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17
Lorsque le pharaon laissa partir le peuple, Dieu ne le conduisit pas par le chemin qui passait par le pays des Philistins, mĂȘme si câĂ©tait le plus direct. Dieu se dit en effet : « Le peuple pourrait Ă©prouver des regrets en rencontrant la guerre et retourner en Egypte. »
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MoĂŻse rĂ©pondit au peuple : « Nâayez pas peur, restez en place et regardez la dĂ©livrance que l'Eternel va vous accorder aujourdâhui. En effet, les Egyptiens que vous voyez aujourd'hui, vous ne les verrez plus jamais.
3
Pourquoi l'Eternel nous fait-il aller dans ce pays oĂč nous tomberons par l'Ă©pĂ©e, oĂč nos femmes et nos petits enfants deviendront une proie ? Ne vaut-il pas mieux pour nous retourner en Egypte ? »
4
Et ils se dirent l'un à l'autre : « Nommons un chef et retournons en Egypte. »
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Seulement, qu'il n'ait pas un grand nombre de chevaux et qu'il ne ramĂšne pas le peuple en Egypte pour se procurer beaucoup de chevaux, car l'Eternel vous a dit : âVous ne retournerez plus par ce chemin-lĂ .â
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L'Eternel te ramĂšnera par bateaux en Egypte, par le chemin dont je t'avais dit : âTu ne le reverras plus !âLĂ , vous vous vendrez vous-mĂȘmes Ă vos ennemis comme esclaves et servantes, et il n'y aura personne pour vous acheter. »
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Il dit : « Voici quels seront les droits du roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils et les mettra sur ses chars ou parmi ses cavaliers, ou encore ils devront courir devant son char.
4
David lui prit 1700 cavaliers et 20'000 fantassins. Il mutila les jarrets de tous les chevaux de trait pour ne conserver que 100 attelages.
5
Adonija, le fils de Haggith, se laissa emporter par l'orgueil au point de dire : « C'est moi qui serai roi ! » Il se procura un char et des cavaliers, ainsi que 50 hommes qui couraient devant lui.
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Salomon rĂ©unit des chars et de la cavalerie. Il avait 1400 chars et 12'000 cavaliers, qu'il plaça dans les villes oĂč il gardait ses chars et Ă JĂ©rusalem, prĂšs de lui.
27
Le roi rendit l'argent aussi commun Ă JĂ©rusalem que les pierres, et les cĂšdres aussi nombreux que les sycomores qui poussent dans la plaine.
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C'Ă©tait en Egypte que Salomon achetait ses chevaux. Une caravane de marchands du roi allait les chercher par groupes Ă un prix fixe :
25
Salomon avait 4000 stalles pour les chevaux destinĂ©s Ă ses chars et 12'000 cavaliers qu'il plaça dans les villes oĂč il gardait ses chars et Ă JĂ©rusalem, prĂšs de lui.
7
Je sais maintenant que lâEternel sauve celui quâil a dĂ©signĂ© par onction ; il lui rĂ©pond du ciel, de sa sainte demeure, par le secours puissant de sa main droite.
1
Malheur à ceux qui descendent en Egypte pour avoir du secours, qui s'appuient sur des chevaux et placent leur confiance dans le grand nombre de chars et la force des cavaliers, mais qui ne portent pas le regard sur le Saint d'Israël et ne recherchent pas l'Eternel !
2
Lui aussi, cependant, il est sage. Il fera venir le malheur et ne retirera pas ses paroles. Il se dressera contre la communautĂ© des mĂ©chants et contre le secours apportĂ© par ceux qui commettent lâinjustice.
3
L'Egyptien est un ĂȘtre humain et non Dieu, ses chevaux ne sont que chair et non esprit. Quand l'Eternel dĂ©ploiera sa puissance, le protecteur sera Ă©branlĂ©, le protĂ©gĂ© tombera, et tous ensemble ils disparaĂźtront.
8
Maintenant, passe un accord avec mon seigneur, le roi d'Assyrie, et je te donnerai 2000 chevaux, si tu peux fournir des cavaliers pour les monter.
9
Comment pourrais-tu repousser un seul chef, mĂȘme parmi les serviteurs les moins importants, de mon seigneur ? Comment peux-tu mettre ta confiance dans l'Egypte pour les chars et pour les cavaliers ?
14
si vous affirmez : âNon, nous irons en Egypte oĂč nous ne verrons plus de guerre, n'entendrons plus le son de la trompette et ne manquerons plus de pain, et c'est lĂ -bas que nous habiteronsâ,
15
alors dans ce cas Ă©coutez la parole de l'Eternel, reste de Juda ! Voici ce que dit lâEternel, le maĂźtre de lâunivers, le Dieu d'IsraĂ«l : âSi vous dĂ©cidez vraiment dâaller en Egypte, dans lâintention de vous y rĂ©fugier,
16
l'Ă©pĂ©e dont vous avez si peur vous atteindra lĂ -bas en Egypte, la famine que vous redoutez tant s'attachera Ă vous lĂ -bas en Egypte, et câest lĂ -bas que vous mourrez.
15
Cependant, le nouveau roi s'est rĂ©voltĂ© contre lui en envoyant ses messagers en Egypte pour se procurer des chevaux et un grand nombre d'hommes. Celui qui sâest permis dâagir de cette maniĂšre pourra-t-il arriver Ă ses fins ? Pourra-t-il sâen sortir ? Il a violĂ© une alliance et il sâen sortirait ?â
5
Ils ne retourneront pas en Egypte, mais l'Assyrien sera leur roi, parce qu'ils ont refusé de revenir à moi.
3
Apportez avec vous des paroles et revenez à l'Eternel ! Dites-lui : « Pardonne toutes nos fautes et fais-nous bon accueil ! Nous t'offrirons, au lieu de taureaux, l'hommage de nos lÚvres.
16 Ă 20 La conduite du roi. Et d'abord ce qu'il ne doit pas faire.
Nous avons ici trois défenses, qui tendent toutes trois à établir une ligne de démarcation profonde entre la royauté israélite et celle des nations étrangÚres.
PremiÚrement : Le roi ne doit pas vouloir briller par la puissance de ses armées. Et comme c'étaient la cavalerie et les chariots qui faisaient alors, comme aujourd'hui l'artillerie, la grande force des armées, le roi israélite ne devra pas chercher à se procurer ce moyen de force, qui ne convient qu'aux nations conquérantes. Les chevaux sont souvent désignés comme emblÚmes de la puissance humaine en opposition au secours qui vient directement de Dieu (Psaumes 20.7 ; 33.17 ; Osée 14.3).
Qu'il ne ramĂšne pas le peuple en Egypte. Ces mots sont rattachĂ©s Ă la premiĂšre dĂ©fense, c'est pourquoi l'on n'y a vu qu'une dĂ©fense intimĂ©e au futur roi de renouer des relations habituelles avec l'Egypte en allant se fournir de chevaux dans ce pays oĂč ils abondaient. C'est Ă ce sens que semblent conduire les mots suivants : pour avoir beaucoup de chevaux. L'expression : ramener le peuple, serait prise dans un sens analogue Ă celui des mots : descendre en Egypte, dans les passages EsaĂŻe 30.2 et 31.1 : Malheur Ă ceux qui descendent en Egypte, c'est-Ă -dire qui cherchent Ă faire alliance avec l'Egypte pour se mettre sous la protection de ses armĂ©es. Seulement il s'agirait dans le DeutĂ©ronome, non d'ambassadeurs envoyĂ©s pour traiter une alliance politique, mais d'acheteurs de chevaux fournissant les Ă©curies du roi dans les haras Ă©gyptiens. Mais est-il possible d'expliquer les mots : ramener le peuple en Egypte, dans un sens aussi spĂ©cial et aussi restreint ? Cette expression, surtout si elle est sortie de la bouche de MoĂŻse, pouvait-elle signifier autre chose que faire refaire au peuple de Dieu le chemin qu'il venait de parcourir, d'Egypte en Canaan ? Ce sens seul naturel n'est-il pas confirmĂ© par les mots suivants : L'Eternel vous a dit : Vous ne retournerez pas par ce chemin-lĂ , qui rappellent tout le voyage Ă travers le dĂ©sert ? Il ne faut pas oublier les mots explicatifs, de cette dĂ©fense : Car l'Eternel vous a dit. Si cette dĂ©fense ne se trouve pas littĂ©ralement dans l'Exode et dans les Nombres, elle ressort de toute la maniĂšre d'agir de Dieu depuis la sortie d'Egypte. Combien de fois IsraĂ«l n'avait-il pas voulu retourner en arriĂšre ? Comparez Exode 13.17 ; Nombres 11.4,18,20 : Vous avez pleurĂ© devant l'Eternel, disant : Pourquoi donc sommes-nous sortis d'Egypte ?
14.3 : Nommons un chef et retournons en Egypte ! Dieu s'y Ă©tait opposĂ© Ă chaque fois. Comparez aussi la parole DeutĂ©ronome 28.68, oĂč Dieu menace le peuple de lui faire refaire un jour, comme chĂątiment, le voyage qu'il vient de faire en sens inverse comme dĂ©livrance. L'expression : retourner en Egypte, a donc un sens beaucoup plus complet que celui qui a Ă©tĂ© indiquĂ© en premier lieu. Elle s'applique Ă la vellĂ©itĂ© d'un souverain israĂ©lite qui, pour Ă©chapper Ă son Ă©tat de faiblesse et d'isolement en Canaan et, pour se mettre sous la protection de l'Egypte, tout en se formant Ă lui-mĂȘme une armĂ©e puissante, retournerait occuper en Egypte ce nome de Gossen que le peuple avait abandonnĂ© sous la conduite de MoĂŻse. Si c'est lĂ le sens de cette expression, ce passage ne peut, en aucune maniĂšre, dater du temps de Salomon ou de celui d'un de ses successeurs, car une fois IsraĂ«l dĂ©finitivement Ă©tabli en Canaan, comme il l'Ă©tait sous les Rois, une supposition comme celle-lĂ est impossible. Elle n'a pu ĂȘtre faite qu'Ă l'Ă©poque oĂč le peuple, encore en Ă©tat de transition, tĂ©moignait, au moindre obstacle qui surgissait, de sa prĂ©fĂ©rence pour son Ă©tat prĂ©cĂ©dent, et oĂč le lien Ă peine rompu pouvait plus aisĂ©ment se renouer.