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11
Car l'âme de la chair est dans le sang ; c'est pourquoi je vous ai ordonné qu'il soit mis sur l'autel afin de faire propitiation pour vos âmes ; car c'est le sang qui fera propitiation pour l'âme.
3
Et je te donnerai les trésors cachés, et les richesses le plus secrètement gardées, afin que tu saches que je suis l'Eternel, le Dieu d'Israël, qui t'appelle par ton Nom ;
4
Pour l'amour de Jacob mon serviteur, et d'Israël mon élu ; je t'ai, dis-je, appelé par ton nom, et je t'ai surnommé, bien que tu ne me connusses point.
25
Et je répandrai sur vous des eaux nettes, et vous serez nettoyés ; je vous nettoierai de toutes vos souillures, et de toutes vos idoles.
11
Quant à toi aussi à cause du sang de ton alliance, je mettrai tes prisonniers hors de la fosse où il n'y a point d'eau.
28
Car ceci est mon sang, le [sang] du Nouveau Testament, qui est répandu pour plusieurs en rémission des péchés.
24
Et il leur dit : ceci est mon sang, le sang du Nouveau Testament, qui est répandu pour plusieurs.
20
De même aussi [il leur donna] la coupe, après le souper, en disant : cette coupe est le Nouveau Testament en mon sang, qui est répandu pour vous.
31
Et pour moi, je ne le connaissais point ; mais afin qu'il soit manifesté à Israël, je suis venu à cause de cela baptiser d'eau.
32
Jean rendit aussi témoignage, en disant : j'ai vu l'Esprit descendre du ciel comme une colombe, et s'arrêter sur lui.
33
Et pour moi, je ne le connaissais point ; mais celui qui m'a envoyé baptiser d'eau, m'avait dit : celui sur qui tu verras l'Esprit descendre, et se fixer sur lui, c'est celui qui baptise du Saint-Esprit.
5
Jésus répondit : en vérité, en vérité je te dis : si quelqu'un n'est né d'eau et d'esprit, il ne peut point entrer dans le Royaume de Dieu.
10
Jésus répondit, et lui dit : si tu connaissais le don de Dieu, et qui est celui qui te dit : donne-moi à boire, tu lui [en] eusses demandé toi-même, et il t'eût donné de l'eau vive.
14
Mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai, n'aura jamais soif ; mais l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une fontaine d'eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle.
55
Car ma chair est une véritable nourriture, et mon sang est un véritable breuvage.
38
Celui qui croit en moi, selon ce que dit l'Ecriture, des fleuves d'eau vive découleront de son ventre.
39
(Or il disait cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croyaient en lui ; car le Saint-Esprit n'était pas encore [donné], parce que Jésus n'était pas encore glorifié.)
6
Jésus lui dit : je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi.
17
[Savoir] l'Esprit de vérité, lequel le monde ne peut point recevoir ; parce qu'il ne le voit point, et qu'il ne le connaît point ; mais vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous.
26
Mais quand le Consolateur sera venu, lequel je vous enverrai de la part de mon Père, [savoir] l'Esprit de vérité, qui procède de mon Père, celui-là rendra témoignage de moi.
13
Mais quand celui-là, [savoir] l'Esprit de vérité, sera venu, il vous conduira en toute vérité ; car il ne parlera point de soi-même, mais il dira tout ce qu'il aura ouï, et il vous annoncera les choses à venir.
34
Mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et d'abord il en sortit du sang et de l'eau.
35
Et celui qui l'a vu, l'a témoigné, et son témoignage est digne de foi ; et celui-là sait qu'il dit vrai, afin que vous le croyiez.
36
Et comme ils continuaient leur chemin, ils arrivèrent à [un lieu où il y avait] de l'eau ; et l'Eunuque dit : voici de l'eau, qu'est-ce qui empêche que je ne sois baptisé ?
25
Pour montrer, [dis-je], sa justice dans le temps présent, afin qu'il soit [trouvé] juste, et justifiant celui qui est de la foi de Jésus.
7
En qui nous avons la rédemption par son sang, [savoir] la rémission des offenses, selon les richesses de sa grâce,
25
[Et] vous maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Eglise, et s'est donné lui-même pour elle.
26
Afin qu'il la sanctifiât, après l’avoir nettoyée dans le baptême d'eau et par sa parole :
27
Afin qu'il se la rendît une Eglise glorieuse, n'ayant ni tache, ni ride, ni autre chose semblable, mais afin qu'elle fût sainte et irrépréhensible.
4
Ayant ouï parler de votre foi en Jésus-Christ, et de votre charité envers tous les Saints ;
Colosses
16
Et sans contredit, le mystère de la piété est grand, [savoir], que Dieu a été manifesté en chair, justifié en Esprit, vu des Anges, prêché aux Gentils, cru au monde, et élevé dans la gloire.
5
Non par des oeuvres de justice que nous eussions faites, mais selon la miséricorde ; par le baptême de la régénération, et le renouvellement du Saint-Esprit ;
7
Mais le seul souverain Sacrificateur entre dans le second une fois l'an, [mais] non sans [y porter] du sang, lequel il offre pour lui-même, et pour les fautes du peuple ;
14
Combien plus le sang de Christ, qui par l'Esprit éternel s'est offert lui-même à Dieu sans nulle tache, purifiera-t-il votre conscience des oeuvres mortes, pour servir le Dieu vivant ?
29
De combien pires tourments pensez-vous [donc] que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, et qui aura tenu pour une chose profane le sang de l'alliance, par lequel il avait été sanctifié, et qui aura outragé l'Esprit de grâce ?
24
Et à Jésus, le Médiateur de la nouvelle alliance, et au sang de l'aspersion, qui prononce de meilleures choses que [celui] d'Abel.
20
Or le Dieu de paix, qui a ramené d'entre les morts le grand Pasteur des brebis, par le sang de l'alliance éternelle, [savoir] notre Seigneur Jésus-Christ :
2
Elus selon la prescience de Dieu le Père, par l'Esprit sanctifiant, pour obéir à Jésus-Christ et pour obtenir l'aspersion de son sang : que la grâce et la paix vous soient multipliées.
21
A quoi aussi maintenant répond la figure qui nous sauve, [c'est-à-dire], le Baptême ; non point celui par lequel les ordures de la chair sont nettoyées, mais la promesse faite à Dieu d'une conscience pure, par la résurrection de Jésus-Christ ;
7
Mais si nous marchons dans la lumière, comme Dieu est en la lumière, nous avons communion l'un avec l'autre, et le sang de son Fils Jésus-Christ nous purifie de tout péché.
10
En ceci est la charité, non que nous ayons aimé Dieu, mais en ce qu'il nous a aimés, et qu'il a envoyé son Fils pour être la propitiation pour nos péchés.
7
Car il y en a trois dans le Ciel qui rendent témoignage, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit ; et ces trois-là ne sont qu'un.
8
Il y en a aussi trois qui rendent témoignage sur la terre, savoir l'Esprit, l'eau, et le Sang ; et ces trois-là se rapportent à un.
5
Et de la part de Jésus-Christ, qui est le témoin fidèle, le premier-né d'entre les morts, et le Prince des Rois de la terre.
Asie
9
Et ils chantaient un nouveau cantique, en disant : tu es digne de prendre le Livre, et d'en ouvrir les sceaux ; car tu as été mis à mort, et tu nous as rachetés à Dieu par ton sang, de toute Tribu, Langue, peuple, et nation ;
14
Et je lui dis : Seigneur, tu le sais. Et il me dit : Ce sont ceux qui sont venus de la grande tribulation, et qui ont lavé et blanchi leurs longues robes dans le sang de l'agneau.
En ces termes, Jean caractérise le Sauveur auquel notre foi doit s'attacher pour être victorieuse du monde.
Celui qui est venu, ce participe passé montre que l'apôtre pense au fait historique de l'apparition de Jésus. C'est ce fait qu'exprime toujours le verbe venir dans la langue de notre apôtre.
Les mots : avec de l'eau et avec du sang doivent donc s'entendre de faits qui ont marqué dans la carrière terrestre du Christ ; ils désignent son baptême et sa mort sur la croix. On a voulu y voir la mention du baptême et de la cène institués par Christ. Si telle avait été la pensée de Jean, il aurait dû écrire : Celui qui vient avec de l'eau et avec du sang ; et même ce dernier terme serait bien insolite pour désigner la cène.
Enfin, il n'y a pas lieu d'admettre, avec Augustin et les anciens interprètes, une allusion au trait de la Passion du Sauveur rapporté Jean 19.34. Si l'apôtre relève spécialement le baptême de Jésus et son supplice sanglant, c'est que le premier a inauguré son œuvre rédemptrice, le second l'a consommée. Et dans ces deux circonstances, Dieu l'a proclamé son Fils et l'a fait connaître comme tel. (Jean 1.31-34 ; 8.28 ; 19.32-36)
Jean ajoute : non avec l'eau seulement, mais avec le sang ; le Christ n'a pas seulement reçu le baptême, il a subi la mort de la croix.
Cette affirmation est opposée aux enseignements des faux docteurs que Jean combat (1Jean 2.22 ; 4.1-3) Ceux-ci prétendaient qu'au moment du baptême, le Christ, le Fils de Dieu s'était uni à l'homme Jésus, mais l'avait abandonné avant sa mort. L'apôtre affirme, au contraire que le Fils de Dieu est mort, que sa mort, aussi bien que son baptême, fait partie de l'œuvre messianique, que la foi qui sauve, c'est la foi au Fils de Dieu, qui s'est solidarisé, par le baptême, avec notre humanité pécheresse et qui a donné pour elle sa vie sur la croix.
Et qu'est ce qui certifie au croyant l'efficacité de l'œuvre accomplie par le Fils de Dieu ? Le témoignage du Saint-Esprit. C'est l'Esprit que en rend témoignage, dit Jean. Il entend par l'Esprit non la vie spirituelle du croyant, mais l'Esprit de Dieu tel qu'il a agi dès la Pentecôte dans le cœur des disciples de Christ pour les régénérer, en faisant de la vie et de la mort de leur Sauveur les moyens de produire en eux une vie nouvelle. En la créant et en l'entretenant en eux, l'Esprit rend témoignage de l'efficacité de l'œuvre de Christ, il l'atteste aux yeux du monde et il édifie la foi des disciples sur le fondement inébranlable d'une expérience intime.
L'Esprit rend ce témoignage, il le rend avec une puissance irrésistible, parce que l'Esprit est la vérité, Il l'est, comme Christ l'est lui-même, (Jean 14.6) en tant qu'il est "la vie," la vie de Dieu manifestée et communiquée aux hommes, et, par conséquent, la réalité suprême.
Pour assurer notre purification, nous pouvons être lavés en Jésus-Christ, par la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit.
Certains pensent que nous avons dans ce texte deux sacrements : en premier lieu, le baptême d'eau, en tant que signe extérieur de notre régénération et de purification du péché par le Saint-Esprit ; et en second lieu, la Sainte Cène, en tant que signe extérieur de l'effusion du sang de Christ, et de notre réception par la foi, du pardon et de la justification. Ces deux moyens de purification étaient représentés dans l’Ancien Testament par les sacrifices et les diverses purifications.
L’eau et le sang mentionnés dans ce texte, incluent tout ce qui est essentiel à notre salut. Par l'eau, notre âme est lavée et purifiée, en vue de notre départ vers le ciel et l'habitation des saints, dans la lumière. Par le sang, nous sommes justifiés, réconciliés, et présentés comme « justes » devant Dieu. Par le sang, la malédiction de la loi est satisfaite, l'Esprit purificateur est obtenu pour la purification interne de notre nature. L'eau et le sang, ont coulé du côté du Rédempteur sacrifié. Christ a aimé l'église, et S'est donné pour elle, afin de pouvoir la sanctifier et l'assainir, par « l'eau » de Sa parole, et pour que l’assemblée puisse se présenter à Lui dans un état glorieux, Eph 5:25-27.
Tout cela a été réalisé par l'Esprit de Dieu, selon la déclaration du Sauveur. Il est l'Esprit de Dieu, et il ne peut pas mentir.
Trois personnes ont donné leur témoignage, concernant ces doctrines, relatives à la personne et au salut de Christ : 1) Le Père, à maintes reprises, a déclaré, par une voix provenant du ciel, que Jésus est son Fils bien-aimé. 2) La Parole a déclaré également que le Père et le Fils sont « Un », et que quiconque a vu le Fils, a vu le Père. 3) Enfin, le Saint-Esprit, celui qui est descendu du ciel et s'est « posé » sur Christ, lors de Son baptême ; l’Esprit à également porté témoignage sur Lui, par tous les prophètes : Il a témoigné sur Sa résurrection et Son rôle de Médiateur et en accordant également aux apôtres, des pouvoirs miraculeux.
Mais que ces faits soient relatés ou non, la doctrine de la Trinité est toujours solide et véridique. Dans l’enseignement fourni par les apôtres, en ce qui concerne la personne et le salut de Christ, nous disposons de trois témoignages : 1) Celui du Saint-Esprit : nous venons dans le monde avec un esprit corrompu, des dispositions charnelles et une certaine inimitié contre Dieu. Cette triste réalité est écartée par la régénération et la nouvelle naissance de l’âme, par le Saint-Esprit : c’est un témoignage au Sauveur ! 2) Celui de l'eau : ceci expose avec force la pureté du Sauveur et Son pouvoir purificateur. Cette pureté réelle et active, ainsi que la sainteté de Ses disciples, sont représentées par le baptême. 3) Celui du sang versé à la croix : Il a coulé pour notre rançon, et témoigne de la mort de Jésus-Christ ; ce sang a mis fin aux sacrifices de l'Ancien Testament. Les bienfaits procurés par son sang prouvent que Christ est bien le Sauveur du monde.
Il n'est pas étonnant que celui qui rejette une telle évidence soit jugé en tant que blasphémateur de l'Esprit de Dieu. Ces trois témoignages existent dans un seul et même but et s'accordent en tous points !