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33
Et Moïse cessa de parler avec eux : or il avait mis un voile sur son visage.
34
Et lorsque Moïse entrait devant l'Éternel pour parler avec lui, il ôtait le voile jusqu'à ce qu'il sortit ; puis il sortait et disait aux fils d'Israël ce qui lui avait été commandé.
35
Et les fils d'Israël voyaient le visage de Moïse, que la peau du visage de Moïse rayonnait ; et Moïse remettait le voile sur son visage jusqu'à ce qu'il entrât pour parler avec Lui.
4
Car Christ est la fin de la loi pour justice à tout croyant.
7
(Or si le ministère de la mort, gravé en lettres sur des pierres, a été introduit avec gloire, de sorte que les fils d'Israël ne pouvaient arrêter leurs yeux sur la face de Moïse, à cause de la gloire de sa face, laquelle devait prendre fin,
13
et nous ne faisons pas comme Moïse qui mettait un voile sur sa face, pour que les fils d'Israël n'arrêtassent pas leurs yeux sur la consommation de ce qui devait prendre fin.
23
Or avant que la foi vînt, nous étions gardés sous la loi, renfermés pour la foi qui devait être révélée ;
24
de sorte que la loi a été notre conducteur jusqu'à Christ, afin que nous fussions justifiés sur le principe de la foi ;
14
Car c'est lui qui est notre paix, qui des deux en a fait un et a détruit le mur mitoyen de clôture,
15
ayant aboli dans sa chair l'inimitié, la loi des commandements qui consiste en ordonnances, afin qu'il créât les deux en lui-même pour être un seul homme nouveau, en faisant la paix ;
17
qui sont une ombre des choses à venir ; mais le corps est du Christ.
1
Car la loi, ayant l'ombre des biens à venir, non l'image même des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices que l'on offre continuellement chaque année, rendre parfaits ceux qui s'approchent.
2
Autrement n'eussent-ils pas cessé d'être offerts, puisque ceux qui rendent le culte, étant une fois purifiés, n'auraient plus eu aucune conscience de péchés ?
3
Mais il y a dans ces sacrifices, chaque année, un acte remémoratif de péchés.
4
Car il est impossible que le sang de taureaux et de boucs ôte les péchés.
5
C'est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit : "Tu n'as pas voulu de sacrifice ni d'offrande, mais tu m'as formé un corps.
6
Tu n'as pas pris plaisir aux holocaustes ni aux sacrifices pour le péché ;
7
alors j'ai dit : Voici, je viens, -il est écrit de moi dans le rouleau du livre-pour faire, ô Dieu, ta volonté".
8
Ayant dit plus haut : "Tu n'as pas voulu de sacrifices, ni d'offrandes, ni d'holocaustes, ni de sacrifices pour le péché, et tu n'y as pas pris plaisir" -lesquels sont offerts selon la loi,
9
-alors il dit : "Voici, je viens pour faire ta volonté". Il ôte le premier afin d'établir le second.
Ici donc, Paul s'empare d'un autre détail de l'histoire de Moïse qu'il a déjà citée, afin d'en tirer de nouvelles vérités sur la différence des deux économies et sur la supériorité du ministère de l'Evangile.
Moïse, nous est-il dit, (Exode 34.33) dans le moment solennel auquel Paul fait allusion, mit un voile sur son visage. Dans quel but ? Nous lisons ci-dessus (verset 7) que les enfants d'Israël ne pouvaient arrêter leurs regards sur le visage de Moïse (à cause de leur faiblesse, de leur sens charnel) ; ici, Paul déclare que Moïse se voile pour que les enfants d'Israël n'arrêtent pas leurs regards sur la fin de ce phénomène passager, dans lequel l'apôtre voit une image de toute l'économie ancienne, destinée à être transformée.
Israël n'était préparé alors ni à contempler l'éclat de cette manifestation, ni à en voir la fin qui l'aurait rempli de défiance envers Moïse : telle était aussi la disposition de ce peuple à l'égard de toute l'économie ancienne ; il n'en comprenait ni la gloire, ni la disparition future, il fallait lui voiler l'une et l'autre.
Tous ceux qui, sous les symboles et les types, ne savaient pas voir les choses signifiées, qui confondaient les formes passagères avec les réalités éternelles, qui ne comprenaient pas que les fleurs et les fruits contenus dans le bouton devaient un jour s'épanouir, tous ces faibles en la foi (et c'était alors le plus grand nombre) avaient encore à faire leur éducation religieuse ; la révélation était voilée pour eux ; ils ignoraient qu'un jour toute cette économie ancienne viendrait s'absorber et s'accomplir dans une nouvelle.
- Rien de pareil, conclut l'apôtre, dans le ministère du Nouveau Testament Ici la gloire du Seigneur est apparue dans toute sa plénitude, elle resplendit dans le cœur des croyants et les transforme à son image. (versets 17,18)