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2 Corinthiens 1.9

Nous avions intérieurement accepté notre arrêt de mort afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes mais en Dieu qui ressuscite les morts.
Mais nous, en nous-mêmes, nous avions accepté notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais en Dieu qui ressuscite les morts.
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      Job 40

      Psaumes 22

      Psaumes 44

      Proverbes 28

      Jérémie 9

      23 En ce monde de péché et de douleur, dont la fin ne peut être que mort et jugement, on peut constater la folie des hommes, se targuant de leurs connaissances, leur santé, leurs forces, leurs richesses, ou tout ce qui les conduit sous la domination du péché, et par voie de conséquence, devant la colère divine ! Ils devront, en final, rendre compte de leur conduite, qui peu à peu, ne fera que se dégrader.

      Le véritable « Israël » spirituel, (ceux qui adorent Dieu en Esprit et en Vérité), se réjouit en Jésus-Christ, ne faisant aucune confiance à la chair.

      Attachons énormément de prix à la distinction de « rachetés », accordée par Dieu, elle durera à jamais : cherchons avec diligence, à faire partie de cette famille !

      Jérémie 17

      5 Celui qui place sa confiance en l'homme, sera comme la bruyère dedans le désert, comme un arbre nu, un triste arbuste, le produit d'une terre stérile, inutile et sans valeur. Ceux qui se confient en leur propre droiture et en leurs forces, pensant qu'ils peuvent agir sans le secours de Christ, ne s'appuient que sur la « chair », et leur âme ne peut prospérer, loin de toute Grâce ou de tout réconfort.

      Ceux, par contre, qui fondent leur espérance en Dieu, s'épanouiront tels des arbres florissants, dont la feuille ne se flétrit point. Ils vivront l'esprit en paix, pleinement satisfaits ; ils ne seront pas anxieux au temps de la sécheresse. Ceux qui font de Dieu leur « Assurance », trouveront en Lui tout ce dont ils ont besoin. Ils ne cesseront pas de porter le fruit de la sainteté et des bonnes œuvres.

      Le cœur, (« la conscience de l'homme »), dans son état de chute et de corruption, est trompeur par-dessus tout. Il appelle le mal, bien et le bien, mal ; il change l'amertume en douceur. Le cœur est désespérément mauvais ; il est destiné à mourir, inéluctablement. Il est en effet très néfaste, de voir la conscience, dont le rôle est de révéler nos erreurs, nous bercer par de vaines illusions. Nous ne pouvons pas connaître l'état réel de notre cœur, ni savoir quelle sera notre conduite, à l'heure de la tentation. Qui peut comprendre ses propres erreurs ? Combien est-il encore plus difficile de sonder le cœur des autres, ou pire, pouvoir compter sur eux !

      Celui qui, à ce sujet, s'appuie sur les directives divines, et apprend à observer son propre cœur, en constatera le triste état, et en tirera les leçons destinées à diriger sa conduite en conséquence.

      Mais il reste encore dans notre cœur, comme d'ailleurs dans celui des autres, beaucoup d'inconnu : que de méchanceté y réside, Dieu la discerne très bien ! Les hommes peuvent se tromper eux-mêmes, mais on ne peut leurrer Dieu. Celui qui acquiert des richesses par des procédés peu recommandables, ne pourra jamais en tirer une joie paisible, alors qu'il croit pouvoir fonder tout son espoir en elles.

      Tout ceci montre bien les déceptions qu'un tel homme du monde ressentira à la veille de sa mort, sachant qu'il doit laisser ses richesses derrière lui ! Bien que ces dernières ne puissent pas quitter cette terre, il en sera autrement pour la culpabilité d'un homme : elle sera pour lui un tourment éternel.

      L'homme riche se met en peine pour obtenir des biens ; une fois acquis, il les « couve » et devrait pouvoir se reposer ; mais en fait, il n'est jamais satisfait : les voies du péché de la convoitise ont finalement été vaines.

      Soyons sages, réagissons à temps ! Que ce que nous acquérons puisse l'être en toute honnêteté ; sachons être charitables avec ce que nous possédons, nous en tirerons alors une sagesse éternelle !

      Ezéchiel 33

      Ezéchiel 37

      1

      Dieu redonne vie à des ossements morts. (Ezéchiel 37:1-14)
      Toute la maison d’Israël est représentée dans le futur, jouissant des bénédictions du Royaume de Christ. (Ezéchiel 37:15-28)

      Aucune puissance de ce monde n'a encore pu redonner la vie à des ossements humains morts et desséchés. Seul, Dieu a pu accomplir un tel prodige !

      De la peau et de la chair recouvrirent ces ossements, puis un souffle fut envoyé sur ces corps : c’est ainsi qu’ils ont recouvré la vie.

      Ce souffle était l’emblème de l'Esprit de Dieu, il manifestait Sa toute Puissance. Cette vision était destinée à fortifier les Juifs, alors découragés ; elle prédisait à la fois leur restauration, après leur captivité, mais aussi leur rétablissement, après la dispersion mondiale qu’ils allaient connaître dans un futur plus lointain.

      C'était également une information claire sur la résurrection des morts : ce souffle représente la Puissance et la Grâce de Dieu, dans la conversion à l’évangile, des pécheurs les plus désespérés.

      Regardons à Lui, Celui qui ouvrira, à la fin des temps, nos tombes, pour nous mener au Jugement dernier : Il peut aujourd’hui nous délivrer du péché, et mettre Son Esprit en nous ; par Sa Puissance, par le moyen de la foi, Il est capable de nous conduire, au salut !

      Luc 18

      9 Cette parabole est destinée à ceux qui sont convaincus d’être vertueux, et qui, de ce fait, méprisent les autres. Dieu regarde avec quelle disposition de cœur et dans quel dessein, nous nous approchons de Lui, quand nous venons Le célébrer à l’église.

      Les propos de ce pharisien montrent qu'il n’avait confiance qu’en lui-même et qu'il pensait être un modèle de droiture. Nous pouvons supposer qu'il était dénué de tout péché gravissime ou scandaleux : c’était un homme de bien, un personnage vraiment recommandable...

      En fait, on pourrait penser que ceux qui ne possèdent pas les « qualités » de ce pharisien soient misérables, étant bien loin d’être accepté par Dieu : ne serait-ce pas logique ? Ce personnage s’est rendu au temple pour prier ; cependant, il était imbu de lui-même, convaincu de sa bonté : il ne pensait pas avoir besoin de demander à Dieu Sa faveur ni Sa Grâce pour lui-même. Prenons garde de ne pas présenter de dévotions orgueilleuses au Seigneur, en ayant tendance à dédaigner notre prochain.

      Le publicain, quant à lui, s'adressait à Dieu en toute humilité, il se repentait de son péché et désirait entrer en communion avec le Seigneur. Sa prière était courte, mais orientée en ce sens : « Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur ».

      Béni soit Dieu ! Nous disposons en effet dans ce texte de cette courte prière, très certainement exaucée ; nous pouvons être certains que celui qui a prié ainsi est retourné dans sa maison, justifié par Dieu ; il en sera de même pour nous, si nous prions, comme cet homme, au Nom de Jésus-Christ.

      Ce publicain se considérait comme pécheur par nature, coupable devant Dieu. Il ne pouvait compter sur rien, si ce n'est sur la Miséricorde divine : il s’est appuyé uniquement sur cette vérité. La Gloire de Dieu résiste à l'orgueilleux, tout en faisant grâce à celui de condition humble. La justification vient de Dieu, en Christ : c'est donc le « condamné », et non le « soi-disant candide » qui est justifié devant Dieu !

      Romains 4

      23 L'histoire d'Abraham et de sa justification, est retracée dans la Parole, pour enseigner les hommes, en tous temps, en particulier ceux à qui l'Évangile a été dévoilé.

      Il est clair que nous ne sommes pas justifiés par notre mérite ou nos propres œuvres, mais par la foi en Jésus-Christ et Sa Justice ; cette vérité nous est annoncée dans ce chapitre ainsi que dans le précédent : elle est la grande source et le fondement de tout réconfort !

      Christ a œuvré d'une façon admirable pour notre justification et notre salut, par Sa mort et Sa passion ; la puissance et la perfection de cet acte, dépendent, en ce qui nous concerne, de Sa résurrection.

      Par sa mort Christ a payé notre dette, par Sa résurrection Il a reçu notre acquittement, Esa 53:8. Dès lors, Il nous décharge de la culpabilité et du châtiment mérité de tous nos péchés. Ce dernier verset est un abrégé, ou un résumé, de tout l'Évangile !

      2 Corinthiens 3

      2 Corinthiens 4

      13 La foi est le remède efficace contre les problèmes, au temps de l’épreuve.

      Les Corinthiens savaient que Christ était ressuscité, et que Sa résurrection ne pouvait que leur procurer une réelle assurance. L'espérance qui découle de cette résurrection nous encourage, aux jours difficiles, elle nous délivre de la crainte de la mort.

      Les souffrances des chrétiens de cette époque témoignaient avantageusement en faveur de l'église et de la Gloire de Dieu. Les souffrances des serviteurs de Dieu, comme leurs prédications et leurs propos, concourent au bien de l'église.

      La perspective de la vie et de la félicité éternelles assurait le soutien et le réconfort des chrétiens de cette époque. Ceux-ci bénéficiaient d’un excellent équilibre spirituel, durant ce long temps d’épreuve, douloureux et fatigant, éprouvant leur faible foi. Le fardeau de toutes ces détresses passagères était finalement assez supportable, alors que la gloire qui les attendait était une entité conséquente et durable ! Si l'apôtre Paul estimait que ses lourdes et longues épreuves n'étaient que légères et temporaires, que devrait être le poids des difficultés insignifiantes que nous traversons ?

      La foi permet de faire la part équitable des choses. Certaines sont invisibles, d’autres sont manifestes : quelle différence y-a-t-il entre elles ? Les choses invisibles sont éternelles, alors que les visibles ne sont que passagères. Cessons de porter notre regard uniquement vers ce qui est apparent, terrestre, cessons de craindre les détresses présentes. Orientons-nous plutôt vers la recherche de notre bonheur futur, céleste, qui lui, est garanti !

      2 Corinthiens 12

      7 Dans ce texte, l'apôtre, compte tenu des visions et des révélations qu'il avait reçues précédemment, fait état de la méthode entreprise par Dieu, pour le garder en toute humilité, et le prévenir de toute tentation de s’enorgueillir.

      Il ne nous est pas dit en quoi consistait cette « épine dans la chair » ; il s’agissait peut-être d’un grave problème, ou d’une grande tentation... Mais Dieu accorde souvent le bien par le biais de la souffrance : les reproches que peuvent nous adresser nos adversaires nous aident à nous garder de toute fierté. Si Dieu nous aime, Il nous évitera d'être exalté au-delà de toute mesure ; les fardeaux de toute nature sont ordonnés pour combattre la fierté spirituelle.

      Le texte nous déclare que cette « épine dans la chair » a été envoyée, à titre maléfique, par un ange de Satan ; mais Dieu, Celui qui a permis d’éprouver l’apôtre, l'a « remaniée », pour devenir finalement le bien de Paul.

      La prière est un « onguent » pour chaque plaie, un remède pour chaque maladie ; quand nous sommes affligés par des « épines » dans la chair, nous devons nous consacrer à la prière. Si une réponse n'est pas accordée dans l’immédiat, ou peu après, continuons à prier !

      Les épreuves nous sont envoyées par la Providence pour nous apprendre à prier ; si elles persistent, c’est dans le but de nous apprendre à poursuivre cette prière. Quoique Dieu accepte la prière de la foi, Il n'accorde pas toujours ce qui est demandé : alors qu'Il exauce parfois dans le courroux, Il refuse aussi dans Son Amour. Quand le Seigneur n’éloigne pas de nous les problèmes, ni les tentations, Il nous accorde cependant Sa grâce toute suffisante, de sorte que nous n'avons aucune raison de nous plaindre ! La Grâce manifeste la clémence de Dieu à notre égard ; c'est suffisant pour nous éclairer, nous animer, nous fortifier et nous réconforter dans les détresses et les afflictions.

      La force du Seigneur est parfaitement adaptée à notre faiblesse. Sa Grâce est ainsi manifestée et magnifiée ! Quand nous nous sentons faibles, c'est alors que nous sommes forts, dans la Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ ; quand nous ressentons vraiment cette faiblesse, allons à Christ, pour recevoir Sa force et découvrir cette abondance divine, de Puissance et de Grâce !

      Hébreux 11

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