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15
Et dès que ceux qui portaient l'arche furent arrivés au Jourdain, et que les pieds des sacrificateurs qui portaient l'arche se furent mouillés au bord de l'eau (or le Jourdain déborde sur toutes ses rives tout le temps de la moisson),
16
Les eaux qui descendaient d'en haut s'arrêtèrent, elles s'élevèrent en un monceau, fort loin, près de la ville d'Adam, qui est à côté de Tsarthan ; et celles qui descendaient vers la mer de la campagne, la mer Salée, furent complètement coupées ; et le peuple passa vis-à-vis de Jérico.
17
Mais les sacrificateurs qui portaient l'arche de l'alliance de l'Éternel s'arrêtèrent de pied ferme sur le sec, au milieu du Jourdain, pendant que tout Israël passait à sec, jusqu'à ce que toute la nation eût achevé de passer le Jourdain.
8
Alors Élie prit son manteau, le plia et en frappa les eaux, qui se partagèrent çà et là ; et ils passèrent tous deux à sec.
14
Et il prit le manteau qu'Élie avait laissé tomber de dessus lui ; il en frappa les eaux et dit : Où est l'Éternel, le Dieu d'Élie ? Lui aussi il frappa les eaux, qui se partagèrent çà et là, et Élisée passa.
17
Alors Naaman dit : Mais, je te prie, ne pourrait-on pas donner de cette terre à ton serviteur, la charge de deux mulets ? Car ton serviteur ne fera plus d'holocauste ni de sacrifice à d'autres dieux qu'à l'Éternel.
17
L'homme emporté fait des folies ; et l'homme rusé est haï.
11
L'homme prudent retient sa colère ; et son honneur, c'est d'oublier les offenses.
1
Ensuite il me ramena vers l'entrée de la maison ; et voici, des eaux sortaient sous le seuil de la maison, du côté de l'Orient ; car la façade de la maison regardait l'Orient, et ces eaux descendaient de dessous le côté droit de la maison, au Midi de l'autel.
2
Il me fit sortir par le chemin de la porte du Nord, et me fit tourner par le chemin du dehors, jusqu'à la porte extérieure, un chemin qui regardait l'Orient ; et voici, les eaux coulaient du côté droit.
3
Quand l'homme s'avança vers l'Orient, il tenait en sa main un cordeau, et mesura mille coudées ; il me fit passer au travers des eaux, et j'en avais jusqu'aux chevilles.
4
Il mesura encore mille coudées, et me fit traverser les eaux, qui me venaient jusqu'aux deux genoux ; il mesura encore mille coudées, et me fit traverser les eaux : elles atteignaient mes reins.
5
Il mesura mille autres coudées : c'était un torrent, que je ne pouvais traverser ; car ces eaux s'étaient enflées, et il fallait les passer à la nage ; c'était un torrent qu'on ne pouvait traverser.
6
Alors il me dit : Fils de l'homme, as-tu vu ? Puis il me fit aller et revenir vers le bord du torrent.
7
Quand j'y fus retourné, je vis des deux côtés, sur le bord du torrent, un fort grand nombre d'arbres.
8
Il me dit : Ces eaux vont se rendre dans le district oriental ; elles descendront dans la plaine, et entreront dans la mer ; et lorsqu'elles se seront jetées dans la mer, les eaux de la mer en deviendront saines.
1
En ce jour-là, il y a aura une source ouverte à la maison de David et aux habitants de Jérusalem, pour le péché et pour la souillure.
8
En ce jour-là, des eaux vives sortiront de Jérusalem, une moitié vers la mer d'Orient et l'autre moitié vers la mer d'Occident ; et ce sera en été comme en hiver.
9
Il arriva, en ce temps-là, que Jésus vint de Nazareth de Galilée, et il fut baptisé par Jean dans le Jourdain.
L'Abana : aujourd'hui le Nahr-Ba-rada (le Fleuve froid) que les Grecs appelaient Chrysorroas ou Fleuve d'or ; célèbre pour la pureté de ses eaux. Il sort d'une grotte de l'Antiliban à 25 km de Damas, traverse cette ville divisé en sept bras et va se jeter, 30 km environ plus à l'est, dans le lac le plus septentrional de la Syrie.
Le Parpar est probablement le Nahr-el-Awadj (le Tortueux) qui descend de l'Hermon et se jette dans un lac au sud-est de Damas.
Que toutes les eaux d'Israël. Le Jourdain sort limpide du lac de Génésareth, mais ne tarde pas à se troubler et prend une couleur brun-sale qui provient de la nature de son lit.
Par la simplicité de ce moyen, en lui-même inefficace, Naaman doit apprendre que la guérison proviendra d'une autre cause, supérieure à la nature, et qui agira en vertu de la parole de l'homme de Dieu.