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Caïn dit au Seigneur : « Ma peine est trop lourde à porter.
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Tu me chasses aujourd’hui du sol cultivable, et je vais devoir me cacher loin de toi ; je serai un déraciné, toujours vagabond sur la terre. Quiconque me trouvera pourra me tuer. »
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Mais le Seigneur lui répondit : « Non, car si quelqu’un te tue, il faudra sept meurtres pour que tu sois vengé. » Le Seigneur mit alors sur Caïn un signe distinctif, pour empêcher qu’il soit tué par quiconque le rencontrerait.
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Quand Rachel s’aperçut qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfants, elle devint jalouse de sa sœur. Elle dit à Jacob : « Donne-moi des enfants, sinon je mourrai. »
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Finalement David se vit dans une situation très angoissante, car ses compagnons parlaient de le tuer à coups de pierres ; chacun d’eux était plein d’amertume en pensant à ses fils et à ses filles. Cependant, grâce au Seigneur son Dieu, David reprit courage.
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David répondit à Natan : « Je suis coupable envers le Seigneur, je le reconnais. » – « Puisqu’il en est ainsi, dit Natan, le Seigneur te pardonne ; tu ne mourras pas.
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Yonadab lui demanda : « Prince, pourquoi donc es-tu si déprimé chaque matin ? Ne veux-tu pas me le dire ? » – « C’est que je suis amoureux de Tamar, la sœur de mon demi-frère Absalom », répondit Amnon.
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Quand Ahitofel vit que son conseil n’avait pas été suivi, il sella son âne et retourna dans la ville qu’il habitait ; il donna des ordres à sa famille, puis il se pendit. On l’enterra dans le tombeau de son père.
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si alors, dans le pays où ils sont captifs, ils réfléchissent, s’ils recommencent à te supplier en disant : “Nous avons désobéi, nous avons péché, nous sommes coupables !”,
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s’ils te demandent pardon de tout leur cœur et de toute leur âme dans la contrée ennemie où ils sont captifs, s’ils se tournent vers le pays que tu as donné à leurs ancêtres, vers cette ville que tu as choisie et vers le temple que j’ai construit pour toi, et s’ils te prient,
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toi alors, dans le ciel où tu habites, sois attentif, écoute leur prière suppliante et viens à leur aide ;
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pardonne-leur d’avoir péché contre toi et de t’avoir désobéi, et permets que leurs ennemis les traitent avec pitié.
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Achab s’en retourna chez lui, déçu et furieux à cause de cette réponse de Naboth : « Je ne te céderai pas ce que j’ai hérité de mes ancêtres. » Il se coucha sur son lit, se tourna contre le mur et ne voulut plus rien manger.
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Il se met à chanter, disant à tout le monde : « J’étais fautif, je n’avais pas suivi la règle, mais Dieu m’a épargné la peine méritée.
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Il m’a fait échapper au couloir de la mort, j’ai retrouvé la vie et je vois la lumière. »
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La joie au cœur égaie le visage, la peine provoque la mauvaise humeur.
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Le malheureux vit sans cesse dans la peine. L’homme heureux vit dans une fête continuelle.
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La bonne humeur favorise la guérison, mais la tristesse fait perdre toute vitalité.
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La volonté de vivre soutient l’homme malade, mais qui peut rétablir une volonté défaillante ?
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Ils arrivent en pleurant et en suppliant, et je les accompagne. Je vais les conduire à des ruisseaux pleins d’eau par un chemin facile, sans obstacle qui les fasse trébucher. Car je suis comme un père pour Israël, et c’est Éfraïm qui est mon fils aîné. »
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Les survivants s’enfuiront dans les montagnes et, comme des colombes plaintives, ils gémiront chacun à cause de sa faute.
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Si au contraire un méchant renonce à sa mauvaise conduite et se met à agir de manière juste et honnête, il sauve sa vie.
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Il peut continuer à vivre, puisqu’il s’est rendu compte de ses mauvaises actions et y a renoncé ; il n’y a plus de raison qu’il meure.
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Mais vous, les Israélites, vous dites : “Le Seigneur va trop loin !” Eh bien non, ce n’est pas moi qui vais trop loin, c’est vous qui passez les bornes !
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Pour ma part, je jugerai chacun de vous selon sa propre conduite, je vous l’affirme, moi, le Seigneur Dieu. Changez donc de vie, détournez-vous de tout le mal que vous faites, ne laissez plus aucune faute causer votre perte.
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Hommes et bêtes doivent être couverts d’étoffes de deuil. Que chacun appelle Dieu au secours de toutes ses forces, que chacun renonce à ses mauvaises actions et à la violence qui colle à ses mains.
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Dieu vit comment les Ninivites réagissaient : il constata qu’ils renonçaient à leurs mauvaises actions. Il revint alors sur sa décision et n’accomplit pas le malheur dont il les avait menacés.
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Dieu lui demanda : « As-tu raison d’être en colère au sujet de cette plante ? » Jonas répondit : « Oui, j’ai de bonnes raisons d’être en colère au point de désirer la mort. »
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« Que pensez-vous de ceci ? ajouta Jésus. Un homme avait deux fils. Il s’adressa au premier et lui dit : “Mon enfant, va travailler aujourd’hui dans la vigne.” –
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“Non, je ne veux pas”, répondit-il ; mais, plus tard, il changea d’idée et se rendit à la vigne.
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Le père adressa la même demande à l’autre fils. Celui-ci lui répondit : “Oui, père, j’y vais”, mais il n’y alla pas.
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Lequel des deux a fait la volonté de son père ? » – « Le premier », répondirent-ils. Jésus leur dit alors : « Je vous le déclare, c’est la vérité : les collecteurs d’impôts et les prostituées arriveront avant vous dans le Royaume de Dieu.
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Car Jean-Baptiste est venu à vous en vous montrant le juste chemin et vous ne l’avez pas cru ; mais les collecteurs d’impôts et les prostituées l’ont cru. Et même après avoir vu cela, vous n’avez pas changé intérieurement pour croire en lui. »
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et Pierre se rappela ce que Jésus lui avait dit : « Avant que le coq chante, tu auras prétendu trois fois ne pas me connaître. » Il sortit et pleura amèrement.
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Il leur dit : « Je suis coupable, j’ai livré un innocent à la mort ! » Mais ils lui répondirent : « Cela nous est égal ! C’est ton affaire ! »
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Judas jeta l’argent dans le temple et partit ; puis il alla se pendre.
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De même, je vous le dis, il y a de la joie parmi les anges de Dieu pour un seul pécheur qui commence une vie nouvelle. »
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Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait : “O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.”
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Changez donc de comportement et tournez-vous vers Dieu, pour qu’il efface vos péchés.
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Après avoir entendu ces mots, tous se calmèrent et louèrent Dieu en disant : « C’est donc vrai, Dieu a donné aussi à ceux qui ne sont pas juifs la possibilité de changer de comportement et de recevoir la vraie vie. »
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Je crains qu’à ma prochaine visite mon Dieu ne m’humilie devant vous, et que je n’aie à pleurer sur beaucoup qui continuent à pécher comme autrefois et ne se sont pas détournés de l’impureté, de l’immoralité et du vice qu’ils ont pratiqués.
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il doit instruire avec douceur ses contradicteurs : Dieu leur donnera peut-être l’occasion de changer de mentalité et de connaître la vérité.
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Ils retrouveront alors leur bon sens et se dégageront des pièges du diable, qui les a attrapés et soumis à sa volonté.
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Plus tard, vous le savez, il voulut recevoir la bénédiction de son père, mais il fut repoussé. Il ne trouva aucun moyen de changer la situation, bien qu’il l’ait cherché en pleurant.
Dire qu'on ne s'en repent jamais, c'est dire qu'on en recueille la joie la plus pure. Telle a été la tristesse des Corinthiens. (verset 9)
- La tristesse selon le monde, au contraire, se rapporte tout entière à cette terre, à ses avantages perdus, à ses espérances déçues, à notre orgueil froissé, à nos maux sans remède ; et comme le cœur n'en reste pas moins enchaîné à ce monde qui passe avec sa convoitise, l'âme, qui en est l'esclave, périt avec lui.
Cette tristesse produit la mort. Quelquefois même elle produit littéralement et brusquement la mort : le suicide !
- Quelques interprètes rapportent les mots : dont on ne se repent pas, non à repentance, mais à salut.
C'est plus grammatical peutêtre, mais c'est rendre fade la pensée. Qui a l'idée de se repentir du salut ? La pensée si applicable aux Corinthiens, et exprimée par une piquante antithèse, est effacée par cette construction.