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Ephésiens 4.17

Je vous dis donc, et je vous conjure de la part du Seigneur, de ne vous conduire plus comme le reste des Gentils, qui suivent la vanité de leurs pensées ;
Par conséquent, voici ce que je voudrais sérieusement vous mettre à cœur : je vous conjure solennellement, au nom du Seigneur et en sa présence, d’abandonner la vie superficielle et vaine des sans-Dieu qui vivent en aveugles dans un monde d’illusions, en suivant leurs pensées vides de sens.
Voici donc ce que je dis et que j'atteste de la part du Seigneur : Ne vous conduisez plus comme le reste des Gentils, qui suivent la vanité de leur esprit ;
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    • Néhémie 9

      Néhémie 13

      15 Le respect du « jour du Seigneur » était pour les Juifs, un fait important, dans leur désir de rétablissement de la véritable piété. Cette dernière ne pouvait en fait prospérer, tant que les sabbats étaient profanés. Il n'est pas étonnant qu'un tel recul général de la dévotion, ait pu être observé en Israël, avec toute la corruption qui pouvait en découler parmi les juifs, par leur abandon du sanctuaire et ce non respect du sabbat. Il ne faut pas en effet sous-estimer le mal commis par cette profanation du « septième jour » de la semaine.

      Nous devrons répondre des péchés que d'autres ont pu commettre, en suivant notre exemple. Néhémie reprocha cette attitude, aux Juifs, soulignant qu'il s'agissait d'un véritable mépris de Dieu et du devenir de leur âme. Le prophète rappela que ce non-respect du jour du Seigneur était l'un des péchés sur lequel Dieu avait apporté Ses jugements à l'encontre du peuple d'Israël ; si ce dernier ne prenait pas l'avertissement au sérieux, en continuant à pécher de la sorte, il était en droit de s'attendre à d'autres châtiments célestes. Dans tous ces faits, le courage, l'ardeur, et la prudence de Néhémie, ont été consignés dans la Parole, afin de nous servir d'exemple ; nous avons de bonnes raisons de penser, que ces avertissements, adressés au peuple Juif, furent respectés pendant un temps assez long.

      Celui qui admet n'être qu'un pécheur, ne demandant à Dieu rien d'autre que l'application de Sa justice, est tout à fait en mesure d'implorer Sa Miséricorde !

      Psaumes 94

      Jérémie 42

      Actes 2

      Actes 14

      Actes 18

      Actes 20

      Romains 1

      26 La véracité de la Parole de notre Seigneur est clairement révélée dans la dépravation horrible des impies : « La lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises ». (\\# Jean 3:19\\). La Vérité n'était pas « à leur goût » !

      Nous savons tous avec quelle promptitude, l’homme arrive à se persuader de pouvoir se dresser contre toute foi en Dieu, malgré l’évidence du message divin. Il n’y a pas de plus grand esclavage, pour un individu, que celui engendré par l’abandon à sa propre convoitise. Comme les païens se sont écartés de toute recherche de la connaissance divine, ils se sont engagés délibérément à commettre des crimes, contre toute raison, finissant par nuire à leur propre bien-être.

      La nature originelle de l'homme, qu'il soit païen ou chrétien, est toujours la même ; les accusations portées par l'apôtre, à l’encontre des hommes, quelle que soit leur époque, restent toujours valables, jusqu'à ce que ces derniers soient amenés à une pleine soumission à la foi de Christ, et renouvelés par la Puissance divine.

      On n’a jamais vu homme, n’ayant aucune raison de regretter sa corruption, ni son aversion secrète à la Volonté de Dieu. Ce chapitre est donc un appel à faire un examen de conscience : la conclusion doit conduire le lecteur vers une profonde conviction de péché, et vers la nécessité d’une délivrance de la condamnation divine.

      1 Corinthiens 1

      1 Corinthiens 6

      9 Dans ce texte, les Corinthiens sont mis en garde contre les nombreux péchés, dont ils étaient autrefois coupables. Le réquisitoire de Paul, sur ce sujet, est très virulent, si nous considérons qu’il était adressé à des personnes fières de leur sagesse et de leurs connaissances.

      Toute perversité est un péché ; tout péché qui demeure, étant commis délibérément et sans repentir, ferme la porte du Royaume des cieux. Ne vous y trompez pas : beaucoup de personnes sont très enclines à se vanter de pouvoir vivre dans le péché, tout en étant « mortes en Christ », annonçant avec arrogance, pouvoir cependant aller au ciel. Nous ne pouvons pas espérer vivre « selon la chair », et jouir plus tard, de la vie éternelle.

      Paul rappelle aux Corinthiens, quels ont été les changements que l'Évangile et la Grâce de Dieu ont opéré sur eux. Le sang de Christ, et la purification de la régénération, peuvent effacer toute culpabilité. Notre justification est due à la souffrance et au mérite de Christ ; notre sanctification provient de l'œuvre du Saint-Esprit ; toutes deux vont de pair. Tous les sanctifiés, aux yeux du Seigneur, le sont par Sa Grâce !

      1 Corinthiens 15

      2 Corinthiens 9

      6 L'argent donné au titre de la charité peut paraître gaspillé, au vu de l'esprit charnel ; mais quand il est donné à des fins utiles, il est pour ainsi dire, une « graine semée », de laquelle on attend une croissance précieuse. Cependant, cet argent doit être donné avec circonspection.

      Les dons de charité, comme tous ceux qui concernent les bonnes causes, doivent être effectués après réflexion. L’esprit dans lequel nous donnons, suivant les circonstances, ainsi que ceux que nous sommes sur le point de soulager par notre don, doivent diriger notre attitude. Cette aide devrait être donnée selon nos possibilités, sans contrainte, avec joie.

      Alors que certains donnent en toute libéralité, tout en connaissant une croissance remarquable, d'autres retiennent plus que leur nécessaire et tendent vers la pauvreté. Si nous avions davantage de foi et d'amour, nous gaspillerions moins pour nous-mêmes, et « sèmerions » plus pour les autres, dans l'espoir d'une croissance abondante !

      Un homme peut-il être « perdant » en cherchant à satisfaire la volonté divine ? Le Seigneur est capable de faire abonder Sa Grâce envers nous, Il sait faire croître notre spiritualité. Il peut nous satisfaire en tous points et nous donner tout contentement quant à ce que nous possédons.

      Dieu n’accorde pas Ses largesses seulement pour nous-mêmes, mais également, quand nous œuvrons pour les autres : il s’agit là, en quelque sorte d’un témoignage à répandre.

      Nous devons vraiment montrer notre obéissance à l'Évangile, par le biais de notre charité. Ce sera le « crédit » de notre profession de foi et un éloge à la Gloire de Dieu. Essayons de suivre l'exemple de Christ : inlassable dans la pratique du bien, sachant qu'il y a davantage de bénédictions à donner qu’à recevoir !

      Béni soit Dieu pour le don inexprimable de sa Grâce, par lequel Il conseille à Ses fidèles serviteurs de donner aux autres, afin d’inciter ces derniers à la reconnaissance ! Béni soit Son Nom glorieux, en toute éternité, pour Son Fils, Jésus-Christ, le don inestimable de Son Amour, au travers duquel tout ce qui est afférent à la vie et à la piété, nous est donné librement, au-delà de toute expression, mesure, ou contrainte !

      Galates 3

      Galates 5

      Ephésiens 1

      Ephésiens 2

      1

      Richesse de la Grâce de Dieu envers les hommes, révélée à cause de l’état déplorable de leur nature ; l’heureux changement qu’Elle opère en eux. (Ephésiens 2:1-10)
      Les Éphésiens appelés à réfléchir sur leur triste état, qui frôlait le paganisme. (Ephésiens 2:11-13)
      Les privilèges et les bénédictions de l'Évangile. (Ephésiens 2:14-22)

      Le péché est la mort de l'âme. Un homme qui est mort dans ses offenses et ses péchés, ne recevra aucun bien-être spirituel.

      La vue d’un cadavre suscite en nous un sentiment d’horreur. L’esprit, toujours vivant, vient de quitter ce corps, en ne laissant que les « ruines » de ce dernier. Mais en étant vraiment réalistes, nous devrions être bien plus affectés par la mort d'une âme, par un esprit perdu.

      Un état de péché est conforme à celui du monde. Les hommes mauvais sont des esclaves de Satan. Celui-ci est à l’origine du cœur orgueilleux et charnel que l’on voit chez les impies ; en fait, Satan gouverne le cœur des hommes...

      Selon l'Écriture, il est clair que si les hommes se sont rapidement penchés vers la sensualité ou la méchanceté spirituelle, étant par nature des « enfants de désobéissance », ils sont aussi de ce fait, des « enfants de colère ». Les raisons qui peuvent alors pousser les pécheurs à vraiment rechercher la Grâce, qui seule, les transformera, « d'enfants de colère » en enfants de Dieu et héritiers de Sa Gloire, sont vraiment évidentes !

      L'Amour éternel de Dieu et Sa Volonté de sauver Ses créatures sont la source de toutes Sa Miséricorde envers nous ; il s’agit d’un Amour immense et d’une riche Miséricorde. Chaque pécheur converti est un pécheur sauvé, délivré du péché et du courroux divin. La Grâce qui sauve est entièrement gratuite et imméritée, c’est une faveur divine ; Elle sauve, non pas selon les œuvres de la loi, mais par la foi en Jésus-Christ. La Grâce représente pour l'âme une nouvelle vie. Un pécheur régénéré devient une « âme vivante » ; il vit désormais dans la sainteté, étant né de Dieu : il vit, étant délivré de la culpabilité de ses péchés, par la Grâce qui pardonne et qui justifie.

      Les pécheurs vaquent dans la dépravation de ce monde ; les âmes sanctifiées « résident » dans les lieux célestes, elles sont élevées au-dessus de ce monde, par la Grâce de Christ. La bonté divine, qui a converti et sauvé les pécheurs repentants, encourage les autres à espérer dans la Grâce et la Miséricorde. Notre foi, notre conversion, et notre salut éternel, ne proviennent pas des œuvres, afin que personne ne puisse s'en glorifier, afin que toute vantardise soit vaine.

      Tout salut provient du don gratuit de Dieu ; nous sommes « ramenés » à la vie par Son pouvoir. Tel était Son but, auquel Il nous a préparés, en nous bénissant, par la connaissance de Sa Volonté et de Son Esprit Saint ; cela opère un tel changement en nous, que nous devons glorifier verbalement le Seigneur, et persévérer dans la sainteté.

      Sur les bases de l'Écriture, nul ne peut contredire cette doctrine du salut, ni l'accuser faussement de nous conduire à nouveau vers le mal. Tous ceux qui font ainsi sont sans excuse.

      Ephésiens 4

      17 L'apôtre exhorte les chrétiens d’Éphèse, au Nom et par l'autorité du Seigneur, à ne pas continuer à vivre comme les impies, qui marchent dans de vaines convoitises et diverses affections charnelles.

      Les Païens, de tous côtés, ne marchent-ils pas dans la vanité de leur esprit ? Ne devons-nous pas faire la distinction entre les véritables chrétiens et ceux qui ne le sont « que de nom » ?

      Ceux qui se livrent au péché ne possèdent aucune connaissance du salut ; ils sont assis dans les ténèbres, les préférant à la lumière. Ils ont une aversion et de la haine pour la sainteté : elle ne représente par pour eux le chemin de vie que Dieu exige et approuve, et par lequel nous vivons pour Lui ; cette sainteté est aussi la ressemblance à Dieu Lui-même, dans Sa pureté, Sa justice, Sa vérité et Sa bonté.

      La Vérité de Jésus-Christ se manifeste dans Sa magnificence et Sa puissance.

      L’homme, par nature, est corrompu ; sa nature est composée de divers éléments, se soutenant et s’activant tous ensemble : les désirs coupables ne sont que des convoitises trompeuses ; ils promettent le bonheur, mais en fait, rendent plus misérable ; ils conduisent à la destruction, s'ils ne sont pas combattus ni mortifiés. Ces mauvais penchants doivent être abandonnés, tels de vieux vêtements souillés ; ils doivent être éradiqués.

      Il n'est pas suffisant d’abandonner la corruption ; nous devons également posséder les principes de la Grâce. Par « l'homme nouveau » il faut comprendre la « nouvelle nature », la « nouvelle créature », dirigée par un nouveau principe : la Grâce qui régénère, incitant le racheté à mener une nouvelle vie, de justice et de sainteté. Toute cette « marche spirituelle » est générée par le pouvoir tout-puissant de Dieu !

      Ephésiens 5

      3 Tous les types d’immoralité doivent être éradiqués. Ces péchés doivent être redoutés et bannis.

      Ce texte ne comporte pas que des avertissements relatifs aux transgressions gravissimes, mais aussi à tout ce qui peut les révéler. Ces pratiques dégradantes sont si nuisibles à l’âme, qu'elles polluent et souillent littéralement l’entourage de ceux qui les pratiquent.

      Lorsque nous devenons chrétiens, notre bonne humeur doit être manifeste, elle doit mettre en valeur la Gloire de Dieu. Un homme cupide fait de son argent son dieu ; il place son espérance, sa confiance et sa raison de vivre, dans les biens de ce monde, au lieu de se consacrer au Seigneur.

      Ceux qui se complaisent dans la convoitise et dans l'amour du monde, n'appartiennent pas au Royaume de la Grâce, ils ne parviendront jamais à connaître la Gloire divine. Quand les plus vils transgresseurs se repentent et croient en l'Évangile, ils deviennent des « enfants d'obéissance », et de ce fait n’ont plus à craindre le courroux divin.

      Oserons-nous vraiment chercher ce qui pourrait nous amener à subir la colère de Dieu ? Les pécheurs, semblables à des hommes errants dans les ténèbres, ne savent où ils vont, ni ce qu'ils font. Mais la Grâce de Dieu est tout à fait capable d’opérer de puissants changements dans l’âme du pécheur.

      Marchons comme des « enfants de lumière », dans la connaissance de la Parole et dans la sainteté. Les œuvres des ténèbres sont toutes stériles, quels que soient les profits qu’elles peuvent engendrer ; toutes se terminent par la destruction du pécheur impénitent.

      De nombreux chemins favorisent la complicité avec les iniques ; il est très facile de prendre part aux péchés des autres, suite à de mauvais conseils, des faiblesses ou certaines dissimulations... Si nous partageons avec d'autres leurs péchés, nous devrons aussi craindre de partager leurs fléaux. Si nous ne blâmons pas les péchés des autres, nous en sommes alors les complices...

      Un homme pieux aura honte de parler du péché, alors que de nombreux iniques n’éprouvent aucun scrupule à le pratiquer. Nous ne devons pas reconnaître simplement l’existence et l’horreur du péché, mais nous devons le considérer en tant qu’infraction à la sainte loi de Dieu.

      Après les différents appels à la repentance, des prophètes et des apôtres, nous devons inciter ceux qui sont « endormis et morts » dans le péché, à se « réveiller et à se lever », pour que Christ puisse leur donner la Lumière !

      Colossiens 2

      18 Le fait de s’adresser uniquement aux anges pouvait faire croire à une fausse humilité, comme si les hommes, conscients de leur indignité, ne pouvaient parler directement à Dieu. Cette pensée n'avait en fait aucun sens ; elle pouvait signifier en effet : ne pas oser usurper l’honneur d’approcher le Père, honneur revenant seulement à Christ, en ne permettant pas à la créature d’approcher le Créateur. Il y avait vraiment de l'orgueil dans ce semblant d'humilité.

      Ceux qui vouent un culte aux anges répudient Christ, le seul Médiateur entre Dieu et les hommes. Le fait de faire appel à des intercesseurs autres que Christ en personne, représente une véritable insulte à ce Dernier, la Tête de l'Église. Quand les hommes nient l'influence de Christ en leur cœur, ils se vouent alors à diverses sortes d’égarements...

      Le corps de Christ est un élément qui croît. Les véritables croyants ne peuvent pas vivre selon les vaines manières de ce monde. La véritable sagesse consiste à suivre les préceptes de l'Évangile, dans une soumission entière à Christ, l’unique chef de Son église.

      Les pénitences et les jeûnes que l'on peut s'imposer, peuvent donner aux autres l’impression d’une rare spiritualité et d’une bonne disposition à souffrir pour le Seigneur, mais en fait, cela ne rend aucun honneur à Dieu. Ce genre d’activité peut tendre, dans une vaine manière, à satisfaire l'esprit charnel, en gratifiant l’amour propre, une soi-disant sagesse, et une satisfaction personnelle, (avec un éventuel mépris des autres.) Ces activités ne sont qu'une ostentation de pseudo sagesse ou un semblant de témoignage, sans utilité, ni satisfaction de la chair.

      Ce que le Seigneur a considéré comme sans importance, estimons-le comme tel, laissons cependant aux autres toute liberté en ce sens ; souvenons-nous que toutes les activités de ce monde ne sont qu’éphémères, cherchons vraiment à glorifier Dieu, quant à leur usage...

      Colossiens 3

      5 Notre devoir consiste à « mortifier les membres » qui nous incitent à céder aux convoitises du monde : nous devons les empêcher de nuire, les tuer, les supprimer, telles de mauvaises herbes ou de la vermine qui se répand et détruit tout sur son passage.

      Nous devons nous opposer continuellement à toutes les œuvres corrompues, aucune place ne doit être accordée aux indulgences charnelles. Toute occasion de pécher doit être évitée : la convoitise de la chair, l'amour du monde, la cupidité, (qui est de l’idolâtrie), l'amour des biens de ce monde et des vains plaisirs.

      Il est essentiel de mortifier nos péchés, car si nous ne les éradiquons pas, eux nous « tueront » littéralement. L'Évangile est capable de transformer les mauvais penchants de l'âme, quelle qu’en soit la gravité, Il révèle les règles d’une pieuse conduite à la conscience, Il la prévient des vains désirs et des mauvaises passions.

      Il n'y a désormais pour les enfants de Dieu, aucune différence d’origine, ni de conditions de vie : il est du devoir de chacun d'être saint, parce que Christ est tout ; Il est pour chaque chrétien, son seul Seigneur et Sauveur, Il représente toute son espérance et son bonheur spirituel !

      1 Thessaloniciens 4

      1

      Exhortations à la pureté et la sainteté. (1 Thessaloniciens 4:1-8)
      À l'amour fraternel, à une conduite pacifique et à la diligence dans la piété. (1 Thessaloniciens 4:9-12)
      Ne pas être affligé par la disparition des frères dans la foi, compte tenu de la résurrection glorieuse de leurs corps, lors de la seconde venue de Christ. (1 Thessaloniciens 4:13-18)

      Le fait de suivre la doctrine de l'Évangile n'est pas suffisant, nous devons en plus, progresser dans la foi. C’est pour chacun une règle, qui consiste à marcher et agir selon les commandements donnés par le Seigneur Jésus-Christ.

      La sanctification dans le renouvellement spirituel des Thessaloniciens, sous l’influence du Saint-Esprit, et dans le respect de leurs devoirs attitrés, représentait vraiment la Volonté divine, à leur égard. En aspirant à ce renouvellement de l'âme, dans la sainteté, une stricte retenue doit être appliquée envers nos mauvais penchants charnels et nos vaines pensées, qui ne peuvent nous conduire qu’à mal utiliser nos dons.

      Le Seigneur n'appelle personne dans « Sa famille », pour vivre une vie profane ; Il désire au contraire voir les Siens garder Son enseignement, afin qu’ils marchent dans la sainteté.

      Certains ne perçoivent que les « lueurs » des préceptes de cette sainteté, parce qu'ils n’entendent que l’enseignement des hommes ; mais ils doivent en fait suivre les commandements de Dieu ; les contourner, c'est mépriser Dieu...

      1 Timothée 5

      1 Timothée 6

      2 Timothée 4

      1 L'apôtre Paul recommande solennellement à Timothée de s’appliquer, dans l’exercice de son ministère, bien que beaucoup, dit-il, ne supporteront pas la saine doctrine. (2 Timothée 4:1-5) Il renforce cette recommandation, à l’approche de son propre martyre. (2 Timothée 4:6-8) Paul désire que Timothée vienne le voir rapidement. (2 Timothée 4:9-13) Paul avertit ceux qui l'ont abandonné ; il exprime sa foi, quant à son départ vers le royaume céleste. (2 Timothée 4:14-18) Salutations amicales et bénédiction habituelle. (2 Timothée 4:19-22)

      2 Timothée 4:1-5 Il viendra un temps où les hommes se détourneront de la Vérité : ils se lasseront d’entendre l’Évangile de Christ, en se tournant avec plaisir vers les « fables » du monde.

      Ces personnes prendront de telles voies, qu’elles ne supporteront plus toute prédication qui puisse les déranger.

      Ceux qui éprouvent de la compassion pour les âmes doivent toujours rester très vigilants, ils doivent supporter toutes les douloureuses épreuves inhérentes à leur fidélité, et saisir toutes les occasions de faire connaître l’Évangile !

      1 Pierre 1

      1 Pierre 4

      2 Pierre 2

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