut être attribué au pécheur !
La vie éternelle nous est proposée selon la promesse divine du salut ; l'Esprit « exalte » notre foi, et l'espérance de la vie éternelle ; ces deux éléments vont de pair, et nous remplissent de joie, dans l'attente de la félicité céleste !