Dictionnaire Biblique de Top Bible

JEU

I Chez les Israélites.

Les jeux n'ont pas tenu dans la vie du peuple d'Israël la place considérable qui leur était faite dans la société gréco-romaine, où l'existence eût paru bien vide sans le théâtre et le cirque. L'Israélite était, en effet, plus préoccupé des réalités intérieures et soucieux de trouver ou de garder le contact avec Dieu que de se répandre au dehors et de se divertir ; le trait essentiel de son caractère était le sérieux et la gravité ; il n'y avait, en Palestine, d'autres réjouissances publiques que les grandes fêtes religieuses traditionnelles (De 12:7,12 16:13-15,2Ch 30:23-27, Ne 8:9,10-17 12:13) ; et lorsque, sous les Séleucides, puis sous Hérode, des tentatives furent faites pour y introduire les jeux publics en usage ailleurs, cela fut regardé par les éléments les plus sains et les plus pieux de la population comme un outrage au sentiment national et un péril pour la foi religieuse (2Ma 4:13 et suivant).

Si austère que fût la vie des enfants d'Israël, elle comportait cependant des délassements, et les jeux n'étaient pas tout à fait inconnus ou proscrits. Il va de soi que l'enfance, comme partout ailleurs, se passait en distractions et amusements de toutes sortes. Le prophète Zacharie évoque, à l'avance, le tableau des rues de la Jérusalem restaurée retentissant, comme autrefois, des cris joyeux et des ébats des enfants (Za 8:5) ; et Jésus fait allusion aux jeux des troupes de garçons et de filles qui, sur les places publiques, jouant aux grandes personnes, simulaient des noces et des funérailles (Mt 11:16 et suivant) ; le livre de Job mentionne un divertissement à l'aide d'oiseaux apprivoisés (Job 40:24) ; le prophète Ézéchiel emprunte à un jeu de garçons (pratiqué encore aujourd'hui par les jeunes Malgaches) le thème d'une de ses actions symboliques (Eze 4:1,3) ; les évangiles apocryphes, enfin, représentent Jésus, enfant, occupé avec des camarades de son âge, à jouer à cache-cache, à faire des personnages ou des animaux en terre glaise, etc. Voir E. Le Camus, Les enfants de Nazareth, Paris, 1900.

Les délassements habituels de l'âge mûr étaient le chant et la danse, accompagnés du jeu de divers instruments de musique (voir art.) : trompette, luth, harpe, flûte ou chalumeau, tambourin, sistre, cymbales et triangle ; on s'y livrait aux banquets de noces (peut-être le Cantique des Cantiques est-il un recueil de chants nuptiaux), après les vendanges et les moissons, ou après quelque exploit fameux pour célébrer une victoire (Ex 15:20, Jug 11:34 21:21,1Sa 18:6, Esa 5:12, Jer 31:4,13, Ec 3:4, Jug 3:7). Les chants et la musique avaient naturellement, comme de nos jours, leur place dans les cérémonies religieuses (Ne 7:67 12:27,46) ; mais la danse elle-même y avait aussi sa part : elle y était même si intimement mêlée que le mot hébreu qui désigne les fêtes rituelles dans les plus anciens documents bibliques appartient à la même famille que le verbe khâgag qui signifie danser ; ainsi que dans l'antiquité hellénique, des processions circulaient en dansant autour des autels ou devant l'arche de l'alliance pour honorer la divinité (Ex 32:6,19, Jug 21:19-21,23,2Sa 6:13-15, Ps 87:7 149:3 150:3) ; à l'époque hasmonéenne, à partir d'Alexandre Jannée, lors de la fête des Tabernacles, les fidèles exécutaient chaque soir, dans le parvis du Temple, une danse aux flambeaux avec accompagnement de cantiques, et terminée par des sonneries de trompettes (Mischna, Soucca, 5).

Proposer et deviner des énigmes était aussi un passe-temps favori des Israélites (Jug 14:10-14,1Ro 10:1-3, Eze 17:2, Pr 1:6). Le jeu de dés, si répandu dans le monde ancien, les jeux de dames ou de marelle (fig. 111), et une sorte de jeu de cartes apparurent tard, en Palestine, à l'époque talmudique.

Quant aux sports que les Israélites semblent avoir connus et pratiqués, on trouve dans l'A. T, des allusions : au lancer de la fronde (Jug 20:16,1Sa 17:49,1Ch 12:2) ; au tir à la cible (1Sa 20:20,35-39 Job 16:12 La 3:12 s) ; au maniement des poids (Za 12:3) ; à la course (2Sa 1:23, Ec 9:11) ; à la balle (Esa 22:17 et suivant). On peut inférer aussi de certains passages que les tournois ne devaient pas leur être inconnus (1Sa 17:10,2Sa 2:12,17).

L'art dramatique et les spectacles demeurèrent ignorés des enfants d'Israël jusqu'au moment où, à la faveur de la politique habile d'Alexandre le Gd et de certains de ses successeurs, l'influence de l'hellénisme pénétra en Palestine. (Si, comme le veulent certains critiques, le Cantique des Cantiques est, non un recueil de chants nuptiaux, mais un drame, il n'y a pas d'apparence qu'il ait été effectivement représenté.) A l'époque des Séleucides, le grand-prêtre Jason, pour plaire à Antiochus Épiphane, fit construire dans Jérusalem, au-dessous de la citadelle, c'est-à-dire tout à proximité du Temple, une palestre ou gymnase et une éphébie (salle d'exercices pour jeunes gens) où le jeu du disque fut très en faveur (2Ma 4:9,15) ; à partir du même moment, on célébra à Tyr de grands concours sportifs qui, à l'imitation des jeux olympiques, revenaient tous les cinq ans : des Juifs y descendaient en spectateurs (2Ma 4:18 et suivant). Plus tard, Hérode le Gd fit bâtir un théâtre dans l'enceinte de la capitale et un amphithéâtre aux portes de la ville et il institua, en l'honneur de l'empereur de Rome, dont il était le vassal, de somptueuses fêtes quinquennales avec combats et courses de chars : l'appât de prix importants y attirait de nombreux compétiteurs.

II En Grèce et à Rome.

Dans la société gréco-romaine, les jeux constituaient une part importante de la VI° sociale. A Rome, en particulier, ils avaient pris un tel développement que, sous l'empire, il y avait cent soixante-quinze jours de jeux publics par an : le reste du temps, « on vivait dans le souvenir des fêtes passées et dans l'attente des fêtes à venir ». La fureur des spectacles était telle que, même en pleine victoire du christianisme, au IV e siècle, les empereurs gagnés à la foi nouvelle n'osèrent pas s'attaquer à cette vieille institution comme l'Eglise les y exhortait, ou ne le firent que timidement, avec les plus grandes précautions, et, du reste, sans succès.

L'apôtre Paul y faisant de fréquentes allusions dans ses épîtres, ce sont surtout les jeux de la Grèce qui doivent retenir l'attention du lecteur de la Bible. A l'origine, ils se célébraient en l'honneur des dieux ou des héros. Ainsi les jeux olympiques, qui se tenaient tous les quatre ans à Olympie (Élide), étaient dédiés à Zeus Olympien ; les jeux pythiques, qui avaient lieu tous les quatre ans également, auprès du sanctuaire de Delphes, étaient dédiés à Apollon Pythien ; les jeux isth-miques se célébraient tous les deux ans à l'isthme de Corinthe, en l'honneur de Poséidon ; les jeux néméens, qui revenaient tous les deux ans à Némée (Argolide), étaient consacrés à Héraclès ou Hercule, vainqueur du lion de Némée. Ces quatre grands jeux rassemblaient des foules considérables, venues non seulement de l'Hellade, mais de toutes les régions avoisinantes. Les plus anciens et les plus importants étaient les jeux olympiques, dont le retour périodique servait de repère pour la notation chronologique des événements, chaque intervalle de quatre ans compris entre deux jeux successifs constituant une olympiade. En dehors de ces quatre grandes manifestations panhelléniques, des jeux analogues se tenaient un peu partout dans la métropole et dans les colonies, où stades et théâtres ne manquaient pas. Les voyages de l'apôtre Paul ont dû lui permettre de connaître de plus près les jeux de Corinthe et ceux d'Éphèse, après avoir certainement vu dans son enfance ceux de Tarse.

Les fêtes commençaient de grand matin par des sacrifices offerts à la divinité : des processions de spectateurs déposaient leurs offrandes au pied des autels. Après quoi, les jeux commençaient : dans le champ appelé stade, se disputaient courses à pied, luttes, ceste ou pugilat, saut, disque, javelot ; dans l'hippodrome, quatre fois plus grand que le stade, courses à cheval et courses de chars. Les arbitres, dont les noms étaient tirés au sort parmi les magistrats de la Cité, devaient s'être préparés à leurs fonctions dix mois à l'avance, en présidant, en particulier, à l'entraînement des athlètes engagés pour les épreuves. Seuls les Hellènes de condition libre étaient admis à concourir ; les esclaves et les barbares étaient exclus. Les concurrents juraient, sur l'autel du dieu en l'honneur duquel se donnaient les jeux, de combattre loyalement et suivant les règles. Le dernier jour des fêtes avait lieu la distribution solennelle des récompenses, qui consistaient simplement en une branche de palmier et une couronne de feuillage : d'olivier à Olympie, de laurier à Delphes, de pin à Corinthe, de lierre à Némée. Un héraut proclamait devant la foule le nom et le pays du vainqueur, auquel les modestes mais pourtant glorieux insignes de son succès étaient remis par les arbitres, et qui, à son retour chez lui, était reçu avec les honneurs du triomphe : il entrait dans sa ville, non par l'une des portes, mais par une brèche pratiquée spécialement à cet effet dans les remparts ; vêtu de pourpre, il était monté sur un char traîné par quatre chevaux blancs ; pour le reste de sa vie, il était un personnage sacré, exempt de charges et d'impôts, nourri dans les sanctuaires, partout assis à la place d'honneur ; sa victoire était chantée en vers et commémorée par une statue à son effigie.

L'apôtre Paul a trouvé dans ces jeux des images dont il s'est servi pour illustrer l'idée, qui lui est chère, que la vie chrétienne est un long et dur combat où il faut apporter énergie, méthode, ténacité, abnégation, et qui s'achève par un magnifique triomphe. On trouve sous sa plume de nombreuses allusions aux diverses phases de ces fêtes sportives. Ainsi, il déclare que la piété exige de l'entraînement (grec 9 ymnase), aussi bien et même plus que les sports, car elle est de plus grande importance et de plus lointaines conséquences : d'où toute une série de conseils pour cet « exercice de la piété » (1Ti 4:7-16) ; il rappelle à son jeune ami Timothée que le conducteur d'âmes, pour avoir un ministère efficace, doit posséder méthode et discipline, tout comme l'athlète qui veut remporter le prix est obligé de se conformer à certaines règles établies (2Ti 2:5) ; il affirme qu'il est indispensable que le chrétien sache s'imposer, comme le lutteur de l'arène, un régime d'abstinences sévères et ne pas ménager son corps (1Co 9:25,27) ; il compare le chrétien à un coureur dont la volonté, les muscles et l'être tout entier sont tendus en avant vers le but (1Co 9:24,26, Ga 2:2, Php 2:16 3:12-14,2Ti 4:7), ou bien à un lutteur engagé dans la lice (1Co 9:25 et suivant, 1Ti 6:12,2Ti 4:7) ; dans le passage bien connu de l'épître aux Éphésiens où il décrit « l'armure de Dieu », peut-être songe-t-il à la course en armes qui terminait le plus souvent les jeux et où les concurrents engageaient le combat équipés en hoplites, c'est-à-dire avec casque, cuirasse, jambières, épée et bouclier (Eph 6:11,17) ; au cours de son long développement sur la résurrection des morts dans 1 Cor., il compare aux combats des bestiaires, importés de Rome vers cette époque dans le bassin de la Méditerranée orientale, les assauts qu'il eut à soutenir à un certain moment à Éphèse, peut-être au cours d'une émeute (1Co 15:32 ; il est difficile de prendre à la lettre les mots : contre les bêtes ; comme citoyen romain, Paul ne pouvait, en effet, être livré aux fauves ; et d'autre part, il n'eût pas manqué de mentionner une si terrible épreuve avec celles dont il fait la gloire de son apostolat dans 2Co 11:23-28) ; il évoque, enfin, à plusieurs reprises, l'heure du triomphe et la remise de la couronne au vainqueur, et il insiste sur l'inestimable valeur de la récompense assurée au fidèle (1Co 9:24 et suivant, Php 3:12,14 4:1,1Th 2 2Ti 4:8) ; cf. Sag 4:2 5:17 et suivant, Sir 32:3.

En dehors des épîtres pauliniennes se trouvent encore quelques allusions aux jeux du stade. Ainsi, lorsque l'auteur de l'épître aux Hébreux exhorte le chrétien, appelé à accomplir sa course sous les yeux de témoins invisibles, à se libérer de tout fardeau et de toute entrave et à fixer ses regards uniquement sur Jésus qui entraîne les croyants et les conduit au but (Heb 12:1 et suivant), il a certainement présente à l'esprit l'image du coureur qui, au milieu de l'amphithéâtre garni de spectateurs, se lance résolument dans la carrière après s'être débarrassé de ses vêtements et ne perd pas de vue un seul instant le but à atteindre. Les apôtres Pierre et Jacques et l'auteur de l'Apocalypse enfin paraissent songer au moment du triomphe et à la gloire du vainqueur des jeux, lorsqu'ils parlent de la couronne glorieuse promise au chrétien fidèle à sa vocation et des palmes offertes aux martyrs de la foi (1Pi 5:4, Jas 1:12, Ap 2:10 7:9). Ch. K.

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    • Exode 15

      20 Miriam la prophétesse, la sœur d'Aaron, prit à la main un tambourin et toutes les femmes sortirent à sa suite avec des tambourins et en dansant.

      Exode 32

      6 Le lendemain, ils se levèrent de bon matin et offrirent des holocaustes et des sacrifices de communion. *Le peuple s'assit pour manger et pour boire ; puis ils se levèrent pour s’amuser.
      19 En s’approchant du camp, il vit le veau et les danses. La colère de Moïse s'enflamma. Il jeta les tables qu’il tenait et les brisa au pied de la montagne.

      Juges 3

      7 Les Israélites firent ce qui déplaît à l'Eternel : ils oublièrent l'Eternel et servirent les Baals et les idoles.

      Juges 11

      34 Jephthé retourna chez lui à Mitspa. Et voici que sa fille sortit à sa rencontre avec des tambourins et des danses. C'était son seul enfant : il n'avait pas de fils et pas d'autre fille.

      Juges 14

      1 Samson descendit à Thimna, et il y vit une jeune fille philistine.
      10 Le père de Samson descendit chez la femme et là, Samson fit un festin, car c'était la coutume chez les jeunes hommes.
      11 Dès qu'on le vit, on invita 30 compagnons qui restèrent avec lui.
      12 Samson leur dit : « Je vais vous proposer une énigme. Si vous réussissez à m’en donner l’explication au cours des 7 jours du festin, si vous la découvrez, je vous donnerai 30 chemises et 30 vêtements de rechange.
      13 Mais si vous ne pouvez pas m’en donner l’explication, ce sera vous qui me donnerez 30 chemises et 30 vêtements de rechange. » Ils lui dirent : « Propose ton énigme et nous l'écouterons. »
      14 Et il leur dit : « De celui qui mange est sorti ce qui se mange, et du fort est sorti le doux. » Pendant 3 jours, ils ne purent expliquer l'énigme.

      Juges 20

      16 Parmi toute cette troupe, il y avait 700 hommes d'élite qui étaient gauchers. Tous ceux-là pouvaient, en lançant une pierre avec la fronde, viser un cheveu sans le manquer.

      Juges 21

      19 Ils se rappelèrent alors qu’il y avait chaque année une fête de l'Eternel à Silo, qui se trouvait au nord de Béthel, à l'est de la route qui montait de Béthel à Sichem, et au sud de Lebona.
      20 Alors ils donnèrent cet ordre aux Benjaminites : « Allez vous placer en embuscade dans les vignes.
      21 Vous ferez le guet et, lorsque les filles de Silo sortiront pour danser, vous sortirez des vignes, vous enlèverez chacun une des filles de Silo pour faire d’elle votre femme, et vous repartirez dans le pays de Benjamin.
      23 C’est ce que firent les Benjaminites. Ils prirent le nombre de femmes nécessaire parmi les danseuses qu'ils enlevèrent, puis ils partirent et retournèrent dans leur héritage. Ils reconstruisirent leurs villes et y habitèrent.

      1 Samuel 17

      10 Le Philistin dit encore : « Je jette aujourd’hui un défi à l'armée d'Israël : donnez-moi un homme, pour que nous nous battions ensemble ! »
      49 Il porta la main à sa gibecière, y prit une pierre et la lança avec sa fronde. Il frappa le Philistin au front et la pierre s'y enfonça. Le Philistin tomba le visage contre terre.

      1 Samuel 18

      6 Alors qu’ils revenaient de guerre, après que David eut tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d'Israël à la rencontre du roi Saül. Elles chantaient et dansaient au son des tambourins et des triangles, et elles poussaient des cris de joie.

      1 Samuel 20

      20 Je tirerai trois flèches du côté de la pierre, comme si je visais une cible.

      2 Samuel 1

      23 Saül et Jonathan, aimés et chéris pendant leur vie, #n'ont pas été séparés dans la mort. #Ils étaient plus légers que les aigles, #ils étaient plus forts que les lions. #

      2 Samuel 2

      12 Abner, fils de Ner, et les serviteurs d'Ish-Bosheth, le fils de Saül, sortirent de Mahanaïm en direction de Gabaon.

      2 Samuel 6

      13 Quand ceux qui portaient l'arche de l'Eternel eurent fait six pas, on sacrifia un bœuf et un veau gras.
      14 David dansait de toute sa force devant l'Eternel et il était habillé d’un éphod en lin.
      15 David et toute la communauté d'Israël firent monter l'arche de l'Eternel avec des cris de joie et au son des trompettes.

      1 Chroniques 12

      2 C'étaient des archers et ils étaient capables d’utiliser aussi bien la main gauche que la droite pour lancer des pierres et tirer des flèches avec leur arc. Ils faisaient partie des frères de Saül, étant issus de Benjamin.

      2 Chroniques 30

      23 Toute l'assemblée décida de célébrer 7 autres jours, et ils célébrèrent ces 7 jours dans la joie.
      24 En effet, Ezéchias, le roi de Juda, avait donné à l'assemblée 1000 taureaux et 7000 brebis, et les chefs 1000 taureaux et 10'000 brebis. De plus, un grand nombre de prêtres s'étaient consacrés.
      25 Toute l'assemblée de Juda, les prêtres, les Lévites, tous les membres du peuple venus d'Israël et les étrangers, qu’ils soient venus du territoire d'Israël ou installés en Juda, se réjouirent.
      26 Il y eut une grande joie à Jérusalem, car depuis le règne de Salomon, fils de David, sur Israël, on n’avait rien vu de pareil à Jérusalem.
      27 Les prêtres lévites se levèrent pour bénir le peuple et leur voix fut entendue, leur prière parvint jusqu'à la sainte demeure de l'Eternel, jusqu'au ciel.

      Néhémie 7

      67 sans compter leurs serviteurs et leurs servantes, au nombre de 7337. Parmi eux se trouvaient 245 musiciens, hommes et femmes.

      Néhémie 8

      9 Le gouverneur Néhémie, le prêtre et scribe Esdras et les Lévites qui donnaient des explications ont dit à l’ensemble du peuple : « Ce jour est un jour saint pour l'Eternel, votre Dieu. Ne prenez pas le deuil et ne pleurez pas ! » En effet, le peuple tout entier pleurait à l’écoute des paroles de la loi.
      10 Ils ont ajouté : « Allez manger un bon repas et boire des liqueurs douces, en envoyant des parts à ceux qui n'ont rien préparé, car ce jour est un jour saint pour notre Seigneur. Ne soyez pas tristes, car c’est la joie de l'Eternel qui fait votre force. »
      11 Les Lévites calmaient tout le peuple en disant : « Taisez-vous, car ce jour est saint. Ne soyez pas tristes ! »
      12 L’ensemble du peuple est donc allé manger et boire, envoyer des parts à d’autres et s’adonner à de grandes réjouissances. Ils avaient en effet compris les paroles qu'on leur avait exposées.
      13 Le deuxième jour, les chefs de famille de tout le peuple ainsi que les prêtres et les Lévites se sont rassemblés auprès du scribe Esdras pour qu’il leur indique le sens des paroles de la loi.
      14 Ils ont trouvé écrit, dans la loi que l'Eternel avait prescrite par l’intermédiaire de Moïse, que les Israélites devaient habiter sous des tentes pendant la fête du septième mois
      15 et faire entendre un message dans toutes leurs villes, tout comme à Jérusalem, pour ordonner : « Allez chercher à la montagne des branches d'olivier, d'olivier sauvage, de myrte, de palmier et d'arbres touffus pour faire des cabanes, conformément à ce qui est écrit. »
      16 Alors le peuple est allé chercher des branches et ils se sont fait des cabanes sur le toit de leurs maisons, dans leurs cours, dans les parvis de la maison de Dieu, sur la place de la porte des eaux et sur la place de la porte d'Ephraïm.
      17 Toute l'assemblée des Juifs revenus de déportation a fait des cabanes et ils y ont habité. Depuis l’époque de Josué, fils de Nun, jusqu'à ce jour-là, les Israélites n'avaient jamais célébré une pareille fête et il y a eu de très grandes réjouissances.

      Néhémie 12

      13 pour celle d’Esdras, Meshullam ; pour celle d’Amaria, Jochanan ;
      27 Au moment de la dédicace de la muraille de Jérusalem, on est allé chercher les Lévites, où qu'ils habitent, et on les a fait venir à Jérusalem afin de célébrer la dédicace dans une fête joyeuse, avec des chants de louange, au son des cymbales, des luths et des harpes.
      46 En effet, à l’époque de David et d'Asaph déjà, cela faisait bien longtemps, il y avait des chefs de musiciens ainsi que des chants de louange et de reconnaissance en l'honneur de Dieu.

      Job 16

      12 J'étais tranquille et il m'a secoué. Il m'a attrapé par la nuque et m'a brisé, il m’a redressé et me prend pour cible.

      Job 40

      24 Est-ce quand il a les yeux ouverts qu'on pourra l’attraper ? Utilisera-t-on des pièges pour lui transpercer le nez ?

      Psaumes 87

      7 Ceux qui chantent et ceux qui dansent s’écrient : « Toutes mes sources sont en toi. »

      Psaumes 149

      3 Qu’ils louent son nom avec des danses, qu’ils le célèbrent avec le tambourin et la harpe !

      Psaumes 150

      3 Louez-le au son de la trompette ! Louez-le avec le luth et la harpe !

      Proverbes 1

      6 pour comprendre les proverbes et les paraboles, les paroles des sages et leurs énigmes.

      Ecclésiaste 3

      4 un temps pour pleurer et un temps pour rire, un temps pour se lamenter et un temps pour danser,

      Ecclésiaste 9

      11 J'ai encore vu, sous le soleil, que la course n'est pas réservée aux plus rapides, ni la guerre aux hommes vaillants, ni même le pain aux sages, la richesse aux intelligents ou la faveur à ceux qui ont de la connaissance. En effet, ils dépendent tous des circonstances, favorables ou non.

      Esaïe 5

      12 La harpe et le luth, le tambourin, la flûte et le vin animent leurs banquets, mais ils ne font pas attention à l'activité de l'Eternel et ne voient pas ce qu’il fait.

      Esaïe 22

      17 L'Eternel va te lancer d'un jet vigoureux, t'envelopper soigneusement

      Jérémie 31

      4 Je te rétablirai encore et tu seras rétablie, jeune fille d'Israël ! Tu resplendiras encore avec tes tambourins et tu te mêleras aux danses de ceux qui manifestent leur joie.
      13 Alors les jeunes filles se réjouiront en dansant, les jeunes hommes et les vieillards se réjouiront ensemble. Je changerai leur deuil en joie et je les consolerai, je les rendrai joyeux après leurs chagrins.

      Lamentations 3

      12 Il a tendu son arc et m'a dressé comme cible pour ses flèches.

      Ezéchiel 4

      1 » Quant à toi, fils de l’homme, prends une brique, place-la devant toi, et dessus tu dessineras une ville : Jérusalem.
      3 Prends une plaque de fer, dresse-la comme un mur de fer entre toi et la ville, et dirige ton regard sur elle. Elle sera assiégée, car tu l'assiégeras. Ce sera un signe pour la communauté d'Israël.

      Ezéchiel 17

      2 « Fils de l’homme, propose une énigme, raconte une parabole à la communauté d'Israël !

      Zacharie 8

      5 Les places de la ville seront remplies de jeunes garçons et filles jouant dehors.

      Zacharie 12

      3 Ce jour-là, je ferai de Jérusalem une pierre lourde pour tous les peuples ; tous ceux qui la soulèveront s’y écorcheront, et toutes les nations de la terre se rassembleront contre elle.

      Matthieu 11

      16 » A qui comparerai-je cette génération ? Elle ressemble à des enfants assis sur des places publiques et qui s'adressent à d'autres enfants

      Romains 10

      1 Frères et sœurs, le vœu de mon cœur et ma prière à Dieu pour les Israélites, c'est qu'ils soient sauvés.
      2 En effet, je leur rends ce témoignage : ils ont du zèle pour Dieu, mais pas conformément à la vraie connaissance.
      3 Ils ignorent la justice de Dieu et cherchent à établir la leur propre ; ils ne se sont donc pas soumis à la justice de Dieu,

      1 Corinthiens 9

      24 Ne savez-vous pas que les concurrents dans le stade courent tous, mais qu'un seul remporte le prix ? Courez de manière à le remporter.
      25 Tous les athlètes s'imposent toutes sortes de privations, et ils le font pour obtenir une couronne qui va se détruire ; mais nous, c’est pour une couronne indestructible.

      1 Corinthiens 15

      32 Si c'est dans une perspective purement humaine que j'ai combattu contre les bêtes à Ephèse, quel avantage m’en revient-il ? Si les morts ne ressuscitent pas, alors mangeons et buvons, puisque demain nous mourrons.

      2 Corinthiens 11

      23 Ils sont serviteurs de Christ ? – Je parle comme un fou. – Je le suis plus encore : j’ai bien plus connu les travaux pénibles, infiniment plus les coups, bien plus encore les emprisonnements, et j’ai souvent été en danger de mort.
      24 Cinq fois j'ai reçu des Juifs les quarante coups moins un,
      25 trois fois j'ai été fouetté, une fois j'ai été lapidé, trois fois j'ai fait naufrage, j'ai passé un jour et une nuit dans la mer.
      26 Fréquemment en voyage, j'ai été en danger sur les fleuves, en danger de la part des brigands, en danger de la part de mes compatriotes, en danger de la part des non-Juifs, en danger dans les villes, en danger dans les déserts, en danger sur la mer, en danger parmi les prétendus frères.
      27 J'ai connu le travail et la peine, j’ai été exposé à de nombreuses privations de sommeil, à la faim et à la soif, à de nombreux jeûnes, au froid et au dénuement.
      28 Et, sans parler du reste, je suis assailli chaque jour par le souci que j’ai de toutes les Eglises.

      Galates 2

      2 J’y suis monté à la suite d'une révélation et je leur ai présenté l'Evangile que je prêche parmi les non-Juifs ; je l'ai exposé en privé à ceux qui sont les plus considérés afin de ne pas courir ou avoir couru pour rien.

      Ephésiens 6

      11 Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu afin de pouvoir tenir ferme contre les manœuvres du diable.
      17 faites aussi bon accueil au casque du salut et à l'épée de l'Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu.

      1 Thessaloniciens 2

      1 Vous savez vous-mêmes, frères et sœurs, que notre arrivée chez vous n'a pas été sans résultat.
      2 Après avoir souffert et avoir été maltraités à Philippes, comme vous le savez, nous avons pris de l'assurance en notre Dieu pour vous annoncer l'Evangile de Dieu à travers bien des combats.
      3 En effet, notre prédication ne repose ni sur l'erreur, ni sur des motifs impurs, ni sur la ruse.
      4 Mais, puisque Dieu nous a jugés dignes de nous confier l'Evangile, nous parlons, non dans l’idée de plaire à des hommes, mais pour plaire à Dieu qui éprouve notre cœur.
      5 Jamais, en effet, nous n'avons eu recours à des paroles flatteuses, comme vous le savez ; jamais nous n'avons eu la soif de posséder pour mobile, Dieu en est témoin.
      6 Nous n'avons pas recherché la gloire qui vient des hommes, ni de vous ni des autres. Nous aurions pu nous imposer en tant qu’apôtres de Christ,
      7 mais nous avons été pleins de bienveillance au milieu de vous. De même qu'une mère prend un tendre soin de ses enfants,
      8 nous aurions voulu, dans notre vive affection pour vous, non seulement vous donner l'Evangile de Dieu, mais encore notre propre vie, tant vous nous étiez devenus chers.
      9 Vous vous rappelez, frères et sœurs, notre peine et notre fatigue : c'est en travaillant nuit et jour, pour n'être à la charge d'aucun d'entre vous, que nous vous avons prêché l'Evangile de Dieu.
      10 Vous en êtes témoins, et Dieu l'est aussi : nous nous sommes comportés envers vous qui croyez d'une manière sainte, juste et irréprochable.
      11 Vous savez aussi que nous avons été pour chacun de vous ce qu'un père est pour ses enfants :
      12 nous vous avons encouragés, réconfortés et suppliés de marcher d'une manière digne de Dieu, qui vous appelle à son royaume et à sa gloire.
      13 C'est pourquoi nous disons sans cesse à Dieu toute notre reconnaissance de ce que, en recevant la parole de Dieu que nous vous avons fait entendre, vous l'avez accueillie non comme la parole des hommes, mais comme ce qu'elle est vraiment : la parole de Dieu agissant en vous qui croyez.
      14 De fait, vous, frères et sœurs, vous êtes devenus les imitateurs des Eglises de Dieu qui sont en Jésus-Christ en Judée, parce que vous aussi, vous avez enduré de la part de vos propres compatriotes les mêmes souffrances qu'elles de la part des Juifs.
      15 Ils ont fait mourir le Seigneur Jésus et leurs prophètes, ils nous ont persécutés, ils ne plaisent pas à Dieu, ils se comportent en adversaires de tous les hommes :
      16 ils nous empêchent de parler aux non-Juifs pour qu'ils soient sauvés et portent ainsi constamment leurs péchés à leur comble. Mais la colère a fini par les atteindre.
      17 Quant à nous, frères et sœurs, séparés de vous pour un peu de temps – de corps mais non de cœur – nous avons redoublé d'efforts pour vous revoir, car c'était notre grand désir.
      18 C'est ainsi que nous avons voulu aller vers vous, du moins moi Paul, à une ou deux reprises, mais Satan nous en a empêchés.
      19 En effet, quelle est notre espérance, ou notre joie, ou notre couronne de gloire ? N'est-ce pas vous aussi, devant notre Seigneur Jésus, lors de son retour ?
      20 Oui, vous êtes notre gloire et notre joie.

      1 Timothée 4

      7 Rejette les contes profanes de vieilles femmes. Exerce-toi plutôt à la piété.
      8 En effet, l'exercice physique est utile à peu de chose, tandis que la piété est utile à tout, car elle a la promesse de la vie présente et de la vie à venir.
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