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Alors, j’ai dit : « Voici, je viens, je me présente
– Dans le rouleau du livre, il est question de moi –
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Comme un cerf qui languit après les courants d’eau,
Ainsi languit mon âme après toi, ô (mon) Dieu.
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Combien j’aime tes demeures, ô Éternel des armées !
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Ce fut Simon Pierre qui lui répondit : — Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant.
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Cela est vrai, car, bien que les gens du monde peuplent ciel et terre de prétendus « dieux », bien qu’ils vénèrent réellement des multitudes de divinités et d’êtres auxquels ils font porter le titre de Seigneur,
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nous ne connaissons qu’un seul Dieu : le Pèrede qui toute chose vient,
pour qui nous avons été créés,
vers qui nous sommes en chemin. De même : Il n’y a qu’un seul Seigneur,
(c’est le Seigneur) Jésus-Christ,
par qui tout existe,
à qui nous devons la vie.
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Mais tous les chrétiens ne reconnaissent pas encore clairement ces faits. Quelques-uns, entraînés par la force de l’habitude, continuent à considérer l’idole comme une réalité et ils mangent ces viandes avec la pensée qu’elles ont été consacrées à une divinité réelle. Alors, leur conscience, qui est faible, est troublée et se trouve entachée de culpabilité.
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Certes (comme vous dites) : « Un aliment n’a aucune influence sur nos relations avec Dieu, et ce n’est pas notre nourriture qui nous en rapprochera ou nous rendra agréables à ses yeux ; que nous mangions de ceci, que nous ne mangions pas de cela, nous n’y perdons rien, nous n’y gagnons rien, cela ne nous rendra ni meilleurs ni pires ».
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Toutefois, faites bien attention : la liberté que vous prenez d’exercer vos droits ne doit pas devenir, pour les personnes scrupuleuses ou mal affermies dans la foi, un piège ou une occasion de chute.
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Suppose, en effet, qu’un de ces chrétiens mal affermis te voie, toi « l’homme éclairé », assis à table dans un temple d’idoles. Est-ce réellement ce spectacle qui fortifiera sa conscience faible et lui permettra désormais de manger (sans hésitation) des viandes sacrifiées aux idoles ? Encouragé par ton exemple, ne sera-t-il pas plutôt tenté de violer ses scrupules de conscience et de manger de ces viandes, sans conviction ?
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Le temple de Dieu peut-il contracter alliance avec les idoles ? Or, nous sommes le temple du Dieu vivant. Dieu lui-même l’a dit : J’habiterai et je vivrai au milieu d’eux.
Je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple.
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Car, spontanément, les gens se mettent à parler de notre arrivée chez vous et de l’accueil amical que vous nous avez réservé. Ils racontent comment vous avez abandonné vos idoles et vous vous êtes convertis pour servir à présent un Dieu vivant et vrai.
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Mais après ce temps-là,
je veux contracter une autre alliance
avec la maison d’Israël, dit le Seigneur :
je ferai pénétrer mes lois dans leur pensée,
je les graverai dans leur cœur.
Alors, vraiment, je serai pour eux leur Dieu,
et ils seront pour moi mon peuple.
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Si cette eau est suffisante pour rendre du moins la pureté extérieure et légale, à combien plus forte raison le sang du Christ purifiera-t-il notre conscience pour nous libérer des œuvres inutiles pour que nous puissions servir le Dieu vivant ! Poussé par l’Esprit éternel, il s’est offert lui-même à Dieu, comme une victime sans défaut et sans tache.
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Ainsi parle le Seigneur :
Voici l’alliance que je ferai avec eux
quand le moment en sera venu :
Je ferai pénétrer mes lois dans leur cœur
et je graverai ma volonté dans leur pensée.
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Écris au messager de l’Église d’Éphèse :
Celui qui tient les sept étoiles dans sa main droite et qui vit au milieu des sept chandeliers d’or parle ainsi :
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Écris au messager de l’Église de Smyrne : Telles sont les paroles de celui qui est le premier et le dernier, celui qui a été mort et a repris vie :
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Écris aussi au messager de l’Église de Pergame : Voici ce que dit celui qui détient l’épée affilée à double tranchant : Je sais où tu demeures : Satan y règne en maître.
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Écris au messager de l’Église de Thyatire : Ainsi parle le Fils de Dieu dont les yeux flamboient comme une flamme ardente et dont les pieds étincellent comme du bronze :
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Écris au messager de l’Église de Sardes :
Ainsi parle celui qui possède l’Esprit de Dieu dans sa plénitude et qui tient les sept étoiles : Je connais tes façons d’agir, je sais que tu passes pour avoir de la vie, mais, en réalité, tu es mort.
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Écris au messager de l’Église de Philadelphie : Voici ce que dit celui en qui se sont incarnées la sainteté et la vérité, qui détient la clé de David – ce qu’il ouvre, nul ne pourra le refermer ; ce qu’il ferme, nul ne pourra le rouvrir :
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Écris au messager de l’Église de Laodicée : Voici ce que dit celui qui s’appelle Amen, celui qui a rendu fidèlement témoignage à la vérité, qui est auteur et origine de la création de Dieu :
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Que celui qui est capable d’écouter prête attention à ce que l’Esprit dit aux Églises.
Et voici les divers caractères qu'y découvre l'apôtre, comme autant de sceaux authentiques : cette lettre, ce ne sont pas des hommes sujets à l'erreur qui l'ont écrite, ainsi qu'un document périssable de papier et d'encre ; Christ en est l'auteur ; et il l'a tracée par le ministère ("service") de Paul, avec l'Esprit du Dieu vivant.
Elle est bien supérieure même aux tables de la loi gravées du doigt de Dieu ; car cette lettre est la vie divine et immortelle répandue dans les cœurs, c'est l'accomplissement des grandes promesses. (Ezéchiel 11.19 ; 36.26 ; Jérémie 31.31 et suivants)
- On a trouvé une difficulté en ce que l'apôtre dit : (verset 2) cette lettre est écrite dans nos cœurs, tandis qu'on aurait dû attendre : (comme verset 3) dans vos cœurs.
Mais pourquoi ? D'abord il faut remarquer ce pluriel communicatif, nos cœurs, dans lequel Paul embrasse avec amour ses lecteurs et lui-même. Même la création d'une Eglise ne serait pas pour l'apôtre un témoignage divin, si, avant tout, il ne portait ce témoignage vivant dans son propre cœur ; son ministère n'a répandu la vie que parce qu'il en était lui-même participant ; celui qui donne et ceux qui reçoivent puisent à la même source ; tout leur est commun. C'est la vérité exprimée ainsi par le Sauveur : "Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive découleront de son sein." (Jean 7.38)