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1 Corinthiens 3.9

Car nous sommes ouvriers avec Dieu ; vous êtes le champ de Dieu, l'édifice de Dieu.
Car nous travaillons ensemble au service de Dieu, et vous, vous êtes le champ qu’il cultive. Ou encore : vous êtes l’édifice qu’il construit.

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    • Psaumes 65

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      Psaumes 80

      8 L'église est représentée, ici, telle une vigne gérée par un vigneron. La racine de cette vigne, c'est Christ, les branches représentent les croyants. L'église, tout comme la vigne, a besoin d'un tuteur pour qu'elle puisse s'étendre et être fructueuse. Aucun arbre ne peut être aussi inutile qu'une vigne qui ne donne aucun fruit. Et ne sommes-nous pas plantés dans un jardin bien cultivé, avec tous les moyens disponibles pour avoir des œuvres fructueuses et droites ? Mais les feuilles et les rameaux inutiles se retrouvent hélas bien plus fréquemment que les formes de piété réelle. Ce n'est que gâchis et ruine. Il y avait de bonnes raisons pour que cela changeât au travers du chemin offert par Dieu.

      Notre santé spirituelle dépend de l'opinion que Dieu a envers nous. Quand nous considérons l'état du plus bel aspect visible de l'église, nous ne sommes pas surpris de voir qu'elle a été l'objet d'une sévère correction divine. Dans ce psaume, il est demandé que Dieu aide cette vigne.

      Seigneur, elle a été formée par Tes soins, et pour Toi, qu'elle puisse, en toute confiance s'appuyer sur Ta Personne !

      Psaumes 118

      Esaïe 5

      1

      L'état et la conduite de la nation juive. (Esaïe 5:1-7)
      Les jugements divins imminents. (Esaïe 5:8-23)
      Ceux qui exécutèrent ces jugements. (Esaïe 5:24-30)

      Christ est le bien-aimé Fils de Dieu, et notre merveilleux Sauveur ! Le soin que l'Éternel a prodigué envers l'assemblée d'Israël, est décrit par l'image d'une vigne.

      Tôt ou tard, les avantages que le ciel nous a accordés ici-bas, seront « comptabilisés » par le Seigneur.

      L'Éternel planta une « vigne » de la meilleure qualité qui soit ; Il donna aux enfants d'Israël Sa loi, excellente, et a institué Ses ordonnances, appropriées à leur situation. Le temple était une « tour », où Dieu manifesta Sa présence. Il établit Son autel, où les sacrifices devaient être offerts ; en fait, tous les moyens nécessaires aux actions de grâce envers Dieu, sont ici décrits. Dieu attend le « fruit », la louange, de ceux qui bénéficient de Ses privilèges. De bons départs, vers des buts nobles sont louables, mais ce n'est pas suffisant ; il doit y avoir en plus du « fruit de la vigne », la communion avec le Seigneur ; nos pensées et nos affections, comme nos paroles et nos actions, doivent être « de bonne odeur », pour le Saint-Esprit.

      Dieu ôta le fruit gâté. Les raisins sauvages sont les fruits de la nature corrompue. Là où la Grâce n'agit pas, la corruption se manifeste. La méchanceté de ceux qui se disent pieux, et qui ne jouissent pas des bénéfices de la grâce, finit par retomber sur eux-mêmes, véritables pécheurs. De telles personnes n'appartiendront plus au peuple élu, aux enfants de Dieu. Quand les erreurs et le vice ne sont plus contrôlés, la « vigne » ne vaut alors plus rien ; elle sera bientôt entourée d'épines. Cette situation se rencontre souvent, quand l'Esprit de Dieu s'éloigne de ceux qui se sont longtemps écartés de Lui, et qui ne se sont pas conformés à l'évangile. Ce texte est clair, il nous donne toute explication à ce sujet !

      Il est regrettable de voir une âme, qui, au lieu d'être constituée de « raisins » d'humilité, d'amour, de patience, et de mépris du monde, qualités auxquelles Dieu est sensible, se trouve en fait n'être que des « raisins sauvages », de fierté, de passion, de mécontentement, et de méchanceté, au mépris de Dieu ; on devrait trouver en chaque individu la « vigne » de la prière et de la louange du Seigneur, au lieu de celle qui reste sauvage, celle des mauvaises paroles et des jurons.

      Sachons produire patiemment du fruit, afin qu'au terme de notre séjour ici-bas, nous puissions jouir de la vie éternelle !

      Esaïe 27

      Esaïe 28

      Esaïe 32

      Esaïe 61

      Jérémie 2

      Amos 9

      11 Christ est mort pour rassembler les enfants de Dieu dispersés, pour ceux qui répondent à Son appel. Le Seigneur a fait connaître Ses ordonnances, Il est déterminé à les accomplir car Sa grâce toute puissante est orientée vers ce but.

      Les versets Amos 9:13-15 peuvent s'appliquer aux débuts de la chrétienté ; ils s'accompliront avec davantage de gloire lors des évènements prédits par tous les prophètes et ils seront davantage compris quand les Juifs et les Gentils formeront ensemble l'église. Soyons toujours actifs et zélés dans la prière quant à l'accomplissement de ces prophéties, dans la paix, la pureté et la beauté de l'église.

      Dieu préserve merveilleusement Ses élus au sein des plus terribles misères, dans les temps confus. Quand tout semble désespéré, Il est capable de vivifier Son église et de la bénir de toutes sortes de bénédictions en Jésus-Christ. Qu'elle sera grande la gloire de cette période, en laquelle aucune des bontés promises ne manquera d'être accomplie !

      Zacharie 6

      Matthieu 9

      Matthieu 13

      24 Cette parabole représente l'état présent et futur de l'église : le soin que Christ prend pour cette dernière, l'inimitié qu'éprouve le diable contre elle, le mélange du bien et du mal qu'il y a ici-bas, et leur séparation dans l’au delà.

      Quand l'ennemi sème de « l'ivraie », l'homme, toujours prompt à succomber au péché, laisse pousser cette mauvaise herbe, qui va croître et lui faire du mal ; la « bonne semence », quant à elle, une fois semée, doit être soignée, arrosée, et entretenue.

      Dans cette parabole, les serviteurs s’exprimèrent par cette remarque à leur maître : « n'as-tu pas semé de la bonne graine dans ton champ » ? Sans aucun doute, c'est ce que le maître avait fait !

      Quels que soient les problèmes et complications qui peuvent apparaître dans l'église, nous pouvons être certains qu’ils ne proviennent pas de Christ. Bien que les grands transgresseurs et ceux qui s'opposent ouvertement à l'évangile, doivent être séparés de la compagnie des fidèles, aucun homme n’est cependant capable de les dissocier avec précision. Ceux qui s’opposent à l’église ne doivent pas en être retranchés pour autant, mais instruits, et cela avec beaucoup de douceur.

      Même si le bien et le mal peuvent cohabiter en ce monde, ils seront cependant séparés au grand jour du Jugement ; le vertueux et le méchant seront alors ouvertement révélés, bien qu'ici-bas il soit quelquefois difficile de faire la distinction entre les deux.

      Sachons craindre le Seigneur, ne commettons pas l'iniquité. À leur mort, les croyants resplendiront de leur lumière spirituelle ; au grand jour du Jugement, ils « brilleront » devant tous : cet éclat proviendra du reflet de la « Fontaine » de Lumière, Christ ! Leur sanctification sera parfaite, leur justification annoncée devant tous.

      Puissions-nous faire partie de cette heureuse assemblée !

      Matthieu 16

      Matthieu 20

      1

      La parabole des ouvriers dans la vigne. (Matthieu 20:1-16)
      Jésus annonce encore Ses souffrances. (Matthieu 20:17-19)
      L'ambition de Jacques et de Jean. (Matthieu 20:20-28)
      Jésus guérit deux aveugles, près de Jéricho. (Matthieu 20:29-34)

      La première signification de cette parabole semble être la suivante : bien que les Juifs aient été appelés les premiers dans la vigne, à terme, l'évangile allait être prêché aux Gentils, ces derniers devant recevoir les mêmes privilèges et les mêmes avantages que les premiers.

      La parabole peut être aussi expliquée de façon plus générale ; elle montre alors : 1. Que Dieu n'est débiteur envers aucun homme. 2. Que les nombreuses personnes qui viennent au Seigneur tardivement, n’ayant auparavant que peu d'attirance pour la piété, parviennent parfois, par la bénédiction divine, à un grand niveau de connaissance de la Parole et de la Grâce, devenant ainsi de grande utilité pour les autres. 3. Qu’une récompense finale sera donnée plus tard aux saints, mais la date de leur conversion ne sera pas toutefois prise en compte. Cette parabole décrit aussi l'état de l'église ici-bas ; elle confirme les différentes déclarations du Seigneur : « les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers ».

      Jusqu'à ce que nous soyons « engagés » pour le service du Seigneur, nous nous tenons debout tout le jour, dans le désœuvrement : nous sommes alors dans un état coupable, car l’inaction peut révéler un état d'esclavage, au service de Satan. L’endroit où s’est rendu le Maître, c’est le monde, et c’est là que nous sommes appelés, par l'évangile. Venez, quittons cet endroit ! Le travail pour le Seigneur n'admettra aucune diversion.

      Un homme n’a rien à faire pour aller en enfer, mais celui qui veut aller au ciel, doit s’appliquer pour s’y rendre. Le denier romain, mentionné dans cette parabole, permettait à l’époque de vivre pendant une journée. Ceci ne prouve absolument pas que la récompense de notre obéissance à Dieu soit proportionnelle à nos œuvres, ou provienne d’une dette quelconque ; lorsque nous avons terminé notre tâche, nous sommes des serviteurs sans utilité ; mais nous devons garder à l’esprit qu'une récompense nous est promise ; personne ne doit négliger la repentance, et ce, jusqu'à sa vieillesse.

      Dans ce texte, certains ouvriers furent envoyés dans la vigne à la onzième heure : personne ne les avait embauchés avant. Les Païens sont aussi entrés à la « onzième heure » : l'évangile ne leur avait pas été prêché auparavant. Ceux qui auront refusé l'évangile qui leur a été proposé à la « troisième ou à la sixième heure », ne devront pas dire à la « onzième heure », comme les ouvriers de cette parabole : « personne ne nous a engagés ». Sans vouloir décourager quiconque, mais plutôt pour éveiller toutes les âmes, qu'il soit rappelé que c'est encore le temps propice, celui du salut !

      La richesse de la Grâce divine est toujours clairement annoncée parmi les « pharisiens orgueilleux » et ceux qui n’ont de chrétien que le nom. Nous avons souvent tendance à penser que nous avons bien peu de faveurs divines, à l’inverse des autres ; nous sommes persuadés que nous œuvrons beaucoup pour le Seigneur, toujours plus que les autres...

      Si Dieu accorde Sa Grâce aux autres, Il exerce Sa bonté envers eux, et non de l'injustice envers nous. Ceux qui vivent « selon la chair » ont choisi leur part ici-bas : ils seront rémunérés avec les « deniers » de ce monde.

      Les croyants obéissant à Dieu, s’attendent à être rémunérés avec des « deniers célestes », se souvenant qu'ils se sont engagés volontairement pour la cause du Seigneur. Ne voudrais-tu pas « t’engager » totalement pour le ciel, ou cherches-tu le bonheur dans la « vie », ici-bas ? Dieu ne punit personne plus qu'il ne le mérite, Il récompense Ses enfants selon chaque service rendu ; Il ne fait donc tort à personne, en accordant Sa Grâce de façon extraordinaire à certains.

      Remarquez dans ce passage, l'envie qui animait certains ouvriers : c'était en fait un sentiment de jalousie, découlant du bien qui avait été attribué aux autres ; cette pensée ne pouvait que leur nuire.

      Si nous sommes animés par ce genre de mauvaise pensée, (cette jalousie cupide) cela ne peut que déplaire à Dieu, et nuire à nos prochains : c'est un péché qui ne procure ni plaisir, ni profit, ni honneur.

      Renonçons donc à toute revendication orgueilleuse et recherchons plutôt le salut, ce don gratuit ! Ne soyons jamais envieux ni rancunier, mais réjouissons-nous et louons Dieu pour Sa miséricorde envers les autres aussi bien qu'envers nous-mêmes !

      Matthieu 21

      23 Notre Seigneur étant maintenant apparu ouvertement comme le Messie, les principaux sacrificateurs et les scribes étaient vraiment offensés : Jésus dénonçait en effet les abus qu’ils pratiquaient. Le Seigneur leur demanda également ce qu'ils pensaient du ministère et du baptême de Jean.

      Beaucoup n’éprouvent aucune honte à mentir, voulant en fait masquer le péché qu’ils ont commis : ils n’ont aucun scrupule à dissimuler les erreurs, relatives à leurs propres pensées, leurs affections personnelles, leurs intentions, ou leurs mauvais souvenirs.

      Dans ce texte, notre Seigneur refusa de répondre aux questions que lui posaient les sacrificateurs et les anciens. Il est bon de fuir les vaines et inutiles polémiques avec les pécheurs, opposés totalement à toute piété.

      28 Les paraboles qui émettent des reproches, s’adressent clairement aux moqueurs, jugeant directement leurs propres paroles.

      La parabole des deux fils, envoyés pour travailler dans la vigne était destinée à montrer que ceux qui ne savaient pas que le baptême de Jean venait de Dieu, seraient finalement humiliés par ceux qui en bénéficiaient.

      L’ensemble de la race humaine est semblable à des enfants élevés par le Seigneur, enfants qui se sont ensuite rebellés contre Lui ; certains sont malgré tout plus « utiles » dans leur désobéissance que d'autres : il arrive souvent en effet que le rebelle hautain soit amené à la repentance et devienne ensuite un serviteur du Seigneur, alors que le soi-disant « formaliste » continue à croître dans sa fierté et son inimitié envers Dieu.

      33 Cette parabole dénonce clairement le péché et la ruine dans lesquelles la nation juive était tombée ; ce qui lui est annoncé, quant à sa culpabilité, est destiné à servir d’avertissement à tous ceux qui veulent bénéficier égoïstement des privilèges propres à l'église.

      Les hommes traitent le peuple de Dieu de la même manière qu’ils ont traité Christ ici-bas.

      Comment pouvons-nous, si nous sommes fidèles à la cause du Seigneur, attendre d’un monde mauvais, ou des opposants à Christ, une opinion favorable à notre égard ?

      Nous pouvons nous poser cette question : « nous qui disposons de la vigne (spirituelle), avec tous ses avantages, avons-nous donné nos fruits au bon moment, en tant que peuple, famille, ou individuellement » ?

      Notre Sauveur, dans sa question, déclare que le maître de la vigne viendra, et à ce moment, Il détruira inexorablement les méchants.

      Les principaux sacrificateurs et les anciens étaient « les bâtisseurs » mentionnés dans ce texte, ils n'admettaient pas la doctrine ni les lois du Seigneur ; ils Le rejetèrent, telle une pierre méprisée. Mais Celui qui a été repoussé par les Juifs, fut accueilli par les Païens.

      Christ connait ceux qui porteront les fruits de l’évangile, par l'annonce de la « bonne nouvelle ». L'incrédulité des pécheurs sera leur ruine. Mais Dieu possède de nombreux moyens pour retenir Son courroux ; Il en a d’autres pour disposer les cœurs à la louange. Puisse Christ devenir de plus en plus précieux à nos âmes ; Il est en effet le ferme Fondement et la Pierre angulaire de Son église : Soyons disposés à Le suivre, même si nous sommes méprisés et haïs à cause de Lui !

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