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26
As they were eating, Jesus took bread, gave thanks for it, and broke it. He gave to the disciples, and said, "Take, eat; this is my body."
27
He took the cup, gave thanks, and gave to them, saying, "All of you drink it,
28
for this is my blood of the new covenant, which is poured out for many for the remission of sins.
19
Go, and make disciples of all nations, baptizing them in the name of the Father and of the Son and of the Holy Spirit,
56
For many gave false testimony against him, and their testimony didn't agree with each other.
26
"When the Counselor has come, whom I will send to you from the Father, the Spirit of truth, who proceeds from the Father, he will testify about me.
2
Suddenly there came from the sky a sound like the rushing of a mighty wind, and it filled all the house where they were sitting.
3
Tongues like fire appeared and were distributed to them, and one sat on each of them.
4
They were all filled with the Holy Spirit, and began to speak with other languages, as the Spirit gave them the ability to speak.
15
This agrees with the words of the prophets. As it is written,
16
The Spirit himself testifies with our spirit that we are children of God;
22
who also sealed us, and gave us the down payment of the Spirit in our hearts.
4
For concerning those who were once enlightened and tasted of the heavenly gift, and were made partakers of the Holy Spirit,
12
Therefore Jesus also, that he might sanctify the people through his own blood, suffered outside of the gate.
21
This is a symbol of baptism, which now saves you--not the putting away of the filth of the flesh, but the answer of a good conscience toward God, through the resurrection of Jesus Christ,
6
This is he who came by water and blood, Jesus Christ; not with the water only, but with the water and the blood. It is the Spirit who testifies, because the Spirit is the truth.
7
For there are three who testify :
8
the Spirit, the water, and the blood; and the three agree as one.
Notre foi repose sur le triple témoignage de l'Esprit, de l'eau et du sang (voir la note précédente).
Et ces trois sont unanimes, (grec) sont pour le seul et même but, tendent à un but unique ; leur témoignage se rapporte au même fait, il fonde la certitude que Jésus est le Fils de Dieu et le Sauveur qui nous rend victorieux du monde. (verset 5)
- Dans le texte reçu la teneur de versets 7,8 est accrue par une interpolation célèbre dans l'histoire du texte du Nouveau Testament : "Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel : le Père, la Parole et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un. Et il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre : l'Esprit, l'eau et le sang, et ces trois se rapportent à un."
- Les mots en italique sont inauthentiques. Ils ont leur origine dans une fausse interprétation de versets 6,7 (début du verset).
Quelques écrivains anciens (Cyprien) ont vu dans les trois qui rendent témoignage, une allusion à la Trinité. Cette interprétation, d'abord écrite en marge d'un manuscrit, aura été admise dans le texte par un copiste ignorant.
Ces paroles ne se trouvent dans aucun manuscrit grec, excepté dans un qui date du seizième siècle, et dans un gréco-latin du quinzième siècle. Elles manquent également dans presque toutes les versions anciennes, dans tous les Pères de l'Eglise grecque, qui auraient eu tant d'intérêt à les produire dans les controverses ariennes, et chez beaucoup d'écrivains de l'Eglise latine, tels que Tertullien, Hilaire, Ambroise, Augustin, Jérôme.
Elles apparaissent pour la première fois vers la fin du cinquième siècle dans des versions latines en Afrique, puis, dès le dixième siècle dans les manuscrits de la Vulgate.
Dans le Nouveau Testament grec imprimé par Erasme, elles ne furent point admises pour les éditions de 1516 et 1519 ; elles ne jouirent de cette faveur que dans l'édition de 1622, d'où elles passèrent dans les éditions de Robert Etienne, de Bèze et des Elzévir, c'est-à-dire dans le texte reçu dès lors.
Luther ne les a jamais acceptées dans sa version allemande et ce ne fut que longtemps après sa mort, en 1581, qu'elles y furent introduites.
Calvin adopte cette leçon tout en reconnaissant combien elle est contestable, mais le commentaire qu'il en donne montre assez combien elle est peu en harmonie avec la pensée de l'apôtre. Elle l'interrompt, en effet, et cela pour y ajouter une idée dogmatique qui, ici, n'a aucun sens. Enfin, on sait que jamais la doctrine de la Trinité n'a été formulée de cette manière pendant l'ère apostolique. C'est par ces raisons historiques et exégétiques que tous les critiques de nos jours rejettent du texte la glose qui nous occupe.