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1 Pierre 1.17

Et si vous invoquez comme Père celui qui, sans considération de personnes, juge chacun selon ses œuvres, conduisez-vous avec crainte pendant le temps de votre séjour (sur terre).
Dans vos prières, vous appelez Père celui qui juge impartialement tout homme selon ses actes. Par conséquent, pendant tout le temps qui vous reste à passer dans ce monde, manifestez par votre manière de vivre que vous le révérez.
Puisque dans vos prières, vous dites « notre Père » à celui qui juge impartialement tous les hommes, selon ce que chacun a fait, conduisez-vous en conséquence : pendant tout le temps qui vous reste à passer ici-bas comme des étrangers sur une terre d’exil, témoignez, par toute votre manière de vivre, votre respect pour lui.
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    • Genèse 47

      Deutéronome 10

      1 Chroniques 29

      2 Chroniques 19

      Job 34

      Psaumes 39

      Proverbes 14

      Proverbes 28

      Jérémie 3

      Sophonie 3

      Matthieu 6

      9 Christ constatait qu'il était nécessaire d’indiquer à Ses disciples, comment prier et quel devait être communément le contenu de leur prière.

      Bien sûr, nous ne devons pas nous astreindre à utiliser exclusivement la prière mentionnée dans ce texte, mais il n'y a aucun doute qu'elle n’en reste pas moins est un très bon exemple. On y trouve beaucoup de richesse, en peu de mots ; c'est une prière tout à fait acceptable par Dieu, si nous « mesurons » vraiment ces propos et si elle n'est pas inlassablement répétée machinalement.

      Dans cette prière, nous trouvons six requêtes : les trois premières sont expressément relatives à Dieu et à Sa grandeur, alors que les trois dernières concernent nos inquiétudes, qu’elles soient temporelles ou spirituelles. Cette prière nous apprend à chercher d'abord le Royaume de Dieu et Sa Justice, toutes choses nous seront ensuite octroyées. Après avoir abordé les sujets de la Gloire, du Royaume et de la Volonté de Dieu, le contenu de cette prière concerne le nécessaire et le réconfort relatifs à notre vie ici-bas.

      Chaque parole comporte un enseignement spécifique : - Nous demandons du pain : cela nous apprend à exercer la sobriété et la modération ; il nous faut ne demander que le pain qu’il nous faut, pas celui qui pourrait nous être superflu.

      - Cette demande de nourriture nous enseigne à respecter l'honnêteté dans le travail : nous n’avons pas à demander le pain des autres, ni celui du mensonge, Proverbes 20:17, ni celui de la paresse, Proverbes 31:27, mais celui qui est obtenu honnêtement. - Nous demandons notre pain quotidien : ceci nous enseigne à dépendre constamment de la Providence divine. - Nous demandons à Dieu qu’Il nous donne cette nourriture ; pas qu'Il nous la vende, ni qu'Il nous la prête, mais vraiment qu'Il nous la donne. Les plus grands hommes sont redevables de la Miséricorde divine, pour leur pain quotidien ! - Nous prions en ces termes : « donne-nous ». Le « nous » signifie qu’il nous faut avoir compassion pour le pauvre, mais aussi, que nous devons prier en famille. - Nous prions que Dieu nous donne cela « aujourd'hui » ; cette formule nous apprend à renouveler journellement les désirs de notre âme envers Dieu, comme nous satisfaisons les besoins quotidiens de notre corps.

      Tandis que la journée s’écoule, nous devons prier notre Père céleste, en songeant que s’il serait bien difficile d’avoir une journée sans nourriture, il en serait de même sans la prière.

      Ce texte nous enseigne à détester et à fuir le péché ; alors que nous espérons en la Miséricorde divine, « méfions-nous » de nous-mêmes, comptons sur la Providence et la Grâce de Dieu pour nous protéger du péché, pour être prêts à résister au tentateur, et ne pas devenir une occasion de chute pour les autres.

      Ce texte comporte aussi une promesse : « car si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi à vous ». Nous devons pardonner, comme nous espérons être pardonnés. Ceux qui désirent bénéficier de la Grâce divine, doivent témoigner de la miséricorde envers leurs frères. Christ est venu dans le monde en tant que grand Pacificateur, pour nous réconcilier, non seulement avec Dieu, mais les uns avec les autres !

      Matthieu 7

      7 La prière est le moyen approprié pour obtenir ce don nous avons besoin. Priez ; priez souvent ; que cela puisse être une véritable « vocation », faites-le avec sérieux, avec ferveur. Demandez, comme le ferait un mendiant, faisant l’aumône, ou un voyageur, demandant son chemin. Cherchez, comme si vous aviez perdu quelque chose de valeur, comme un marchand cherchant des perles précieuses.

      Frappez, comme le fait à la porte, celui qui désire entrer dans la maison. Le péché a fermé et verrouillé la « porte » spirituelle, devant nous ; par la prière nous frappons à cette porte pour demander d’entrer !

      Quel que soit le sujet que vous abordiez par la prière, selon la promesse divine, il vous sera répondu favorablement, si Dieu constate que cela vous convient parfaitement ; que voulez-vous avoir de plus ?

      Ces recommandations s'appliquent à tous ceux qui prient de tout cœur ; celui qui « demande », reçoit, qu'il soit Juif ou Gentil, jeune ou âgé, riche ou pauvre, haut placé ou de condition humble, maître ou serviteur, savant ou illettré, tous sont de la même façon, les bienvenus devant le trône de la Grâce, s'ils s’en approchent avec foi.

      Ces vérités sont imagées par une comparaison avec des parents, montrant leur empressement à donner à leurs enfants ce qu'ils demandent. Certains parents, par sottise, sont souvent trop indulgents, mais Dieu, quant à Lui, est parfaitement sage ! Il sait ce dont nous avons besoin, ce que nous désirons, et ce qui nous convient parfaitement.

      Puissions-nous ne jamais supposer que notre Père céleste nous propose de prier, en refusant de nous entendre, ou qu'Il puisse nous octroyer, ce qui pourrait nous être nuisible.

      Matthieu 22

      Actes 10

      34 L’acception de personne ne peut pas être obtenue sur une autre base que celle de l'alliance de la Miséricorde, par le biais de l'expiation de Christ ; quel que soit l'endroit où l’on rencontre la véritable piété, Dieu l'acceptera, sans considération d’étiquette ou d’appartenance diverse.

      La crainte de Dieu et les œuvres de la Justice sont la « substance » de la véritable piété, les effets d'une Grâce particulière. Bien que ces éléments ne soient pas la cause directe d'approbation d'un homme par Dieu, elles y contribuent cependant ; quelles que soit nos lacunes spirituelles en termes de de connaissance ou de foi, elles seront comblées en temps voulu par Celui qui a commencé Son œuvre en notre cœur.

      Les Juifs, en général, connaissaient bien la Parole, c'est-à-dire l'Évangile, envoyé par Dieu aux enfants d'Israël. La teneur de cette Parole consiste en ce que Dieu a, par Son intermédiaire, publié la bonne nouvelle de la Paix en Jésus-Christ. Les Juifs connaissaient les nombreuses matières ayant trait à l'Évangile. Ils connaissaient le baptême de la repentance, prêché par Jean. Ils devaient savoir que ce Jésus, par qui la paix a été établie entre Dieu et l'homme, est le Seigneur de tous ; Dieu L’a béni pour toujours, en tant que Médiateur. Tous les pouvoirs, à la fois dans le ciel et sur terre, sont en Sa main et tous les jugements dépendent de Lui. Dieu accompagne ceux qu'Il oint ; Il est avec ceux à qui Il a accordé Son Esprit.

      Dans ce texte, Pierre annonce la résurrection de Christ, en donnant des preuves. La foi se base sur le témoignage, elle est fondée sur l’enseignement des apôtres et des prophètes. Que d’attributs à accepter en ce qui concerne le Seigneur !

      Nous devons tous rendre des comptes à Christ, notre Juge ; chacun doit rechercher Sa faveur, et Le connaître en tant qu’Ami. Si nous croyons en lui, nous serons alors justifiés, Il est notre Justice ! La rémission des péchés est la base de toutes les faveurs et bénédictions célestes, écartant de notre parcours tout ce qui peut nous empêcher de les recevoir. Si notre péché est pardonné, tout est bien, pour toujours !

      Romains 2

      Romains 11

      2 Corinthiens 1

      2 Corinthiens 5

      2 Corinthiens 7

      1

      Exhortation à la sainteté ; l'église entière est exhortée à témoigner de l'affection envers l'apôtre. (2 Corinthiens 7:1-4)
      Paul se réjouit de l’affliction des Corinthiens, due au repentir. (2 Corinthiens 7:5-11)
      Il se réjouit également du réconfort spirituel dont ils bénéficient, avec Tite. (2 Corinthiens 7:12-16)

      Les promesses de Dieu sont utiles pour nous inciter à croître dans la sainteté ; nous devons nous purifier nous-mêmes de toute souillure de chair et d'esprit.

      Si nous basons notre espérance en Dieu le Père, nous devons rechercher la sainteté et la perfection, à l'image de ce Dernier, dans les cieux. Sa Grâce, par l'influence de l'Esprit, peut déjà nous purifier, à elle seule, mais la recherche de la sainteté doit être l'objet constant de nos prières. Si les serviteurs de Dieu sont méprisés, il est aussi à craindre que l'Évangile lui-même le soit également ; bien que ces derniers ne doivent flatter personne, ils doivent cependant exprimer de la douceur envers tous. Ils peuvent rechercher l'estime et la faveur de ceux qu’ils côtoient, mais ils ne doivent corrompre qui que ce soit par de fausses doctrines, voire des paroles flatteuses ; ils ne doivent nuire à personne, ni chercher à promouvoir leur propre intérêt, afin de ne blesser qui que ce soit.

      Paul, en raison de son affection envers les Corinthiens, leur parlait librement ; il était heureux de vanter la croissance spirituelle qu’il leur avait permis d’acquérir, en tous lieux et en toutes occasions !

      Galates 2

      Ephésiens 1

      Ephésiens 3

      Ephésiens 6

      Philippiens 2

      12 Nous devons nous appliquer à utiliser avec persévérance, tous les moyens qui conduisent à « faire fructifier » notre salut, tant que la vie nous est accordée ici-bas. Œuvrons fidèlement, de peur que malgré les bénédictions célestes reçues, nous entretenions une certaine oisiveté.

      « Travaillons à notre salut » car Dieu agit en nous. Ceci nous encourage à faire le maximum en la matière, parce que notre labeur ne sera pas vain : nous dépendons toujours de la Grâce divine. L'œuvre de la Grâce de Dieu consiste à nous donner la vie spirituelle et à motiver nos efforts. La Volonté de Dieu à notre égard est, à l’origine, Son œuvre excellente en nous.

      Accomplissez votre devoir avec bonne volonté, sans le critiquer éventuellement. Soyez assidu quant à l’exécution de votre travail, qu’il ne soit pas pour vous une occasion de chute. Dans un esprit de paix, ne donnez aucune possibilité aux autres de vous chercher querelle.

      Les enfants de Dieu doivent être différents des impies. Plus ces derniers sont pervers, plus nous devons chercher à garder notre intégrité professionnelle. La doctrine et l'exemple des véritables croyants finiront par persuader ceux qui nous entourent, ils dirigeront leur chemin vers Christ et la sainteté, tout comme un phare prévient les marins, pour qu'ils évitent les rochers, dirigeant ainsi leur course vers le port.

      Essayons de « briller ainsi ! » L'Évangile est la Parole de vie, Il nous fait connaître la vie éternelle au travers de Jésus-Christ.

      Une course sportive est synonyme de plein engagement et de vigueur, d'avance continuelle ; le travail exige de la constance, et une ferme application. Dieu désire avant tout que les croyants soient nombreux à se réjouir ; ceux qui ont la chance de bénéficier du service de fidèles serviteurs de Dieu ont de grandes raisons de se réjouir avec eux !

      Colossiens 3

      Hébreux 4

      1

      L'humilité et une crainte prudente du Seigneur sont nécessaires, de peur que certains ne viennent trop tard au repos céleste promis, suite à leur incrédulité. (\\# 1-10\\)
      Arguments et motifs pour la foi et l'espérance, dans notre approche de Dieu. (\\# 11-16\\)

      Les privilèges que nous avons sous la dispensation de l’Évangile, sont plus grands que ceux que chacun possédait sous celle de la loi de Moïse ; cependant, le même Évangile, dans sa substance, a été prêché dans les deux Testaments.

      Il y a eu de tous temps certains auditeurs qui n'ont pas su tirer profit spirituellement de ce qu'ils entendaient ; l'incrédulité est la racine de toute stérilité, lors de l’écoute de la Parole. La foi de l'auditeur vivifie la Parole qui lui est enseignée. Mais il subsiste une conséquence douloureuse à la négligence de cet enseignement, à une profession de foi vacillante ou perdue : cela se traduit chez les personnes qui acceptent la Parole trop tardivement...

      Soyons donc assidus et diligents, afin de pouvoir disposer d’une future entrée dans le Royaume de Dieu. Quand ce Dernier a terminé Son œuvre, lors de le création, Il s'est reposé ; il en sera de même des croyants, qui achèveront leurs œuvres, et bénéficieront de la satisfaction du repos. Il est évident qu'il y a un « sabbat plus spirituel » et encore plus excellent que celui du « septième jour », réservé au peuple de Dieu, ou que celui dans lequel Josué a conduit les Juifs, après la traversée du désert. Ce repos est un repos de grâce, de consolation et de sainteté, affirmé dans l'Évangile. Un repos dans la gloire, où les enfants de Dieu prendront plaisir à « l'accomplissement » de leur espérance, qui est l'objet de tous leurs désirs. Ce repos du sabbat, sujet traité par l'auteur de l'épître aux Hébreux, qui conclue qu'on doit y prendre plaisir, est indubitablement le repos céleste, promis au peuple de Dieu ; ce repos est complètement opposé aux tâches et aux troubles qui agitent ce monde et il sera obtenu lorsque le Seigneur Jésus paraîtra dans le ciel.

      Mais les incrédules n'entreront jamais dans ce repos spirituel, qu'il soit, par la Grâce, accordé peut-être ici-bas, ou glorieux ensuite, dans les cieux. Dieu a toujours déclaré que le repos de l'homme a été déclaré par Lui-même, et que l’Amour divin est le seul véritable trésor de l'âme ; la foi dans les promesses divines, par le biais du Fils, est l’unique chemin qui mène à ce repos !

      Hébreux 11

      Hébreux 12

      1 Pierre 1

      17 Une sainte confiance en Dieu, notre Père, et une crainte profonde de Sa personne, en tant que Juge, ne sont pas incompatibles : regarder en permanence Dieu, comme le « grand Juge », nous le fait chérir comme un Père.

      Si les croyants pratiquent le mal, Dieu les visitera et les corrigera. Que les chrétiens ne mettent donc pas en doute la fidélité de Dieu et Ses promesses et ne soient pas l’objet de Son courroux, mais qu'ils vénèrent Sa Sainteté.

      Celui qui professe n’avoir aucune crainte est en réalité sans défense, et Satan le capture ; celui qui est abattu n'a pas le cœur disposé à bénéficier de ses avantages spirituels, et il est prêt à facilement tout abandonner.

      Le sang précieux de Christ est le prix payé pour la rédemption de l'homme. Une conversation hypocrite est foncièrement mauvaise, elle n’offre aucun profit et peut être très dangereuse. Quelle folie de proclamer : « je vivrai et mourrai de telle manière, parce que mes aïeux ont fait ainsi... »

      Dieu avait en vue des desseins et des faveurs spécifiques envers Son peuple, bien avant qu'Il ait manifesté Sa Grâce. La clarté de Sa Lumière, les affermissements qu’Il procure à la foi, le pouvoir de Ses ordonnances, sont bien plus grands depuis que Christ est venu ici-bas ! Nous sommes consolés par le fait qu’étant, par la foi, une même entité avec Christ, Sa gloire présente nous donne l’assurance que là où Il est, nous y serons aussi, Jean 14:3.

      L'âme doit être purifiée avant de pouvoir abandonner ses vaines pensées et ses mauvais désirs. La Parole de Dieu, semée dans le cœur par le Saint-Esprit, est à l’origine de la vie spirituelle : Elle nous dicte notre devoir, effectuant un changement radical dans les affections de notre âme, jusqu'à ce qu'elle amène celle-ci à la vie éternelle.

      En contraste avec l'excellence de l'esprit renouvelé de l'homme spirituel, né de nouveau, observons la vanité de l'homme naturel. Dans sa vie et dans sa chute, ce dernier est semblable à de l'herbe, ou à la « fleur de l'herbe », qui va bientôt sécher et mourir. Nous devons d’abord entendre la sainte et vivante Parole, pour ensuite la recevoir en notre cœur et l’aimer, sinon nous risquons de tout perdre ; nous devons bannir tout ce qui pourrait occuper la place qui Lui est due. Nous devons La faire demeurer en notre cœur, Elle est notre seul trésor ici-bas, et nous pouvons avoir l'assurance certaine de la gloire qui est réservée pour les croyants dans le ciel !

      1 Pierre 2

      11 Même les meilleurs des hommes pieux, « la génération choisie », « le peuple de Dieu », ont besoin d'être exhortés pour se garder des pires iniquités. Les convoitises charnelles sont les plus destructrices de l'âme. Un Jugement fâcheux les attend...

      Dieu s’approche des âmes, pour les appeler à la repentance, par Sa Parole et par Sa Grâce ; beaucoup Le glorifieront, et Son peuple, dans la voie de la sainteté, connaîtra un heureux changement !

      1 Pierre 3

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