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7
Je publierai le décret de l’Éternel ; Il m’a dit : Tu es mon fils ! C’est moi qui t’ai engendré aujourd’hui.
22
Sauve-moi de la gueule du lion, Et des cornes du buffle ! Tu m’as répondu !
19
Je mettrai un signe parmi elles Et j’enverrai de leurs rescapés vers les nations, A Tarsis, à Poul et à Loud – Les tireurs à l’arc –, A Toubal et à Yavân, Aux îles lointaines Qui jamais n’ont entendu parler de moi Et qui n’ont pas vu ma gloire ; Et ils annonceront ma gloire parmi les nations.
20
En ce jour-là, vous connaîtrez que moi, je suis en mon Père, vous en moi, et moi en vous.
21
Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime. Celui qui m’aime sera aimé de mon Père, moi aussi je l’aimerai et je me manifesterai à lui.
22
Jude, non pas l’Iscariot, lui dit : Seigneur, comment se fait-il que tu doives te manifester à nous et non au monde ?
23
Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons vers lui et nous ferons notre demeure chez lui.
3
Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.
11
Je ne suis plus dans le monde ; eux sont dans le monde, et moi je vais à toi. Père saint, garde-les en ton nom, (ce nom) que tu m’as donné, afin qu’ils soient un comme nous.
21
afin que tous soient un ; comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi, qu’eux aussi soient [un] en nous, afin que le monde croie que tu m’as envoyé.
25
Père juste, le monde ne t’a pas connu ; mais moi, je t’ai connu, et ceux-ci ont connu que tu m’as envoyé.
42
Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain et dans les prières.
20
A vous d’en juger, car nous ne pouvons pas ne pas parler de ce que nous avons vu et entendu.
32
Et nous, nous vous annonçons cette bonne nouvelle que la promesse faite à nos pères,
41
Voyez, vous qui êtes pleins de mépris, Soyez étonnés et disparaissez, Car je vais faire en vos jours une œuvre, Une œuvre que vous ne croiriez pas si on vous la racontait.
27
car sans rien dissimuler je vous ai annoncé tout le dessein de Dieu.
27
Elles l’ont bien voulu, et elles le leur doivent ; car si les païens ont pris part à leurs avantages spirituels, ils doivent aussi leur rendre service dans les questions matérielles.
9
Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur.
30
Or, c’est par lui que vous êtes en Christ-Jésus qui, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, et aussi justice, sanctification et rédemption,
1
Je vous rappelle, frères, l’Évangile que je vous ai annoncé, que vous avez reçu, dans lequel vous demeurez fermes,
6
les païens ont un même héritage, forment un même corps et participent à la même promesse en Christ-Jésus par l’Évangile,
7
Il est juste que j’aie pour vous de telles pensées, parce que je vous porte dans mon cœur, et que, dans mes chaînes comme dans la défense et l’affermissement de l’Évangile, vous participez tous à la même grâce que moi.
1
S’il y a donc quelque consolation en Christ, s’il y a quelque encouragement dans l’amour, s’il y a quelque communion de l’Esprit, s’il y a quelque compassion et quelque miséricorde,
10
Mon but est de le connaître, lui, ainsi que la puissance de sa résurrection et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort, pour parvenir,
13
Il nous a délivrés du pouvoir des ténèbres et nous a transportés dans le royaume de son Fils bien-aimé,
10
et pour attendre des cieux son Fils qu’il a ressuscité d’entre les morts, Jésus, qui nous délivre de la colère à venir.
2
Et que ceux qui ont des croyants pour maîtres ne les méprisent pas, sous prétexte qu’ils sont frères, mais qu’ils les servent d’autant mieux que ce sont des croyants et des bien-aimés qui reçoivent leurs bons services.
12
lorsqu’il dit : J’annoncerai ton nom à mes frères, Je te louerai au milieu de l’assemblée.
1
C’est pourquoi, frères saints qui participez à la vocation céleste, considérez l’apôtre et le souverain sacrificateur de notre confession (de foi), Jésus.
14
Car nous avons été rendus participants du Christ, si du moins nous retenons fermement, jusqu’à la fin, notre assurance première,
1
J’exhorte donc les anciens qui sont parmi vous, moi, ancien comme eux, témoin des souffrances du Christ et participant à la gloire qui doit être révélée :
1
Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché, concernant la parole de la vie,
5
Voici le message que nous avons entendu de lui et que nous vous annonçons : Dieu est lumière, il n’y a pas en lui de ténèbres.
7
Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes en communion les uns avec les autres, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché.
23
Quiconque nie le Fils n’a pas non plus le Père ; celui qui confesse le Fils a aussi le Père.
24
Pour vous, ce que vous avez entendu dès le commencement doit demeurer en vous. Si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous demeurerez, vous aussi, dans le Fils et dans le Père.
10
Celui qui croit au Fils de Dieu, a ce témoignage en lui-même ; celui qui ne croit pas Dieu, le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils.
11
Et voici ce témoignage : Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est en son Fils.
Il désigne par un pronom neutre, quatre fois répété, le grand sujet dont il va parler : la manifestation de la vie en Celui qu'il appelle la Parole de la vie ; (verset 1) puis, dans une parenthèse où les pensées se pressent également, il affirme que la vie a été manifestée, (verset 2) et enfin il déclare quel est le but de son écrit : associer ses frères à la vie qu'il possède dans la communion du Père et du Fils. (versets 3,4)
- La Parole de la vie est celle que Jean caractérise dans le prologue de son évangile : c'est Dieu se révélant et s'unissant à notre humanité en la personne de son Fils.
Ce Fils de Dieu, Jean préfère ne pas le nommer, tout en laissant sentir au lecteur l'ardent amour dont son cœur brûle pour lui. Dans la suite de l'épître, il mettra souvent, à la place de son nom, un simple pronom. Ici, il ne dit pas même : Celui qui était dès le commencement, mais ce qui était ; et par ce pronom neutre il désigne tout ce qu'impliquent ces termes d'une portée infinie : la Parole de la vie, la vie, la vie éternelle qui était auprès du Père dès le commencement. (Comparer, sur le sens de ces mots, Jean 1.1 et suivants, notes.)
Cette manifestation de la vie éternelle, de la vie de Dieu en Jésus-Christ, est pour Jean d'une certitude absolue, car il l'a ressentie dans son être entier : il déclare l'avoir perçue par tous ses sens.
Ce que Dieu a révélé, l'apôtre l'a entendu : les enseignements de Celui qui était la Parole de la vie ont retenti à ses oreilles et pénétré dans son esprit. Il a vu de ses yeux : ceux-ci éclairés par la lumière d'en haut, ont reconnu en Jésus-Christ la grâce et la vérité données aux hommes ; (Jean 1.16,17) il s'est arrêté longuement à contempler celui en qui Dieu se communiquait aux hommes, et par cette contemplation il est devenu toujours plus un avec lui. Enfin, telle était la réalité de cet être en qui Dieu se manifestait, que Jean l'a touché de ses mains.
Et il n'a pas été seul à connaître ainsi la révélation de Dieu en son Fils. Cette expérience personnelle et intime a été faite par tous ceux qui ont suivi Jésus aux jours de sa chair. C'est en leur nom que l'apôtre parle quand il dit : nous.
- Arrivé là, Jean s'aperçoit qu'il n'a pas dit encore comment la Parole de la vie est parvenue jusqu'à lui. Il ouvre donc une parenthèse, (verset 2) pour déclarer (comme dans l'Evangile où il suit la même marche, Jean 1.1-3 comparez Jean 1.14) que la vie a été manifestée en Jésus-Christ, qu'elle a été ainsi vue et s'est communiquée à ceux qui ont cru, de sorte que le témoignage qu'ils en rendent est celui d'hommes tout remplis de cette vie, qu'ils annoncent comme la vie éternelle qui était auprès du Père.
Enfin, reprenant sa pensée, (verset 3) Jean proclame hautement que son but, toute sa mission est d'annoncer cette vie, par la prédication ou par ses écrits, (verset 4) d'en rendre témoignage, de l'annoncer à vous aussi (Sin., B. A, C), afin que vous aussi, dit-il à ses lecteurs, ayez communion avec nous. (Voir la note suivante.)
De la même manière que la vie éternelle, qui était auprès du Père, s'est communiquée, en Jésus-Christ, à ceux qui suivirent ses pas sur la terre et furent les témoins de sa mort et de sa résurrection, de même qu'elle se communique encore à toute âme qui, morte dans ses fautes et ses péchés, embrasse par la foi le Sauveur, de même quiconque a été une fois pénétré de cette vie peut et doit en faire part à d'autres.
Il les attire ainsi dans une même communion d'esprit et de cœur, que cette vie nouvelle rétablit entre les hommes naturellement divisés par l'égoïsme. Mais cette communion ne lie pas seulement les chrétiens entre eux ; remontant jusqu'à la source d'où elle est descendue, elle les unit à Jésus-Christ, et par lui, à Dieu son Père.
Cette double communion, résultat de la prédication apostolique, est le fruit que l'Evangile doit produire dans tous les temps. Ce que les apôtres ont entendu, vu, contemplé, touché, nous le possédons par eux aussi bien qu'ils l'ont possédé, de sorte que le dernier homme pécheur qui se convertira sur la terre avant la fin des temps aura communion avec les apôtres et, par leur témoignage, communion avec le Père et son Fils bien-aimé.