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En effet, le péché n’aura plus de pouvoir sur vous, puisque vous n’êtes pas soumis à la loi mais à la grâce de Dieu.
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Il en va de même pour vous, mes frères. Vous êtes morts à l’égard de la loi, en étant unis au corps du Christ. Ainsi vous appartenez maintenant à un autre, c’est-à-dire à celui qui a été ramené d’entre les morts afin que nous produisions ce qui est agréable à Dieu.
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Maintenant que le temps de la foi est venu, nous ne dépendons plus de ce surveillant.
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En d’autres mots, voici ce que je veux dire : aussi longtemps qu’un héritier est mineur, sa situation ne diffère pas de celle d’un esclave, bien que théoriquement tout lui appartienne.
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En fait, il est soumis à des personnes qui prennent soin de lui et s’occupent de ses affaires jusqu’au moment fixé par son père.
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Nous, de même, nous étions précédemment comme des enfants, nous étions esclaves des forces spirituelles du monde.
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Mais quand le moment fixé est arrivé, Dieu a envoyé son Fils : il est né d’une femme et il a été soumis à la loi juive,
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afin de délivrer ceux qui étaient soumis à la loi, et de nous permettre ainsi de devenir enfants de Dieu.
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Pour prouver que vous êtes bien ses enfants, Dieu a envoyé dans nos cœurs l’Esprit de son Fils, l’Esprit qui crie : « Abba, ô mon Père ! »
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La prêtrise lévitique était à la base de la loi donnée au peuple d’Israël. Or, si les prêtres lévitiques avaient réalisé une œuvre parfaite, il n’aurait pas été nécessaire qu’apparaisse un prêtre différent, dans la tradition de Melkisédec et non plus dans la tradition d’Aaron.
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Car lorsque la prêtrise est changée, on doit aussi changer la loi.
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Et notre Seigneur, auquel ces paroles se rapportent, appartient à une autre tribu, dont personne n’a jamais effectué le service de prêtre à l’autel.
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Il est bien connu qu’il se rattachait, de naissance, à la tribu de Juda, dont Moïse n’a rien dit quand il a parlé des prêtres.
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Voici un fait qui rend tout cela encore plus évident : l’autre prêtre qui est apparu est semblable à Melkisédec.
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Il n’est pas devenu prêtre d’après des règles relatives à la descendance humaine ; il l’est devenu par la puissance d’une vie qui n’a pas de fin.
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En effet, l’Écriture l’atteste : « Tu seras prêtre pour toujours dans la tradition de Melkisédec. »
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Ainsi, l’ancienne règle a été abolie, parce qu’elle était faible et inutile.
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La loi de Moïse, en effet, n’a rien amené à la perfection. Mais une espérance meilleure nous a été accordée et, grâce à elle, nous pouvons nous approcher de Dieu.
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Tout grand-prêtre est établi pour offrir des dons et des sacrifices ; il faut donc que le nôtre ait aussi quelque chose à offrir.
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S’il était sur la terre, il ne serait pas même prêtre, puisqu’il y en a déjà qui offrent les dons conformément à la loi juive.
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La fonction exercée par ces prêtres n’est qu’une copie, qu’une ombre des réalités célestes. Cela correspond à ce qui s’est passé pour Moïse : au moment où il allait construire la tente sacrée, Dieu lui a fait cette recommandation : « Tu veilleras à ce que ton travail soit conforme au modèle que je t’ai montré sur la montagne. »
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Mais maintenant, Jésus a été chargé d’un service bien supérieur, car il est l’intermédiaire d’une alliance bien meilleure, fondée sur de meilleures promesses.
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Si la première alliance avait été sans défaut, il n’aurait pas été nécessaire de la remplacer par une seconde.
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Mais c’est bien des fautes que Dieu reproche à son peuple, quand il dit : « Les jours viennent, déclare le Seigneur, où je conclurai une alliance nouvelle avec le peuple d’Israël et le peuple de Juda.
9
Elle ne sera pas comme celle que j’ai conclue avec leurs ancêtres quand je les ai pris par la main pour les faire sortir d’Égypte. Ils n’ont pas été fidèles à cette alliance-là, par conséquent je ne me suis plus soucié d’eux, dit le Seigneur.
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Voici en quoi consistera l’alliance que je conclurai avec le peuple d’Israël après ces jours-là, déclare le Seigneur : J’inscrirai mes instructions dans leur intelligence, je les graverai dans leur cœur : je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
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Aucun d’eux n’aura plus besoin de s’adresser à son concitoyen ou à son frère pour lui enseigner à me connaître, car tous me connaîtront, tous, du plus petit jusqu’au plus grand.
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En effet, je pardonnerai leurs torts, je ne me souviendrai plus de leurs fautes. »
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En parlant d’une alliance nouvelle, Dieu a rendu ancienne la première ; or, ce qui devient ancien et qui vieillit est près de disparaître.
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Le Saint-Esprit nous l’atteste également. En effet, il dit tout d’abord :
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« Voici en quoi consistera l’alliance que je conclurai avec eux après ces jours-là, déclare le Seigneur : J’inscrirai mes instructions dans leur cœur, je les graverai dans leur intelligence. »
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Puis il ajoute : « Je ne me souviendrai plus de leurs fautes et de leurs péchés. »
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Or, si les péchés sont pardonnés, il n’est plus nécessaire de présenter une offrande à cet effet.
Ce ministère de la loi, pour amener les hommes à Christ, n'a jamais cessé ; car si Paul ajoute : nous ne sommes plus sous ce pédagogue, c'est en parlant de ceux pour qui véritablement la foi est venue.
Il est toujours, même sous l'Evangile, des multitudes qui n'en sont point encore là, pour qui la foi n'est pas venue, qui, au contraire, se trouvent, comme les Israélites de l'ancienne alliance, à l'état d'enfants, (Galates 4.1,2) en qui doit s'accomplir encore le ministère de la loi pour les amener à Christ. Toutes les phases successives de l'histoire du règne de Dieu se reproduisent simultanément, à chaque époque, dans les divers états d'âme.
"Sous cette image d'un pédagogue, dit Luther, l'apôtre nous montre clairement comment nous devons employer la loi ; car, de même que le pédagogue conduit les enfants, les punit, les attriste, non dans l'intention que cette discipline dure toujours, mais afin que plus tard ils jouissent des biens de leur père d'autant plus librement et avec joie, ainsi nous devons savoir que si la loi effraie et contriste les âmes c'est afin de les préparer à Christ et à la liberté spirituelle qui doit suivre."