Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

1 Timothée 1.5

τὸ δὲ τέλος τῆς παραγγελίας ἐστὶν ἀγάπη ἐκ καθαρᾶς καρδίας καὶ συνειδήσεως ἀγαθῆς καὶ πίστεως ἀνυποκρίτου,
τὸ δὲ τέλος τῆς παραγγελίας ἐστὶν ἀγάπη ἐκ καθαρᾶς καρδίας καὶ συνειδήσεως ἀγαθῆς καὶ πίστεως ἀνυποκρίτου,
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Psaumes 24

      Psaumes 51

      Jérémie 4

      Matthieu 5

      Matthieu 12

      Marc 12

      28 Ceux qui désirent sincèrement être enseignés quant à leur devoir, seront éclairés par Christ : Il les guidera dans Ses voies.

      Jésus répondit au scribe, que le premier de tous les commandements, celui qui en effet, inclut tout, est d'aimer Dieu de tout son cœur. Si ce principe domine une âme, celle-ci sera disposée à obéir à tous les autres commandements. Aimer Dieu de tout notre cœur, nous engagera à effectuer toutes choses auxquelles Il prend plaisir.

      Les sacrifices expiaient uniquement les transgressions à la loi morale, commises par les hommes. Il ne ressortait de ces sacrifices aucun pouvoir spécial, excepté qu'ils exprimaient la repentance et la foi envers le Sauveur promis, et conduisaient à une obéissance morale.

      Parce que nous avons aimé l'homme avant Dieu, nous sommes des pécheurs condamnés ; de ce fait, nous avons besoin de la Grâce.

      Christ approuva la réponse de ce scribe, et encouragea ce dernier à aller encore plus loin dans sa démarche spirituelle : la bonne connaissance de la loi conduit à la conviction de péché, à la repentance, à la découverte de notre besoin de la Grâce, et à la compréhension du chemin par lequel Christ justifie !

      Actes 15

      Actes 23

      1

      La défense de Paul devant le sanhédrin. (Actes 23:1-5)
      Il reçoit l’assurance divine qu'il ira à Rome. (Actes 23:6-11)
      Les Juifs conspirent pour tuer Paul. Lysias l'envoie à Césarée. (Actes 23:12-24)
      La lettre de Lysias à Félix. (Actes 23:25-35)

      Nous pouvons remarquer dans ce texte toute la sérénité de Paul : il déclare que Dieu est vraiment son guide et qu’il vit sous Son regard. L’apôtre agit, la conscience en paix, dans tout ce qu'il dit et ce qu'il fait ; il utilise au mieux son enseignement spirituel et se garde de tout mal, ne voulant s'attacher qu’au bien. Ses paroles et sa conduite traduisent son intégrité.

      Ceux qui vivent ainsi devant Dieu, peuvent, comme Paul, avoir confiance en leur Seigneur, sans craindre les hommes. Bien que la réponse de Paul au sanhédrin soit tout à fait pertinente, il semble que l’apôtre ait été vraiment indigné du traitement qu'il reçut, suite à ses paroles.

      Les « grands » de ce monde peuvent être repris pour leurs fautes, et des plaintes publiques peuvent leur être adressées, mais la loi divine exige que l’on respecte les autorités...

      Actes 24

      Romains 9

      1

      L'apôtre s’inquiète de voir ses concitoyens, rester étrangers à l'Évangile. (Romains 9:1-5)
      Les promesses sont accomplies pour la postérité spirituelle d'Abraham. (Romains 9:6-13)
      Réponses contre des objections à la conduite souveraine de Dieu dans l'exercice de Sa Miséricorde et Sa Justice. (Romains 9:14-24)
      Cette souveraineté s'exerce dans tout ce que fait Dieu, à la fois pour les Juifs et les païens. (Romains 9:25-29)
      Les Juifs ont « trébuché » spirituellement, ayant recherché la justification, non pas par la foi, mais par les œuvres de la loi. (Romains 9:30-33)

      Étant sur le point de discuter du refus de l’Évangile par les Juifs et de l'appel des païens, en montrant que ceci est en accord avec l’Amour souverain de Dieu, l'apôtre exprime fermement son affection à l’égard de ceux qu’il côtoie.

      Il en appelle solennellement à Christ ; sa conscience, éclairée et dirigée par le Saint-Esprit, témoigne de sa sincérité. Il irait jusqu’à accepter d’être traité de « maudit », d’anathème, d’être en disgrâce, crucifié, et même être pour un temps, en pleine détresse, s'il pouvait sauver sa nation de la destruction spirituelle, à cause de son incrédulité obstinée.

      Rester insensible à la condition éternelle de notre prochain est contraire à l'amour exigé par la loi et à la miséricorde de l'Évangile.

      Les Juifs avaient longtemps professé être des adorateurs de l'Éternel. La loi, et l'alliance nationale fondée sur ces principes, les concernaient. Leur adoration au temple était en harmonie avec le futur salut qu’allait offrir le Messie, elle témoignait de leur communion avec Dieu.

      Toutes les promesses, concernant Christ et Son salut ont été données au peuple juif. Jésus-Christ est non seulement un Médiateur, mais Il est Dieu, béni pour toujours !

      Romains 10

      Romains 13

      8 Les chrétiens doivent éviter toute dépense inutile, et doivent veiller à ne pas contracter des dettes qu'ils seront incapables de rembourser. Ils doivent aussi se tenir éloignés de toute spéculation aventureuse et engagement irréfléchi, qui pourraient gravement compromettre l’acquittement de leurs dettes éventuelles.

      Ne soyez « en dette » envers personne. Donnez à chacun ce qui lui appartient. Ne dépensez pas ce que vous devez aux autres. Beaucoup de personnes peu scrupuleuses, ne pensent guère aux tristes conséquences de l’endettement.

      L'amour pour les autres inclut tous les devoirs de la loi. Les cinq derniers des dix commandements sont tous résumés dans cette loi royale : « tu aimeras ton prochain comme toi-même » ; cela signifie qu’il faut l’aimer avec la même sincérité qu’on a pour soi-même, bien qu’il ne s’agisse pas d’une même mesure et d’un même degré. Celui qui aime son prochain comme lui-même, désirera son bien-être. Cette règle d'or est fondée sur ce principe : faire aux autres ce que nous voudrions qui nous soit fait !

      L'amour est un principe vivant et actif de l'obéissance à la loi entière. Nous devons éviter de blesser notre prochain, de nuire à nos relations avec lui, à ce qu’il possède ; efforçons-nous aussi de ne pratiquer aucune sorte de mal envers quiconque, de veiller à nous rendre utile, en toutes circonstances ici-bas !

      Romains 14

      1 Corinthiens 8

      1

      Le danger d'être fier de ses connaissances. (1 Corinthiens 8:1-6)
      Le mal qu'il y a à offenser des frères vulnérables. (1 Corinthiens 8:7-13)

      Il n'y a pas de meilleure preuve d'ignorance que la vanité de la connaissance ! On peut acquérir beaucoup de savoir, sans pouvoir l’appliquer à un noble but.

      Ceux qui estiment, avec fierté, posséder une grande instruction, sont en fait les moins aptes à en faire bon usage. Satan les tente par ce type d’orgueil, comme il le fait pour d'autres, en les attirant dans les pièges de la sensualité. La connaissance qui enfle celui qui pense la posséder, est aussi dangereuse que l’orgueil de celui qui estime être juste : cela se vérifie dans leur conduite.

      Sans amour fraternel, toute connaissance humaine est sans valeur. Les païens ont des dieux (ou des idoles), à qui ils se consacrent plus ou moins : ces derniers sont bien nombreux ! En fait, ils n’ont aucune réalité.

      Les chrétiens possèdent un Dieu unique, omnipotent, qui a tout créé. Un seul Dieu, « Dieu le Père », qui représente la Divinité unique, absolue, digne de recevoir toute leur adoration. Le Seigneur Jésus-Christ, « Emmanuel », Nom qui signifie « Dieu manifesté en chair », est Un avec le Père, et avec nous ; Christ est notre Médiateur, le Seigneur de tout ; en Lui, nous venons au Père, et par Lui, Dieu nous adresse toutes bénédictions, sous l'influence et l'œuvre du Saint-Esprit.

      Sachons nous éloigner de toute adoration envers les nombreuses idoles, qui ne sont de véritables dieux que pour les païens ; refusons tout culte voué aux saints ou aux anges, mais éprouvons-nous pour savoir si nous venons vraiment à Dieu, par la foi en Christ !

      1 Corinthiens 13

      1

      La nécessité et l’intérêt de posséder l'amour. (1 Corinthiens 13:1-3)
      L’excellence de l’amour, ses propriétés, ses effets. (1 Corinthiens 13:4-7)
      Sa durabilité et sa supériorité. (1 Corinthiens 13:8-13)

      La « voie par excellence », citée dans le dernier verset du chapitre précédent, ne concerne pas la charité, dans la signification habituelle du terme, (donner l’aumône), mais l'amour, au sens le plus complet : le véritable amour, pour Dieu et envers notre prochain.

      Sans cet amour, les dons le plus honorables ne nous sont d'aucun crédit, ils n'ont aucune valeur aux yeux de Dieu. Un esprit clair et compatissant reste sans valeur si l’on ne possède pas un cœur bienveillant et charitable. On peut avoir une main généreuse et prodigue, sans avoir un cœur libéral et charitable.

      Faire du bien aux autres ne nous sera guère profitable, si nous ne le réalisons pas d’abord, par amour pour Dieu, et ensuite, envers notre prochain. Si nous donnons tout ce que nous possédons, sans donner notre cœur à Dieu, cela ne nous sera d'aucun profit. Il en est de même avec les plus grandes souffrances, si nous restons éloignés du Seigneur.

      De nombreuses personnes se trompent en cherchant l'acceptation et la récompense de leurs bonnes œuvres : ce ne sont en fait que de vaines pensées, qui trahissent un cœur égoïste !

      4 Ce texte nous montre quelques « bénéfices » apportés par l’amour, afin que nous puissions juger si nous les possédons, ou dans le cas contraire, que nous ne cessions de les rechercher. L’amour est une preuve tangible de notre régénération spirituelle, il est à la base de notre foi en Christ.

      Dans cette belle description de la nature et des effets de l'amour, l’apôtre désirait montrer aux Corinthiens que leur conduite était, sous de nombreux aspects, loin d’être en phase avec ces préceptes. La charité (l’amour) est totalement opposée à l'égoïsme ; elle ne désire ni ne cherche sa renommée, son honneur, son profit, ni sa satisfaction. Elle ne cherche pas à anéantir spécialement notre amour-propre, ni nos intérêts. Elle ne se satisfait jamais en blessant les autres, ou en les négligeant. Elle recherche toujours le bien-être et l’avantage personnel de notre prochain.

      L’amour du chrétien est vraiment merveilleux ! Quel beau témoignage pourrait avoir le christianisme, si ceux qui le professent vivaient davantage sous ce principe divin, en considérant l’intérêt qui lui est dû, et en respectant le commandement que son Auteur merveilleux a institué à son sujet !

      Demandons-nous si cet amour divin demeure en notre cœur. Guide-t-il notre comportement envers tous les hommes ? Sommes-nous disposés à laisser de côté notre égoïsme ? Nous avons dans ce texte un véritable appel à la vigilance, à l'assiduité, et la prière !

      8 L’amour est de loin préférable aux dons que pouvaient posséder les Corinthiens, et sur lesquels ils fondaient leur fierté.

      L’amour est immuable : c'est une grâce, qui dure éternellement. Le présent est pour nous comme un « état d'enfance », le futur sera un « état d'adulte ». C'est une image représentant la différence existant entre la terre et le ciel.

      Quelles vues étroites, quelles notions confuses de la réalité peuvent avoir les enfants, comparées avec celles des adultes ! Telle sera notre différence de perception, des dons précieux ici-bas, quand nous arriverons dans les lieux célestes.

      Beaucoup de sujets nous paraissent encore opaques et confus, en comparaison avec la clarté avec laquelle nous les percevrons plus tard. Ils sont seulement perçus comme par le « reflet d’un miroir », étant parfois de véritables énigmes ; plus tard, dans les cieux, cette même perception sera libérée de toute distorsion et d'erreur. La lumière céleste enlèvera tous les « nuages » et les « ténèbres » qui nous masquaient ici-bas, le visage de Dieu.

      Pour résumer l’excellence de l’amour, il est non seulement préférable aux dons spirituels, mais aussi aux autres grâces, à la foi et à l'espérance. La foi oriente sur la révélation divine, elle permet d’approcher spirituellement le Père, par l’intermédiaire du Rédempteur Divin. L'espérance concerne le bonheur futur, elle attend patiemment ; mais dans les cieux, la foi ne sera plus : nous aurons une vision réelle ; l'espérance aura disparu, remplacée par la félicité éternelle. Il n'y a plus lieu de croire ni d'espérer, quand nous voyons et quand nous possédons !

      L'amour sera sublime : nous aurons dans le ciel, un amour parfait envers Dieu. Nous nous aimerons mutuellement parfaitement. Quelle bénédiction ! Elle surpasse les meilleures ici-bas !

      Dieu est amour, 1Jean 4:8,16. Quand Il est perçu spirituellement tel qu’Il est, l’amour se manifeste dans ses plus grandes dimensions ; cependant, ce n’est qu’au ciel qu’il sera parfait !

      1 Corinthiens 14

      1

      Le don de prophétie préféré à celui des langues. (1 Corinthiens 14:1-5)
      L'inutilité de parler dans des langues incomprises. (1 Corinthiens 14:6-14)
      Exhortations à adorer ce qui ne peut qu’être compris. (1 Corinthiens 14:15-25)
      Les désordres provenant d'une vantardise au sujet des dons reçus. (1 Corinthiens 14:26-33)
      Désordres provenant des femmes qui enseignent dans l'église. (1 Corinthiens 14:34-40)

      Ce texte distingue les divers dons de prophétie, expliquer l'Écriture, et parler en langues. Ce dernier don attire plus l'attention que la claire interprétation de l'Écriture ; il gratifie davantage la fierté, mais il remplit moins les desseins de la charité chrétienne ; de plus, il n’édifie pas l’âme. Ce qui ne peut être compris, ne peut en effet être édifiant...

      Aucun avantage ne peut être tiré du plus excellent discours, s'il est donné dans une langue que les auditeurs ne peuvent ni parler ni comprendre.

      Chaque talent ou don a une valeur proportionnelle à son utilité. Une prédication fervente et spirituelle, doit être soumise à une bonne compréhension, sinon les hommes mettront en disgrâce les vérités qui sont censées être annoncées.

      2 Corinthiens 1

      12 Étant pécheur, l'apôtre Paul n'aurait pu se glorifier qu’en Christ seulement, mais d’autre part étant en plus croyant, il peut se réjouir et Lui rendre gloire, étant réellement en accord avec ce qu'il professait.

      Notre conscience nous témoigne de l’état du déroulement de notre vie. De ce fait nous ne pouvons nous juger nous-mêmes sur un seul acte. Nous tiendrons d’excellents témoignages, si nous vivons et agissons avec de tels principes, basés sur la Grâce, agissant dans le cœur. Grâce à cette dernière, nous pouvons laisser tout ce qui caractérise notre personnalité entre les mains du Seigneur, en utilisant tous les moyens pour « l'affiner », lorsque les ordonnances de l’Évangile, nous y appellent ponctuellement.

      Galates 5

      13 L'Évangile est une « doctrine » conforme à la piété, 1Ti 6:3 ; Il est si opposé à la tolérance du moindre péché, qu'Il nous exhorte expressément à éviter toute dérive en ce domaine et à en rester maître.

      L'apôtre insiste sur le fait que toute la loi est accomplie par l’obéissance à cette seule directive : « tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Si des chrétiens, qui normalement, doivent s'entre-aider et se réjouir mutuellement dans le Seigneur, se querellent, ils ne peuvent s’attendre qu’à voir le Dieu d'amour et le Saint-Esprit quitter leur cœur, et être remplacés par de vaines pensées, qui ne les mèneront qu’à leur destruction.

      Quel bonheur, si les chrétiens, au lieu de se quereller mutuellement, sous des prétextes d'opinions différentes, pouvaient « s'associer » contre le péché qui réside en eux-mêmes et dans les communautés qu’ils représentent !

      1 Timothée 1

      5 Tout ce qui peut minimiser notre amour envers Dieu ou pour nos frères, tend à rendre vaine Ses ordonnances. Le but de l'Évangile est atteint quand les pécheurs, par leur repentance envers Dieu et leur foi en Jésus-Christ, commencent à pratiquer l'amour envers leurs frères et sœurs. Comme les croyants de l’époque suivaient les voies préconisées par les ordonnance divines, la loi n'était pas contre eux.

      À moins que nous ne soyons rendus vertueux par la foi en Christ, par une repentance réelle et l'abandon du péché, nous restons sous la malédiction de la loi, même au temps de l'Évangile, et nous sommes incapables de participer à toute félicité céleste.

      1 Timothée 3

      2 Timothée 1

      2 Timothée 2

      22 Plus nous nous efforcerons de pratiquer le bien, plus nous nous éloignerons rapidement du mal. Le fait d'entretenir une communion spirituelle avec les « saints », nous détachera de toute association avec les œuvres stériles des ténèbres.

      Remarquez le nombre de fois où l'apôtre Paul nous avertit de veiller à tous les différends qui peuvent survenir dans l’exercice de la piété ! Ceci démontre d'une façon certaine, que cette dernière consiste à croire et pratiquer ce que Dieu demande, plutôt que de vaquer à la poursuite de vains débats.

      Ceux qui sont enclins aux disputes, à la violence et à l’orgueil, sont inaptes à l'enseignement. L'enseignement, au contraire de la persécution, est ce qui caractérise les « agissements spirituels » de l'Écriture pour contrer ceux qui se trouvent dans l'erreur. Dieu, qui nous permet de découvrir la Vérité, nous apporte, par Sa Grâce, l’opportunité de Le connaître ; si tel n’était pas le cas, notre cœur continuerait à se rebeller contre Lui.

      Il n'y a pas de « peut-être » dans les propos divins, au sujet de ceux qui se repentent ; toutefois, nous ne pouvons pas dire que Dieu accordera le repentir à ceux qui s'opposent à Sa Volonté.

      Les pécheurs, de manière imagée, sont pris dans le pire des filets : celui du diable ; ils deviennent en fait les esclaves de Celui-ci.

      Si certains espèrent une délivrance, qu'ils se souviennent qu'ils ne pourront jamais s'échapper de ce piège, excepté par la repentance, qui est le don de Dieu ; ils devront demander cette délivrance à Dieu, en persévérant par de ferventes prières.

      Tite 1

      Hébreux 9

      Hébreux 10

      Hébreux 11

      Hébreux 13

      Jacques 4

      1 Pierre 1

      1 Pierre 3

      1 Pierre 4

      2 Pierre 1

      1 Jean 3

      3 Les enfants de Dieu savent que leur Seigneur est trop pur pour permettre à tout ce qui est profane et souillé de demeurer en Lui. La convoitise qui anime les hypocrites, contrairement aux enfants de Dieu, consiste à se permettre de vains désirs, voire la luxure.

      Puissions-nous être de véritables disciples du Seigneur, Ses enfants bien-aimés, montrant ainsi tout le sens de Son ineffable Miséricorde, afin que nous puissions Lui exprimer notre obéissance, dans la reconnaissance et l’humilité, qui doivent être les nôtres.

      Le péché est le rejet de la loi divine. En Christ, il ne se trouve aucun péché. Toutes les moindres faiblesses et fautes qui furent les conséquence de la chute originelle, ont été supportées par Christ : elles concernent toutes ces infirmités de l'esprit ou du corps, qui assujettissent l'homme à la souffrance, et l'exposent à la tentation. Christ n’a jamais été victime de nos infirmités morales, ni de notre inclination à pécher.

      Celui qui demeure en Christ ne persévère pas dans la pratique du péché. Renoncer au péché est la grande preuve d'union spirituelle avec le Seigneur Jésus, le signe d’une « progression spirituelle » en Lui, et une connaissance à salut de Sa personne.

      Prenons garde de ne pas nous tromper nous-mêmes. Celui qui pratique la droiture est juste ; en étant un disciple de Christ, il montre, par sa foi, tout l’intérêt qu’il porte dans l’obéissance et les souffrances que le Seigneur a manifestées.

      Un homme ne peut pas agir conjointement avec le diable et être en même temps un disciple de Jésus-Christ. Ne servons pas « l’ennemi », et n'ayons aucune indulgence pour le diable, que le Fils de Dieu est venu ici-bas pour vaincre. Être né de Dieu c'est être intérieurement renouvelé par la puissance de Son Esprit. La Grâce régénératrice est durable !

      La religion n'est pas un art, ni un sujet de savoir-faire, voire d'habileté, mais l’expression d’une nouvelle nature. La personne régénérée par le Seigneur ne peut pas continuer à pécher, comme elle le faisait avant qu'elle ne soit née de Dieu, et comme le font toujours ceux qui ne sont pas nés de nouveau. Une « lumière spirituelle » luit dans l’âme d’un racheté, elle lui montre le mal et la malignité du péché. Cette lumière a une influence sur son cœur, et le prédispose à haïr le péché, à s’opposer à ses actions coupables.

      Il existe le repentir pour le péché, une fois celui-ci commis. La repentance tend à prévenir toute nouvelle chute. Les enfants de Dieu et ceux du diable appliquent des principes bien différents. La « postérité du serpent » est connue par son rejet de la piété, et par sa haine envers les véritables chrétiens. Le seul qui puisse être juste devant Dieu est le croyant racheté, celui qui est disposé à suivre la justice divine, par le Saint-Esprit. Par leur conduite, se distinguent les enfants de Dieu de ceux du diable...

      Que tous ceux qui professent l'Évangile puissent avoir ces vérités en leur cœur, et s'éprouver eux-mêmes !

      1 Jean 4

      7 L'Esprit de Dieu est l'Esprit de l’amour. Celui qui ne connaît pas Dieu, descendu chez les Siens, ne peut connaître le salut qu’Il offre en Son Fils Jésus-Christ. Dieu en effet, par Sa nature, est bon, et désire accorder le bonheur à Ses enfants. La bannière de Dieu c’est l’amour ; tous pourraient être parfaitement heureux, s’ils obéissaient vraiment à Ses préceptes !

      Tout ce qu’annonce l'Évangile, au sujet du pardon du péché et du salut, conformément à la gloire et à la justice de Dieu, montre que ce Dernier est amour. Les ténèbres, avec tous leurs mystères, sont hélas jointes à beaucoup de choses ici-bas...

      Dieu a montré qu'Il est amour, que nous ne pouvons pas manquer le bonheur éternel qu’Il propose, sauf par incrédulité et impénitence, alors qu'une justice impitoyable nous aurait condamnés à une misère désespérée, par refus de la loi de notre Créateur.

      Nulle parole, ni pensée, ne peut nous justifier, face à l'amour gratuit et étonnant d'un Dieu saint, envers les pécheurs ; Dieu, dont le manque d'esprit de vengeance a été démontré par le salut qu’Il offre en Son Fils, pouvait très bien, par Sa toute-puissante, créer un autre monde, avec des êtres parfaits...

      Recherchons-nous comment bénéficier d’un tel univers entier d’Amour, dans ses manifestations les plus merveilleuses ? Cet Amour réside dans la Personne et la croix de Christ. Un lien d'amour réel existe-t-il entre Dieu et les pécheurs ? En fait, nous n’avons pas aimé Dieu en premier, mais c’est Lui qui nous a d’abord aimés. Son amour ne peut être conçu comme infructueux envers nous ; quand il conduit le pécheur au salut, le but final et parfait est atteint.

      La foi est parachevée par les œuvres de Dieu. Il est manifeste que Dieu demeure en nous par son Esprit de régénération. Un chrétien qui aime est un chrétien parfait ; qui s'attache à exercer tout son devoir, à la perfection.

      L'amour « lubrifie les rouages » des affections et dispose tout en faveur du bien des frères en Christ. Un homme qui vaque à ses affaires avec une mauvaise volonté, accomplira toujours un travail médiocre... « Que Dieu demeure en nous, et nous en Lui ; » ces faits peuvent paraître vraiment inaccessibles pour les mortels que nous sommes, à moins que Dieu ne les ait placés en notre cœur. Comment le Père peut-Il être véritablement reconnu ? Par le témoignage qui procède du Saint-Esprit ! Ceux qui sont vraiment persuadés qu’ils sont des enfants de Dieu, ne peuvent que l'appeler « Abba », Père. Par amour pour Lui, ils détestent le péché et tout ce qui est en désaccord avec Sa sainte Volonté, qu’ils ne désirent qu’accomplir.

      Un tel témoignage est celui du Saint-Esprit !

      14 Le Père a envoyé le Fils, Il désirait Sa venue en ce monde : c’est ce qu’atteste l’apôtre Jean dans ce texte.

      « Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. » Cette confession inclut une foi qui sert de fondement au cœur ; elle permet à une âme d'exprimer sa reconnaissance à la Gloire de Dieu et Celle de Christ, elle pousse à mener une conduite opposée aux flatteries et à tout ce qui est vain en ce monde.

      Un jour de jugement divin universel doit avoir lieu : heureux ceux qui exprimeront une sainte assurance devant le Juge, en cette occasion, sachant que Christ est leur Ami et leur Avocat ! Heureux ceux qui auront une telle attitude, dans la perspective de ce jour, qui veillent, qui l'attendent, aspirant ainsi à l'apparition du grand Juge !

      Le véritable amour du croyant envers Dieu l’assure d’une réciprocité en ce qui concerne ce sentiment. L'amour nous apprend à souffrir pour Lui et avec Lui, de sorte que nous pouvons être assurés d’être aussi glorifiés avec lui, 2Ti 2:12.

      Nous devons faire une distinction entre la crainte et la peur de Dieu : la crainte de Dieu implique une haute estime et de la vénération pour Sa Personne. L'obéissance et la pratique de bonnes œuvres, sous le principe de l'amour, ne sont pas un joug difficile à supporter, à l’inverse d’un travail servile, accompli sans motivation, sous la menace de la colère d'un maître. La crainte va de pair avec l’obéissance de l’enfant de Dieu, elle pousse cette âme à accomplir volontairement, pour le bien de ses frères, le service de son Père bien-aimé.

      Quand nos doutes, nos craintes et nos appréhensions sont nombreux, cela révèle que notre amour est loin d'être parfait. Que le ciel et la terre soient toujours étonnés de l’Amour du Père : Il a envoyé Sa Parole pour inviter les pécheurs à bénéficier du grand salut en Jésus-Christ. Que ces âmes puissent saisir la consolation d’un tel changement merveilleux opéré en eux, et qu'elles rendent gloire au Père !

      L'amour de Dieu en Christ, qui réside dans le cœur des chrétiens, par l'Esprit d'adoption, est la grande preuve de leur conversion. Ceci doit se manifester par leur conduite, particulièrement envers leurs frères.

      Si un homme déclare aimer Dieu, et que, malgré cela, il se laisse aller à la colère, à la vengeance, ou à l’égoïsme, il renie en fait sa déclaration. Mais s'il est manifeste, en tant qu’enfant de Dieu, que notre inimitié « naturelle » est transformée en affection et en gratitude, bénissons le Nom de notre Dieu pour cette spiritualité qui révèle un bonheur éternel.

      Nous serons alors différents des faux docteurs, qui font semblant d'aimer Dieu, Celui qu'ils n'ont pas vu, alors qu'ils détestent leurs frères, qui eux, sont bien visibles...

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.