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24
Mais son arc est demeuré égal à lui-même, Ses mains ont été fortifiées Par les mains du Puissant de Jacob : Il est ainsi devenu le berger, le rocher d’Israël.
8
Et cependant en cet instant l’Éternel, notre Dieu, vient de nous faire grâce en nous laissant quelques rescapés et en nous accordant un abri dans son saint lieu, afin que notre Dieu éclaire nos yeux et nous donne un peu de vie au milieu de notre servitude.
1
Psaume de David. L’Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien.
1
Au chef de chœur. Sur les lis. Témoignage. Psaume d’Asaph.
6
Pour comprendre un proverbe ou une sentence, Les paroles des sages et leurs énigmes.
17
Prête l’oreille et écoute les paroles des sages ; Applique ton cœur à ma connaissance.
11
Les paroles des sages sont comme des aiguillons ; les auteurs de recueils sont comme des clous plantés. C’est le don d’un seul pasteur.
23
Je l’enfoncerai comme un piquet dans un lieu sûr, Et il sera un siège de gloire pour sa famille.
11
Comme un berger, il fera paître son troupeau, De son bras il rassemblera des agneaux Et les portera dans son sein ; Il conduira les brebis qui allaitent.
29
Ma parole n’est-elle pas comme un feu, – Oracle de l’Éternel –, Et comme un marteau qui fait éclater le roc ?
23
J’établirai sur eux un seul berger, qui les fera paître, mon serviteur David, il les fera paître, il sera leur berger.
7
Comme il voyait venir au baptême beaucoup de Pharisiens et de Sadducéens, il leur dit : Races de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir ?
10
Jésus lui répondit : Tu es le docteur d’Israël, et tu ne sais pas cela !
14
Je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent,
37
Après avoir entendu cela, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Frères, que ferons-nous ?
4
Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles, mais elles sont puissantes devant Dieu, pour renverser des forteresses.
12
Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus acérée qu’aucune épée à double tranchant ; elle pénètre jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit, des jointures et des moelles ; elle est juge des sentiments et des pensées du cœur.
20
Que le Dieu de paix – qui a ramené d’entre les morts le grand berger des brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus –
4
et, lorsque le souverain pasteur paraîtra, vous remporterez la couronne incorruptible de la gloire.
11 à 16 : Epilogue.
On a supposé parfois que ces six versets n'étaient pas de l'auteur de l'Ecclésiaste, mais avaient été ajoutés postérieurement pour contrebalancer les paroles en apparence irréligieuses que l'on trouve dans le cours du livre et le terminer par une déclaration décidément orthodoxe et biblique. On allègue en faveur de cette opinion les raisons suivantes :
- L'Ecclésiaste a jusqu'ici parlé de lui-même à la première personne ; il se désigne ici à la troisième
- L'expression mon fils (verset 14) est étrangère à notre livre
- Enfin les éloges décernés à l'Ecclésiaste (versets 11 et 12) se comprennent mieux sous une autre plume que la sienne propre.
Ces raisons ne sont cependant pas décisives. En face de son écrit achevé, l'auteur peut fort bien parler de lui-même à la troisième personne, tandis que, dans le cours de son livre, s'adressant à ses auditeurs, il parlait à la première. L'expression mon fils s'est présentée à lui tout naturellement comme personnification de ses jeunes lecteurs, auxquels il vient de s'adresser (12.1 et suivants) et auxquels il s'intéresse tout particulièrement. Il n'y a absolument rien dans les éloges des versets 11 et 12 que l'Ecclésiaste n'ait pu dire de lui-même en toute modestie. Il n'aurait pas écrit un pareil livre, s'il ne se fût cru sage et capable d'enseigner la sagesse aux autres. Il déclare avoir cherché à être vrai dans le fond et agréable dans la forme. Ce ne sont pas là des choses qu'un auteur ne puisse dire de lui-même sans blesser la loi de l'humilité. Nous savons qu'à la fin du premier siècle de notre ère il se tînt à Jabné un synode Juif dans lequel il s'éleva entre les deux principales écoles juives de ce temps une discussion sur le droit de l'Ecclésiaste à figurer dans le Canon. Il résulte de plusieurs passages du Talmud que, si le parti favorable au maintien de ce livre dans le Canon l'emporta, ce fut grâce aux derniers versets, qui par conséquent en faisaient déjà partie.Le verset 13 pourrait faire supposer que l'épilogue s'applique au livre des Proverbes en même temps qu'à l'Ecclésiaste. En effet, il y est parlé de nombreuses maximes composées par l'Ecclésiaste. On en trouve sans doute un certain nombre dans les chapitres 6 et 10, de telle sorte que l'Ecclésiaste aurait été envisagé comme un supplément des Proverbes. Mais le terme de nombreuses est bien fort pour s'appliquer uniquement à celles qui se trouvent dans ces quelques chapitres. C'est là ce qui a fait penser à quelques interprètes, que l'épilogue s'appliquait à la fois à l'Ecclésiaste et au livre des Proverbes, qui, dans l'ancien Canon juif, précédait immédiatement celui de l'Ecclésiaste. Le verset 13 pourrait, il est vrai, s'appliquer au livre des Proverbes, mais non le verset 12, qui parle des sentences composées par l'auteur même de l'Ecclésiaste.