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1 Corinthiens 7.22

For he who was called in the Lord being a bondservant is the Lord's free man. Likewise he who was called being free is Christ's bondservant.
En effet, l'esclave qui a été appelé par le Seigneur est un affranchi du Seigneur ; de même, l'homme libre qui a été appelé est un esclave de Christ.
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    • Psaumes 116

      Luc 1

      Jean 8

      Romains 1

      1

      En écrivant aux Romains, l'apôtre semblait vouloir adresser, par son enseignement, des éléments de réponse aux incrédules, tout en instruisant les croyants Juifs ; il voulait également affermir la foi des chrétiens et convertir les païens idolâtres ; de plus, l’écrivain désirait souligner l’égalité des « Gentils » et des Juifs, en ce qui concerne leur condition religieuse et leur place dans la faveur divine.

      Ces buts multiples sont présentés au lecteur, par le biais d’oppositions et de divers raisonnements, tant avec les Juifs, (incrédules ou non), qu’avec les « Gentils ».

      Le chemin de l'acceptation d'un pécheur par Dieu, c'est-à-dire Sa justification, simplement par la Grâce, est clairement affirmé au travers de la foi en la Justice de Christ, sans distinction de nations. Cette doctrine se distingue des objections soulevées par les chrétiens judaïques, partisans de créer des critères d'accession au salut, par un mélange de la loi et de l'Évangile, et pour priver les païens de toute participation aux bénédictions apportées par le Messie. Dans la conclusion de l’épitre, l’auteur incite à la sainteté, par le biais de nombreuses exhortations pratiques.

      * La mission de l'apôtre. (Romains 1:1-7) Il prie pour les saints à Rome, et désire les rencontrer. (Romains 1:8-15) Le chemin de l'Évangile et de la justification par la foi, tant pour les Juifs que pour les Gentils. (Romains 1:16,17) Les péchés des Gentils sont révélés. (Romains 1:18-32)

      Romains 1:1-7 La doctrine enseignée par l'apôtre Paul expose l'accomplissement des promesses faites par les prophètes : il s’agit en fait de Jésus-Christ, le Sauveur, le Messie promis, de la descendance de David, par sa nature humaine, mais déclaré Fils de Dieu, par le pouvoir Divin qui Le ressuscita des morts. La profession chrétienne n’est pas constituée d’une connaissance théorique des Écritures, ni d’un simple consentement à une idéologie, encore moins de vaines discussions, mais uniquement d'obéissance. Seuls ceux qui sont amenés à l'obéissance de la foi peuvent prétendre « appartenir à Jésus-Christ.

      Nous pouvons voir dans ce texte : 1- Le privilège des chrétiens : ils sont les bien-aimés de Dieu, et sont membres du « corps spirituel », lui aussi bien-aimé. 2- Le devoir des chrétiens : ils doivent être saints, (ils sont en effet appelés à le devenir).

      Au début de cette épitre, l'apôtre Paul salue les « bienaimés qui sont à Rome », leur souhaitant la Grâce pour sanctifier leur âme, et la Paix pour consoler leur cœur ; ces deux bénédictions émanent de la Miséricorde divine, du Père, réconcilié avec tous les croyants, par le biais du Seigneur Jésus-Christ !

      Romains 6

      21 Le plaisir et le profit du péché ne sont absolument pas ses « fruits ». Les pécheurs ne sont que des « semeurs d'iniquité et de vanité », ne moissonnant que les mauvais fruits qui en résultent. La honte est arrivée dans le monde avec le péché, et elle en est encore une manifestation certaine. Le fruit du péché, c'est la mort. Bien que le chemin de l’iniquité puisse paraître agréable et attirant, il ne finira cependant qu'en amertume.

      Devant une telle constatation, le croyant est libre, il est affranchi de l’esclavage du péché. Si le fruit de son existence est la sainteté, s'il connaît une croissance spirituelle active, sous le régime de la Grâce véritable, il connaîtra la vie éternelle, en fait, une fin très heureuse ! Bien que ce chemin de la sainteté, étroit et épineux, culmine au « sommet d'une colline », difficile à gravir, il mène cependant à la vie éternelle.

      Le don de Dieu est la vie éternelle. Ce don s’acquiert par le biais de notre Seigneur Jésus-Christ. Christ l'a « acheté », l'a préparé, nous y prépare et nous préserve ; Il représente tout notre salut !

      1 Corinthiens 7

      1 Corinthiens 9

      Galates 1

      10 En prêchant l'Évangile, l'apôtre cherchait à amener des personnes à l'obéissance, non envers les hommes, mais envers Dieu. Paul n'a pas tenté de changer la doctrine de Christ, ni de gagner la faveur des hommes ; il n’a pas cherché à esquiver la colère de ces derniers.

      Dans ce ministère si important (la diffusion de l’Évangile), nous ne devons pas craindre les désapprobations éventuelles des hommes, ni d'ailleurs chercher leur faveur : nous devons énoncer notre message avec sagesse.

      L’apôtre a reçu la doctrine de l'Évangile par révélation céleste. Il ne s’est pas tourné vers le christianisme, comme beaucoup, simplement par son éducation.

      Galates 5

      1

      Sérieuse exhortation à tenir ferme, dans la liberté de l'Évangile. (Galates 5:1-12)
      Prendre garde à ne pas développer de sentiment coupable. (Galates 5:13-15)
      Marcher dans l'Esprit, et ne pas accomplir la convoitise de la chair : ces deux pratiques sont ici décrites. (Galates 5:16-26)

      Christ ne sera jamais le Sauveur de celui qui ne veut pas Lui appartenir, ni compter sur Lui comme son unique Sauveur.

      Prêtons attention aux avertissements et aux convictions de l'apôtre : rester assidu et attaché à la doctrine et la liberté de l'Évangile. Tous les véritables chrétiens, étant enseignés par le Saint-Esprit, attendent la vie éternelle et la récompense de la Justice divine ; ils fondent leur espérance, par la foi, sur le don de Dieu : Son Fils Jésus-Christ ; ils ne basent pas leur salut sur leurs propres œuvres.

      Le Juif converti peut toujours observer les lois de cérémonies, tout en affirmant rester libre ; le « Gentil », quant à lui est libre de les négliger ou de les suivre, pourvu qu'il n'en soit pas esclave.

      Aucune prérogative, ni confession de foi « modèle », ne peuvent contribuer à notre acceptation par Dieu : seule une foi sincère en notre Seigneur Jésus peut le faire. La véritable foi est une grâce agissante ; elle agit par notre amour pour Dieu et pour nos frères.

      Puissions-nous être du nombre de ceux qui, à travers l'Esprit, savent qu’ils sont justifiés par la foi. Sous l'ancienne alliance, la négligence de certains détails sans grande importance n’avait guère de conséquences, alors qu’aujourd’hui, nous trouvons encore certaines personnes qui restent sous le joug d’une discipline stricte et astreignante, qui régit encore beaucoup de rites et de cérémonies...

      Si notre foi n’agit pas conjointement avec l’amour, toutes nos œuvres n’ont guère de poids ni de valeur.

      13 L'Évangile est une « doctrine » conforme à la piété, 1Ti 6:3 ; Il est si opposé à la tolérance du moindre péché, qu'Il nous exhorte expressément à éviter toute dérive en ce domaine et à en rester maître.

      L'apôtre insiste sur le fait que toute la loi est accomplie par l’obéissance à cette seule directive : « tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Si des chrétiens, qui normalement, doivent s'entre-aider et se réjouir mutuellement dans le Seigneur, se querellent, ils ne peuvent s’attendre qu’à voir le Dieu d'amour et le Saint-Esprit quitter leur cœur, et être remplacés par de vaines pensées, qui ne les mèneront qu’à leur destruction.

      Quel bonheur, si les chrétiens, au lieu de se quereller mutuellement, sous des prétextes d'opinions différentes, pouvaient « s'associer » contre le péché qui réside en eux-mêmes et dans les communautés qu’ils représentent !

      Ephésiens 6

      5 Le devoir des serviteurs se résume en un mot : l’obéissance.

      Les serviteurs de l'époque de Paul étaient généralement des esclaves. Les apôtres devaient apprendre aux serviteurs et à leurs maîtres, leurs devoirs respectifs, pour alléger le joug de la servitude, tant que l'esclavage ne fut éradiqué par l'influence du christianisme.

      Les serviteurs doivent respecter ceux qui les dirigent. Ils doivent être loyaux, ne prétendant pas être obéissants quand ils ont l'intention de désobéir : ils doivent servir fidèlement et correctement leurs maîtres, non seulement quand ces derniers les observent, mais aussi quand ils ont « le dos tourné ».

      Un regard permanent dirigé vers le Seigneur Jésus-Christ rendra les hommes fidèles et honnêtes, là où ils sont placés, non pas à contrecœur, ni par contrainte, mais par amour pour leurs maîtres et leurs intérêts. Ceci facilitera leur service, contentera leurs maîtres, et leur conduite sera approuvée par le Seigneur. Dieu récompensera même la moindre tâche faite dans le sens du devoir, en vue de Le glorifier.

      Le texte nous indique ensuite quel le devoir des maîtres : « vous devez agir de la même manière ». Ayez envers vos serviteurs la même attitude que vous voudriez qu’ils aient envers vous ; manifestez pour eux de la bonne volonté et un certain égard, prenez soin que votre conduite soit approuvée par Dieu. Ne soyez pas tyranniques, ni autoritaires. Vous avez un Maître auquel vous devez obéir ; vous et vos domestiques, n’êtes que des serviteurs, au service de Christ !

      Si les maîtres et les serviteurs considéraient dans une juste mesure, leurs devoirs envers Dieu, ainsi que les comptes qu'ils devront bientôt Lui rendre, ils seraient plus attentifs quant à l’exercice de leurs devoirs mutuels et les familles seraient aussi plus heureuses...

      Colossiens 3

      Colossiens 4

      Philémon 1

      1 Pierre 2

      2 Pierre 1

      1

      Cette deuxième épître de Pierre est manifestement la suite de la précédente. L'apôtre, ayant auparavant annoncé aux chrétiens les bénédictions que Dieu leur a réservées, exhorte ceux qui ont reçu ces dons précieux, à s'efforcer de croître dans la Grâce et la sanctification.

      L’apôtre met les chrétiens en garde contre la méchanceté des faux docteurs, des imposteurs et des moqueurs, en réfutant leurs fausses assertions, 2 Pierre 3:1-7 ; il expose pourquoi le grand jour du retour de Christ semble tarder pour certains, en décrivant la gravité de cet événement et ses terribles conséquences ; diverses exhortations sont ensuite données, relatives l'assiduité et la sainteté.

      * Exhortations à bénéficier librement des diverses grâces spirituelles, en plus de celle de la foi. (2 Pierre 1:1-11). L'apôtre pressent son décès. (2 Pierre 1:12-15) Pierre confirme la Vérité de l'Évangile, en ce qui concerne la présence de Christ lors du Jugement. (2 Pierre 1:16-21)

      2 Pierre 1:1-11 La foi unit le croyant à Christ ; elle en fait un être revivifié, elle purifie et transforme son cœur ; chaque croyant sincère est justifié par sa foi, au regard de Dieu. La foi amène la piété, et produit des effets que nulle autre grâce ne peut produire dans l’âme.

      En Christ demeure toute plénitude, le pardon, la Paix, la Grâce, la connaissance, et de nombreux principes spirituels ; tous ces éléments sont accordés par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Ces promesses sont faites à ceux qui sont « participants de la nature divine » ; elles nous pousseront à découvrir si nous sommes vraiment « renouvelés » spirituellement en profondeur ; convertissons toutes ces promesses en prières, par la grâce du Saint-Esprit, cette grâce qui transforme et qui purifie l’âme !

      Le croyant doit ajouter de la connaissance à sa vertu, pour croître dans toute la Vérité et la Volonté de Dieu. Nous devons ajouter à cette connaissance la modération, en ce qui concerne les vains attraits de ce monde ; ayons aussi de la patience, et une soumission joyeuse à la Volonté divine. La tribulation affermit la patience, grâce à laquelle nous portons toutes nos calamités et épreuves, en silence et en toute soumission.

      À la patience nous devons ajouter la piété : cette pensée inclut les saintes affections et dispositions que l'on trouve dans la véritable adoration de Dieu ; ayons une tendre affection pour tous nos frères chrétiens ; ils sont en fait enfants du même Père, serviteurs du même Maître, membres de la même famille, voyageurs vers le même pays, héritiers du même héritage.

      En conséquence, les chrétiens doivent œuvrer, afin d’atteindre le but de leur vocation et de leur élection, en croyant et en pratiquant le bien : ils pourront ainsi joindre tous leurs efforts et bénéficier pleinement de la Grâce et de la Miséricorde divines, de Celui qui les soutient et les empêche de chuter.

      Ceux qui se sont appliqués ici-bas dans l'exercice de la piété, connaîtront une entrée triomphante dans le Royaume éternel de Christ ; ils régneront avec Lui pour toujours ; le fait de pratiquer toute bonne œuvre ici-bas nous montre que nous sommes sur le chemin qui mène à l'entrée au ciel !

      Jude 1

      1

      Cette épître de Jude s’adresse à tous les croyants, désormais sous la dispensation de l’Évangile. Son but est de garder les enfants de Dieu, des faux docteurs qui avaient commencé à s'introduire dans l'église de l’époque, répandant de dangereuses doctrines et tentant de rabaisser l’ensemble du Christianisme en une simple croyance nominale, en une « profession » extérieure de l'Évangile.

      Ayant ainsi nié les obligations de sainteté personnelle, ces faux docteurs ont enseigné leurs disciples à vivre de manière coupable, en les flattant en leur faisant espérer la vie éternelle. Cette épître dénonce le caractère vil et la démarche honteuse de ces séducteurs, pour conclure ensuite par divers avertissements, exhortations et conseils aux croyants.

      * L'apôtre exhorte à la fermeté dans la foi. (Jude 1:1-4) La mauvaise influence des faux docteurs, et la punition épouvantable qui leur sera infligée, ainsi qu'à leurs partisans. (Jude 1:5-7) L’affreuse description de ces séducteurs et leur fin déplorable. (Jude 1:8-16) Les croyants sont mis en garde contre l’arrivée de tels trompeurs dans l’église naissante. (Jude 1:17-23) Conclusion de l'épître : doxologie d’encouragement et louanges diverses. (Jude 1:24,25)

      Jude 1:1-4 Les chrétiens sont appelés à demeurer spirituellement « séparés du monde », hors de sa nature et de son esprit mauvais : ils sont appelés à ne pas s’y intégrer, pour se tourner vers une destination plus élevée et meilleure, vers le ciel, pour connaître ce qui est pour l’instant invisible, mais éternel ; les croyants sont appelés à s’éloigner du péché, pour se rapprocher de plus en plus de Christ, ils doivent fuir toute vanité et impureté, pour se tourner vers la droiture et la sainteté : tout cela s’opère par la Grâce divine.

      Si le chrétien est sanctifié et glorifié, tout l'honneur et la gloire en reviennent à Dieu, à Lui seul. Du fait que ce Dernier initie l'œuvre de la Grâce dans le cœur de l’homme, Il le soutient également et le perfectionne dans la sanctification.

      Ne nous fions pas à nous-mêmes, ni dans le potentiel de Grâce déjà acquis, mais en Dieu, en Lui seul. La Miséricorde divine est la source de tout le bien dont nous disposons ou que nous espérons obtenir ; cette Miséricorde est accessible au misérable comme au coupable.

      Conjointement à la Miséricorde, nous trouvons la Paix et l’Amour qui en découlent : d’une part, l'amour de Christ envers nous, mais également, notre amour pour Lui ainsi que notre amour fraternel.

      L'apôtre prie, non seulement que les chrétiens puissent se contenter de peu, mais que leur âme et les églises soient imprégnées de ces pensées. Nul n'est exclu de l’offre et de l’invitation offertes par l’Évangile, sauf les pécheurs qui s’en écartent délibérément. La doctrine de l’Évangile s’applique aux croyants, uniquement à ceux qui désirent s’approcher de Christ. Elle s’adresse aussi bien aux faibles, qu’aux forts. Ceux qui ont reçu la doctrine du salut, doivent combattre pour sa cause, avec ferveur, mais sans débordement.

      Il est mauvais de mentir pour prôner la Vérité ! Il n'est pas bon non plus, de vouloir la défendre par la force. Ceux qui ont reçu la Vérité doivent combattre pour Elle, comme le faisaient les apôtres ; en souffrant avec patience et courage pour Sa cause, sans essayer de combattre ceux ne veulent pas L’admettre, ni partager notre foi.

      Nous devons de tout cœur, surmonter tout ce qui s’oppose à la foi, contrecarrer ceux qui voudraient la corrompre ou la dépraver, même de manière hypocrite, à notre insu. Opposons-nous aux impies invétérés, à ceux qui encouragent à pécher délibérément : ils refusent la Grâce divine qui abonde toujours merveilleusement et restent endurcis devant l'ampleur et la plénitude de la grâce de l'Évangile, dont le but est de délivrer les hommes du péché, pour les amener à Dieu.

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