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1 Pierre 1.11

Ils cherchaient Ă  dĂ©couvrir Ă  quelle Ă©poque et Ă  quels Ă©vĂ©nements se rapportaient les indications donnĂ©es par l’Esprit du Christ agissant en eux, car cet Esprit prĂ©disait les souffrances que le Messie aurait Ă  subir et la gloire dont elles seraient suivies.
searching for who or what kind of time the Spirit of Christ, which was in them, pointed to, when he predicted the sufferings of Christ, and the glories that would follow them.
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Les chrétiens sont-ils des pécheurs, des saints ou les deux ?

Les chrétiens sont-ils des pécheurs, des saints ou les deux ? Les chrétiens sont à la fois saints et pécheurs. 


Les chrétiens sont-ils des pécheurs, des saints ou les deux ?

Les chrĂ©tiens sont les deux en mĂȘme temps On devient saint Ă  notre conversion Je ne sais pas
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1 Pierre 1.1-25
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Pourquoi avons-nous besoin d’un sauveur ?

Pourquoi avons-nous besoin d'un sauveur ? L'humanité a besoin d'un sauveur. Donner une réponse exhaustive à la question de savoir 


Pourquoi avons-nous besoin d’un sauveur ?

Parce que nous sommes tous pĂ©cheurs et loin de Dieu Je n'ai rien fait de mal, je n'ai pas besoin d'ĂȘtre sauvĂ© Je ne sais pas
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Quelle est la signification du sang de Christ ?

Quelle est la signification du sang de Christ ? L'expression « sang de Christ » est employĂ©e Ă  plusieurs reprises 


Quelle est la signification du sang de Christ ?

C'est le fondement de la Nouvelle Alliance ça ne veut rien dire Je ne sais pas
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1 Pierre 1.1-25
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NOEL

Luc 2 /1-20 Matthieu 2/1-12. 1) UN PEU D'HISTOIRE. Noël représente selon la tradition chrétienne la naissance de Jésus. Cependant, 


Philippe Landrevie
1 Pierre 1.1-25
Message texte

Révolution !

2011, Ce dĂ©but d’annĂ©e est fĂ©cond en RĂ©volution
SoulĂšvement de peuples. Les raisons en sont certainement nombreuses et lĂ©gitimes. Mais en 


Lerdami .
1 Pierre 1.1-22

Segond 21 Ils cherchaient Ă  dĂ©couvrir l'Ă©poque et les circonstances indiquĂ©es par l'Esprit de Christ qui Ă©tait en eux lorsqu’il attestait d'avance les souffrances du Messie et la gloire dont elles seraient suivies.

Segond 1910 voulant sonder l'époque et les circonstances marquées par l'Esprit de Christ qui était en eux, et qui attestait d'avance les souffrances de Christ et la gloire dont elles seraient suivies.

Segond 1978 (Colombe) © Ils se sont appliquĂ©s Ă  dĂ©couvrir Ă  quelle Ă©poque et Ă  quelles circonstances se rapportaient les indications de l’Esprit de Christ qui Ă©tait en eux et qui, d’avance, attestait les souffrances de Christ et la gloire qui s’ensuivrait.

Parole de Vie © L’Esprit du Christ Ă©tait en eux, et il a annoncĂ© par avance les souffrances que le Christ allait supporter et la gloire qui allait suivre. Les prophĂštes ont cherchĂ© Ă  comprendre Ă  quel moment et de quelle façon ces choses allaient arriver.

Français Courant © Ils s’efforçaient de dĂ©couvrir Ă  quelle Ă©poque et Ă  quelles circonstances se rapportaient les indications donnĂ©es par l’Esprit du Christ ; car cet Esprit, prĂ©sent en eux, annonçait d’avance les souffrances que le Christ devait subir et la gloire qui serait la sienne ensuite.

Semeur © Ils cherchaient Ă  dĂ©couvrir Ă  quelle Ă©poque et Ă  quels Ă©vĂ©nements se rapportaient les indications donnĂ©es par l’Esprit du Christ. Cet Esprit Ă©tait en eux et annonçait Ă  l’avance les souffrances du *Messie et la gloire dont elles seraient suivies.

Parole Vivante © Ils cherchaient Ă  dĂ©couvrir Ă  quelle Ă©poque et Ă  quels Ă©vĂ©nements se rapportaient les indications donnĂ©es par l’Esprit du Christ agissant en eux, car cet Esprit prĂ©disait les souffrances que le Messie aurait Ă  subir et la gloire dont elles seraient suivies.

Darby recherchant quel temps ou quelle sorte de temps l'Esprit de Christ qui Ă©tait en eux indiquait, rendant par avance tĂ©moignage des souffrances qui devaient ĂȘtre la part de Christ et des gloires qui suivraient ;

Martin Recherchant soigneusement quand, et en quel temps, l'Esprit [prophétique] de Christ qui [était] en eux, rendant par avance témoignage, déclarait les souffrances qui devaient arriver à Christ, et la gloire qui les devait suivre.

Ostervald Recherchant, pour quel temps et quelles conjonctures l'Esprit de Christ qui était en eux, et qui rendait témoignage d'avance, leur révélait les souffrances de Christ, et la gloire dont elles seraient suivies.

HĂ©breu / Grec - Texte original © áŒÏÎ±Ï…Îœáż¶ÎœÏ„Î”Ï‚ Δጰς Ï„ÎŻÎœÎ± áŒą Ï€Îżáż–ÎżÎœ ÎșαÎčρ᜞Μ áŒÎŽÎźÎ»ÎżÏ… τ᜞ ጐΜ Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚ Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎ± ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ Ï€ÏÎżÎŒÎ±ÏÏ„Ï…ÏÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎœ τᜰ Δጰς ΧρÎčστ᜞Μ Ï€Î±ÎžÎźÎŒÎ±Ï„Î± Îșα᜶ τᜰς ΌΔτᜰ Ï„Î±áżŠÏ„Î± ΎόΟας·

World English Bible searching for who or what kind of time the Spirit of Christ, which was in them, pointed to, when he predicted the sufferings of Christ, and the glories that would follow them.

La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
L'intention de l'apĂŽtre, dans ce passage, (versets 10-12) est de cĂ©lĂ©brer la grandeur du salut qui fait la joie des chrĂ©tiens, (versets 8,9) en montrant que de tout temps il a Ă©tĂ© l'objet des dĂ©sirs, des recherches, des espĂ©rances de tous les hommes de Dieu et mĂȘme des anges du ciel. (verset 12)

Chaque mot est digne d'arrĂȘter l'attention.

1° L'apĂŽtre parle de prophĂštes et d'anges (verset 12) sans article, pour relever la haute dignitĂ© dont ces ĂȘtres Ă©taient revĂȘtus : "mĂȘme des prophĂštes, mĂȘme des anges."

2° Il accumule les termes les plus forts pour exprimer l'ardeur, la persévérance, le soin que les prophÚtes apportaient à leurs recherches et à leurs investigations ; (verset 10, grec) ils recherchaient, scrutaient à fond ce qu'ils désiraient connaßtre. Comparer Matthieu 13.17.

3° Ce que les prophĂštes cherchaient Ă  dĂ©couvrir, ce n'Ă©tait pas tant le salut en lui-mĂȘme, sa certitude, que le temps et les circonstances au milieu desquels il serait accompli, ils dĂ©siraient savoir s'ils n'auraient pas le bonheur d'en ĂȘtre les tĂ©moins. (Grec : "pour quel temps et quelle espĂšce de temps manifestait l'Esprit," etc) Comparer Daniel 12.8.

4° L'Esprit de Christ Ă©tait dans les prophĂštes : Il montrait ou manifestait, ce verbe est sans rĂ©gime : il exprime simplement l'action de l'Esprit, l'objet de celle-ci est introduit par un participe qui se rapporte au mot Esprit et doit ĂȘtre reliĂ© au verbe : il manifestait, attestant d'avance les souffrances de Christ.

Les prophÚtes distinguaient cette action révélatrice d'avec les opérations de leur propre esprit ; ce qu'ils annonçaient était une parole divine, une révélation donnée de Dieu.

5° Cet Esprit Ă©tait l'Esprit de Christ. D'aprĂšs Jean, la Parole Ă©ternelle fut l'agent des rĂ©vĂ©lations divines avant d'ĂȘtre faite chair. Aux yeux de Paul, Christ accompagnait l'ancien peuple de Dieu, auquel il se manifestait dans le dĂ©sert. (Comparer Jean 1.1,5, notes ; 1Corinthiens 10.4) Pierre enseigne de mĂȘme que Christ, par son Esprit, dĂ©voilait aux prophĂštes l'issue de l'Ă©conomie de l'Ancien Testament et le salut qu'il devait un jour accomplir. Il y a ainsi parfaite harmonie, action une et progressive dans l'Ɠuvre de la rĂ©demption. Sous les deux Alliances, nous avons : objectivement, le mĂȘme Dieu, le mĂȘme Sauveur, le mĂȘme Esprit, subjectivement, la mĂȘme foi, qui est pour les uns, la foi en un Sauveur devant venir, pour les autres en un Sauveur venu.

6° Ce qui, selon ces rĂ©vĂ©lations divines, Ă©tait le centre de toute l'Ɠuvre du salut, ce dont l'Esprit de Christ rendait tĂ©moignage Ă  l'avance, c'Ă©taient les souffrances de Christ et les gloires qui les devaient suivre (gr les gloires aprĂšs celles-ci), c'est-Ă -dire sa rĂ©surrection, son ascension dans la gloire. Il y a dans le grec : les souffrances pour Christ, c'est-Ă -dire qui lui Ă©taient destinĂ©es, qui devaient l'atteindre. Il ne s'agit pas de souffrances endurĂ©es par les chrĂ©tiens pour lui, comme l'ont pensĂ© quelques interprĂštes.

C'est peut-ĂȘtre aussi dĂ©passer la pensĂ©e de l'apĂŽtre que de dire : "Il ne sĂ©pare point Christ de son corps. Par quoi ceci ne doit ĂȘtre restreint Ă  la personne de Christ...Il ne parle point de ce qui est propre Ă  Christ, mais il traite de tout l'Ă©tat de l'Église en gĂ©nĂ©ral." Calvin.

Les "recherches" des prophĂštes portaient bien sur les souffrances personnelles du Messie, et il est remarquable que leurs prĂ©dictions les plus prĂ©cises, par exempte, le Psaumes 22 et EsaĂŻe 53, que notre apĂŽtre avait surtout dans la pensĂ©e, (1Pierre 2.23-25) renferment d'abord une pathĂ©tique description de ses souffrances, puis une vue triomphante de sa glorification. En rappelant ces donnĂ©es de la prophĂ©tie, Pierre avait aussi, sans doute, l'intention de consoler ses frĂšres dans leurs propres souffrances, ce qui est le but principal de son Ă©pĂźtre. (1Pierre 4.1,12-19) Lui-mĂȘme ne connaĂźt pas de plus beau titre Ă  se donner que celui-ci : "tĂ©moin des souffrances de Christ" (1Pierre 5.1)

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Matthew Henry © traduction Dominique Osché
voulant sonder 2045 5723 l’époque 1519 5101 et 2228 les circonstances 4169 2540 marquĂ©es 1213 5707 par l’Esprit 4151 de Christ 5547 qui 3588 Ă©tait en 1722 eux 846, et qui attestait d’avance 4303 5740 les souffrances 3804 de 1519 Christ 5547 et 2532 la gloire 1391 dont elles seraient suivies 3326 5023.

846 - autoslui-mĂȘme, elle-mĂȘme, eux-mĂȘmes il, elle le mĂȘme

1213 - deloorendre manifeste faire connaßtre en relatant, déclarer permettre de comprendre, indiquer, signifier

1391 - doxaopinion, jugement, vue estimation, ce qui est mauvais ou bon chez quelqu'un dans le N.T 


1519 - eisen, dans, Ă , vers, envers, pour, parmi, entre

1722 - enDans son sens premier: dans, Ă  l'intĂ©rieur de. Le datif qui accompagne ΔΜ remplace un 


2045 - ereunaochercher, examiner, sonder

2228 - el'un ou l'autre, ou, que

2532 - kaiet, aussi, mĂȘme, en effet, mais

2540 - kairosmesure mesure de temps, plus ou moins grande portion de temps, de là: un temps 


3326 - metaavec, aprĂšs, derriĂšre ...

3588 - hoce, cet, ces, etc.

3804 - pathemace dont quelqu'un souffre ou a souffert externe: souffrance, malheur, calamité, mal, affliction des souffrances 


4151 - pneumaun mouvement de l'air (un petit coup de vent) le mouvement du vent, de là 


4169 - poiosde quelle sorte ou nature

4303 - promarturomaiaffirmer d'avance rendre connu, prédire

5023 - tautaces

5101 - tisqui, lequel, ce qui ...

5547 - ChristosChrist = « oint » Christ était le Messie, le Fils de Dieu l'Oint

5707Temps - Imparfait 5775 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 855

5723Temps - Présent 5774 Voix - Active 5784 Mode - Participe 5796 Nombre - 2549

5740Temps - Présent 5774 Voix - Moyenne ou Passive Déponente 5790 Mode - Participe 5796 


© Éditions CLÉ, avec autorisation

ESPRITHĂ©br. rouakh ; grec pneuma. La notion de l'Esprit est l'une des plus importantes de la Bible, une de celles 


JÉSUS-CHRIST (7)VI Christologie. 1. LA CHRISTOLOGIE PRIMITIVE. D'aprĂšs les discours renfermĂ©s dans la premiĂšre partie du livre des Actes, qui sont 


PIERRE (1re Ă©pĂźtre de)Adresse. Cet Ă©crit, qui ressemble davantage Ă  une exhortation munie d'un cadre Ă©pistolaire qu'Ă  une lettre proprement dite, n'est pas 


RÉVÉLATION(HĂ©br. gĂąlĂąh ; grec apokalupsis, du verbe apokalupteĂŻn =rĂ©vĂ©ler, dĂ©couvrir, d'oĂč apocalypse =rĂ©vĂ©lation.) Le mot rĂ©vĂ©lation signifie au sens large 


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      GenĂšse 3

      15 Ś•Ö°ŚÖ”Ś™Ś‘ÖžÖŁŚ” Ś€ ŚÖžŚ©ŚÖŽÖ—Ś™ŚȘ Ś‘֌֔֜Ś™Ś Ö°ŚšÖžÖ™ Ś•ÖŒŚ‘Ö”ÖŁŚ™ŚŸ Ś”ÖžÖœŚÖŽŚ©ŚÖŒÖžÖ”Ś” Ś•ÖŒŚ‘Ö”Ö„Ś™ŚŸ Ś–Ö·ŚšÖ°ŚąÖČŚšÖžÖ– Ś•ÖŒŚ‘Ö”ÖŁŚ™ŚŸ Ś–Ö·ŚšÖ°ŚąÖžÖ‘Ś”ÖŒ Ś”ÖšŚ•ÖŒŚ Ś™Ö°Ś©ŚŚ•ÖŒŚ€Ö°ŚšÖžÖŁ ŚšÖč֔ŚŚ©Ś Ś•Ö°ŚÖ·ŚȘ֌֖֞Ś” ŚȘ֌ְŚ©ŚŚ•ÖŒŚ€Ö¶Ö„Ś ÖŒŚ•ÖŒ ŚąÖžŚ§Ö”ÖœŚ‘Śƒ

      GenĂšse 49

      10 ŚœÖčÖœŚÖŸŚ™ÖžŚĄÖ„Ś•ÖŒŚš Ś©ŚÖ”֙Ś‘Ö¶Ś˜Ö™ ŚžÖŽÖœŚ™Ś”Ś•ÖŒŚ“ÖžÖ”Ś” Ś•ÖŒŚžÖ°Ś—Ö茧֖֔Ś§ ŚžÖŽŚ‘ÖŒÖ”ÖŁŚ™ŚŸ ŚšÖ·Ś’Ö°ŚœÖžÖ‘Ś™Ś• ŚąÖ·ÖšŚ“ Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ™ÖžŚ‘ÖčÖŁŚ *Ś©Ś™ŚœŚ” **Ś©ŚÖŽŚ™ŚœÖ”Ś•Öč Ś•Ö°ŚœÖ–Ś•Öč Ś™ÖŽŚ§ÖŒÖ°Ś”Ö·Ö„ŚȘ ŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖœŚ™ŚŚƒ

      Psaumes 22

      1 ŚœÖ·Ö­ŚžÖ°Ś Ö·ŚŠÖŒÖ”Ś—Ö· ŚąÖ·ŚœÖŸŚÖ·Ś™ÖŒÖ¶Ö„ŚœÖ¶ŚȘ Ś”Ö·Ś©ŚÖŒÖ·Ö—Ś—Ö·Śš ŚžÖŽŚ–Ö°ŚžÖ„Ś•Ö茚 ŚœÖ°Ś“ÖžŚ•ÖŽÖœŚ“Śƒ
      2 ŚÖ”ŚœÖŽÖŁŚ™ ŚÖ”Ö­ŚœÖŽŚ™ ŚœÖžŚžÖžÖŁŚ” ŚąÖČŚ–Ö·Ś‘Ö°ŚȘ֌֑֞Ś ÖŽŚ™ ŚšÖžŚ—Ö„Ś•Ö茧 ŚžÖŽÖœÖŚ™Ś©ŚŚ•ÖŒŚąÖžŚȘ֮֗Ś™ Ś“֌֎Ś‘Ö°ŚšÖ”Ö„Ś™ Ś©ŚÖ·ŚÖČŚ’ÖžŚȘÖŽÖœŚ™Śƒ
      3 ŚÖ±â€ÖœŚœÖ茔ַ֗Ś™ ŚÖ¶Ś§Ö°ŚšÖžÖŁŚ Ś™Ö­Ś•Ö覞־Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ ŚȘÖ·ŚąÖČŚ Ö¶Ö‘Ś” Ś•Ö°ÖŚœÖ·Ö—Ś™Ö°ŚœÖžŚ” Ś•Ö°ÖœŚœÖčŚÖŸŚ“ÖœŚ•ÖŒŚžÖŽŚ™ÖŒÖžÖ„Ś” ŚœÖŽÖœŚ™Śƒ
      4 Ś•Ö°ŚÖ·ŚȘ֌֞քŚ” Ś§ÖžŚ“Ö‘Ś•Ö茩Ś Ś™ÖŚ•Ö茩ŚÖ”֗Ś‘ ŚȘ֌ְŚ”ÖŽŚœÖŒÖ„Ś•ÖčŚȘ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”ÖœŚœŚƒ
      5 Ś‘֌ְ֭ŚšÖž Ś‘֌֞Ś˜Ö°Ś—ÖŁŚ•ÖŒ ŚÖČŚ‘ÖčŚȘÖ”Ö‘Ś™Ś Ś•ÖŒ Ś‘֌֞֝Ś˜Ö°Ś—Ö—Ś•ÖŒ Ś•Ö·ÖœŚȘ֌ְŚ€Ö·ŚœÖŒÖ°Ś˜Ö”ÖœŚžŚ•Ö范
      6 ŚÖ”ŚœÖ¶ÖŁŚ™ŚšÖž Ś–ÖžŚąÖČŚ§ÖŁŚ•ÖŒ Ś•Ö°Ś ÖŽŚžÖ°ŚœÖžÖ‘Ś˜Ś•ÖŒ Ś‘֌ְŚšÖžÖ– Ś‘ÖžŚ˜Ö°Ś—ÖŁŚ•ÖŒ Ś•Ö°ŚœÖčŚÖŸŚ‘ÖœŚ•Ö茩ŚŚ•ÖŒŚƒ
      7 Ś•Ö°ŚÖžŚ Ö覛֣֮Ś™ ŚȘŚ•ÖčŚœÖ·ÖŁŚąÖ·ŚȘ Ś•Ö°ŚœÖčŚÖŸŚÖŽÖ‘Ś™Ś©Ś Ś—Ö¶ŚšÖ°Ś€ÖŒÖ·Ö„ŚȘ ŚÖžÖŚ“ÖžÖ—Ś Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś–Ö„Ś•ÖŒŚ™ ŚąÖžÖœŚŚƒ
      8 Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚšÖčÖ­ŚÖ·Ś™ Ś™Ö·ŚœÖ°ŚąÖŽÖŁŚ’Ś•ÖŒ ŚœÖŽÖ‘Ś™ Ś™Ö·Ś€Ö°Ś˜ÖŽÖ„Ś™ŚšŚ•ÖŒ Ś‘ְ֝Ś©Ś‚ÖžŚ€ÖžÖ—Ś” Ś™ÖžŚ ÖŽÖ„Ś™ŚąŚ•ÖŒ ŚšÖčÖœŚŚ©ŚŚƒ
      9 Ś’ÖŒÖčÖŁŚœ ŚÖ¶ŚœÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖŁŚ” Ś™Ö°Ś€Ö·ŚœÖŒÖ°Ś˜Ö”֑Ś”Ś•ÖŒ Ś™Ö·ÖŚŠÖŒÖŽŚ™ŚœÖ”֗Ś”Ś•ÖŒ Ś›ÖŒÖŽÖ˜Ś™ Ś—ÖžÖ„Ś€Ö”ÖœŚ„ Ś‘֌֜Ś•Ö范
      10 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚÖ·ŚȘÖŒÖžÖŁŚ” Ś’Ö覗֣֮Ś™ ŚžÖŽŚ‘֌֑֞Ś˜Ö¶ŚŸ ŚžÖ·ÖŚ‘Ö°Ś˜ÖŽŚ™Ś—ÖŽÖ—Ś™ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ©ŚÖ°Ś“Ö”Ö„Ś™ ŚÖŽŚžÖŒÖŽÖœŚ™Śƒ
      11 ŚąÖžÖ­ŚœÖ¶Ś™ŚšÖž Ś”ÖžŚ©ŚÖ°ŚœÖ·ÖŁŚ›Ö°ŚȘ֌֎Ś™ ŚžÖ”ŚšÖžÖ‘Ś—Ö¶Ś ŚžÖŽŚ‘֌ֶքŚ˜Ö¶ŚŸ ŚÖŽÖŚžÖŒÖŽÖ—Ś™ ŚÖ”ÖŁŚœÖŽŚ™ ŚÖžÖœŚȘ֌֞Ś”Śƒ
      12 ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֎ŚšÖ°Ś—Ö·ÖŁŚ§ ŚžÖŽÖ­ŚžÖŒÖ¶Ś ÖŒÖŽŚ™ Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚŠÖžŚšÖžÖŁŚ” Ś§Ö°ŚšŚ•Ö覑־֑Ś” Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚÖ”Ö„Ś™ŚŸ ŚąŚ•ÖčŚ–Ö”ÖœŚšŚƒ
      13 ŚĄÖ°Ö­Ś‘ÖžŚ‘Ś•ÖŒŚ ÖŽŚ™ Ś€ÖŒÖžŚšÖŽÖŁŚ™Ś ŚšÖ·Ś‘֌֎֑Ś™Ś ŚÖ·Ś‘֌֎Ś™ŚšÖ”֖Ś™ Ś‘ÖžŚ©ŚÖžÖŁŚŸ Ś›ÖŒÖŽŚȘ֌ְŚšÖœŚ•ÖŒŚ ÖŽŚ™Śƒ
      14 Ś€ÖŒÖžŚŠÖŁŚ•ÖŒ ŚąÖžŚœÖ·ÖŁŚ™ Ś€ÖŒÖŽŚ™Ś”Ö¶Ö‘Ś ŚÖ·ÖŚšÖ°Ś™Ö”֗Ś” Ś˜Ö茚֔քŚŁ Ś•Ö°Ś©ŚÖčŚÖ”ÖœŚ’Śƒ
      15 Ś›ÖŒÖ·ŚžÖŒÖ·Ö„Ś™ÖŽŚ Ś ÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖ·Ś›Ö°ŚȘ֌֎Ś™Öź Ś•Ö°Ś”ÖŽŚȘÖ°Ś€ÖŒÖžÖœŚšÖ°Ś“Ö—Ś•ÖŒ Ś›ÖŒÖžÖœŚœÖŸŚąÖ·ŚŠÖ°ŚžÖ«Ś•ÖčŚȘÖžÖ„Ś™ Ś”ÖžŚ™ÖžÖŁŚ” ŚœÖŽÖ­Ś‘֌֎Ś™ Ś›ÖŒÖ·Ś“ÖŒŚ•Ö覠־֑Ś’ Ś ÖžÖŚžÖ”֗ŚĄ Ś‘֌ְŚȘÖŁŚ•Ö覚ְ ŚžÖ”ŚąÖžÖœŚ™Śƒ
      16 Ś™ÖžÖ˜Ś‘Ö”Ö€Ś©Ś Ś›ÖŒÖ·Ś—Ö¶ÖšŚšÖ¶Ś©Ś‚ Ś€ Ś›ÖŒÖ覗֮֗Ś™ Ś•ÖŒÖ­ŚœÖ°Ś©ŚŚ•Ö茠֎Ś™ ŚžÖ»Ś“Ö°Ś‘ÖŒÖžÖŁŚ§ ŚžÖ·ŚœÖ°Ś§Ś•Ö覗־֑Ś™ Ś•Ö°ÖœŚœÖ·ŚąÖČŚ€Ö·ŚšÖŸŚžÖžÖ„Ś•Ö¶ŚȘ ŚȘ֌֎Ś©ŚÖ°Ś€ÖŒÖ°ŚȘÖ”ÖœŚ ÖŽŚ™Śƒ
      17 Ś›ÖŒÖŽÖ„Ś™ ŚĄÖ°Ś‘ÖžŚ‘Ö—Ś•ÖŒŚ ÖŽŚ™ Ś›ÖŒÖ°ŚœÖžÖ«Ś‘ÖŽÖ„Ś™Ś ŚąÖČŚ“Ö·ÖŁŚȘ ŚžÖ°Ö­ŚšÖ”ŚąÖŽŚ™Ś Ś”ÖŽŚ§ÖŒÖŽŚ™Ś€Ö‘Ś•ÖŒŚ ÖŽŚ™ Ś›ÖŒÖžÖŚÖČŚšÖŽÖ—Ś™ Ś™ÖžŚ“Ö·Ö„Ś™ Ś•Ö°ŚšÖ·Ś’Ö°ŚœÖžÖœŚ™Śƒ
      18 ŚÖČŚĄÖ·Ś€ÖŒÖ”Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚąÖ·ŚŠÖ°ŚžŚ•ÖčŚȘ־֑Ś™ Ś”Ö”Ö„ŚžÖŒÖžŚ” Ś™Ö·ÖŚ‘֌֎֗Ś™Ś˜Ś•ÖŒ Ś™ÖŽŚšÖ°ŚŚ•ÖŒÖŸŚ‘ÖŽÖœŚ™Śƒ
      19 Ś™Ö°Ś—Ö·ŚœÖŒÖ°Ś§ÖŁŚ•ÖŒ Ś‘Ö°Ś’ÖžŚ“Ö·ÖŁŚ™ ŚœÖžŚ”Ö¶Ö‘Ś Ś•Ö°ŚąÖ·ŚœÖŸŚœÖ°ÖŚ‘Ś•ÖŒŚ©ŚÖŽÖ—Ś™ Ś™Ö·Ś€ÖŒÖŽÖ„Ś™ŚœŚ•ÖŒ Ś’Ś•ÖčŚšÖžÖœŚœŚƒ
      20 Ś•Ö°ŚÖ·ŚȘÖŒÖžÖŁŚ” Ś™Ö°Ö­Ś”Ś•ÖžŚ” ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֎ŚšÖ°Ś—ÖžÖ‘Ś§ ŚÖ±ÖŚ™ÖžŚœŚ•ÖŒŚȘ֮֗Ś™ ŚœÖ°ŚąÖ¶Ś–Ö°ŚšÖžÖ„ŚȘÖŽŚ™ Ś—ÖœŚ•ÖŒŚ©ŚÖžŚ”Śƒ
      21 Ś”Ö·ŚŠÖŒÖŽÖŁŚ™ŚœÖžŚ” ŚžÖ”Ś—Ö¶ÖŁŚšÖ¶Ś‘ Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖŽÖ‘Ś™ ŚžÖŽŚ™ÖŒÖ·Ś“ÖŸŚ›ÖŒÖ¶ÖÖ—ŚœÖ¶Ś‘ Ś™Ö°Ś—ÖŽŚ™Ś“ÖžŚȘÖŽÖœŚ™Śƒ
      22 Ś”Ö­Ś•Ö茩ŚÖŽŚ™ŚąÖ”Ś ÖŽŚ™ ŚžÖŽŚ€ÖŒÖŽÖŁŚ™ ŚÖ·ŚšÖ°Ś™Ö”֑Ś” Ś•ÖŒŚžÖŽŚ§ÖŒÖ·ŚšÖ°Ś Ö”֖Ś™ ŚšÖ”ŚžÖŽÖŁŚ™Ś ŚąÖČŚ ÖŽŚ™ŚȘÖžÖœŚ ÖŽŚ™Śƒ
      23 ŚÖČŚĄÖ·Ś€ÖŒÖ°ŚšÖžÖŁŚ” Ś©ŚÖŽŚžÖ°ŚšÖžÖŁ ŚœÖ°ŚÖ¶Ś—ÖžÖ‘Ś™ Ś‘֌ְŚȘ֖Ś•Ö覚ְ Ś§ÖžŚ”ÖžÖŁŚœ ŚÖČŚ”Ö·ŚœÖ°ŚœÖ¶ÖœŚšÖŒÖžŚƒ
      24 Ś™ÖŽŚšÖ°ŚÖ”Ö€Ś™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖšŚ” Ś€ Ś”Ö·ÖœŚœÖ°ŚœÖ—Ś•ÖŒŚ”Ś•ÖŒ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ–Ö¶ÖŁŚšÖ·Śą Ś™Ö·ŚąÖČŚ§ÖčÖŁŚ‘ Ś›ÖŒÖ·Ś‘֌ְŚ“Ö‘Ś•ÖŒŚ”Ś•ÖŒ Ś•Ö°Ś’Ö„Ś•ÖŒŚšŚ•ÖŒ ŚžÖŽÖŚžÖŒÖ¶Ö—Ś ÖŒŚ•ÖŒ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ–Ö¶Ö„ŚšÖ·Śą Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”ÖœŚœŚƒ
      25 Ś›ÖŒÖŽÖ€Ś™ ŚœÖčÖœŚÖŸŚ‘ÖžŚ–ÖžÖšŚ” Ś•Ö°ŚœÖčÖȘŚ Ś©ŚÖŽŚ§ÖŒÖ·ÖĄŚ„ ŚąÖ±Ś ÖŹŚ•ÖŒŚȘ ŚąÖžŚ ÖŽÖ—Ś™ Ś•Ö°ŚœÖčŚÖŸŚ”ÖŽŚĄÖ°ŚȘÖŒÖŽÖŁŚ™Śš Ś€ÖŒÖžŚ ÖžÖŁŚ™Ś• ŚžÖŽŚžÖŒÖ¶Ö‘Ś ÖŒŚ•ÖŒ Ś•ÖŒÖœŚ‘Ö°Ś©ŚÖ·Ś•ÖŒÖ°ŚąÖ–Ś•Öč ŚÖ”ŚœÖžÖŁŚ™Ś• Ś©ŚÖžŚžÖ”ÖœŚąÖ·Śƒ
      26 ŚžÖ”Ö„ŚÖŽŚȘ֌ְŚšÖžÖ— ŚȘÖ°ÖœŚ”ÖŽŚœÖŒÖžÖ«ŚȘÖŽÖ„Ś™ Ś‘֌ְŚ§ÖžŚ”ÖžÖ„Śœ ŚšÖžÖ‘Ś‘ Ś Ö°Ś“ÖžŚšÖ·Ö„Ś™ ŚÖČ֝Ś©ŚÖ·ŚœÖŒÖ”֗Ś Ś Ö¶ÖŁŚ’Ö¶Ś“ Ś™Ö°ŚšÖ”ŚÖžÖœŚ™Ś•Śƒ
      27 Ś™Ö茐Ś›Ö°ŚœÖŹŚ•ÖŒ ŚąÖČŚ ÖžŚ•ÖŽÖšŚ™Ś Ś€ Ś•Ö°Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°Ś‘֌֞֗ŚąŚ•ÖŒ Ś™Ö°Ś”Ö·ÖœŚœÖ°ŚœÖŁŚ•ÖŒ Ś™Ö°Ö­Ś”Ś•ÖžŚ” Ś“ÖŒÖčÖŁŚšÖ°Ś©ŚÖžÖ‘Ś™Ś• Ś™Ö°Ś—ÖŽÖ–Ś™ ŚœÖ°Ś‘Ö·Ś‘Ö°Ś›Ö¶ÖŁŚ ŚœÖžŚąÖ·ÖœŚ“Śƒ
      28 Ś™ÖŽŚ–Ö°Ś›ÖŒÖ°ŚšÖ€Ś•ÖŒ Ś€ Ś•Ö°Ś™ÖžŚ©ŚÖ»ÖŁŚ‘Ś•ÖŒ ŚÖ¶ŚœÖŸŚ™Ö°Ö­Ś”Ś•ÖžŚ” Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚÖ·Ś€Ö°ŚĄÖ”Ś™ÖŸŚÖžÖ‘ŚšÖ¶Ś„ Ś•Ö°Ś™ÖŽÖœŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•Ö„Ś•ÖŒ ŚœÖ°ÖŚ€ÖžŚ Ö¶Ö—Ś™ŚšÖž Ś›ÖŒÖžÖœŚœÖŸŚžÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖ°Ś—Ö„Ś•ÖčŚȘ Ś’ÖŒŚ•ÖčŚ™ÖŽÖœŚŚƒ
      29 Ś›ÖŒÖŽÖŁŚ™ ŚœÖ·Ö­Ś™Ś”Ś•ÖžŚ” Ś”Ö·ŚžÖŒÖ°ŚœŚ•ÖŒŚ›ÖžÖ‘Ś” Ś•ÖŒÖŚžÖ茩ŚÖ”֗Śœ Ś‘֌ַŚ’ÖŒŚ•ÖčŚ™ÖŽÖœŚŚƒ
      30 ŚÖžŚ›Ö°ŚœÖŹŚ•ÖŒ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽÖœŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•ÖŒÖšŚ•ÖŒ Ś€ Ś›ÖŒÖžÖœŚœÖŸŚ“֌֎Ś©ŚÖ°Ś Ö”Ś™ÖŸŚÖ¶Ö—ŚšÖ¶Ś„ ŚœÖ°Ś€ÖžŚ ÖžÖŁŚ™Ś• Ś™ÖŽÖ­Ś›Ö°ŚšÖ°ŚąŚ•ÖŒ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ™Ś•Ö茚ְŚ“Ö”ÖŁŚ™ ŚąÖžŚ€ÖžÖ‘Śš Ś•Ö°ÖŚ Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖ—Ś•Öč ŚœÖčÖŁŚ Ś—ÖŽŚ™ÖŒÖžÖœŚ”Śƒ
      31 Ś–Ö¶Ö„ŚšÖ·Śą Ś™Ö·ÖœŚąÖ·Ś‘Ö°Ś“Ö¶Ö‘Ś ÖŒŚ•ÖŒ Ś™Ö°ŚĄÖ»Ś€ÖŒÖ·Ö–Śš ŚœÖ·ÖœŚŚ“Ö茠֣֞Ś™ ŚœÖ·Ś“֌֜Ś•Ö茚Śƒ

      Psaumes 69

      1 ŚœÖ·ŚžÖ°Ś Ö·ŚŠÖŒÖ”ÖŹŚ—Ö· ŚąÖ·ÖœŚœÖŸŚ©ŚŚ•Ö茩ŚÖ·Ś ÖŒÖŽÖŹŚ™Ś ŚœÖ°Ś“ÖžŚ•ÖŽÖœŚ“Śƒ
      2 Ś”Ś•Ö茩ŚÖŽŚ™ŚąÖ”Ö„Ś ÖŽŚ™ ŚÖ±ŚœÖ覔֑֮Ś™Ś Ś›ÖŒÖŽÖ€Ś™ Ś‘ÖžÖ–ŚŚ•ÖŒ ŚžÖ·ÖŁŚ™ÖŽŚ ŚąÖ·Ś“ÖŸŚ ÖžÖœŚ€Ö¶Ś©ŚŚƒ
      3 Ś˜ÖžŚ‘Ö·Ö€ŚąÖ°ŚȘ֌֎Ś™ Ś€ Ś‘֌֎Ś™Ś•Ö”ÖŁŚŸ ŚžÖ°Ö­ŚŠŚ•ÖŒŚœÖžŚ” Ś•Ö°ŚÖ”ÖŁŚ™ŚŸ ŚžÖžŚąÖłŚžÖžÖ‘Ś“ Ś‘֌֞քŚŚȘÖŽŚ™ Ś‘Ö°ŚžÖ·ŚąÖČŚžÖ·Ś§ÖŒÖ”Ś™ÖŸŚžÖ·ÖÖ—Ś™ÖŽŚ Ś•Ö°Ś©ŚÖŽŚ‘ÖŒÖčÖ„ŚœÖ¶ŚȘ Ś©ŚÖ°Ś˜ÖžŚ€ÖžÖœŚȘÖ°Ś ÖŽŚ™Śƒ
      4 Ś™ÖžŚ’Ö·ÖŁŚąÖ°ŚȘ֌֎Ś™ Ś‘Ö°Ś§ÖžŚšÖ°ŚÖŽŚ™Öź Ś ÖŽŚ—Ö·ÖȘŚš Ś’֌ְŚšÖ«Ś•Ö茠֎քŚ™ Ś›ÖŒÖžŚœÖ„Ś•ÖŒ ŚąÖ”Ś™Ś Ö·Ö‘Ś™ ŚžÖ°ÖŚ™Ö·Ś—Ö”֗Śœ ŚœÖ”ŚŚœÖčŚ”ÖžÖœŚ™Śƒ
      5 ŚšÖ·Ś‘֌րŚ•ÖŒ Ś€ ŚžÖŽŚ©Ś‚֌ַŚąÖČŚšÖŁŚ•ÖčŚȘ ŚšÖ茐Ś©ŚÖŽŚ™Öź Ś©Ś‚Ö茠ְŚÖ·ÖȘŚ™ Ś—ÖŽÖ«Ś ÖŒÖžÖ„Ś ŚąÖžŚŠÖ°ŚžÖŁŚ•ÖŒ ŚžÖ·Ö­ŚŠÖ°ŚžÖŽŚ™ŚȘÖ·Ś™ ŚÖ覙ְŚ‘Ö·ÖŁŚ™ Ś©ŚÖ¶Ö‘Ś§Ö¶Śš ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚœÖčŚÖŸŚ’֞֝Ś–Ö·Ö—ŚœÖ°ŚȘ֌֎Ś™ ŚÖžÖŁŚ– ŚÖžŚ©ŚÖŽÖœŚ™Ś‘Śƒ
      6 ŚÖ±â€ÖœŚœÖ覔֮֗Ś™Ś ŚÖ·ŚȘÖŒÖžÖŁŚ” Ś™ÖžÖ­Ś“Ö·ŚąÖ°ŚȘ֌֞ ŚœÖ°ŚÖŽŚ•ÖŒÖ·ŚœÖ°ŚȘ֌֎֑Ś™ Ś•Ö°ÖŚÖ·Ś©ŚÖ°ŚžŚ•ÖčŚȘַ֗Ś™ ŚžÖŽŚžÖŒÖ°ŚšÖžÖ„ ŚœÖčŚÖŸŚ ÖŽŚ›Ö°Ś—ÖžÖœŚ“Ś•ÖŒŚƒ
      7 ŚÖ·ŚœÖŸŚ™Ö”֘Ś‘ÖčÖ€Ś©ŚŚ•ÖŒ Ś‘ÖŽÖšŚ™ Ś€ Ś§Ö茕ֶŚ™ŚšÖžÖź ŚÖČŚ“Ö茠֞քŚ™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖŽÖ—Ś” ŚŠÖ°Ś‘ÖžÖ«ŚÖ„Ś•ÖčŚȘ ŚÖ·ŚœÖŸŚ™ÖŽŚ›ÖŒÖžÖŁŚœÖ°ŚžŚ•ÖŒ Ś‘ÖŽÖŁŚ™ ŚžÖ°Ś‘Ö·Ś§Ö°Ś©ŚÖ¶Ö‘Ś™ŚšÖž ŚÖ±ÖŚœÖ茔֔֗Ś™ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”ÖœŚœŚƒ
      8 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚąÖžÖ­ŚœÖ¶Ś™ŚšÖž Ś ÖžŚ©Ś‚ÖžÖŁŚŚȘÖŽŚ™ Ś—Ö¶ŚšÖ°Ś€ÖŒÖžÖ‘Ś” Ś›ÖŒÖŽŚĄÖŒÖ°ŚȘ־֖Ś” Ś›Ö°ŚœÖŽŚžÖŒÖžÖŁŚ” Ś€ÖžŚ ÖžÖœŚ™Śƒ
      9 ŚžÖ­Ś•ÖŒŚ–ÖžŚš Ś”ÖžŚ™ÖŽÖŁŚ™ŚȘÖŽŚ™ ŚœÖ°ŚÖ¶Ś—ÖžÖ‘Ś™ Ś•Ö°ÖŚ ÖžŚ›Ö°ŚšÖŽÖ—Ś™ ŚœÖŽŚ‘Ö°Ś Ö”Ö„Ś™ ŚÖŽŚžÖŒÖŽÖœŚ™Śƒ
      10 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ§ÖŽŚ Ö°ŚÖ·ÖŁŚȘ Ś‘֌֔Ś™ŚȘÖ°ŚšÖžÖŁ ŚÖČŚ›ÖžŚœÖžÖ‘ŚȘÖ°Ś ÖŽŚ™ Ś•Ö°Ś—Ö¶ŚšÖ°Ś€ÖŒÖ„Ś•ÖčŚȘ Ś—֝Ś•Ö茚ְŚ€Ö¶Ö—Ś™ŚšÖž Ś ÖžŚ€Ö°ŚœÖ„Ś•ÖŒ ŚąÖžŚœÖžÖœŚ™Śƒ
      11 Ś•ÖžŚÖ¶Ś‘Ö°Ś›ÖŒÖ¶ÖŁŚ” Ś‘Ö·ŚŠÖŒÖŁŚ•Ö覝 Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖŽÖ‘Ś™ Ś•Ö·ŚȘ֌ְŚ”ÖŽÖ–Ś™ ŚœÖ·Ś—ÖČŚšÖžŚ€ÖŁŚ•ÖčŚȘ ŚœÖŽÖœŚ™Śƒ
      12 Ś•ÖžŚÖ¶ŚȘ֌ְŚ ÖžÖŁŚ” ŚœÖ°Ś‘Ś•ÖŒŚ©ŚÖŽÖŁŚ™ Ś©Ś‚ÖžÖ‘Ś§ Ś•ÖžŚÖ±Ś”ÖŽÖ–Ś™ ŚœÖžŚ”Ö¶ÖŁŚ ŚœÖ°ŚžÖžŚ©ŚÖžÖœŚœŚƒ
      13 Ś™ÖžŚ©Ś‚ÖŽÖŁŚ™Ś—Ś•ÖŒ Ś‘ÖŽÖ­Ś™ Ś™ÖčÖŁŚ©ŚÖ°Ś‘Ö”Ś™ Ś©ŚÖžÖ‘ŚąÖ·Śš Ś•ÖŒÖŚ Ö°Ś’ÖŽŚ™Ś Ö—Ś•ÖčŚȘ Ś©ŚŚ•ÖčŚȘÖ”Ö„Ś™ Ś©ŚÖ”Ś›ÖžÖœŚšŚƒ
      14 Ś•Ö·ŚÖČŚ ÖŽÖ€Ś™ ŚȘÖ°Ś€ÖŽŚœÖŒÖžŚȘÖŽÖœŚ™ÖŸŚœÖ°ŚšÖžÖš Ś€ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖĄŚ” ŚąÖ”Ö€ŚȘ ŚšÖžŚŠÖ—Ś•Ö覟 ŚÖ±ŚœÖ茔֎քŚ™Ś Ś‘֌ְŚšÖžŚ‘ÖŸŚ—Ö·ŚĄÖ°Ś“֌ֶ֑ŚšÖž ŚąÖČ֝Ś Ö”֗Ś ÖŽŚ™ Ś‘֌ֶŚÖ±ŚžÖ¶Ö„ŚȘ Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚąÖ¶ÖœŚšÖžŚƒ
      15 Ś”Ö·ŚŠÖŒÖŽŚ™ŚœÖ”ÖŁŚ ÖŽŚ™ ŚžÖŽÖ­Ś˜ÖŒÖŽŚ™Ś˜ Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖŸŚÖ¶Ś˜Ö°Ś‘֌֑֞ŚąÖžŚ” ŚÖŽŚ ÖŒÖžŚŠÖ°ŚœÖžÖ„Ś” ŚžÖŽÖŚ©Ś‚ÖŒÖčÖœŚ Ö°ŚÖ·Ö—Ś™ Ś•ÖŒŚžÖŽŚžÖŒÖ·ÖœŚąÖČŚžÖ·Ś§ÖŒÖ”Ś™ÖŸŚžÖžÖœŚ™ÖŽŚŚƒ
      16 ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֎Ś©ŚÖ°Ś˜Ö°Ś€Ö”Ö€Ś ÖŽŚ™ Ś€ Ś©ŚÖŽŚ‘ÖŒÖčÖŁŚœÖ¶ŚȘ ŚžÖ·Ö­Ś™ÖŽŚ Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֎Ś‘Ö°ŚœÖžŚąÖ”ÖŁŚ ÖŽŚ™ ŚžÖ°ŚŠŚ•ÖŒŚœÖžÖ‘Ś” Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌ֶŚÖ°Ś˜Ö·ŚšÖŸŚąÖžŚœÖ·Ö–Ś™ Ś‘֌ְŚÖ”ÖŁŚš Ś€ÖŒÖŽÖœŚ™Ś”ÖžŚƒ
      17 ŚąÖČŚ Ö”ÖŁŚ ÖŽŚ™ Ś™Ö°Ö­Ś”Ś•ÖžŚ” Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚ˜ÖŁŚ•Ö覑 Ś—Ö·ŚĄÖ°Ś“֌ֶ֑ŚšÖž Ś›ÖŒÖ°ŚšÖčÖ„Ś‘ ŚšÖ·ÖŚ—ÖČŚžÖ¶Ö—Ś™ŚšÖž Ś€ÖŒÖ°Ś Ö”ÖŁŚ” ŚÖ”ŚœÖžÖœŚ™Śƒ
      18 Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌ַŚĄÖ°ŚȘÖŒÖ”ÖŁŚš Ś€ÖŒÖžÖ­Ś Ö¶Ś™ŚšÖž ŚžÖ”ÖœŚąÖ·Ś‘Ö°Ś“֌ֶ֑ŚšÖž Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚŠÖ·ŚšÖŸŚœÖŽÖÖ—Ś™ ŚžÖ·Ś”Ö”Ö„Śš ŚąÖČŚ Ö”ÖœŚ ÖŽŚ™Śƒ
      19 Ś§ÖžŚšÖ°Ś‘ÖžÖŁŚ” ŚÖ¶ŚœÖŸŚ Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖŽÖŁŚ™ Ś’Ö°ŚÖžŚœÖžÖ‘Ś”ÖŒ ŚœÖ°ŚžÖ·Ö–ŚąÖ·ŚŸ ŚÖ覙ְŚ‘Ö·ÖŁŚ™ Ś€ÖŒÖ°Ś“Ö”ÖœŚ ÖŽŚ™Śƒ
      20 ŚÖ·ŚȘ֌֞րŚ” Ś™ÖžŚ“Ö·Ö—ŚąÖ°ŚȘ֌֞ Ś—Ö¶ŚšÖ°Ś€ÖŒÖžŚȘÖŽÖŁŚ™ Ś•ÖŒÖ­Ś‘ÖžŚ©ŚÖ°ŚȘ֌֎Ś™ Ś•ÖŒŚ›Ö°ŚœÖŽŚžÖŒÖžŚȘ֑֮Ś™ Ś Ö¶ÖŚ’Ö°Ś“֌ְŚšÖžÖ— Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚŠŚ•Ö茚ְŚšÖžÖœŚ™Śƒ
      21 Ś—Ö¶ŚšÖ°Ś€ÖŒÖžÖ€Ś” Ś€ Ś©ŚÖžÖœŚ‘Ö°ŚšÖžÖ„Ś” ŚœÖŽŚ‘֌֎֗Ś™ Ś•ÖžÖœŚÖžÖ«Ś Ö„Ś•ÖŒŚ©ŚÖžŚ” Ś•ÖžŚÖČŚ§Ö·Ś•ÖŒÖ¶ÖŁŚ” ŚœÖžŚ ÖŁŚ•ÖŒŚ“ Ś•ÖžŚÖ·Ö‘Ś™ÖŽŚŸ Ś•Ö°ÖŚœÖ·ŚžÖ°Ś Ö·Ś—ÖČŚžÖŽÖ—Ś™Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ ŚžÖžŚŠÖžÖœŚŚȘÖŽŚ™Śƒ
      30 Ś•Ö·Ö­ŚÖČŚ ÖŽŚ™ ŚąÖžŚ ÖŽÖŁŚ™ Ś•Ö°Ś›Ś•Ö茐֑֔Ś‘ Ś™Ö°Ś©ŚŚ•ÖŒŚąÖžŚȘÖ°ŚšÖžÖ– ŚÖ±ŚœÖ覔֣֮Ś™Ś ŚȘ֌ְŚ©Ś‚Ö·Ś’֌ְŚ‘Ö”ÖœŚ ÖŽŚ™Śƒ
      31 ŚÖČŚ”Ö·ÖœŚœÖ°ŚœÖžÖŁŚ” Ś©ŚÖ”ŚÖŸŚÖ±ŚœÖ覔֣֮Ś™Ś Ś‘֌ְŚ©ŚÖŽÖ‘Ś™Śš Ś•Ö·ŚÖČŚ’Ö·Ś“֌ְŚœÖ¶Ö„Ś ÖŒŚ•ÖŒ Ś‘Ö°ŚȘŚ•ÖčŚ“ÖžÖœŚ”Śƒ
      32 Ś•Ö°ŚȘÖŽŚ™Ś˜Ö·ÖŁŚ‘ ŚœÖ·ÖœÖ­Ś™Ś”Ś•ÖžŚ” ŚžÖŽŚ©ŚÖŒÖ„Ś•Ö茚 Ś€ÖŒÖžÖ—Śš ŚžÖ·Ś§Ö°ŚšÖŽÖ„ŚŸ ŚžÖ·Ś€Ö°ŚšÖŽÖœŚ™ŚĄŚƒ
      33 ŚšÖžŚÖŁŚ•ÖŒ ŚąÖČŚ ÖžŚ•ÖŽÖŁŚ™Ś Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚžÖžÖ‘Ś—Ś•ÖŒ Ś“ÖŒÖ茚ְŚ©ŚÖ”Ö„Ś™ ŚÖ±ÖŚœÖ覔֮֗Ś™Ś Ś•ÖŽŚ™Ś—ÖŽÖ„Ś™ ŚœÖ°Ś‘Ö·Ś‘Ö°Ś›Ö¶ÖœŚŚƒ
      34 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ©ŚÖ茞֣֔ŚąÖ· ŚÖ¶ŚœÖŸŚÖ¶Ś‘Ö°Ś™Ś•Ö茠֎֣Ś™Ś Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ‘Ś” Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚÖČ֝ŚĄÖŽŚ™ŚšÖžÖ—Ś™Ś• ŚœÖčÖŁŚ Ś‘ÖžŚ–ÖžÖœŚ”Śƒ
      35 Ś™Ö°ÖœÖ­Ś”Ö·ŚœÖ°ŚœŚ•ÖŒŚ”Ś•ÖŒ Ś©ŚÖžŚžÖ·ÖŁŚ™ÖŽŚ Ś•ÖžŚÖžÖ‘ŚšÖ¶Ś„ Ś™Ö·ÖŚžÖŒÖŽÖ—Ś™Ś Ś•Ö°ÖœŚ›ÖžŚœÖŸŚšÖ茞֔քŚ©Ś‚ Ś‘֌֞֜ŚŚƒ
      36 Ś›ÖŒÖŽÖ€Ś™ ŚÖ±ŚœÖ覔ֹ֮Ś™Ś Ś€ Ś™Ö˜Ś•Ö茩ŚÖŽÖ€Ś™ŚąÖ· ŚŠÖŽŚ™ÖŒÖ—Ś•Ö覟 Ś•Ö°Ö­Ś™ÖŽŚ‘Ö°Ś Ö¶Ś” ŚąÖžŚšÖ”ÖŁŚ™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖŒŚ“ÖžÖ‘Ś” Ś•Ö°Ś™ÖžÖ„Ś©ŚÖ°Ś‘Ś•ÖŒ Ś©ŚÖžÖÖ—Ś Ś•ÖŽŚ™ŚšÖ”Ś©ŚÖœŚ•ÖŒŚ”ÖžŚƒ

      Psaumes 88

      1 Ś©ŚÖŽÖ„Ś™Śš ŚžÖŽŚ–Ö°ŚžÖ—Ś•Ö茚 ŚœÖŽŚ‘Ö°Ś Ö”Ö«Ś™ Ś§ÖčÖ„ŚšÖ·Ś— ŚœÖ·ŚžÖ°Ś Ö·ŚŠÖŒÖ”ÖŁŚ—Ö· ŚąÖ·ŚœÖŸŚžÖžŚ—ÖČŚœÖ·ÖŁŚȘ ŚœÖ°ŚąÖ·Ś ÖŒÖ‘Ś•ÖčŚȘ ŚžÖ·ÖŚ©Ś‚Ö°Ś›ÖŒÖŽÖ—Ś™Śœ ŚœÖ°Ś”Ö”Ś™ŚžÖžÖ„ŚŸ Ś”ÖžŚÖ¶Ś–Ö°ŚšÖžŚ—ÖŽÖœŚ™Śƒ
      2 Ś™Ö°Ö­Ś”Ś•ÖžŚ” ŚÖ±ŚœÖ茔֣֔Ś™ Ś™Ö°Ś©ŚŚ•ÖŒŚąÖžŚȘ֑֮Ś™ Ś™Ś•ÖčŚÖŸŚŠÖžŚąÖ·Ö–Ś§Ö°ŚȘ֌֎Ś™ Ś‘Ö·ŚœÖŒÖ·ÖŁŚ™Ö°ŚœÖžŚ” Ś Ö¶Ś’Ö°Ś“֌ֶ֜ŚšÖžŚƒ
      3 ŚȘ֌֞Ś‘ÖŁŚ•Ö茐 ŚœÖ°Ö­Ś€ÖžŚ Ö¶Ś™ŚšÖž ŚȘ֌ְŚ€ÖŽŚœÖŒÖžŚȘ֑֮Ś™ Ś”Ö·Ś˜ÖŒÖ”ÖœŚ”ÖŸŚÖžÖŚ–Ö°Ś Ö°ŚšÖžÖ— ŚœÖ°ŚšÖŽŚ ÖŒÖžŚȘÖŽÖœŚ™Śƒ
      4 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ©Ś‚ÖžÖœŚ‘Ö°ŚąÖžÖŁŚ” Ś‘Ö°ŚšÖžŚąÖŁŚ•ÖčŚȘ Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖŽÖ‘Ś™ Ś•Ö°Ś—Ö·Ś™ÖŒÖ·Ö—Ś™ ŚœÖŽŚ©ŚÖ°ŚÖ„Ś•Ö覜 Ś”ÖŽŚ’֌֎֜Ś™ŚąŚ•ÖŒŚƒ
      5 Ś Ö¶Ö­Ś—Ö°Ś©ŚÖ·Ś‘Ö°ŚȘ֌֎Ś™ ŚąÖŽŚÖŸŚ™ÖŁŚ•Ö茚ְŚ“Ö”Ś™ Ś‘Ö‘Ś•Ö茚 Ś”֞֝Ś™ÖŽÖ—Ś™ŚȘÖŽŚ™ Ś›ÖŒÖ°Ś’Ö¶ÖŁŚ‘Ö¶Śš ŚÖ”ÖœŚ™ŚŸÖŸŚÖ±Ś™ÖžÖœŚœŚƒ
      6 Ś‘֌ַŚžÖŒÖ”ŚȘ֮֗Ś™Ś Ś—ÖžÖ«Ś€Ö°Ś©ŚÖŽÖ„Ś™ Ś›ÖŒÖ°ŚžÖ€Ś•Öč Ś—ÖČŚœÖžŚœÖŽÖšŚ™Ś Ś€ Ś©ŚÖčÖ„Ś›Ö°Ś‘Ö”Ś™ Ś§Ö¶Ö—Ś‘Ö¶Śš ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš ŚœÖčÖŁŚ Ś–Ö°Ś›Ö·ŚšÖ°ŚȘÖŒÖžÖŁŚ ŚąÖ‘Ś•Ö覓 Ś•Ö°ÖŚ”Ö”֗ŚžÖŒÖžŚ” ŚžÖŽŚ™ÖŒÖžŚ“Ö°ŚšÖžÖ„ Ś ÖŽŚ’Ö°Ś–ÖžÖœŚšŚ•ÖŒŚƒ
      7 Ś©ŚÖ·Ö­ŚȘ֌ַŚ ÖŽŚ™ Ś‘֌ְŚ‘ÖŁŚ•Ö茚 ŚȘ֌ַŚ—Ö°ŚȘ֌֎Ś™ÖŒÖ‘Ś•ÖčŚȘ Ś‘֌ְ֝ŚžÖ·Ś—ÖČŚ©ŚÖ·Ś›ÖŒÖŽÖ—Ś™Ś Ś‘֌֎ŚžÖ°ŚŠÖčŚœÖœŚ•ÖčŚȘŚƒ
      8 ŚąÖžÖ­ŚœÖ·Ś™ ŚĄÖžŚžÖ°Ś›ÖžÖŁŚ” Ś—ÖČŚžÖžŚȘֶ֑ŚšÖž Ś•Ö°Ś›ÖžŚœÖŸŚžÖŽÖŚ©ŚÖ°Ś‘֌֞ŚšÖ¶Ö—Ś™ŚšÖž ŚąÖŽŚ ÖŒÖŽÖ„Ś™ŚȘÖž ŚĄÖŒÖ¶ÖœŚœÖžŚ”Śƒ
      9 Ś”ÖŽŚšÖ°Ś—Ö·Ö„Ś§Ö°ŚȘ֌֞ ŚžÖ°Ś™Ö»Ś“֌֞ŚąÖ·Ö—Ś™ ŚžÖŽÖ«ŚžÖŒÖ¶Ö„Ś ÖŒÖŽŚ™ Ś©ŚÖ·ŚȘÖŒÖ·ÖŁŚ ÖŽŚ™ ŚȘŚ•Ö茹֔Ś‘ÖŁŚ•ÖčŚȘ ŚœÖžÖ‘ŚžŚ•Öč Ś›ÖŒÖžÖŚœÖ»Ö—Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ ŚÖ”ŚŠÖ”ÖœŚŚƒ
      10 ŚąÖ”Ś™Ś ÖŽÖ„Ś™ Ś“ÖžŚÖČŚ‘ÖžÖ—Ś” ŚžÖŽŚ ÖŒÖŽÖ«Ś™ ŚąÖčÖ„Ś ÖŽŚ™ Ś§Ö°ŚšÖžŚŚȘÖŽÖŁŚ™ŚšÖž Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖŁŚ” Ś‘֌ְŚ›ÖžŚœÖŸŚ™Ö‘Ś•Ö覝 Ś©ŚÖŽŚ˜ÖŒÖ·Ö–Ś—Ö°ŚȘ֌֎Ś™ ŚÖ”ŚœÖ¶ÖŁŚ™ŚšÖž Ś›Ö·Ś€ÖŒÖžÖœŚ™Śƒ
      11 Ś”ÖČŚœÖ·ŚžÖŒÖ”ŚȘÖŽÖ„Ś™Ś ŚȘ֌ַŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶Ś”ÖŸŚ€ÖŒÖ¶Ö‘ŚœÖ¶Ś ŚÖŽŚÖŸŚšÖ°ÖŚ€ÖžŚÖŽÖ—Ś™Ś Ś™ÖžŚ§Ö€Ś•ÖŒŚžŚ•ÖŒ Ś€ Ś™Ś•Ö覓֬Ś•ÖŒŚšÖž ŚĄÖŒÖ¶ÖœŚœÖžŚ”Śƒ
      12 Ś”Ö·Ś™Ö°ŚĄÖ»Ś€ÖŒÖ·ÖŁŚš Ś‘֌ַŚ§ÖŒÖ¶ÖŁŚ‘Ö¶Śš Ś—Ö·ŚĄÖ°Ś“֌ֶ֑ŚšÖž ŚÖ±ÖŚžÖœŚ•ÖŒŚ ÖžŚȘÖ°ŚšÖžÖ— Ś‘֌֞ŚÖČŚ‘Ö·Ś“֌֜Ś•Ö覟Śƒ
      13 Ś”ÖČŚ™ÖŽŚ•ÖŒÖžŚ“Ö·ÖŁŚą Ś‘֌ַŚ—ÖčÖŁŚ©ŚÖ¶ŚšÖ° Ś€ÖŒÖŽŚœÖ°ŚÖ¶Ö‘ŚšÖž Ś•Ö°ÖŚŠÖŽŚ“Ö°Ś§ÖžŚȘÖ°ŚšÖžÖ— Ś‘֌ְŚÖ¶ÖŁŚšÖ¶Ś„ Ś Ö°Ś©ŚÖŽŚ™ÖŒÖžÖœŚ”Śƒ
      14 Ś•Ö·ŚÖČŚ ÖŽÖ€Ś™ Ś€ ŚÖ”ŚœÖ¶ÖŁŚ™ŚšÖž Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖŁŚ” Ś©ŚÖŽŚ•ÖŒÖ·Ö‘ŚąÖ°ŚȘ֌֎Ś™ Ś•ÖŒÖŚ‘Ö·Ś‘ÖŒÖč֗Ś§Ö¶Śš ŚȘ֌ְ֜Ś€ÖŽŚœÖŒÖžŚȘÖŽÖ„Ś™ ŚȘÖ°Ś§Ö·Ś“֌ְŚžÖ¶ÖœŚšÖŒÖžŚƒ
      15 ŚœÖžŚžÖžÖŁŚ” Ś™Ö°Ö­Ś”Ś•ÖžŚ” ŚȘ֌֎Ś–Ö°Ś Ö·ÖŁŚ— Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖŽÖ‘Ś™ ŚȘ֌ַŚĄÖ°ŚȘ֌֎֖Ś™Śš Ś€ÖŒÖžŚ Ö¶ÖŁŚ™ŚšÖž ŚžÖŽŚžÖŒÖ¶ÖœŚ ÖŒÖŽŚ™Śƒ
      16 ŚąÖžÖ˜Ś ÖŽÖ€Ś™ ŚÖČŚ ÖŽÖŁŚ™ Ś•Ö°Ś’Ö茕֣֔ŚąÖ· ŚžÖŽŚ ÖŒÖč֑ŚąÖ·Śš Ś ÖžŚ©Ś‚ÖžÖ–ŚŚȘÖŽŚ™ ŚÖ”ŚžÖ¶ÖŁŚ™ŚšÖž ŚÖžŚ€ÖœŚ•ÖŒŚ ÖžŚ”Śƒ
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      Psaumes 110

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      4 Ś ÖŽŚ©ŚÖ°Ś‘֌ַրŚą Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖšŚ” Ś€ Ś•Ö°ŚœÖčÖ„Ś Ś™ÖŽŚ ÖŒÖžŚ—Ö”֗Ś ŚÖ·ŚȘ֌֞֜Ś”ÖŸŚ›Ö茔֔քŚŸ ŚœÖ°ŚąŚ•Ö覜־֑Ś ŚąÖ·ŚœÖŸŚ“֌֎֝Ś‘Ö°ŚšÖžŚȘ֮֗Ś™ ŚžÖ·ŚœÖ°Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚŠÖ¶ÖœŚ“Ö¶Ś§Śƒ
      5 ŚÖČŚ“Ö茠֞քŚ™ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ™Ö°ŚžÖŽÖœŚ™Ś Ö°ŚšÖžÖ‘ ŚžÖžŚ—Ö·Ö–Ś„ Ś‘֌ְŚ™Ś•ÖčŚÖŸŚÖ·Ś€ÖŒÖŁŚ•Öč ŚžÖ°ŚœÖžŚ›ÖŽÖœŚ™ŚŚƒ
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      EsaĂŻe 9

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      7 Ś“֌֞Ś‘ÖžÖ›Śš Ś©ŚÖžŚœÖ·Ö„Ś— ŚÖČŚ“Ö覠־֖Ś™ Ś‘֌ְŚ™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֑Ś‘ Ś•Ö°Ś ÖžŚ€Ö·Ö–Śœ Ś‘֌ְŚ™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”ÖœŚœŚƒ

      EsaĂŻe 49

      6 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖč֗ŚŚžÖ¶Śš Ś ÖžŚ§Ö”ÖšŚœ ŚžÖŽÖœŚ”Ö°Ś™Ś•ÖčŚȘÖ°ŚšÖžÖ„ ŚœÖŽŚ™Ö™ ŚąÖ¶Ö”Ś‘Ö¶Ś“ ŚœÖ°Ś”ÖžŚ§ÖŽŚ™ŚÖ™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ©ŚÖŽŚ‘Ö°Ś˜Ö”ÖŁŚ™ Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֔Ś‘ *Ś•Ś ŚŠŚ™ŚšŚ™ **Ś•ÖŒŚ Ö°ŚŠŚ•ÖŒŚšÖ”Ö„Ś™ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֖Śœ ŚœÖ°Ś”ÖžŚ©ŚÖŽÖ‘Ś™Ś‘ Ś•ÖŒŚ Ö°ŚȘÖ·ŚȘ֌֎֙Ś™ŚšÖžÖ™ ŚœÖ°ŚÖŁŚ•Ö茚 Ś’ÖŒŚ•Ö覙֮֔Ś ŚœÖŽÖœŚ”Ö°Ś™Ö„Ś•ÖčŚȘ Ś™Ö°Ś©ŚŚ•ÖŒŚąÖžŚȘ֖֮Ś™ ŚąÖ·Ś“ÖŸŚ§Ö°ŚŠÖ”Ö„Ś” Ś”ÖžŚÖžÖœŚšÖ¶Ś„Śƒ

      EsaĂŻe 52

      13 Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”Ö„Ś” Ś™Ö·Ś©Ś‚Ö°Ś›ÖŒÖŽÖ–Ś™Śœ ŚąÖ·Ś‘Ö°Ś“֌֎֑Ś™ Ś™ÖžŚšÖ§Ś•ÖŒŚ Ś•Ö°Ś ÖŽŚ©Ś‚֌֛֞Ś Ś•Ö°Ś’ÖžŚ‘Ö·Ö–Ś”ÖŒ ŚžÖ°ŚÖčÖœŚ“Śƒ
      14 Ś›ÖŒÖ·ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖšŚš Ś©ŚÖžŚžÖ°ŚžÖ€Ś•ÖŒ ŚąÖžŚœÖ¶Ö™Ś™ŚšÖžÖ™ ŚšÖ·Ś‘֌֎֔Ś™Ś Ś›ÖŒÖ”ŚŸÖŸŚžÖŽŚ©ŚÖ°Ś—Ö·Ö„ŚȘ ŚžÖ”ŚÖŽÖ–Ś™Ś©Ś ŚžÖ·ŚšÖ°ŚÖ”֑Ś”Ś•ÖŒ Ś•Ö°ŚȘÖ茐ÖČŚšÖ–Ś•Öč ŚžÖŽŚ‘֌ְŚ Ö”Ö„Ś™ ŚÖžŚ“ÖžÖœŚŚƒ

      EsaĂŻe 53

      1 ŚžÖŽÖ„Ś™ Ś”Ö¶ŚÖ±ŚžÖŽÖ–Ś™ŚŸ ŚœÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖ»ŚąÖžŚȘÖ”Ö‘Ś Ś•ÖŒ Ś•ÖŒŚ–Ö°ŚšÖ„Ś•Ö茹ַ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ–Ś” ŚąÖ·ŚœÖŸŚžÖŽÖ„Ś™ Ś ÖŽŚ’Ö°ŚœÖžÖœŚȘÖžŚ”Śƒ
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      8 ŚžÖ”ŚąÖčÖ€ŚŠÖ¶Śš Ś•ÖŒŚžÖŽŚžÖŒÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖžŚ˜Ö™ ŚœÖ»Ś§ÖŒÖžÖ”Ś— Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ“ÖŒŚ•Ö覹֖Ś•Öč ŚžÖŽÖŁŚ™ Ś™Ö°Ś©Ś‚Ś•Ö茗֑֔Ś—Ö· Ś›ÖŒÖŽÖ€Ś™ Ś ÖŽŚ’Ö°Ś–Ö·ŚšÖ™ ŚžÖ”ŚÖ¶ÖŁŚšÖ¶Ś„ Ś—Ö·Ś™ÖŒÖŽÖ”Ś™Ś ŚžÖŽŚ€ÖŒÖ¶Ö„Ś©ŚÖ·Śą ŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖ–Ś™ Ś Ö¶Ö„Ś’Ö·Śą ŚœÖžÖœŚžŚ•Ö范
      9 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚȘ֌֔րŚŸ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚšÖ°Ś©ŚÖžŚąÖŽŚ™ŚÖ™ Ś§ÖŽŚ‘Ö°ŚšÖ”Ś•Öč Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚąÖžŚ©ŚÖŽÖ–Ś™Śš Ś‘֌ְŚžÖčŚȘ־֑Ś™Ś• ŚąÖ·ÖšŚœ ŚœÖčŚÖŸŚ—ÖžŚžÖžÖŁŚĄ ŚąÖžŚ©Ś‚ÖžÖ”Ś” Ś•Ö°ŚœÖčÖ„Ś ŚžÖŽŚšÖ°ŚžÖžÖ–Ś” Ś‘֌ְŚ€ÖŽÖœŚ™Ś•Śƒ
      10 Ś•Ö·Ś™Ś”Ś•ÖžÖžŚ” Ś—ÖžŚ€Ö”Ö€Ś„ Ś“֌ַŚ›ÖŒÖ°ŚŚ•Öč֙ Ś”Ö¶ÖœŚ—Ö±ŚœÖŽÖ”Ś™ ŚÖŽŚÖŸŚȘ֌֞Ś©Ś‚ÖŽÖ€Ś™Ś ŚÖžŚ©ŚÖžŚÖ™ Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖ”Ś•Öč Ś™ÖŽŚšÖ°ŚÖ¶Ö„Ś” Ś–Ö¶Ö–ŚšÖ·Śą Ś™Ö·ŚÖČŚšÖŽÖŁŚ™ŚšÖ° Ś™ÖžŚžÖŽÖ‘Ś™Ś Ś•Ö°Ś—Ö”Ö„Ś€Ö¶Ś„ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ–Ś” Ś‘֌ְŚ™ÖžŚ“Ö„Ś•Öč Ś™ÖŽŚŠÖ°ŚœÖžÖœŚ—Śƒ
      Hébreu : © Westminster Leningrad Codex - tanach.us --- Grec : © 2010 by the Society of Biblical Literature and Logos Bible Software - sblgnt.com
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