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2 Chroniques 29.21

Ils font amener sept taureaux, sept béliers, sept agneaux et sept boucs à offrir en sacrifice pour recevoir le pardon de Dieu. Ces sacrifices doivent être présentés pour la famille royale, pour le lieu saint et pour le peuple de Juda. Le roi commande aux prêtres de la famille d’Aaron de les offrir sur l’autel du SEIGNEUR.
Et ils amenèrent sept taureaux, et sept béliers, et sept agneaux, et sept boucs en sacrifice pour le péché, pour le royaume, et pour le sanctuaire, et pour Juda. Et le roi dit aux sacrificateurs, fils d'Aaron, de les offrir sur l'autel de l'Éternel.
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    • Lévitique 4

      13 Si les conducteurs commettaient une faute, par l'intermédiaire du peuple, une offrande devait être faite, afin que la colère divine ne tombe pas sur les Israélites. Quand les sacrifices étaient offerts, les personnes concernées posaient leurs mains sur la victime expiatoire, tout en confessant leurs péchés. Les anciens devaient faire la même chose, quand les sacrifices étaient offerts pour expier les fautes communes à toute l'assemblée. La charge du péché était supportée par l'animal innocent. Quand l'offrande était terminée, il est indiqué dans le texte que l'expiation était faite et que le péché était pardonné.

      Le salut dans l'église est opéré grâce au sacrifice parfait de Christ, le Médiateur !

      Nombres 15

      22 Bien que l'ignorance puisse excuser, dans certaines limites, quelques-uns des péchés, elle ne peut justifier ceux qui ont connu la volonté du Seigneur sans s'y soumettre. David priait pour être purifié de ses fautes inavouées, pour les péchés qu'il aurait pu commettre par ignorance. Ce type d'iniquité sera plus tard pardonné, au travers de Christ, le grand Sacrificateur qui s'est offert Lui-même pour tous, sur la croix, lorsqu'Il s'est écrié : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font ».

      Cette ordonnance divine sur le péché par ignorance, s'applique même aux « gentils », car à l'époque, les étrangers qui vivaient parmi les enfants d'Israël pouvaient également en bénéficier.

      Nombres 23

      1

      Le sacrifice de Balak, Balaam prononce une bénédiction au lieu de maudire Israël. (Nombres 23:1-10)
      La déception de Balak, le deuxième sacrifice, Balaam bénit de nouveau Israël. (Nombres 23:11-30)

      Alors que le camp d'Israël était bien en vue, Balaam ordonna que l'on construisit sept autels, pour sacrifier sur chacun d'eux, un bœuf et un bélier. Remarquez combien la superstition peut rendre sot, au point de croire que Dieu est à la disposition des volontés humaines ! La malédiction s'est transformée en bénédiction, par la Toute Puissance divine, et à cause de l'amour de ce Dernier pour Israël. Dieu décida de manifester Sa propre gloire, par l'intermédiaire de Balaam : Il le rencontra directement. Qui aurait pu défier Dieu et Israël, après avoir entendu les paroles que l'Éternel avait placées dans la bouche de Balaam ? Ces propos édifiants ne pouvaient conduire qu'à adorer Dieu ; en fait, il sera donné à chacun de ces hommes, selon la teneur de leurs paroles. Celui qui a pu faire parler l'ânesse, empêchant ainsi celui qui la montait de brutaliser cet animal, a placé dans la bouche de Balaam des propos qui allaient à l'encontre de son cœur. Il s'agissait là d'un grand miracle. Balaam prononça en fait une bénédiction sur Israël ! Il avoue même ne pas vouloir s'opposer davantage à la volonté divine. Il annonce qu'Israël est heureux d'être le « peuple de Dieu », étant ainsi mis à part des autres nations.

      Les Israélites, malgré leur petit nombre, étaient satisfaits de se voir respectés. Tout allait bien pour eux ! La mort est la dernière étape que les hommes doivent franchir ; même le « juste » doit mourir : cela peut nous encourager à réfléchir, de voir dans ce texte, Balaam songer à sa propre mort. Son discours est celui d'une âme bénie, non seulement pendant sa vie durant, mais aussi, dans l'avenir, après la mort.

      Cette pensée peut même faire préférer la mort à la vie, voir Philippiens 1:21* ; Balaam prononça de réelles bénédictions pour Israël, non seulement pendant sa vie ici-bas, mais aussi pour le futur. Beaucoup désirent mourir en tant que « justifiés par Dieu », sans toutefois pratiquer la piété durant leur vie ; heureux seront ceux à la fois justifiés et pieux, leur vie durant !

      Le discours de Balaam ne fut en fait qu'un souhait et non une Prière ; ce fut un vain désir, n'espérant qu'une heureuse destinée pour le peuple hébreu, sans toutefois se soucier des moyens pour y parvenir. Beaucoup cherchent à apaiser leur âme en essayant de se confier en l'avenir, sur de faux espoirs, tout en négligeant le chemin du salut, le seul moyen par lequel le pécheur peut être justifié devant Dieu !

      * Note du traducteur : cette référence a été ajoutée au commentaire original, pour en faciliter la compréhension.

      1 Chroniques 15

      2 Chroniques 29

      Esdras 8

      Job 42

      Ezéchiel 45

      2 Corinthiens 5

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