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7
Je publierai le décret immuable du Seigneur ;
« Le Seigneur m’a déclaré :
“Tu es mon Fils. Aujourd’hui, je fais de toi mon enfant ;
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Délivre-moi du lion, de sa gueule !
Préserve-moi des cornes des taureaux ! Oui, tu m’as répondu !
20
Quand ce jour viendra, vous reconnaîtrez clairement que je suis inséparable de mon Père, vivant dans une communion intime avec lui, vous saurez aussi que vous êtes en communion avec moi, que vous vivez en moi et que moi je vis en vous.
21
Celui qui m’aime vraiment, c’est celui qui retient mes instructions et s’applique à les observer. Mon Père aime celui qui m’aime, et moi aussi, je lui témoignerai mon amour et je lui révélerai qui je suis.
22
Jude, à ne pas confondre avec Judas de Kérioth, lui demanda : — Seigneur, pourquoi est-ce seulement à nous que tu veux te faire connaître, et pas aux hommes loin de Dieu ?
23
Jésus lui répondit : — Si quelqu’un m’aime, il mettra en pratique ce que j’ai dit. Ainsi mon Père aussi l’aimera : nous viendrons tous deux (vers) lui et nous nous établirons à demeure chez lui.
3
Or, la vie éternelle consiste pour les hommes à te connaître toi, le Dieu unique et véritable, et celui que tu as envoyé, Jésus le Christ.
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Bientôt, je ne serai plus dans ce monde, je suis sur le point de retourner auprès de toi, mais eux, ils vont rester dans le monde. Père saint, maintiens-les attachés à ta personne dont tu m’as donné de partager les perfections, pour qu’ils soient un comme nous le sommes.
21
Je te demande qu’ils soient tous un. Comme toi, Père, tu vis en moi et que je vis en toi, qu’ils constituent, eux aussi, une unité indissoluble dans la communion avec moi, pour que le monde reconnaisse que c’est toi qui m’as envoyé et qu’il y croie.
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Ô Père, toi qui es saint et juste, le monde ne t’a pas reconnu, mais moi je t’ai connu, et mes amis ici ont compris que c’est toi qui m’as envoyé.
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Dès lors, ils se réunissaient constamment pour se faire enseigner par les apôtres, pour vivre comme des frères en communion les uns avec les autres, pour rompre le pain et prier ensemble.
20
Pour nous, en effet, il est impossible de garder le silence sur ce que nous avons vu et entendu.
32
Voici donc la Bonne Nouvelle que nous sommes venus vous annoncer : ce que Dieu avait promis à nos ancêtres,
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Prenez garde, hommes fiers et pleins de mépris,
soyez dans l’étonnement, car soudain vous disparaîtrez.
En effet, dans votre temps, je vais accomplir une œuvre,
une œuvre que vous ne croiriez pas
si quelqu’un venait vous l’annoncer.
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car je vous ai vraiment annoncé tout le plan de Dieu, sans rien passer sous silence.
27
Elles ont pris elles-mêmes cette initiative, estimant s’acquitter ainsi d’une dette de reconnaissance. Effectivement, si les autres peuples ont eu part aux richesses spirituelles des Juifs, il n’est que juste qu’ils les assistent, en retour, de leurs biens matériels.
9
Car le Dieu qui vous a appelés à la communion de son Fils Jésus-Christ, notre Seigneur, est fidèle : il tient ses promesses.
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Or, c’est grâce à ce Dieu que vous appartenez à Jésus-Christ et que vous avez été incorporés à lui. Si vous vivez en communion avec le Christ, c’est à Dieu seul que vous le devez, c’est par sa volonté que Jésus-Christ est devenu tout pour nous. Dieu a fait de lui notre vraie « sagesse » ; en lui nous sommes acquittés, purifiés et libérés du péché.
1
Mes frères, laissez-moi vous rappeler la Bonne Nouvelle que je vous ai annoncée, que vous avez acceptée et à laquelle vous demeurez fidèlement attachés. C’est sur elle que votre foi repose.
6
Et quel est ce secret ? C’est que les non-Juifs, autrefois exclus des bénédictions divines, sont à présent placés sur un pied d’égalité avec nous (les Juifs). Ils ont droit au même héritage que nous, sont intégrés au même corps et ont part aux bénédictions offertes par Dieu à tous ceux qui entrent en communion avec lui par leur acceptation de l’Évangile.
7
Il est juste que j’aie de pareils sentiments à votre égard : vous me portez toute votre affection. Aussi, occupez-vous une place particulière dans mon cœur : vous êtes tous mes associés. Vous avez pris part aussi bien aux grâces que Dieu m’a accordées, qu’aux épreuves qu’il m’envoie. Que je sois enchaîné dans ma cellule, ou que je défende et prêche l’Évangile, vous êtes à mes côtés, vous partagez mes responsabilités et mes privilèges.
1
Si donc, en tant que chrétiens, vous attachez du prix à un appel donné dans l’esprit du Christ, si les encouragements et les conseils d’un frère qui vous aime ont quelque valeur et quelque force de persuasion pour vous, si, enfin, il existe entre vous une communion spirituelle vivante et tout ce que cela implique d’affection et de sympathie mutuelles ; oui, si les mots de tendresse et de compassion ont pour vous un sens,
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Mais croire en Christ, lui faire confiance, c’est faire plus intime connaissance avec lui. Or, c’est là toute mon ambition : le connaître de mieux en mieux, expérimenter la puissance émanant de sa résurrection et communier à ses souffrances, en mourant avec lui. Oui, j’aspire à être continuellement transformé en partageant sa mort
13
Il nous a délivrés
du pouvoir des ténèbres
et nous a transférés
dans (l’éternel) royaume
de son Fils bien-aimé.
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Maintenant vous attendez le retour personnel de son Fils Jésus, qu’il a ressuscité des morts et qui reviendra du haut des cieux pour nous délivrer de la colère à venir.
2
Que ceux qui ont des maîtres chrétiens n’aillent pas leur manquer de respect et se permettre des libertés à leur égard sous prétexte qu’ils sont des frères. Bien au contraire, ils devraient les servir avec d’autant plus de zèle et de fidélité. En effet, ceux qui bénéficient de leurs bons offices sont des croyants, donc des amis (de Dieu), des (frères) bien-aimés qui s’appliquent, de leur côté, à faire le bien. Voilà quel doit être le contenu de ton enseignement et de tes exhortations.
12
en disant : Ô Dieu, je dirai à mes frères
quel Dieu tu es,
je chanterai tes louanges
au milieu de la grande assemblée ».
1
C’est pourquoi, mes frères, vous qui appartenez à Dieu et qu’il a appelés à hériter des biens célestes, fixez vos regards sur Jésus, l’envoyé de Dieu et le grand-prêtre de la foi que nous reconnaissons comme vraie.
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Car nous sommes les compagnons du Christ ; nous avons part à toutes ses richesses, à condition de maintenir inébranlables jusqu’au bout, notre confiance initiale et notre assurance des premiers jours.
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Je voudrais m’adresser, à présent, à ceux qui ont la charge de responsables de l’Église parmi vous. Je leur parle en tant que responsable comme eux, témoin des souffrances du Christ et participant de la gloire qui sera bientôt révélée.
1
Nous vous annonçons le message de celui qui est la parole de vie. Il existait depuis les origines. Or, nous l’avons entendu, nous l’avons vu de nos propres yeux, nous l’avons contemplé et nous l’avons touché de nos mains.
3
Je le répète : ce que nous avons réellement vu et entendu, nous vous l’annonçons parce que nous aimerions que vous soyez associés à nous dans cette communion dont nous jouissons avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ.
5
Voici le message que nous avons entendu de Jésus-Christ et que nous vous transmettons : Dieu est lumière et il n’y a aucune trace d’obscurité en lui.
7
Si, par contre, nous vivons dans la lumière, tout comme Dieu lui-même est dans la lumière, nous sommes alors vraiment en communion les uns avec les autres et le sang répandu pour nous par Jésus, son Fils, nous purifie du péché sous toutes ses formes.
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Car celui qui nie que Jésus est le Fils de Dieu ne connaît pas non plus le Père. Celui qui reconnaît que Jésus est le Fils de Dieu est aussi en communion avec le Père.
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C’est pourquoi, gardez soigneusement dans vos cœurs l’enseignement que vous avez reçu dès le début. Si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous resterez aussi en communion avec le Fils et avec le Père,
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Celui qui croit au Fils de Dieu trouve ce témoignage (de Dieu) dans son cœur. Celui qui ne fait pas confiance à Dieu le traite de menteur, puisqu’il refuse délibérément d’accepter le propre témoignage de Dieu en faveur de son Fils.
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Et quel est le contenu de ce témoignage ? Il dit que Dieu nous a donné la vie éternelle et cette vie nous est accordée dans la communion avec son Fils.
Il désigne par un pronom neutre, quatre fois répété, le grand sujet dont il va parler : la manifestation de la vie en Celui qu'il appelle la Parole de la vie ; (verset 1) puis, dans une parenthèse où les pensées se pressent également, il affirme que la vie a été manifestée, (verset 2) et enfin il déclare quel est le but de son écrit : associer ses frères à la vie qu'il possède dans la communion du Père et du Fils. (versets 3,4)
- La Parole de la vie est celle que Jean caractérise dans le prologue de son évangile : c'est Dieu se révélant et s'unissant à notre humanité en la personne de son Fils.
Ce Fils de Dieu, Jean préfère ne pas le nommer, tout en laissant sentir au lecteur l'ardent amour dont son cœur brûle pour lui. Dans la suite de l'épître, il mettra souvent, à la place de son nom, un simple pronom. Ici, il ne dit pas même : Celui qui était dès le commencement, mais ce qui était ; et par ce pronom neutre il désigne tout ce qu'impliquent ces termes d'une portée infinie : la Parole de la vie, la vie, la vie éternelle qui était auprès du Père dès le commencement. (Comparer, sur le sens de ces mots, Jean 1.1 et suivants, notes.)
Cette manifestation de la vie éternelle, de la vie de Dieu en Jésus-Christ, est pour Jean d'une certitude absolue, car il l'a ressentie dans son être entier : il déclare l'avoir perçue par tous ses sens.
Ce que Dieu a révélé, l'apôtre l'a entendu : les enseignements de Celui qui était la Parole de la vie ont retenti à ses oreilles et pénétré dans son esprit. Il a vu de ses yeux : ceux-ci éclairés par la lumière d'en haut, ont reconnu en Jésus-Christ la grâce et la vérité données aux hommes ; (Jean 1.16,17) il s'est arrêté longuement à contempler celui en qui Dieu se communiquait aux hommes, et par cette contemplation il est devenu toujours plus un avec lui. Enfin, telle était la réalité de cet être en qui Dieu se manifestait, que Jean l'a touché de ses mains.
Et il n'a pas été seul à connaître ainsi la révélation de Dieu en son Fils. Cette expérience personnelle et intime a été faite par tous ceux qui ont suivi Jésus aux jours de sa chair. C'est en leur nom que l'apôtre parle quand il dit : nous.
- Arrivé là, Jean s'aperçoit qu'il n'a pas dit encore comment la Parole de la vie est parvenue jusqu'à lui. Il ouvre donc une parenthèse, (verset 2) pour déclarer (comme dans l'Evangile où il suit la même marche, Jean 1.1-3 comparez Jean 1.14) que la vie a été manifestée en Jésus-Christ, qu'elle a été ainsi vue et s'est communiquée à ceux qui ont cru, de sorte que le témoignage qu'ils en rendent est celui d'hommes tout remplis de cette vie, qu'ils annoncent comme la vie éternelle qui était auprès du Père.
Enfin, reprenant sa pensée, (verset 3) Jean proclame hautement que son but, toute sa mission est d'annoncer cette vie, par la prédication ou par ses écrits, (verset 4) d'en rendre témoignage, de l'annoncer à vous aussi (Sin., B. A, C), afin que vous aussi, dit-il à ses lecteurs, ayez communion avec nous. (Voir la note suivante.)
De la même manière que la vie éternelle, qui était auprès du Père, s'est communiquée, en Jésus-Christ, à ceux qui suivirent ses pas sur la terre et furent les témoins de sa mort et de sa résurrection, de même qu'elle se communique encore à toute âme qui, morte dans ses fautes et ses péchés, embrasse par la foi le Sauveur, de même quiconque a été une fois pénétré de cette vie peut et doit en faire part à d'autres.
Il les attire ainsi dans une même communion d'esprit et de cœur, que cette vie nouvelle rétablit entre les hommes naturellement divisés par l'égoïsme. Mais cette communion ne lie pas seulement les chrétiens entre eux ; remontant jusqu'à la source d'où elle est descendue, elle les unit à Jésus-Christ, et par lui, à Dieu son Père.
Cette double communion, résultat de la prédication apostolique, est le fruit que l'Evangile doit produire dans tous les temps. Ce que les apôtres ont entendu, vu, contemplé, touché, nous le possédons par eux aussi bien qu'ils l'ont possédé, de sorte que le dernier homme pécheur qui se convertira sur la terre avant la fin des temps aura communion avec les apôtres et, par leur témoignage, communion avec le Père et son Fils bien-aimé.