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Genèse 20.7

Maintenant, rends la femme de cet homme, car c’est un prophète. Il priera pour toi et tu vivras. Mais, si tu ne la rends pas, sache que tu mourras, toi et tout ce qui t'appartient. »
Maintenant, rends 07725 08685 la femme 0802 de cet homme 0376 ; car il est prophète 05030, il priera 06419 08691 pour toi 01157, et tu vivras 02421 08798. Mais, si tu ne la rends 07725 08688 pas, sache 03045 08798 que tu mourras 04191 08800 04191 08799, toi et tout ce qui t’appartient.
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      Genèse 2

      Genèse 12

      Genèse 20

      Exode 4

      Exode 7

      1

      Moïse et Aaron sont encouragés. (Exode 7:1-7)
      La verge transformée en serpent, Le cœur de Pharaon s'endurcit. (Exode 7:8-13)
      L'eau du fleuve changée en sang, La détresse des Égyptiens. (Exode 7:14-25)

      Dieu manifeste Sa gloire. Il révèle au peuple qu'Il est vraiment Jéhovah : Israël, d'une part, devait le constater par tous les prodiges qui devaient s'accomplir, les Égyptiens, d'autre part, avec la manifestation de la colère divine à leur égard. Moïse, en tant qu'ambassadeur de Jéhovah, parlant en Son Nom, expose sa requête auprès de Pharaon, dénonçant par là même, les souffrances du peuple maltraité et les jugements qui devaient en découler. Pharaon, malgré sa puissance orgueilleuse, n'aurait pas dû résister. Moïse se devait de n'éprouver aucune crainte devant lui, mais seulement chercher à le déstabiliser. Cela semble se révéler dans les paroles de ce texte : « Vois, je te fais Dieu pour Pharaon ». Petit à petit, Moïse est délivré de ses craintes. Il ne fait plus d'objections, mais étant fortifié dans sa foi, il se met à l'ouvrage avec courage et persévérance !

      Exode 12

      1

      Le début de l'année est défini, La Pâque est instituée. (Exode 12:1-20)
      Les instructions de la Pâque sont données au peuple. (Exode 12:21-28)
      La mort des premiers-nés Égyptiens, Les Israélites se hâtent de quitter l'Égypte. (Exode 12:29-36)
      Le premier voyage des Israélites à Succoth. (Exode 12:37-42)
      Ordonnances de la Pâque. (Exode 12:43-51)

      Le Seigneur rend toutes choses nouvelles, envers ceux qui sont délivrés de l'emprise de Satan : désormais, Son peuple Lui appartient. Au moment où ce changement s'opère, les siens sont au seuil d'une nouvelle vie. Dieu a marqué ce point de départ : la nuit où les Hébreux quittèrent l'Égypte, chaque famille devait tuer un agneau, ou à la rigueur, un agneau pouvait servir pour deux ou trois familles modestes. Cet agneau devait être mangé suivant la manière indiquée par Dieu et le sang devait être aspergé sur le linteau de la porte, afin de différencier les maisons des Israélites de celles des Égyptiens.

      Alors qu'ils tuaient les premiers-nés d'Égypte, les anges de l'Éternel devaient passer « au dessus » des maisons désignées par le sang de l'agneau : d'où le nom de cette fête ou de cette ordonnance*. La Pâque devait être célébrée chaque année, à la fois, à titre commémoratif de la préservation et de la délivrance du peuple d'Israël, mais aussi comme image remarquable de la personne de Christ. La sécurité dont ils bénéficièrent ne fut pas due à leur propre droiture : ce fut un don miséricordieux. Par ce rappel annuel, le peuple devait se souvenir que toutes les bénédictions proviennent de l'effusion et de l'aspersion du sang.

      Observons les points suivants : - L'agneau pascal était vraiment typique. Christ est notre Pâque, 1Corinthiens 5:7. Christ est l'Agneau de Dieu, Jean 1:29 ; il est souvent appelé dans l'Apocalypse, « l'Agneau ». Ce nom est de la première importance. Christ s'est offert Lui-même : il était conscient, en pleine force de l'âge et non pas un bébé, à Bethlehem. L'agneau de la Pâque devait être sans défaut ; le Seigneur Jésus était un Agneau sans taches : le Juge qui l'a condamné a déclaré qu'Il était innocent. L'agneau pascal devait être mis à part, pendant quatre jours ; le Seigneur Jésus, Lui aussi, destiné à devenir notre Sauveur, a été mis à part : c'était à la fois le but et l'objet de la Promesse divine. L'agneau pascal devait être préparé et rôti au feu, image des souffrances que devait endurer le Seigneur Jésus lors de Sa mort, Sa mort sur la croix. La colère divine est un feu ; Christ a été fait « malédiction » pour nous. Pas un des os de l'agneau ne devait être rompu : il en fut de même pour Christ, Jean 19:33, qui garda sa force intacte, jusqu'à la fin.

      - L'aspersion du sang était une pratique assez particulière. Le sang de l'agneau pascal devait être aspergé, tout comme les mérites de Christ, pour sauver nos âmes de la mort ; nous devons recevoir l'expiation, Romains 5:11. La foi en la branche d'hysope : similairement, nous pouvons nous appuyer sur les promesses divines, sur le bénéfice du sang de Christ versé pour nous. Le sang de l'agneau devait être aspergé sur le linteau et sur les poteaux de la porte : nous pouvons comparer cela à l'entrée que nous avons, dans le chemin de la foi, par notre Sauveur. Le sang de l'agneau ne devait pas être versé sur le seuil de la porte : soyons vigilants de ne pas « piétiner », par notre péché, le sang de l'alliance. Il s'agit d'un sang précieux, à cette époque celui de l'agneau, comme aujourd'hui, celui de Christ ! Ce sang aspergé, était pour les Israélites, un moyen d'être préservé de la main de l'ange exterminateur : ce dernier n'agissait pas dans les maisons qui avaient leur linteau de porte aspergé de ce sang. Le sang de Christ est la protection du croyant contre la colère et la malédiction divines et la damnation de l'enfer, Romains 8:1.

      - Le rite du repas solennel était un type d'obéissance à l'évangile de Christ. On ne devait pas seulement regarder l'agneau pascal, mais on devait le manger. Nous devons faire de même avec Christ, qui doit être complètement accepté ; nous devons recevoir de Lui toute force et toute nourriture spirituelles : lire Jean 6:53,55. L'agneau devait être mangé en entier ; ceux, qui par la foi, se nourrissent de Christ, doivent tout prendre du Sauveur ; ils doivent accepter Christ et son joug, Christ et sa croix, Christ et sa couronne. Rien ne devait être laissé, lors du repas de l'agneau. Aujourd'hui, Christ s'est offert pour nous : Il doit être accepté pendant qu'il en est encore temps, avant que nous ne passions vers l'au-delà. L'agneau devait être mangé avec des herbes amères, pour rappeler l'amertume de l'esclavage en Égypte. Nous devons nous nourrir de Christ avec un cœur contrit, dans le regret de la repentance, en souvenir de notre péché. Christ sera doux à notre palais, même si notre péché nous parait encore amer. Le repas devait être pris avec les reins ceints, un bâton à la main, comme prêts à partir. Quand nous nous nourrissons de Christ, par la foi, nous devons renoncer à la domination du péché ; nous devons tourner le dos au monde et à toutes ses convoitises ; nous devons tout abandonner pour Christ, et reconnaître le don merveilleux qu'Il nous a fait, Heb 13:13,14.

      - La fête des pains sans levain était vraiment une fête typique de la vie chrétienne, 1Corinthiens 5:7,8. Ayant reçu Jésus Christ, comme Seigneur, nous devons continuellement l'adorer. Durant cette fête, aucun ouvrage ne devait être accompli, et l'on ne devait pas faire ce qui était défendu, de façon à ne pas altérer la joie qui régnait pendant cette période. Les juifs respectaient strictement cette fête de la Pâque, aucun levain ne devait être trouvé dans leurs maisons. Ce festin devait se pratiquer avec amour, sans esprit de malice, en toute sincérité et sans hypocrisie. C'était une ordonnance perpétuelle; tant que nous sommes en vie, nous devons nous nourrir continuellement en Christ, toujours nous réjouir en Sa Personne, Le remerciant pour les merveilles qu'Il a accomplies pour nous.

      * Note du traducteur : cette phrase mentionne le terme anglais « Passover » (Littéralement « Passer au dessus ») ; il est traduit en français par le mot « Pâques ».

      Exode 18

      Lévitique 6

      Nombres 16

      1 Samuel 7

      5 Les enfants d'Israël puisèrent de l'eau et la répandirent devant l'Éternel ; c'était un témoignage de leur humiliation et du regret de leurs péchés. Ils se repentirent devant Dieu. Ils confessèrent résolument leur iniquité et prirent la décision de rejeter toute mauvaise action. Ils déclarèrent publiquement : « nous avons péché contre l'Éternel ». Honteux de leurs actes, ils rendirent gloire à Dieu.

      Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité, 1Jean 1:9*.

      * Référence biblique ajoutée par le traducteur

      1 Samuel 12

      2 Samuel 24

      1 Rois 13

      1 Rois 18

      1

      Élie prévient Achab de son arrivée. (1 Rois 18:1-16)
      Élie rencontre Achab. (1 Rois 18:17-20)
      Élie juge les faux prophètes. (1 Rois 18:21-40)
      Élie, par la prière, obtient la pluie. (1 Rois 18:41-46)

      Les épreuves ou les jugements les plus sévères, ne peuvent par eux-mêmes, conduire les pécheurs à l'humilité ou au changement de leur cœur ; à part le sang de Jésus-Christ, rien ne peut nous réconcilier avec Dieu, quant à notre culpabilité de pécheur ; à part le Saint-Esprit sanctificateur, rien ne peut nous purifier de cette « pollution ». Les sacrificateurs et les Lévites étaient partis dans le territoire de Juda et à Jérusalem, 2Chroniques 11:13,14, mais au lieu de les solliciter, Dieu s'adressa au prophète, pour qu'il annonce et expose Sa Parole. Ces sacrificateurs étaient probablement issus des écoles religieuses établies par Samuel. Ils ne disposaient pas du même esprit de prophétie qu'Élie, mais néanmoins, ils enseignaient le peuple à toujours rester fidèle au Dieu d'Israël. Jézabel ne cherchait qu'à les exterminer. Le peu de sacrificateurs épargnés, fut forcé de se cacher.

      Dieu dispose toujours de serviteurs, prêts à œuvrer pour Lui ; la foi, la crainte et l'amour de Son Nom, les fruits du Saint-Esprit, seront toujours acceptés par notre Rédempteur.

      Remarquez comment Dieu établit merveilleusement Ses serviteurs, en vue de pratiquer leur ministère, tout en les protégeant lors des périodes difficiles. Le pain et l'eau étaient alors des denrées rares, mais Abdias en trouva suffisamment pour les prophètes de l'Éternel, afin de les maintenir en vie. Le roi Achab ne pensait qu'à conserver son bétail, mais il ne portait aucune attention à son âme, au risque de courir à sa perte. Il n'avait de préoccupation que de trouver de l'herbe, mais ne se souciait même pas de la faveur divine ; il ne cherchait en fait, qu'à endiguer les effets de la malédiction sur son pays, sans se demander comment en ôter la cause. On peut dire que c'est un bon présage pour une nation, que de voir Dieu appeler Ses serviteurs à se manifester aux yeux de tous.

      Lors de l'épreuve, il est préférable de consommer alors « le pain de l'affliction », et d'en tirer tout l'enseignement qui en découle.

      17 Il est permis de supposer qu'en observant simplement la conduite et le témoignage des serviteurs de Dieu, l'on puisse alors s'approcher de Lui.

      En effet des hommes tels qu'Élie, furent vraiment d'utiles témoins, troublant et dérangeant la quiétude du peuple idolâtre, en Israël.

      Ceux qui incitent Dieu à envoyer Ses jugements, commettent une grave erreur, à l'inverse de celui qui les prédit en Son Nom, et conseillent à une nation de se repentir.

      21 Dans ce texte, nous voyons que plusieurs, parmi le peuple d'Israël, ne savaient plus à quel dieu se fier : finalement, ils se tournèrent vers l'Éternel. Élie invita tous les enfants d'Israël à déterminer, entre Jéhovah ou Baal, quel était vraiment le Dieu suprême, le Créateur, le Gouverneur, et le Juge du monde, le Seul qui soit digne d'être suivi.

      Il est dangereux d'hésiter, sans prendre de décision, entre le service de Dieu et l'asservissement du péché, la domination de Christ et celle de nos convoitises. Si Jésus est le Seul qui puisse nous sauver, sachons nous confier en Lui en toutes choses ; si la Bible représente véritablement pour nous, la Parole de Dieu, sachons L'honorer et La recevoir entièrement, en soumettant notre raisonnement humain à l'enseignement divin qu'elle contient.

      Élie proposa de mettre à l'épreuve les faux prophètes. Baal était alors majoritairement vénéré en Israël, mais cela n'a pas intimidé le prophète de l'Éternel. Il s'écria : « le dieu qui répondra par le feu sera Dieu ». L'expiation divine ne pouvait être faite que par le biais d'un sacrifice, avant que le Jugement de l'Éternel ne soit transformé en Miséricorde. Dieu, ayant la faculté de pardonner le péché, par le biais d'un sacrifice, est le Seul qui puisse sauver les Siens de la fatalité de la mort. L'Éternel n'a jamais exigé que Ses adorateurs emploient pour L'honorer, les mêmes rites que ceux utilisés pour Baal ; malgré le fait que le service du diable puisse satisfaire et choyer le corps, il comporte d'autres caractéristiques, telles que la cruauté, l'envie et l'ivresse.

      Dieu nous demande de mortifier les convoitises et les corruptions auxquelles nous sommes sujets ; mais les pénitences et les brutalités corporelles ne Lui procurent aucune satisfaction. Qui exigeait que les prêtres de Baal se fassent de telles incisions ? Quelques mots exprimés avec une foi sereine, accompagnée d'une ardente affection pour la Gloire de Dieu et d'un amour pour l'âme de notre prochain, ainsi que la soif de recevoir la faveur et la présence du Seigneur, constituent les éléments de la prière efficace et fervente du « juste », prière qui sera loin d'être vaine. Élie n'a pas cherché sa propre gloire, mais celle de Dieu, pour le bien du peuple. Tous les enfants d'Israël furent convaincus et satisfaits par le miracle divin ; Jéhovah est le seul Dieu.

      Il est certain que plusieurs, parmi le peuple, furent convaincus de la Puissance divine, sans toutefois se convertir à Dieu.

      Bénis soient ceux qui n'ont pas connu les évènements relatés dans ce texte et qui ont cru en l'Éternel : leur cœur a été alors davantage touché par Sa Parole que celui des hommes qui virent ce miracle.

      41 Les enfants d'Israël étant maintenant forcés de reconnaître que l'Éternel était le seul Dieu véritable, durent de ce fait, consentir à l'exécution des prophètes de Baal, et accepter le fait que le pays était privé de toute bénédiction ici-bas. Élie enchaîna par une longue prière.

      Bien que la réponse à nos supplications les plus ardentes et ferventes ne vienne pas parfois rapidement, nous devons continuer à prier avec zèle, sans nous relâcher.

      Un petit nuage apparut à l'horizon, recouvrant rapidement l'ensemble du ciel, et finissant par arroser enfin la terre. Les grandes bénédictions commencent souvent par de modestes débuts, inondant ensuite, par leur abondance, leur destinataire, tel un nuage de grande envergure. Ne méprisons pas les journées où rien de grandiose ne semble se produire, mais sachons espérer et attendre les grands évènements que le Seigneur a préparés d'avance. Combien de fois a-t-on déjà vu des démarrages modestes se terminer en œuvres grandioses ! Il en est ainsi dans toutes les démarches merveilleuses que Dieu entreprend avec l'âme. Les premières manifestations de l'Esprit dans le cœur sont parfois à peine perceptibles, mais elles grandissent ensuite, conduisant alors à l'émerveillement des enfants de Dieu, tout en poussant les anges à se réjouir. Élie pressa Achab, pour qu'il retourne dans sa maison, il l'accompagna.

      Dieu saura toujours donner à Son peuple, la force nécessaire pour accomplir le service que Sa Providence aura dicté. Les manifestations terrifiantes de la Justice et de la Sainteté divines déconcertent le pécheur, le poussant à la confession de son iniquité, tout en disposant finalement son cœur à l'obéissance ; cette attitude de repentance, associée à la reconnaissance de la dépendance en Jésus-Christ, et l'amour sincère qu'on doit Lui témoigner, sont nécessaires pour amener l'âme à la soumission et à la confiance. L'Esprit saint utilise tous ces moyens pour amener les pécheurs au repentir ; dès que ces derniers sont convaincus de la véracité des Lois divines, ils doivent alors commencer instamment à s'impliquer dans les fonctions auxquelles le Sauveur les a appelés, en tant que disciples.

      2 Rois 5

      2 Rois 19

      1 Chroniques 16

      Job 34

      Job 42

      Psaumes 25

      Psaumes 105

      Jérémie 14

      Jérémie 15

      1

      La destruction du méchant est prédite. (Jérémie 15:1-9)
      Le prophète se lamente et réprouve l'annonce d'un tel message. (Jérémie 15:10-14)
      Il implore le pardon, et la promesse de la protection divine. (Jérémie 15:15-21)

      L'Éternel déclare que même la présence de Moïse et de Samuel serait vaine, pour tenter de plaider en faveur du peuple. Ce texte montre bien que malgré le fait que les enfants d'Israël se tenaient devant l'Éternel, ils n'étaient pas vraiment en communion avec Lui ; cela prouve également que les saints dans le ciel, ne prient pas pour les âmes ici-bas.

      Les juifs étaient condamnés à subir différentes sortes de calamités par le biais de la Justice et du Jugement divins ; le reste du peuple allait être mené ça et là en captivité, comme des ballots de paille. Ainsi, la ville de Jérusalem, auparavant si peuplée, allait connaître la désolation. Les mauvais exemples et abus d'autorité, ont souvent des conséquences fatales, même après que leurs auteurs soient morts, ou se soient repentis de leurs crimes : ceci devrait nous faire considérablement redouter d'être à l'origine du péché des autres.

      Jérémie 27

      Ezéchiel 3

      Ezéchiel 33

      1 Corinthiens 14

      Hébreux 1

      1

      Cette épître aux Hébreux révèle la nature complète de Christ : Il est la fin, le fondement, le corps et la vérité des composants de la loi, qui n'avaient auparavant aucune vertu pour l'âme.

      Cette épitre expose une grande vérité : Jésus de Nazareth est le Dieu véritable. Les Juifs non convertis utilisaient de nombreux arguments pour dissuader leurs frères qui marchaient dans la foi chrétienne. Ils présentaient la loi de Moïse comme étant supérieure à la dispensation chrétienne, et critiquaient tout ce qui avait trait au Sauveur.

      L'auteur de l'épître, expose donc la supériorité de Jésus de Nazareth, en tant que Fils de Dieu ; il souligne les bienfaits issus de Ses souffrances et de Sa mort et Son sacrifice pour annuler les conséquences néfastes du péché ; il annonce également que la religion chrétienne est bien plus excellente et parfaite que celle de Moïse. Le but principal de cette épître semble être d'amener les Hébreux convertis à progresser dans la connaissance de l'Évangile, de les affermir dans la foi chrétienne, et d'éviter qu'ils s'en éloignent : ils reçoivent ainsi une sérieuse mise en garde.

      Alors que cette épître contient beaucoup d’éléments dédiés aux Hébreux de l’époque, elle contient aussi de nombreux points qui ne peuvent qu'intéresser l'église aujourd’hui ; la connaissance de Jésus-Christ est en effet « la moelle et le noyau » de toutes les Écritures. La loi cérémonielle est remplie de l’image de Christ, tout l'Évangile contient Sa Personne ; les lignes bénies des deux Testaments se rencontrent en Lui : l'épître aux Hébreux explique comment ces deux Testaments s'accordent et s'unissent étroitement en Jésus-Christ ; tel est l’objet de cette lettre, qui fait vraiment découvrir le Seigneur sous Son vrai jour divin !

      * La dignité incomparable du Fils de Dieu, dans Sa personne divine et dans Son œuvre créatrice, en tant que Médiateur. (Hébreux 1:1-3) Sa supériorité sur tous les saints anges. (Hébreux 1:4-14)

      Hébreux 1:1-3 Dieu a parlé à Son peuple à divers moments, à travers nombre de générations consécutives, et de diverses manières, comme Il le pensait propice ; Il le faisait parfois par des directives personnelles, parfois par des songes, voire des visions, quelquefois par l’influence divine sur l’esprit des prophètes.

      L’annonce de l'Évangile est excellente et supérieure à toutes les autres révélations : Dieu a en effet révélé l’Évangile par Son Fils. En entrevoyant le pouvoir, la sagesse, et la bonté du Seigneur Jésus-Christ, nous apercevons dans ce texte, ces qualités en la personne de Dieu le Père, Jean 14:7 ; la plénitude de la Divinité demeure, non pas symboliquement, ou d’une manière figurée, mais véritablement, en Lui. Lors de la chute de l'homme, le monde se brisait, sous le courroux et la malédiction de Dieu ; le Fils de Dieu allait entreprendre l’œuvre de la Rédemption, par Son pouvoir tout-puissant et selon Sa bonté.

      De la gloire de la personne et du rôle de Christ, nous progressons vers celle de Sa Grâce. La gloire de la personne de Christ et de Sa nature donnèrent à Ses souffrances un tel prix, que ce fut une satisfaction entière pour l'honneur de Dieu : Il a souffert, d’une blessure infinie et d’une immense déception, à cause des péchés des hommes.

      Nous ne pourrons jamais être assez reconnaissants du fait que Dieu nous ait parlé de si nombreuses manières, et avec une telle clarté, à nous pauvres pécheurs, en faveur de notre salut. Le fait qu'Il puisse de Lui-même nous purifier de nos péchés, nous révèle Son Amour merveilleux, Amour qui dépasse notre simple admiration, notre gratitude et notre louange !

      Hébreux 13

      Jacques 5

      1 Jean 5

      Apocalypse 11

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