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37
Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. Celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi.
38
Et celui qui ne se charge pas de sa croix pour me suivre n’est pas digne de moi.
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tout comme le Fils de l’homme, qui n’est pas venu pour se faire servir par les autres, mais pour servir lui-même et donner sa vie pour payer la rançon de beaucoup d’hommes.
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Comme ni l’un ni l’autre n’avaient de quoi rembourser leur dette, il en fit cadeau à tous les deux. À ton avis, lequel des deux aura le plus de reconnaissance envers lui ? —
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Je suppose, répondit Simon, que ce sera celui auquel il a fait le plus grand cadeau. — Tu as tout à fait raison, lui dit Jésus.
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Puis, montrant la femme, il continua : — Tu vois cette femme ? Eh bien, quand je suis entré dans ta maison, tu ne m’as pas apporté d’eau pour laver mes pieds ; elle, par contre, me les a arrosés de ses larmes et les a essuyés avec ses cheveux.
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Tu ne m’as pas embrassé, mais elle, depuis qu’elle est entrée, elle n’a cessé de couvrir mes pieds de baisers.
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Tu n’as pas versé d’huile parfumée sur ma tête, mais elle a répandu un parfum précieux sur mes pieds.
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Dans ces conditions, Simon, crois-moi : ses nombreux péchés lui ont été pardonnés. C’est pour cela qu’elle m’a témoigné tant d’amour. Mais celui qui pense avoir peu de choses à se faire pardonner ne manifeste que peu d’amour !
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car voici, pour moi, mon fils était mort, et voilà qu’il est revenu à la vie ; il était perdu, et voici, je l’ai retrouvé. Et ils commencent à se réjouir et à festoyer.
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mais il fallait bien faire une fête et se réjouir, car ton frère est là : il était mort et il est revenu à la vie ; il était perdu, et le voilà retrouvé !
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Mais ils le retinrent avec insistance en disant : — Reste donc avec nous. Tu vois : le jour baisse et le soir approche. Alors, il entra dans le village pour demeurer avec eux.
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Le lendemain, Jean aperçoit Jésus qui se dirige vers lui. Il s’écrie alors : — Voici celui que Dieu lui-même a destiné à se sacrifier comme un agneau pour enlever le péché du monde.
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Oui, vraiment, je vous l’assure : le temps viendra – en fait, nous y sommes déjà – où les morts entendront l’appel du Fils de Dieu, et tous ceux qui l’entendront reprendront vie.
25
La résurrection, lui dit Jésus, c’est moi. Je suis la vie. Celui qui place en moi toute sa confiance vivra, même s’il meurt.
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Vous ne voyez pas qu’il est dans notre intérêt qu’un seul homme meure pour le peuple, afin que toute la nation ne vienne pas à disparaître ?
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En fait, il ne parlait pas ainsi de son propre fond, mais en sa qualité de grand-prêtre en exercice à ce moment, il dit sous l’inspiration de Dieu qu’il fallait que Jésus meure pour son peuple.
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Et ce n’était pas seulement pour (sauver) son peuple qu’il devait mourir, c’était aussi pour rassembler tous les enfants de Dieu dispersés à travers le monde et les unir en un seul corps.
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Celui qui m’aime vraiment, c’est celui qui retient mes instructions et s’applique à les observer. Mon Père aime celui qui m’aime, et moi aussi, je lui témoignerai mon amour et je lui révélerai qui je suis.
22
Jude, à ne pas confondre avec Judas de Kérioth, lui demanda : — Seigneur, pourquoi est-ce seulement à nous que tu veux te faire connaître, et pas aux hommes loin de Dieu ?
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Jésus lui répondit : — Si quelqu’un m’aime, il mettra en pratique ce que j’ai dit. Ainsi mon Père aussi l’aimera : nous viendrons tous deux (vers) lui et nous nous établirons à demeure chez lui.
15
Après le déjeuner, Jésus s’adresse à Simon Pierre : — Simon, fils de Jean, m’aimes-tu plus que ceux-ci ? — Oui, Seigneur, répond-il, tu sais bien que je suis ton ami. Jésus lui dit : — Sois un berger pour mes agneaux.
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Puis il lui redemande une deuxième fois : — Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? — Oui, Seigneur, lui répond Simon. Tu sais que je suis ton ami. Jésus lui dit : — Conduis mes petites brebis.
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Puis, pour la troisième fois, il lui demande : — Simon, fils de Jean, es-tu mon ami ? Pierre est peiné de ce que, cette troisième fois, il lui demande : Es-tu mon ami ? Il lui répond : — Seigneur, tu sais tout, tu sais que je suis ton ami. Jésus lui dit : — Sois un berger pour mes brebis.
19
Mais Pierre et Jean leur répondirent : — Jugez vous-mêmes s’il est juste de vous obéir, à vous, plutôt qu’à Dieu.
20
Pour nous, en effet, il est impossible de garder le silence sur ce que nous avons vu et entendu.
5
Quand Silas et Timothée arrivèrent de la Macédoine, il consacra tout son temps au ministère de la parole. Il démontrait aux Juifs, témoignages à l’appui, que Jésus était bien le Christ, le Messie promis.
2
Or, nous savons que le jugement de Dieu s’exerce sur les faits et non sur l’apparence ; il punira, en toute justice, ceux qui agissent ainsi.
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Quelle différence entre la faute d’Adam et le don gratuit de Dieu ! La portée du péché d’Adam fut immense, certes : par sa faute, il a entraîné à lui seul tous les hommes dans la mort. Cependant, les effets de l’œuvre de Jésus-Christ sont bien plus importants : c’est lui qui nous a acquis la faveur de Dieu, par lui nous sont accordés gratuitement les dons de la grâce divine. Ses bienfaits sont répandus à profusion sur tous ceux qui croient. L’humanité entière bénéficie donc des richesses qu’il nous a acquises.
7
Aucun de nous ne vit pour lui-même et aucun ne meurt pour lui-même. Notre vie ne nous appartient plus.
8
Notre vie durant,
pour notre Seigneur,
nous voulons vivre.
Au dernier moment,
pour notre Seigneur,
nous voulons mourir.
Dans la vie ou dans la mort,
entre les mains du Seigneur
nous demeurerons.
9
En effet, le Christ est mort et revenu à la vie afin d’établir sa domination sur tous, morts et vivants.
14
L’homme qui n’a que ses facultés naturelles n’est pas en mesure de percevoir ce qui vient de l’Esprit de Dieu : il n’accepte pas ses dons et n’admet pas les vérités spirituelles ; elles sont, à ses yeux, « pure folie » et il est incapable de les comprendre. Pourquoi ? Parce que seul l’Esprit de Dieu permet de les discerner ; et c’est à la lumière de cet Esprit qu’elles demandent à être jugées.
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Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur, il n’a pas sa place parmi vous. Maranatha.
7
La loi, gravée lettre par lettre sur des pierres, ne pouvait conduire qu’à la mort, et pourtant son ministère fut inauguré avec un tel déploiement de gloire que les enfants d’Israël ne pouvaient regarder Moïse en face, tant son visage était resplendissant. Cette gloire, toutefois, était bien éphémère et elle s’évanouissait vite.
9
En effet, si un ministère qui juge et condamne les hommes a eu son éclat, combien plus glorieux est celui qui conduit les hommes à être déclarés justes par Dieu !
8
Notez bien, je ne vous donne pas un ordre, je vous cite seulement en exemple le zèle que d’autres ont déployé, pour vous fournir une occasion de prouver la sincérité de votre amour.
9
Vous savez comment notre Seigneur Jésus-Christ a prouvé son amour et sa grâce envers nous : il était riche, mais il s’est fait pauvre et, par amour pour vous, il a vécu pauvrement afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis.
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et si je continue à vivre, ce n’est plus mon ancien moi qui continue à vivre, c’est le Christ vivant qui agit et reproduit sa vie en moi. Le reste de mon existence sur terre est une vie vécue dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé jusqu’à mourir pour moi, à ma place.
1
(Vous aussi, vous avez expérimenté cette puissance vivifiante de Dieu.) Vous étiez (spirituellement) morts à cause de vos fautes et de vos péchés,
2
lorsque vous vous laissiez emporter par le courant de ce monde. Autrefois, toute votre manière de vivre et votre comportement étaient modelés par les habitudes de ce monde. En fait, vous obéissiez à (Satan) qui règne en maître sur l’atmosphère spirituelle que nous respirons et qui influence la mentalité ambiante. Vous viviez dans la dépendance des esprits mauvais qui accomplissaient leurs œuvres en vous, comme ils le font encore en ceux qui refusent d’entrer dans le plan de Dieu.
3
Notre comportement, à nous tous, nous était dicté par nos instincts et nos passions : nous nous laissions aveuglément gouverner par les impulsions de notre être naturel. Tout ce que désiraient nos pensées et notre imagination corrompues, nous l’exécutions, car nous étions comme obligés de céder à tous les caprices de notre nature humaine et de nos sens. Aussi (nous les Juifs) étions-nous, par nature, l’objet de la colère de Dieu comme tout le reste des hommes.
4
Mais Dieu est si riche en bonté ! Lorsque nous étions encore plongés dans la mort à cause de nos désobéissances,
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il s’est chargé de nous avec amour et nous a conduits vers une vie nouvelle en nous communiquant la vie même du Christ – n’est-ce pas pure grâce que vous ayez pu être sauvés ?
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vous serez aussi à même, dans la communion avec les autres chrétiens, de sonder toutes les dimensions du plan de Dieu pour vous, et de réaliser à quel point l’amour du Christ est long, large, profond et élevé.
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Que vous puissiez connaître vous-mêmes cet amour, bien qu’il surpasse tout ce qu’il est possible de connaître ici-bas, jusqu’à ce que tout votre être soit rempli de la pleine présence divine.
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La grâce soit pour toujours avec ceux qui aiment notre Seigneur Jésus-Christ d’un amour sincère et qui lui restent attachés avec une fidélité inaltérable. :::::
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Oui, vous étiez morts à cause de vos fautes, égarés par les convoitises de votre vieille nature, mais en vous unissant au Christ, Dieu vous a fait revivre avec lui en vous pardonnant tous les péchés par sa grâce.
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qui s’est offert en sacrifice afin de libérer l’humanité : sa vie est la rançon qui nous rachète tous de l’esclavage du péché. Voilà ce qui s’est accompli au moment prévu par Dieu. Cela a été dûment attesté en son temps. Nous devons en rendre témoignage chaque fois que l’occasion s’y prête.
6
Quant à celle qui mène une vie dissipée, ne pensant qu’à jouir de la vie, courant après les plaisirs, elle a beau être vivante, elle est déjà (spirituellement) morte.
3
Car il fut un temps où nous-mêmes, dans notre aveuglement et notre folie, nous vivions en insensés, dans la révolte contre Dieu, égarés dans une fausse doctrine, esclaves de toutes sortes de passions et de plaisirs. Nos jours s’écoulaient sous le signe de la méchanceté et de l’envie, une haine mutuelle nous dressait les uns contre les autres.
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Par contre, en Jésus, nous voyons celui qui a été, « pour un peu de temps, abaissé au-dessous des anges ». Mais maintenant, à cause des souffrances et de la mort qu’il a endurées, nous le contemplons « couronné de gloire et d’honneur ». Car cette mort, il devait, par la grâce de Dieu, en éprouver l’amertume pour tout homme.
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Car Dieu est juste ; il ne peut pas oublier vos efforts. Il se souvient de l’activité que vous avez déployée par amour pour lui et des services que vous avez rendus, que vous rendez encore, aux autres chrétiens.
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Vous aimez Jésus sans l’avoir jamais vu, vous placez votre confiance en lui sans le voir encore et, à cause de lui, vous êtes transportés de joie, d’une joie inexprimable qui porte en elle le reflet de la gloire céleste,
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Mes chers enfants, je vous écris tout ceci afin de vous éviter de pécher. Si, toutefois, il arrivait à quelqu’un de commettre un péché, nous avons un défenseur : Jésus-Christ, celui qui est sans péché ; il plaidera notre cause devant le Père.
2
Ne fut-il pas lui-même la victime qui nous vaut la faveur de Dieu en expiant nos péchés – pas seulement les nôtres, mais aussi ceux du monde entier ?
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Nous savons que nous appartenons à Dieu, nous faisons donc partie de sa famille, alors que le monde entier est sous la coupe du diable.
Cet amour nous presse (Grec : "nous tient liés, nous domine"), dit l'apôtre, surtout par la plus émouvante manifestation que Christ nous en a donnée : il est mort pour tous ; donc tous sont morts.
Dans un sens, on pourrait trouver cette conclusion en contradiction avec la doctrine scripturaire que, puisque Christ a souffert la mort pour nous, nous ne devons plus y être assujettis. La réponse à cette objection se trouve complète dans Romains 6.1-11 ; 7.1-6, notes.
Précisément par sa mort pour nous, Christ a rendu possible que nous ne mourions pas dans une condamnation éternelle, mais que le vieil homme meure en nous, ou que nous mourions à nous-mêmes pour que Christ vive en nous. En Christ, la mort fut en même temps le crucifiement de toute volonté propre, il se donna tout entier à l'obéissance qu'il avait vouée à Dieu son Père ; (Matthieu 26.36 et suivants) c'est pour cela que son sacrifice fut accepté et que sa sainte vie triompha de la mort.
Maintenant, unis à lui par une foi vivante, les membres de Christ voient s'accomplir en eux les mêmes expériences que leur Chef a faites, et ainsi sa mort devient, par sa puissance, la mort de tous.