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2 Rois 13.14

Elisée était atteint de la maladie dont il mourut, quand Joas, le roi d’Israël, lui rendit visite. Il se pencha sur son visage et pleura en répétant : —Mon père ! Mon père ! Mon père ! Toi qui es comme les chars d’Israël et ses équipages !
Et Élisée était malade de la maladie dont il mourut ; et Joas, roi d'Israël, descendit vers lui et pleura sur son visage, et dit : Mon père ! mon père ! Char d'Israël et sa cavalerie !
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      Genèse 48

      1

      Joseph visite son père, mourant. (Genèse 48:1-7)
      Jacob bénit les fils de Joseph. (Genèse 48:8-22)

      Il est très impressionnant pour des jeunes, en pleine force de l'âge, de voir les croyants sur leur lit de mort, et d'écouter leurs prières et leurs conseils : nous ferions bien de faire assister les enfants en de telles occasions, quand cela peut être fait en toute décence. Si le Seigneur est magnifié, il est très souhaitable d'apporter le dernier témoignage de notre vie, en toute vérité et fidélité, en soulignant les diverses joies qu'Il nous a accordées. Et celui qui a ainsi vécu, devrait garder ses dernières forces pour ces exhortations finales.

      Tous les véritables croyants sont bénis à leur mort, mais tous ne quittent pas cette terre avec le même lot de consolations spirituelles. Jacob a adopté les deux fils de Joseph. Ces derniers n'ont pas réussi à atteindre la puissance et la grandeur de leur père, en Égypte ; par contre, ils ont hérité de la promesse faite à Abraham. Ainsi le patriarche mourant conseille à ces jeunes de côtoyer les personnes qui marchent avec Dieu. Il désigne chacun de ses enfants pour être le père d'une tribu distincte. Ces derniers reçoivent un double honneur : par la grâce de Dieu, ils sont préservés de la tentation des richesses de ce monde et ils peuvent ainsi pratiquer la religion dans l'humilité et la pauvreté. Jacob aura pu aussi connaître Éphraïm et Manassé ; il vaut mieux être dans une situation modeste au sein de l'église, que haut placé, hors d'elle.

      2 Rois 2

      2 Rois 6

      2 Rois 13

      2 Rois 20

      1

      La maladie d'Ézéchias, son rétablissement, en réponse à la prière. (2 Rois 20:1-11)
      Ézéchias montre ses trésors aux ambassadeurs de Babylone, Sa mort. (2 Rois 20:12-21)

      Ézéchias était malade à la mort, l'année même où le roi d'Assyrie assiégeait Jérusalem. Ésaïe avertit solennellement le roi, pour que ce dernier s'apprête à faire face à l'issue fatale.

      La prière est l'un des meilleurs moyens pour s'apprêter à affronter la mort : en nous adressant au Seigneur, nous pouvons en effet puiser en Lui Sa force et Sa miséricorde, afin de nous permettre de passer sereinement ce cap difficile.

      Ézéchias pleura vraiment, affecté par la douleur : certains estimèrent alors que le roi priait pour sa guérison, en vue d'échapper à la mort ; la nature humaine redoute en effet la séparation de l'âme et du corps. Il y avait toutefois un fait particulier dans la situation d'Ézéchias : il était maintenant parvenu au milieu de son règne. Sa prière, relatée en Esa 38:1-22, mérite notre attention. Les larmes du roi sont un véritable enseignement : rien n'était pire pour lui que cette crainte de la mort, véritable hantise et supplice. La piété d'Ézéchias le soulagea du désagrément de sa maladie.

      « Éternel, souviens-Toi maintenant »... Le roi ne s'adressa pas à Dieu, pour qu'Il se souvienne de certains faits passés ici-bas, ou pour réclamer une quelconque récompense plus ou moins due.

      Seule la droiture de Christ est capable de nous placer au bénéfice de la Miséricorde et de la Grâce. Ézéchias ne pria pas pour que Dieu l'épargne ; il demanda simplement : « Éternel, souviens-toi de moi », ce qui, en fait, sous-entendait, « quelle que soit l'issue de ma maladie, ne m'abandonne pas » ! Dieu entend toujours les prières d'un cœur contrit : Il accorde alors la santé, la délivrance dans l'épreuve, une longue vie, tout ce qui peut contribuer au bonheur des Siens.

      Ézéchias reçut un cataplasme de figues, en traitement de son ulcère ; si l'on considère la gravité et la soudaineté de la maladie du roi, on ne peut s'empêcher de penser que l'efficacité de son traitement fut vraiment miraculeuse !

      Il est de notre devoir, pour contrecarrer la maladie qui peut parfois nous atteindre, d'employer les moyens simples, naturels, plutôt que d'autres, d'origine « douteuse » : si nous ne faisons pas confiance à Dieu, en fait nous Le tentons.

      Pour affermir la foi d'Ézéchias, l'ombre du soleil recula, et la lumière brilla plus longtemps que d'ordinaire, d'une façon miraculeuse. Ce prodige merveilleux révèle bien que la Puissance divine, se manifeste aussi bien dans le ciel que sur terre ; cela montre également que Dieu est attentif à la prière, et nous révèle le soin qu'Il prodigue à Ses enfants !

      Psaumes 12

      1

      Le psalmiste implore l'aide divine car il n'y a personne parmi les hommes en qui il puisse placer sa confiance.

      Ce Psaume apporte des pensées positives lors des temps difficiles. Un homme trouvera son réconfort dans de telles méditations et prières. Observons ce qui rend les temps difficiles et ce qui les qualifie ainsi. Demandez aux enfants de ce monde : « quelle en est la cause » ? Ils vous répondront : « le manque d'argent, le déclin commercial et la désolation de la guerre ». L'écriture attribue les temps fâcheux à une cause différente, 2Ti 3:1.

      Des temps de péril s'approchent car le péché va surabonder, ce qui d'ailleurs provoque les craintes de David. Quand la piété est en plein déclin, les temps sont vraiment mauvais. Celui qui a fait la bouche de l'homme lui redemandera des comptes pour son orgueil, son impiété, son dérèglement et même pour ses paroles inutiles.

      Lorsque le pauvre et celui qui est dans le besoin sont oppressés, les temps sont alors mauvais. Dieu Lui-même remarque l'oppression du pauvre et les soupirs de celui qui est dans le besoin. Quand la méchanceté abonde et se trouve régie par les autorités, les temps sont alors vraiment fâcheux. Considérons bien toutes les bonnes choses dont nous sommes munis par ces temps difficiles ; et nous pouvons dire quels temps nous sont réservés : - Nous avons un Dieu vers qui aller, à qui nous pouvons demander et espérer la délivrance de toutes nos injustices. - Dieu punira et retiendra vraiment les hommes faux et orgueilleux. - Dieu délivrera son peuple oppressé.

      Son aide arrive toujours au moment opportun. Malgré la fausseté des hommes, Dieu est fidèle ; même si on ne peut leur faire confiance, on peut toujours compter sur Dieu. La valeur précieuse de la Parole de Dieu est comparée à de l'argent affiné au plus haut degré. Combien avons nous reçu de preuves de sa puissance et de sa vérité ! Dieu garde les siens en sécurité, même dans les temps difficiles. Tant que le monde existe, il y aura une génération d'hommes pervers et orgueilleux.

      Mais le peuple de Dieu est placé entre les mains de Christ notre Sauveur. Il se trouve alors en toute sécurité et plus personne ne peut l'atteindre. Étant fondé sur Lui, le Rocher, il ne risque rien car aucune tentation ou persécution ne viendra l'oppresser outre mesure.

      Proverbes 11

      Esaïe 57

      1

      La mort paisible de l'homme droit. (Esaïe 57:1,2)
      Les idolâtries abominables de la nation Juive. (Esaïe 57:3-12)
      Promesses adressées aux humbles et aux repentants. (Esaïe 57:13-21)

      Les justes sont délivrés de « l'aiguillon » de la mort, sans toutefois pouvoir éviter cette étape. Le monde « aveugle » remarque à peine ce genre de disparition.

      Bien peu déplorent la perte d'une personne de valeur, ne discernant même pas qu'il puisse s'agir d'un avertissement solennel. Ils sont aveuglés par leurs convoitises, ils sont incapables de distinguer le mal qu'ils pratiquent, et le danger qui en découle.

      Cependant, l'homme juste, quand il meurt, entre dans le repos en paix !

      Ezéchiel 14

      Ezéchiel 22

      Zacharie 1

      Marc 6

      Jean 11

      Actes 13

      Philippiens 2

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