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2 Chroniques 6.37

s'ils rentrent en eux-mêmes dans le pays où ils seront captifs, s'ils reviennent à toi et t'adressent des supplications dans le pays de leur captivité, et qu'ils disent : Nous avons péché, nous avons commis des iniquités, nous avons fait le mal !
Et que dans le pays auquel ils auront été menés captifs, ils seront revenus à eux-mêmes, et que se repentant ils te supplient au pays de leur captivité, en disant : Nous avons péché, nous avons fait iniquité, et nous avons agi criminellement.
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    • Lévitique 26

      40 La prospérité et l'affliction des Israélites étaient proportionnelles à leur obéissance. Il en était de même pour la richesse du pays, qui, elle aussi, était en rapport avec la docilité du peuple et les jugements divins, avec sa conduite. Israël faisait l'objet d'une alliance particulière avec Dieu.

      L'égarement général d'un peuple ne peut le conduire qu'à la ruine, tout particulièrement s'il a perçu la lumière de l'évangile et de la Parole de Dieu. Quels que soient les peuples qui pratiquent le péché, tôt ou tard, ils courent à la ruine. Recherchons l'humilité, en ce qui concerne nos péchés, nous pourrons alors éloigner la tempête divine qui risque de planer sur nous ! Dieu nous annonce, que par une telle attitude, nous pourrons prendre réellement conscience des éléments qui concernent notre repos céleste et la paix éternelle.

      Deutéronome 4

      Deutéronome 30

      1

      Miséricorde promise à ceux qui se repentent. (Deutéronome 30:1-10)
      Le commandement divin est accessible à tous. (Deutéronome 30:11-14)
      La mort et la vie, face aux enfants d'Israël. (Deutéronome 30:15-20)

      Ce chapitre annonce clairement la miséricorde que Dieu réserve pour Israël, dans les derniers jours. Ce passage rappelle les mises en garde prophétiques des deux chapitres précédents. Ces évènements prédits sont aujourd'hui accomplis : Jérusalem a été détruite par les Romains et les Juifs furent ensuite dispersés. Il ne peut y avoir aucun doute quant au déroulement des autres promesses à venir, qui attendent encore leur accomplissement. La nation juive doit à nouveau s'établir en Canaan et manifester ensuite sa foi pour Christ, peut-être dans un futur relativement proche*. Le langage utilisé dans ce texte est, dans une grande mesure, une promesse absolue ; il ne constitue pas simplement un engagement conditionnel, mais déclare ouvertement qu'un événement doit absolument avoir lieu.

      L'Éternel en Personne s'engage à « circoncire leur cœur » ; quand la Grâce régénératrice aura chassé leur mauvaise nature, et quand l'Amour divin aura supplanté l'attrait du péché, les enfants d'Israël se repentiront alors certainement, ils se tourneront vers Dieu et Lui obéiront ; ce Dernier pourra alors se réjouir, en leur octroyant à nouveau tous les effets de Sa bonté. Le changement qui sera opéré en eux, ne sera pas visible uniquement à l'extérieur, par la manifestation de leur opinion ; il atteindra aussi leur âme. Cela produira en eux une haine totale du péché, un fervent amour pour Dieu, et une réconciliation avec ce Dernier, dans le Christ, Jésus ; ils l'Aimeront de tout leur cœur et de toute leur âme. Israël est encore loin de cet état d'esprit pour l'instant, mais il en était déjà ainsi pour les meurtriers de Jésus, qui, lorsque le jour de la Pentecôte arriva, se convertirent en l'espace d'une heure ! Il en sera ainsi au jour où Dieu manifestera Sa grande Puissance ; une nation naîtra en un jour*. L'Éternel saura hâter ces évènements.

      Au même titre que les autres promesses précédentes, ce passage s'adresse non seulement à Israël, mais aussi à toute personne et à toute nation. Ces paroles peuvent nous assurer que si les plus grands des pécheurs se repentent et se convertissent, ils seront restaurés auprès de la faveur divine.

      * Note du traducteur : ces lignes ont été écrites à la fin du dix-neuvième siècle, l'auteur ne savait donc pas que l'état d'Israël serait fondé en 1948, en un jour !

      2 Chroniques 6

      Esdras 9

      Néhémie 1

      Néhémie 9

      Job 33

      Psaumes 106

      6 Ici commence la confession du péché ; car nous devons reconnaître que le Seigneur a tout accompli à la perfection alors que nous, nous n'avons pratiqué que l'iniquité. Quel encouragement de savoir qu'une fois pardonnés, nous ne sommes pas pour autant abandonnés ! Le peuple de Dieu, lorsqu'il est affligé, reconnaît sa culpabilité. Dieu est toujours prudent, dans le sens qu'Il sait que les siens oublient vite Ses faveurs. S'Il ne nous sauvait pas dans le but de Le servir et Le louer, nous irions tous à la perdition.

      Esaïe 64

      6 Le peuple de Dieu, dans l'affliction, admet ses péchés; il se lamente, s'estimant parfaitement indigne de la Grâce divine. Le péché est ce qui est le plus abominable aux yeux du Seigneur, Il le déteste. Si nous pensons mériter la faveur divine par nos actes, quels qu'ils puissent être, nous nous fourvoyons : ils ne sont en fait que des « haillons » souillés, nous polluant et incapables de nous couvrir. Même les quelques bonnes œuvres que nous pourrions avoir accomplies, fussent-elles excellentes, en tant que fruits de l'Esprit, sont en fait bien menues : elles doivent être lavées dans la « fontaine spirituelle d'eaux vives », capable de laver le péché et l'impureté.

      La négligence de la prière n'est pas un bon présage. Prier, c'est, par la foi, implorer le Seigneur et réussir à obtenir la réalisation des promesses qu'Il nous a octroyées, selon Sa volonté bienveillante ; c'est aussi Le solliciter avec ferveur, pour qu'Il ne nous laisse pas errer ; c'est également solliciter Son retour.

      Les enfants d'Israël, par leur propre folie, furent confrontés à de terribles épreuves. Les pécheurs finissent par être anéantis, puis emportés par le « vent » de leur iniquité ; cette dernière les détruit petit à petit et les conduit à la ruine. Quand ils sont réduits à l'état d'immoralité ignoble, il ne faut pas s'étonner qu'ils deviennent répugnants aux yeux de Dieu.

      « Malgré notre folie, notre négligence et notre pauvre état méprisable, dus à notre péché, Tu es toujours notre Père céleste » : nous sommes toujours confrontés à la colère de ce Père, qui a malgré notre indignité, tout prévu pour que nous soyons réconciliés avec Lui ; toute notre délivrance ne peut provenir que de Lui.

      Les enfants d'Israël se référèrent à Dieu. Ils ne dirent pas : « Éternel, ne nous réprimande pas », malgré le fait que cela n'était nécessaire, mais ils s'exprimèrent ainsi : « Ne T'irrite pas ». En fait, ils reconnaissaient leur état lamentable. Remarquez la ruine, que le péché peut apporter sur un peuple ; une simple profession de sainteté ne sera vraiment d'aucune utilité.

      Le peuple de Dieu n'avait pas l'impertinence de masquer ses transgressions, il adressa cette prière à Dieu : « apporte-nous Ton réconfort et soulage les Tiens » !

      Combien peu de gens s'adressent au Seigneur de tout leur cœur, cherchant par tous les moyens à dépendre de Sa Personne ! Dieu peut mettre un certain temps à répondre à nos prières, mais en final, Il s'adressera toujours à ceux qui prient en Son Nom, dans l'espérance de Sa Miséricorde.

      Jérémie 3

      12 Remarquez avec quelle promptitude Dieu pardonne le péché, et les bénédictions réservées aux temps de l'évangile ! Les paroles de ce texte furent proclamées vers le nord, vers le peuple d'Israël, qui avait alors dix tribus captives en Assyrie. Elles lui indiquaient comment retourner au pays.

      « Si nous confessons nos péchés, le Seigneur est fidèle et juste pour nous les pardonner », 1Jean 1:9*. Ces promesses sont toujours d'actualité : elles s'adressent au retour des Juifs de cette époque, comme à tous, encore aujourd'hui. Dieu, dans Sa Miséricorde, reçoit toujours ceux qui reviennent à Lui ; par Sa Grâce, Il les « sépare du monde ici-bas ».

      L'arche de l'alliance n'a pas été retrouvée, lors du retour de captivité du peuple juif. L'ensemble de cette « dispensation » allait être désormais révolu : la multitude des croyants allait être considérablement augmentée par la conversion des Gentils, ainsi que celle des Israélites, dispersés parmi les nations. La félicité de l'église est aussi annoncée !

      Celui qui peut tous nous enseigner par Sa Parole, est digne d'être appelé « notre Père » ; mais sans un changement radical de cœur, comme de vie, aucun homme ne pourra devenir un enfant de Dieu ; nous n'avons aucun intérêt à nous éloigner de Lui !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jérémie 31

      18 Éphraïm (la dixième tribu), pleure sur ses péchés. Elle se sait fautive, reconnaissant son iniquité, sa folie et ses manquements. Elle se rend compte qu'elle est absolument incapable, par ses propres forces, de rester en communion avec Dieu, et qu'elle est victime de Sa rébellion contre ce Dernier.

      En conséquence, cette tribu s'adresse à l'Éternel : « Fais-moi revenir, et je reviendrai » ; elle s'est soumise à la volonté divine. Quand l'enseignement de l'Esprit divin se joint à l'action de la Providence, tout devient vraiment très efficace !

      Qu'il est réconfortant de savoir que le Seigneur ne nous quitte pas du regard, même au temps de l'affliction ! Dieu dispose d'une Grâce inépuisable, riche, sûre qui agit avec pertinence, en faveur de ceux qui La recherchent en toute sincérité !

      Daniel 9

      Luc 15

      17 Ayant constaté dans les versets précédents, l’état abject et misérable du fils prodigue, nous sommes maintenant amenés à considérer comment il en est sorti.

      Ce texte commence par l’examen de sa conscience, situation capitale dans la conversion d'un pécheur. Le Seigneur lui ouvre les yeux, et le convainc de péché ; il se découvre alors réellement lui-même, par une vision vraiment différente de ce qu’il éprouvait auparavant. Le pécheur convaincu s'aperçoit que le moindre des serviteurs de Dieu est en fait bien plus heureux que lui-même. « Considérer » Dieu comme un Père, notre Père, sera d'un grand recours pour notre repentance et pour notre retour vers Lui.

      Le fils prodigue est parti, et ne s'est plus arrêté avant qu'il n’ait atteint sa maison. De même, le pécheur repentant quitte résolument l'esclavage de Satan et sa convoitise, et retourne ensuite vers Dieu, par la prière, avec parfois des craintes et certains découragements... Le Seigneur va alors à sa rencontre, lui exprimant Son Amour, plein d’indulgence.

      L’accueil divin du pécheur humilié est identique à celui du fils prodigue. Cet homme repentant est alors revêtu de la « robe de la Justice » du Rédempteur, il est rendu participant de l'Esprit d'adoption ; il est préparé, par la paix de la conscience et la Grâce de l'Évangile, à marcher dans les chemins de la sainteté, et à faire un « festin spirituel » de toutes les divines consolations.

      La Grâce et la Sainteté seront alors en lui, pour animer sa volonté comme ses actes !

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