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17
Quand le pharaon eut laissé partir le peuple d’Israël, Dieu ne les conduisit pas par la route du pays des Philistins, bien qu’elle fût la plus directe, car il s’était dit : « S’ils devaient affronter des combats, ils pourraient regretter leur départ et retourner en Egypte. »
13
Moïse leur répondit :
—N’ayez pas peur ! Tenez-vous là où vous êtes et regardez ! Vous verrez comment l’Eternel vous délivrera en ce jour ; ces Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne les reverrez plus jamais.
3
Pourquoi l’Eternel veut-il nous mener dans ce pays-là pour nous y faire massacrer par l’épée, tandis que nos femmes et nos enfants deviendront la proie de nos ennemis ? Ne ferions-nous pas mieux de retourner en Egypte ?
4
Et ils se dirent l’un à l’autre :
—Nommons-nous un chef, et retournons en Egypte.
16
Ce roi ne devra pas avoir une importante cavalerie, et il ne renverra pas le peuple en Egypte pour s’y procurer des chevaux en grand nombre. Car l’Eternel vous a dit : « Vous ne retournerez plus par ce chemin-là. »
68
L’Eternel vous fera reprendre le chemin de l’Egypte sur des bateaux, alors qu’il vous avait dit que vous ne la reverriez plus jamais. Là, vous vous offrirez vous-mêmes comme esclaves à vos ennemis, mais personne ne voudra vous acheter.
11
Il leur dit :
—Voilà quels seront les droits du roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils pour en faire ses soldats et les affectera au service de ses chars de guerre et de ses chevaux, et ils auront à courir devant son char personnel.
4
David lui captura mille chars, sept mille soldats sur char et vingt mille fantassins. Il conserva une centaine de chevaux d’attelage et fit couper les jarrets à tous les autres.
5
A cette époque, Adoniya, fils de David et de Haggith, exprimait son ambition en prétendant :
—C’est moi qui régnerai.
Il se procura un char, des chevaux et cinquante hommes qui couraient devant son char.
26
Salomon se procura mille quatre cents chars et douze mille hommes d’équipage pour ces chars. Il les cantonna dans les villes de garnison ainsi qu’auprès de lui à Jérusalem.
27
Le roi rendit l’argent aussi commun à Jérusalem que les cailloux, et les cèdres aussi nombreux que les sycomores qui croissent dans la plaine côtière le long de la Méditerranée.
28
Les chevaux du roi étaient importés d’Egypte par convois ; une caravane de marchands du roi allait les acheter par convois contre leur prix.
25
Salomon avait quatre mille écuries pour les chevaux et les chars et douze mille hommes d’équipage pour ses chars. Il les cantonna dans des villes de garnison, ainsi qu’auprès de lui à Jérusalem.
7
Oui, je sais maintenant que Dieu soutient son roi
qui a reçu l’onction, il exauce les vœux
de sa demeure sainte,
il le délivrera par l’action de sa force.
1
Malheur à ceux qui s’en vont en Egypte pour avoir du secours,
et qui comptent sur les chevaux,
qui mettent leur confiance dans le nombre des chars
et dans la grande force des équipages,
mais ne regardent pas vers le Saint d’Israël
et ne se soucient pas de l’Eternel !
2
Et pourtant, lui aussi agit avec habileté
pour faire venir le malheur,
il ne révoque pas ce qu’il a décrété
et il se dressera contre le parti des *méchants
et contre les appuis de ceux qui font le mal.
3
L’Egyptien est un homme, il n’est pas Dieu,
et ses chevaux sont des créatures terrestres. Ce ne sont pas des êtres surnaturels.
Quand l’Eternel abaissera sa main,
le protecteur chancellera
et le protégé tombera.
Ils périront tous deux ensemble.
8
Je te lance aujourd’hui un défi au nom de mon maître, le roi d’Assyrie : Je te donnerai deux mille chevaux, si toi tu es capable de fournir autant d’hommes pour les monter.
9
Comment t’y prendrais-tu pour repousser un seul de nos capitaines, même si c’était le moindre des serviteurs de mon maître ? Comptes-tu sur l’Egypte pour te fournir des chars et des équipages de char ?
14
si vous dites : « Non, nous irons plutôt en Egypte, où nous ne connaîtrons plus la guerre, où nous n’entendrons plus le cor sonner l’alerte, où nous ne souffrirons plus de la faim, c’est là que nous nous établirons »,
15
alors, écoutez bien ce que l’Eternel vous dit, à vous, le reste de Juda : Voici ce que déclare le Seigneur des *armées célestes, Dieu d’Israël : Si vous vous obstinez à vouloir émigrer en Egypte et si vous allez vous y établir,
16
l’épée que vous redoutez vous atteindra là-bas, en Egypte, la famine que vous craignez s’attachera à vos pas jusqu’en Egypte et vous y périrez.
15
Mais celui-ci s’est révolté contre le roi de Babylone, il a envoyé des messagers en Egypte pour se procurer des chevaux et un grand nombre de soldats. Réussira-t-il ? Celui qui agit de la sorte s’en sortira-t-il ? Il a rompu l’alliance, et il s’en tirerait ?
5
« Puisqu’ils ont refusé de revenir à moi,
ils ne retourneront pas en Egypte,
ce sera l’Assyrie qui régnera sur eux.
3
Apportez vos paroles
et revenez à l’Eternel,
et dites-lui : « Pardonne toute faute,
accepte qu’en retour,
nous t’offrions en sacrifice en guise de taureaux,
l’hommage de nos lèvres.
16 à 20 La conduite du roi. Et d'abord ce qu'il ne doit pas faire.
Nous avons ici trois défenses, qui tendent toutes trois à établir une ligne de démarcation profonde entre la royauté israélite et celle des nations étrangères.
Premièrement : Le roi ne doit pas vouloir briller par la puissance de ses armées. Et comme c'étaient la cavalerie et les chariots qui faisaient alors, comme aujourd'hui l'artillerie, la grande force des armées, le roi israélite ne devra pas chercher à se procurer ce moyen de force, qui ne convient qu'aux nations conquérantes. Les chevaux sont souvent désignés comme emblèmes de la puissance humaine en opposition au secours qui vient directement de Dieu (Psaumes 20.7 ; 33.17 ; Osée 14.3).
Qu'il ne ramène pas le peuple en Egypte. Ces mots sont rattachés à la première défense, c'est pourquoi l'on n'y a vu qu'une défense intimée au futur roi de renouer des relations habituelles avec l'Egypte en allant se fournir de chevaux dans ce pays où ils abondaient. C'est à ce sens que semblent conduire les mots suivants : pour avoir beaucoup de chevaux. L'expression : ramener le peuple, serait prise dans un sens analogue à celui des mots : descendre en Egypte, dans les passages Esaïe 30.2 et 31.1 : Malheur à ceux qui descendent en Egypte, c'est-à-dire qui cherchent à faire alliance avec l'Egypte pour se mettre sous la protection de ses armées. Seulement il s'agirait dans le Deutéronome, non d'ambassadeurs envoyés pour traiter une alliance politique, mais d'acheteurs de chevaux fournissant les écuries du roi dans les haras égyptiens. Mais est-il possible d'expliquer les mots : ramener le peuple en Egypte, dans un sens aussi spécial et aussi restreint ? Cette expression, surtout si elle est sortie de la bouche de Moïse, pouvait-elle signifier autre chose que faire refaire au peuple de Dieu le chemin qu'il venait de parcourir, d'Egypte en Canaan ? Ce sens seul naturel n'est-il pas confirmé par les mots suivants : L'Eternel vous a dit : Vous ne retournerez pas par ce chemin-là, qui rappellent tout le voyage à travers le désert ? Il ne faut pas oublier les mots explicatifs, de cette défense : Car l'Eternel vous a dit. Si cette défense ne se trouve pas littéralement dans l'Exode et dans les Nombres, elle ressort de toute la manière d'agir de Dieu depuis la sortie d'Egypte. Combien de fois Israël n'avait-il pas voulu retourner en arrière ? Comparez Exode 13.17 ; Nombres 11.4,18,20 : Vous avez pleuré devant l'Eternel, disant : Pourquoi donc sommes-nous sortis d'Egypte ?
14.3 : Nommons un chef et retournons en Egypte ! Dieu s'y était opposé à chaque fois. Comparez aussi la parole Deutéronome 28.68, où Dieu menace le peuple de lui faire refaire un jour, comme châtiment, le voyage qu'il vient de faire en sens inverse comme délivrance. L'expression : retourner en Egypte, a donc un sens beaucoup plus complet que celui qui a été indiqué en premier lieu. Elle s'applique à la velléité d'un souverain israélite qui, pour échapper à son état de faiblesse et d'isolement en Canaan et, pour se mettre sous la protection de l'Egypte, tout en se formant à lui-même une armée puissante, retournerait occuper en Egypte ce nome de Gossen que le peuple avait abandonné sous la conduite de Moïse. Si c'est là le sens de cette expression, ce passage ne peut, en aucune manière, dater du temps de Salomon ou de celui d'un de ses successeurs, car une fois Israël définitivement établi en Canaan, comme il l'était sous les Rois, une supposition comme celle-là est impossible. Elle n'a pu être faite qu'à l'époque où le peuple, encore en état de transition, témoignait, au moindre obstacle qui surgissait, de sa préférence pour son état précédent, et où le lien à peine rompu pouvait plus aisément se renouer.