L'auteur annonce aux douze tribus la destruction des nations
environnantes ; et comme le peuple s'abandonnait à la
méchanceté et à l'idolâtrie, il le réprouve avec sévérité ;
Amos décrit l'instauration de l'église par le Messie, dans les
jours futurs.* Jugements contre les Syriens, les Philistins,
les habitants de Tyr, les Édomites et les Ammonites
Dieu a utilisé un homme étant à la fois berger et cultivateur
pour réprimander et avertir le peuple. Ceux à qui Dieu donne
des capacités pour Son service, ne doivent pas être méprisés à
cause de leur origine, ou de leur emploi. Dans ce texte, des
jugements sont dénoncés contre les nations avoisinantes et
contre les oppresseurs du peuple de Dieu.
Le nombre de transgressions mentionnées ici n'est pas à prendre
au sens littéral, il signifie plutôt une grande quantité : le
peuple était parvenu au comble de ses péchés, il était mûr pour
subir la vengeance divine. Le traitement infligé à ces nations
peut sembler à première vue être toujours le même, mais en
fait, un sort particulier a été réservé pour chacune. De tout
temps, une certaine hostilité a été constatée à l'encontre du
peuple de Dieu.
Quand le seigneur traite avec ses ennemis, ses jugements sont
alors terribles !
Cinquième fils de Hetsron ; renseignement ajouté sans transition ni explication à ce qui précède, tiré probablement d'une autre source.
Abija n'est pas la fille de Makir verset 24, mais une troisième femme de Hetsron. Aschhur, son fils, est mentionné encore 4.5-7.
Sur Thékoa, voir Amos, Introduction.
La ville Caleb-Ephratha n'est mentionnée nulle part ailleurs. Du reste l'expression est singulière, et il faut peut-être admettre une corruption du texte. Les Septante ont une autre leçon (Caleb vint à Ephratha) qui n'est pas plus intelligible.