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2 Corinthiens 8.8

I speak not by way of commandment, but as proving through the earnestness of others the sincerity also of your love.
Je ne le dis point par commandement, mais pour éprouver, par l'empressement des autres, la sincérité de votre amour.
Je ne dis pas cela pour donner un ordre, mais pour éprouver la sincérité de votre amour par l’exemple du zèle des autres.
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    • Josué 24

      Ezéchiel 33

      Romains 11

      Romains 12

      9 L'amour mutuel entre les chrétiens, doit être sincère, sans hypocrisie, sans arrière pensée, ni flatteries. Dépendant de la Grâce divine, il doit détester tout mal, aimer et se plaire dans tout ce qui est bon et utile.

      Nous ne devons pas seulement pratiquer ce qui est bon, mais nous devons nous y attacher. Tout notre devoir envers notre prochain se résume en un mot : l'amour. Ce dernier se manifeste chez les parents, envers leurs enfants, il est plus tendre et naturel que tout autre, il n’est pas hypocrite, il n’a pas de contrainte.

      L'amour pour Dieu et notre prochain, avec du zèle pour l'Évangile, rendra le chrétien sage, appliqué à toutes ses occupations ici-bas, en lui permettant d'obtenir, à l’occasion, une bonne compétence professionnelle. Dieu doit être servi, sous l’influence du Saint-Esprit. Il est honoré par notre espérance et notre confiance en Lui, particulièrement quand nous nous réjouissons dans de telles pensées. Nous servons le Seigneur, non seulement quand nous travaillons pour Lui, mais aussi lorsque nous restons sereins, face aux souffrances de l’épreuve.

      La patience à l'égard de Dieu est la véritable piété. Ceux qui se réjouissent dans l'espérance céleste seront vraisemblablement patients dans la tribulation. Ne négligeons pas la pratique de la prière, sans nous lasser.

      Non seulement les chrétiens doivent savoir exprimer de la gentillesse pour leurs amis et leurs frères, mais ils ne doivent pas céder à la colère, même contre leurs ennemis. Celui qui n’adresse que de simples paroles d’encouragement à son frère dans le besoin, se moque de lui : en fait, il doit pourvoir à son soutien. Soyez prêt à aider ceux qui pratiquent le bien : si l'occasion se présente, nous devons accueillir des étrangers. Bénissez-les, ne maudissez pas. Cela exige beaucoup de bonne volonté ; il ne s’agit pas de ne les bénir que dans nos prières, en les maudissant en d'autres temps : il faut les aimer en permanence, n’ayant aucune pensée négative à leur égard.

      Le véritable amour chrétien nous fera prendre part aux peines et aux joies des uns et des autres. Cherchez, dans toute la mesure du possible, à vous entendre avec vos frères, dans les mêmes vérités spirituelles ; quand vous constatez que cela est parfois difficile, soyez au moins unis dans votre amour mutuel. Considérez l’orgueil de ce monde et tous ses fastes, avec un saint mépris. N'y portez pas attention ; ne le convoitez pas.

      Contentez-vous de la position où Dieu vous a placés, dans Sa sainte Providence. Rien ne pourra plus nous nuire que le péché. Nous n’éprouverons jamais de condescendance envers les autres, si nous sommes dépassés par nos propres iniquités ; c'est pourquoi tout péché qui subsiste en nous doit être mortifié.

      1 Corinthiens 7

      25 Étant donné les difficultés relatives au mariage et au divorce, qui régnaient à l'époque où fut rédigée cette épître, le fait de rester célibataire représentait la meilleure solution ! Néanmoins, l'apôtre ne condamne pas le mariage.

      Quel contraste entre ces recommandations de Paul et celles de ceux qui interdisaient à tous de se marier...

      L’apôtre exhorte tous les chrétiens à manifester une « sainte indifférence » envers les pensées philosophiques de ce monde. - En ce qui concerne la famille : ils ne doivent pas chercher à « construire leur bonheur » sur des bases d’origine païennes. - Pour ce qui est des afflictions : ils ne doivent pas céder à la peine engendrée par les souffrances qu’endure cette terre : même dans la peine, le cœur peut rester dans la joie spirituelle. - En ce qui concerne les plaisirs ici-bas : ils ne trouveront aucune paix, ni repos durable. - Au sujet de leur profession ici-bas : ceux qui prospèrent et accroissent leurs richesses, doivent estimer que tout ce qu’ils possèdent leur est accordé par le Seigneur : tout Lui appartient. - Quant à toutes les inquiétudes du monde : ils ne doivent pas s’en soucier outre mesure, afin de ne pas être soumis à toutes sortes d’afflictions.

      Toutes les valeurs de ce monde sont éphémères : aucune n’est vraiment garantie. Tout finira par disparaître ici-bas. Il est sage de prendre conscience des différents intérêts qui dirigent le monde ; s’ils prennent par contre la première place en notre cœur, nous laissant soucieux, anxieux et perplexe, c’est un péché.

      Par ces quelques recommandations, l'apôtre répond à la question de savoir s'il était bon de se marier. La meilleure condition de vie pour tout homme, est celle qui préserve au mieux son âme, qui le garde des soucis et des pièges de ce monde. Examinons les bénédictions dont nous jouissons, les pièges dans lesquels nous tombons : puissions-nous jouir et améliorer les premières, et nous écarter le plus possible de toute blessure causée par ces derniers. Quels que soient nos soucis, gardons encore du temps pour honorer le Seigneur !

      2 Corinthiens 6

      2 Corinthiens 8

      1

      L'apôtre rappelle la charité que l’on doit exercer envers les saints qui traversent la pauvreté. (2 Corinthiens 8:1-6)
      Il souligne leurs dons, l'Amour et la Grâce de Christ. (2 Corinthiens 8:7-9)
      Il rappelle la bonne volonté qu'ils avaient témoignée dans leur ministère pour l’église. (2 Corinthiens 8:10-15)
      Il leur recommande Tite. (2 Corinthiens 8:16-24)

      La Grâce de Dieu doit être la clé, la racine et la source de tout le bien que nous pratiquons, à tout moment. C'est en effet une grande grâce et une faveur de Dieu, si nous sommes utiles aux autres, et engagés dans toute bonne œuvre !

      Paul souligne la charité des Macédoniens qui, sans avoir besoin que l’apôtre les pousse, le prièrent de recevoir un don. Quoi que nous fassions ou employons pour Dieu, ce n'est que Lui rendre ce qui Lui appartient déjà ! Tout ce que nous donnons pour les œuvres de charité ne sera pas agréé par Dieu, tant que nous ne nous serons pas donnés d'abord nous-mêmes au Seigneur...

      En attribuant vraiment toutes nos bonnes œuvres à la Grâce de Dieu, nous ne Lui rendons pas seulement la gloire qui lui est due, mais nous montrons aussi aux hommes à quelle source nous puisons cette force.

      Une joie spirituelle abondante affermit le cœur des hommes dans toute la charité qu’ils peuvent exercer. Quelle différence de conduite avec celle de ceux qui ne pratiquent aucune bonne œuvre, sinon par contrainte !

      10 Les bonnes intentions ressemblent par certains côtés, à des bourgeons ou des fleurs : nous avons plaisir à les regarder, dans l'espoir d’en récolter de bons fruits ; elles sont toutefois vaines et ne signifient rien, quand aucune bonne œuvre ne s’ensuit...

      Les bonnes initiatives sont déjà une chose appréciable, mais nous en perdons tout le bénéfice, si aucune persévérance ne les accompagne. Quand les hommes, suivant leurs capacités, ne cherchent qu’à accomplir leur devoir et qu’à exercer la bonté, Dieu ne les repousse pas.

      L'Écriture sainte ne justifiera jamais ceux qui pensent que les œuvres charitables ou que les bonnes intentions, associées à un esprit bien disposé, permettent d’acquérir le salut. La Providence offre à certains des agréments ici-bas, alors qu’à d'autres, Elle leur fait subir l’épreuve, de sorte que les premiers peuvent aider ceux qui sont dans le besoin.

      La volonté divine, nous dicte de nous aider mutuellement, afin qu’il y ait en quelque sorte, une certaine compensation des inégalités ; il ne s'agit pas d'un nivellement qui détruirait toute différence de situation, car en de tels cas, la charité ne pourrait plus être exercée.

      Nous devrions tous nous sentir concernés par ce sujet, pour soulager ceux qui sont dans le besoin. L'exemple est montré lors de la distribution de la manne dans le désert Exode 16:18. Ceux qui disposent de nombreux biens en ce monde, n'ont finalement guère plus que la nourriture et le vêtement, alors que ceux qui ne parviennent à vivre qu’avec le strict nécessaire, mais dans le contentement, ne manquent finalement de rien...

      2 Corinthiens 9

      Ephésiens 4

      Ephésiens 6

      Hébreux 10

      Jacques 2

      14 Ceux qui, comme beaucoup, en guise de piété, n’ont qu’une simple croyance spéculative de l'Évangile, se méprennent vraiment. Seule la foi véritable, par laquelle les hommes ont part à la justice, à l'expiation et la grâce de Christ, sauve une âme ; cette foi produit des fruits spirituels et saints, elle se révèle par les œuvres ; par contre, un simple assentiment à toute forme de doctrine ou de croyance, est totalement différent de cette foi qui sauve.

      Une profession de foi, non fondée véritablement sur la Parole, peut éventuellement gagner l’estime de ceux qui exercent la piété ; elle peut même procurer, dans certains cas, des bienfaits ici-bas ; mais quel profit y a-t-il, à gagner le monde entier, en perdant son âme ? Cette foi peut-elle sauver ?

      Tous les évènements marquants que nous traversons doivent être examinés : sont-ils ou non, avantageux pour l’avancement spirituel du salut de notre âme ?

      Ce passage de l'Écriture nous enseigne clairement qu'un simple assentiment de l'Évangile, sans les œuvres, n'est pas une foi véritable. Il n'y a aucun moyen de montrer que nous croyons vraiment en Christ, sans être vraiment appliqué à la pratique des bonnes œuvres, sans être motivés par le service de l'Évangile.

      Les hommes peuvent facilement se vanter devant les autres, et prétendre posséder ce qu’ils n’ont pas vraiment. Il ne suffit pas uniquement d'approuver la foi, mais il faut également y adhérer et la vivre ; le fait d’être simplement d'accord avec la vérité de la Parole, n’est pas suffisant, il faut en plus à accepter Christ en son cœur.

      La véritable piété n'est pas un simple acte de compréhension, mais c'est un « travail » qui anime le cœur tout entier. La Parole nous donne deux exemples d’une foi qui justifie, celle qui est accompagnée des œuvres : Abraham et Rahab. Abraham crut Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Sa foi, qui produit de telles œuvres, lui a fait obtenir des faveurs divines particulières.

      Nous voyons ainsi, au verset Jacques 2:24, comment un homme peut être justifié par ses œuvres, et non par une opinion ou une confession stérile, une croyance non suivie d’obéissance ; une âme n’est vraiment justifiée que par une foi produisant de bonnes œuvres. Le fait d'avoir à renier sa propre raison, ses affections, et ses intérêts, permet d'éprouver le véritable croyant.

      Observons dans ce texte, le pouvoir merveilleux de la foi, celle qui transforme les pécheurs : la conduite de Rahab prouvait que sa foi était vivante, productive ; cette femme nous a montré qu'elle croyait vraiment « avec son cœur », et non simplement de manière superficielle.

      Prenons alors bien garde : les meilleures œuvres sans la foi sont des œuvres mortes ; ces œuvres nécessitent racines et principes. Tout ce que nous accomplissons par la foi est véritablement bon, car exécuté en obéissance à Dieu, dans la soumission et Son acceptation : la « racine » de la foi peut être considérée comme morte, quand il n'y a aucun fruit...

      La foi est la racine, les bonnes œuvres en sont les fruits ; par la foi, nous pouvons voir si nous possédons les deux. Telle est la manifestation de la Grâce de Dieu, en laquelle nous nous tenons, et devons rester.

      Il n'y a pas d'état intermédiaire : chacun doit vivre comme un ami ou en ennemi de Dieu. Vivre « en Dieu » est la conséquence de la foi qui justifie et qui sauve ; cela nous oblige à ne rien faire contre Lui, mais à tout faire pour Lui et en Lui !

      1 Pierre 1

      1 Jean 3

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