Fabrice Ecrabet - Elie, l'épreuve formatrice
"Elie, l'épreuve formatrice" par Fabrice Ecrabet Textes de base : - 1 Rois 19,1-18 - Jacques 5,17
"Elie, l'épreuve formatrice" par Fabrice Ecrabet Textes de base : - 1 Rois 19,1-18 - Jacques 5,17
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Les règnes de Baësha et d'Éla en Israël. (1 Rois 16:1-14)
Les règnes de Zimri et d'Omri en Israël. (1 Rois 16:15-28)
La méchanceté d'Achab, Hiel rebâtit Jéricho. (1 Rois 16:29-34)
Ceux qui imitent les autres, dans leur pratique du péché, doivent s'attendre à subir les mêmes fléaux que ces derniers, particulièrement s'ils s'appliquent à commettre le mal. Baësha mourut en paix et fut inhumé avec les honneurs. Il est manifeste que les sanctions divines sont appliquées de tous temps, même après la mort des fautifs, envers leurs successeurs, ce qui est vraiment redoutable.
Que la conduite d'Éla soit un avertissement pour les alcooliques ! Qui sait si la mort ne peut les « attaquer » soudainement... Cette dernière surprend parfois les hommes, en état d'ébriété. En plus des maladies que les ivrognes contractent à cause de leur conduite, ils sont vulnérables vis-à-vis de leurs ennemis et passibles de connaître de terribles accidents. La mort surprend toujours les hommes dans un tel état, les trouvant en flagrant délit d'iniquité, et totalement incapables d'avoir une pensée pour le Très-Haut : ils sont alors toujours pris au dépourvu.
La parole de Dieu s'accomplit et les péchés de Baësha et d'Éla furent manifestes aux yeux de tous, ce qui provoqua la colère divine. Ces rois étaient sous l'emprise de leur idole : la vanité. Cette dernière ne pouvait absolument pas les secourir.
Qu'ils sont misérables, ceux dont le dieu est l'orgueil...
Omri, par sa méchanceté, était vraiment infâme. Au cours de l'histoire, beaucoup d'ignobles personnages furent relativement puissants, ayant une grande renommée ; ils construisirent des villes, et leurs noms furent « gravés » dans l'histoire ; par contre on n'en retrouve aucune trace dans le livre de vie...
Un des sujets d'Achab, entraîné par le mauvais exemple du roi, tenta de construire Jéricho. Comme Achab, il « s'associa » avec la malédiction ; il désirait à titre personnel cette ville, qui était en fait, consacrée à l'honneur de Dieu : il commença à la construire, défiant ainsi le jugement divin qui régnait alors sur Israël.
Personne n'a jamais endurci son cœur contre Dieu, tout en prospérant. Que la lecture de ce passage nous fasse remarquer la fin redoutable réservée à ceux qui pratiquent l'iniquité.
L'histoire fournit hélas de nombreux exemples, où l'on peut voir les impies s'empêtrer dans de tristes situations, toutes sans issue !
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1 Rois 16.9 à 2 Rois 8.29 : D'Achab en Israël et de Josaphat en Juda jusqu'à l'avènement de Jéhu. D'après la critique rationaliste actuelle, qui ne reconnaît ni le monothéisme national de l'époque mosaïque, ni celui du temps de David et de Salomon, ce serait le royaume des dix tribus avec son idolâtrie qui serait le vrai continuateur de l'ancienne religion Israélite, et Juda qui aurait fait œuvre de séparation. Ce renversement total de la relation entre les deux royaumes est un démenti donné à toute l'histoire d'Israël, telle qu'elle nous a été conservée par les écrivains sacrés dont nous avons étudié jusqu'ici les écrits. Et non seulement cela, mais il suffit d'ouvrir les écrits des prophètes pour constater qu'à leurs yeux la relation était précisément l'inverse de ce que prétend cette critique. Comparer, par exemple :
Du reste, la prompte décadence du royaume des dix tribus et ses révolutions constantes, avec lesquelles contraste le caractère général de stabilité politique et religieuse de Juda, sont des faits qui suffisent à prouver que celui-ci était sur la ligne droite, tandis que l'autre s'en était complètement écarté.
Le caractère de cette période est le rapprochement entre les deux familles royales de Juda et d'Israël. Pendant ces années le royaume d'Israël prend une sorte de prépondérance sur celui de Juda, dont l'histoire est racontée d'une manière assez abrégée. C'est le temps où, en face de la forme nouvelle d'idolâtrie qui s'établit en Israël, le culte de Baal, Dieu suscite au sein des dix tribus les deux grands prophètes, Elie et Elisée, dont l'histoire est racontée avec les plus grands détails. Il est probable que des ouvrages particuliers sur ces deux hommes de Dieu existaient déjà et qu'ils ont été insérés, en tout ou en partie, dans nos livres des Rois.
16.29 à 22.40 Achab en Israël (918-897).
29 à 34 Ce premier morceau indique la révolution religieuse qui se produisit en Israël par l'influence de la femme d'Achab, Jézabel, princesse phénicienne. Le culte des veaux d'or n'était qu'une demi-idolâtrie, puisque c'était toujours Jéhova qui en était l'objet. Dès maintenant, c'est un autre dieu qui est substitué à l'Eternel, et le peuple des dix tribus se livre ainsi à un culte proprement païen. Il paraît que ce culte était célébré avec une grande pompe, puisqu'il est parlé au chapitre 18 de 450 prophètes de Baal, la divinité masculine des Phéniciens (le soleil), et de 400 prophètes d'Astarté, la divinité féminine correspondante. Achab avait même fait élever, à son retour de Tyr, après son mariage, un temple à Baal dans sa résidence de Samarie. C'était la rupture complète de l'alliance d'Israël avec l'Eternel. Cette rupture s'accentua encore plus ouvertement par la persécution des prophètes de l'Eternel, d'après 18.13.
Un des sujets d'Achab, entraîné par le mauvais exemple du roi, tenta de construire Jéricho. Comme Achab, il « s'associa » avec la malédiction ; il désirait à titre personnel cette ville, qui était en fait, consacrée à l'honneur de Dieu : il commença à la construire, défiant ainsi le jugement divin qui régnait alors sur Israël.
Personne n'a jamais endurci son cœur contre Dieu, tout en prospérant. Que la lecture de ce passage nous fasse remarquer la fin redoutable réservée à ceux qui pratiquent l'iniquité.
L'histoire fournit hélas de nombreux exemples, où l'on peut voir les impies s'empêtrer dans de tristes situations, toutes sans issue !